974 resultados para Sino-French War, 1884-1885


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Périodicité : Bimensuel

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Destinataire non identifié. - Camille va venir passer un mois de vacances avec lui - Il peut le persuader de venir. "Inutile, je crois, d'ajouter que ma femme et mes enfants, grands et petits, se font une fête de revoir et de ravoir cet être exquis. Il se croira en famille, c'est-à-dire à mille lieues de sa femme et de sa belle-mère, et rien ne nous interdit d'attirer Claire et Suzanne autour de lui..."

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The Niagara Parks Commission administrative headquarters are located in Oak Hall which is on the cliff above Dufferin Islands. In 1798 this land was granted by the crown to United Empire Loyalist James Skinner until 1898. A century later it was the home of the Clarks, Streets and Macklems. These families controlled the mills of Bridgewater which was a pioneer industrial village located at Dufferin Islands. Then, it was known as Clark Hill. Colonel Thomas Clark, commander of the Second Lincoln Militia in the War of 1812 is the earliest known occupant of the house. When Clark died in 1837, the house went to Thomas Clark Street who was the son of the Colonel’s partner. Mr. Street was a bachelor and his sister, widow of Dr. T.C. Macklem, managed his household. Mrs. Macklem had 2 sons. The eldest son drowned in the Niagara River at the age of 8 and the younger son, Sutherland became heir to the estate. Mr. Macklem opened Cynthia Islands and Cedar Island to the public and had roads built to reach them. Two suspension bridges connected them to the mainland and tolls were charged on the bridges. The improvements to the land cost Macklem $18,962. He called the bridges “Bridge Castor” and “Bridge Pollux”. There was also an office built at the end of Bridge Castor. Macklem also spent $454 fixing up the Burning Spring Building (the burning spring is enclosed in a barrel which collects gas and lets it out through a tube at the top). Macklem received a yearly income of $56,378.79 from tourists and visitors. In 1887 Cynthia Islands and Cedar Island were deeded to the crown and became part of Queen Victoria Park. The name Cynthia was changed to Dufferin in honour of Lord Dufferin. Sources: www.niagarafrontier.com/parks.html www.niagarafrontier.com/burningsprings.html

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Ce mémoire vise la compréhension du mécanisme des choix stratégiques de l’Inde en fonction de la menace perçue de la Chine. Selon une logique réaliste néoclassique, l’étude de l’effet des contraintes systémiques et domestiques présente un paradoxe dans les volontés stratégiques indiennes. L’Inde est soumise à la pression systémique de la montée de la Chine dans un monde post-Guerre froide qui la verrouille dans sa position traditionnellement défensive, alors que sa volonté de projection de la puissance guidée par sa perception, ses idées et sa culture stratégique la porte à adopter une position plus offensive. L’Inde perçoit la menace chinoise de manière dissonante avec l’orientation stratégique chinoi-se. Elle se concentre ainsi sur des signaux et des indices particuliers afin de justifier cette me-nace perçue. C’est pourquoi l’ambiguïté du langage diplomatique de la Chine envers l’Arunachal Pradesh et de sa présence dans l’océan Indien engendre un accroissement de la menace chinoise et une réponse plus agressive conséquemment. La réponse stratégique in-dienne doit s’adapter aux changements de la puissance relative de la Chine. N’ayant pas les capacités relatives suffisantes, l’Inde choisit une stratégie située entre une émulation dans une logique de poursuite aux armements afin de maintenir la parité technologique et un engage-ment afin de désamorcer la rivalité et éviter une réaction chinoise pré-emptive. La culture stratégique de l’Inde traditionnellement défensive se transforme vers une position offensive sous l’effet du nation building du nationalisme hindou. Les préférences stratégiques indiennes agressives s’illustrent principalement dans le choc multidirectionnel des sphères d’influence sino-indiennes en Asie.

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La fête nationale française, décrétée en 1880, vise à consolider l’adhésion à la Troisième République, régime né dix ans auparavant et toujours en déficit de légitimité. Malgré les efforts du gouvernement pour rejoindre les Français de toutes allégeances, des discordes idéologiques persistent et la fête nationale du 14-Juillet ne parvient pas à faire l'unanimité. Telle est la situation sociale et politique de la France à l’aube de la Grande Guerre. Alors que se multiplient les batailles et les pertes militaires, la conviction d'une guerre courte fait place à la réalité d'une guerre aussi destructrice qu’interminable. Les 14-Juillet de ces années-là démontrent la nécessité d'adapter les célébrations nationales à la réalité de la guerre totale et des besoins qu'elle engendre. Parallèlement, le deuil et la souffrance de la guerre ravivent les oppositions sociales et politiques d'avant-guerre, remettant en question les capacités du gouvernement à faire face à la situation, menaçant tant l'Union Sacrée que la République. L'entrée en guerre des États-Unis, en avril 1917, offre l'occasion à quelques hommes politiques prévoyants de rétablir la cohésion sociale autour des valeurs républicaines. En 1917, puis en 1918, le gouvernement mise sur l'union des fêtes nationales républicaines française et américaine pour ranimer l'espoir, le courage et le patriotisme de tous les Français. Au-delà de l'hommage rendu à un allié que l'on espérait plus, l'union des deux fêtes devient le symbole de la solidarité et de la fraternité qui unit les deux Républiques-sœurs, et réaffirme la force et la légitimité du régime français en place. Le 14-Juillet, emblème du parcours social et politique français, connaît donc, à l’occasion de la Grande Guerre, une mutation, une redéfinition de sens. À l'image de la France, « moderne », le 14-Juillet tel que développé lors du conflit, ne cesse de s'adapter aux besoins et à l'image d'une société en constante évolution.