152 resultados para Plancton
Resumo:
L’Arctique s’est réchauffé rapidement et il y a urgence d’anticiper les effets que cela pourrait avoir sur les protistes à la base de la chaîne alimentaire. Le phytoplancton de l’Océan Arctique inclut les pico- et nano-eucaryotes (0.45-10 μm diamètre de la cellule) et plusieurs de ceux-ci sont des écotypes retrouvés seulement dans l’Arctique alors que d’autres sont introduits des océans plus méridionaux. Alors que les océans tempérés pénètrent dans l’Arctique, il devient pertinent de savoir si ces communautés microbiennes pourraient être modifiées. L’archipel du Svalbard est une région idéale pour observer la biogéographie des communautés microbiennes sous l’influence de processus polaires et tempérés. Bien qu’ils soient géographiquement proches, les régions côtières entourant le Svalbard sont sujettes à des intrusions alternantes de masses d’eau de l’Arctique et de l’Atlantique en plus des conditions locales. Huit sites ont été échantillonnés en juillet 2013 pour identifier les protistes selon un gradient de profondeur et de masses d’eau autour de l’archipel. En plus des variables océanographiques standards, l’eau a été échantillonnée pour synthétiser des banques d’amplicons ciblant le 18S SSU ARNr et son gène pour ensuite être séquencées à haut débit. Cinq des sites d’étude avaient de faibles concentrations de chlorophylle avec des compositions de communauté post-efflorescence dominée par les dinoflagellés, ciliés, des alvéolés parasites putatifs, chlorophycées et prymnesiophytées. L’intrusion des masses d’eau et les conditions environnementales locales étaient corrélées avec la structure des communautés ; l’origine de la masse d’eau contribuant le plus à la distance phylogénétique des communautés microbiennes. Au sein de trois fjords, de fortes concentrations de chlorophylle sous-entendaient des activités d’efflorescence. Un fjord était dominé par Phaeocystis, un deuxième par un clade arctique identifié comme un Pelagophyceae et un troisième par un assemblage mixte. En général, un signal fort d’écotypes liés à l’Arctique prédominait autour du Svalbard.
Resumo:
La evaluación se realizó entre el 20 y 26 de febrero 2015, el área de distribución de la macha comprendió la playa entre punta Corio y Sombrero Chico en la provincia de Islay; no se registró entre el Boquerón y La Ensenada. La mayor concentración se observó entre Las Cuevas y El Tablón (área de repoblamiento de Islay). La densidad relativa de las estaciones/transectos varió entre 0 y 20,39 ejem/m2. El área efectiva de distribución se calculó en 1´413.514 m2, se estimó abundancia en 7´722.393 ejemplares y biomasa total 147,58 t. Se analizó biométricamente 2.612 ejemplares, la talla varió entre 26 y 90 mm de longitud valvar (LV), con moda principal en 62 mm y secundaria en 76 mm, la longitud promedio fue 59,17 mm, el 89,43% estuvo debajo de la Talla Mínima de Captura (TCM= 70 mm). Los perfiles medios de playa fueron de pendiente suave que varió entre 1,00° y 1,72°; en el Sector sur (Punta de Bombón) se observó playas intermedias acercándose a los límites de playas disipativas (Ω entre 3,14 y 5,92), en el Sector norte (Dean Valdivia - Mejía) se observaron playas intermedias - disipativas (Ω entre 4,53 y 5,22). La temperatura superficial del mar varió entre 16,4 y 21,0 °C, promedio 18,2±0,02 °C. En el análisis del plancton, entre El Molle y Cardones y El Conto y Mejía, se observó larvas D y umbonadas con características similares a Mesodesma donacium.