900 resultados para Sexual Violence
Resumo:
This study investigated the factors considered by forensic examiners when evaluating sexually violent predators (SVP) for civil commitment under Florida's “Jimmy Ryce Act.” The project was funded by a pre-doctoral research grant awarded by the Association for the Treatment of Sexual Abusers (ATSA). ^ This study proposed two specific research questions. First, what is the direct relationship between actuarial risk assessment scores and recommendations for sex offender civil commitment? Second, which other variables are likely to influence SVP commitment decisions, and to what degree? The purpose of the study was to determine if risk assessment practices are evidence-based, and whether offenders selected for commitment meet statutory criteria. ^ The purposive sample of 450 SVPs was drawn from the population of sex offenders evaluated for civil commitment in Florida between July 1, 2000 and June 30, 2001. Data were extracted from SVP evaluations provided by the Florida Department of Children and Families. Using multivariate logistic regression, this correlational research design examined the relationship between the dependent variable, commitment decision, and several sets of independent variables. The independent variables were derived from a review of the literature, and were grouped conceptually according to their degree of correlation with sex offense recidivism. Independent variables included diagnoses, actuarial risk assessment scores, empirically validated static and dynamic risk factors, consensus based risk factors, evaluator characteristics, and demographics. This study investigated the degree to which the identified variables predicted civil commitment decisions. ^ Logistic regression results revealed that the statistically significant predictors of recommendations for sex offender civil commitment were actuarial risk assessment scores, diagnoses of Pedophilia and Paraphilia NOS, psychopathy, younger age of victim, and non-minority race. Discriminant function analysis confirmed that these variables correctly predicted commitment decisions in 90% of cases. ^ It appears that civil commitment evaluators in Florida used empirically-based assessment procedures, and did not make decisions that were heavily influenced by extraneous factors. SVPs recommended for commitment consistently met the criteria set forth by the U.S. Supreme Court in Hendricks v. Kansas (1997): they suffered from a mental abnormality predisposing them to sexual violence, and risk assessment determined that they were likely to reoffend. ^
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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.
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This research is an examination into the ways online abuse functions in certain online spaces. By analyzing text-based online abuse against women who are content creators, this research maps how aspects of violence against women offline extends online. This research examines three different explorations into how online abuse against women functions. Chapter two considers what online abuse against women looks like on Twitter as a case study. This chapter contends that online abuse can be understood as an unintentional use of Twitter’s design. Chapter three focuses specifically on the textual descriptions of sexual violence women who are journalists receive online. Chapter four analyzes Gamergate, an online movement that specifically looks to organize online abuse towards women. Chapter five concludes by meditating on the need to look at a bigger picture that includes cultural shifts that dismantle the normalization of violence against women both on and offline.
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South Africa’s first democratic constitution of 1996, which defines the content and scope of citizenship, emerged out of what the country’s Constitutional Court accurately described as ‘a deeply divided society characterized by strife, conflict, untold suffering and injustice which generated gross violations of human rights, the transgression of humanitarian principles in violent conflicts and a legacy of hatred, fear, guilt and revenge’ (cited in Jagwanth, 2003: 7). The constitution was internationally noteworthy for its expressed protection of women’s and sexual minority rights and its extension of rights of citizenship to socio-economic rights, such as rights of adequate healthcare, housing and education (SAGI, 1996). During South Africa’s first two decades of democracy, the Constitutional Court has proven its independence by advancing citizenship rights on a number of occasions (O’Regan, 2012). The struggle for citizenship was at the heart of the liberation struggle against the apartheid regime and within the complex dynamics of the anti-apartheid movement, increasingly sophisticated and intersectional demands for citizenship were made. South Africa’s constitutional rights for citizenship are not always matched in practice. The country’s high rates of sexual violence, ongoing poverty and inequality and public attitudes towards the rights of sexual minorities and immigrants lag well behind the spirit and letter of the constitution. Nevertheless, the achievement of formal citizenship rights in South Africa was the result of a prolonged and complex liberation struggle and analysis of South Africa demonstrates Werbner’s claim that ‘struggles over citizenship are thus struggles over the very meaning of politics and membership in a community’ (1999: 221). This chapter will begin with a contextual and historical overview before moving onto analyzing the development of non-racialism as a basis for citizenship, non-sexism and gendered citizenship, contestations of white, militarized citizenship and the achievement of sexual citizenship by the Lesbian, Gay, Bisexual and Transgender (LGBT) rights movement. As shall be made clear, all these citizenship demands emerged during the decades of the country’s liberation struggle.
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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.
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The call to access and preserve the state records that document crimes committed by the state during Guatemala’s civil war has become an archival imperative entangled with neoliberal human rights discourses of “truth, justice, and memory.” 200,000 people were killed and disappeared in Guatemala’s civil war including acts of genocide in which 85% of massacres involved sexual violence committed against Mayan women. This dissertation argues that in an attempt to tell the official story of the civil war, American Human Rights organizations and academic institutions have constructed a normative identity whose humanity is attached to a scientific and evidentiary value as well as an archival status representing the materiality and institutionality of the record. Consequently, Human Rights discourses grounded in Western knowledges, in particular archival science and law, which prioritize the appearance of truth erase the material and epistemological experience of indigenous women during wartimes. As a result, the subjectivity that has surfaced on the record as most legible has mostly pertained to non-indigenous, middle class, urban, leftist men who were victims of enforced disappearance not genocide. This dissertation investigates this conflicting narrative that remembers a non-indigenous revolutionary masculine hero and grants him justice in human rights courtrooms simply because of a document attesting to his death. A main research question addressed in this project is why the promise of "truth and justice" under the name of human rights becomes a contentious site for gendered indigenous bodies? I conduct a discursive and rhetorical analysis of documentary film, declassified Guatemalan police and military records such as Operation Sofia, a military log known for “documenting the genocide” during rural counterinsurgencies executed by the military. I interrogate the ways in which racialized feminicides or the hyper-sexualized racial violence that has historically dehumanized indigenous women falls outside of discourses of vision constructed by Western positivist knowledges to reinscribe the ideal human right subject. I argue for alternative epistemological frames that recognize genocide as sexualized and gendered structures that have simultaneously produced racialized feminicides in order to disrupt the colonial structures of capitalism, patriarchy and heterosexuality. Ironically, these structures of power remain untouched by the dominant human rights discourse and its academic, NGO, and state collaborators that seek "truth and justice" in post-conflict Guatemala.
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Tese (doutorado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Ciências da Saúde, Departamento de Enfermagem, Programa de Pós-Graduação em Enfermagem, 2015.
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Tese (doutorado)—Universidade de Brasília, Faculdade de Ciências da Saúde, Programa de Pós-Graduação em Ciências da Saúde, 2016.
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Rapport de stage présenté à la Faculté des Arts et Sciences en vue de l’obtention du grade de Maître des Sciences (M. Sc.) en Criminologie, Option Stage en Intervention
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Rapport de stage présenté à la Faculté des Arts et Sciences en vue de l’obtention du grade de Maître des Sciences (M. Sc.) en Criminologie, Option Stage en Intervention
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¿Qué tienen por decir mujeres excombatientes de grupos insurgentes (guerrillas como las FARC y el EPL) y de las Autodefensas Unidas de Colombia acerca de su proceso de desmovilización y reintegración? Este reportaje busca responder esa pregunta por medio de la historia de vida de Camila, Valentina y Blanca, tres mujeres que pertenecieron a grupos armados ilegales y que ahora luchan por reconstruir su proyecto de vida y le apuestan a la construcción de la paz desde las luchas cotidianas que tiene que afrontar.
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A violência é um problema que perturba a sociedade e a saúde individual e cole-tiva. A violência contra as mulheres é uma forma específica de maus tratos. Tem conse-quências para as mulheres que diretamente a sofrem, com repercussões sociofamiliares, acarretando marcas, mágoas e prejuízo grave nas esferas bio-psico-sociais. O CHBM-EPE tem em curso um programa de atendimento a mulheres vítimas de violência. Tor-na-se necessário realizar a sua revisão e atualização. No projeto atual, através de recolha de dados junto de provedores e beneficiárias de cuidados realizou-se o diagnóstico de situação, descrevem-se ambas as perspetivas e propõem-se medidas de melhoramento. O relatório aqui apresentado consiste na descrição da intervenção realizada. Os resulta-dos serão tidos em conta na revisão do Programa do CHBM-EPE contra a violência doméstica. Pretende-se a melhoria da qualidade dos cuidados; ABSTRAT: Violence Against Women. Review of the Institutional Project of the Hospital Barreiro - Montijo EPE. Violence is a problem that disrupts society and the individual and collective health. Violence against women is a specific form of ill-treatment. It has consequences for the female figures who directly suffer with social-familial repercussions, leading brands, hurts and serious injuries in the bio-psycho-social spheres. The CHBM-EPE has an ongoing program of assistance to women victims of violence. It is necessary to carry out its review and update. The current project, through data collection from providers and recipients of care will describe both perspectives. In the current project, through data collection from providers and recipients of care there was the diagnosis of the sit-uation, describes both perspectives and are proposed improvement measures. The report presented here is the description of the intervention performed. The results will be taken into account in the review of CHBM-EPE Program against domestic violence. It is in-tended to improve the quality of care.
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Background. One in 4 adolescents reports some form of dating violence each year. Dating violence among high school adolescents has been linked with several morbidity issues. However, the association between dating violence and sexual risk and/or substance use among young adolescents has rarely been studied.^ Methods. Research hypotheses were tested using a secondary data analysis from a HIV, STI, pregnancy prevention intervention study for urban middle school students.^ Results. At baseline, 21% of youth reported experiencing physical ADV victimization, 48.2% reported non-physical victimization, and 52.6% report any victimization. After adjusting for race/ethnicity, gender, and age ever having sex, alcohol use, and illicit drug use were significantly associated with several forms of ADV.^ Conclusions. Dating violence appears to be associated with early initiation of sexual behavior, as well as alcohol and drug use. Few interventions address ADV among middle school youth. Early interventions that prevent dating violence are needed. ^
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http://www.healthmedjournal.com/vol06-no3.pdf