This infinite, unanimous dissonance : a study in mathematical existentialism through the work of Jean-Paul Sartre and Alain Badiou

This thesis seeks to elucidate a motif common to the work both of Jean-Paul Sartre and Alain Badiou (with special attention being given to Being and Nothingness and Being and Event respectively): the thesis that the subject 's existence precedes and determines its essence. To this end, the author aims to explicate the structural invariances, common to both philosophies, that allow this thesis to take shape. Their explication requires the construction of an overarching conceptual framework within which it may be possible to embed both the phenomenological ontology elaborated in Being and Event and the mathematical ontology outlined in Being and Event. Within this framework, whose axial concept is that of multiplicity, the precedence of essence by existence becomes intelligible in terms of a priority of extensional over intensional determination. A series of familiar existentialist concepts are reconstructed on this basis, such as lack and value, and these are set to work in the task of fleshing out the more or less skeletal theory of the subject presented in Being and Event.

L'influence des mesures contenues dans le National Voter Registration Act sur le taux d'enregistrement et le taux de participation aux élections américains de 1980 à 2004

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

Les débuts de la critique dramatique au Québec (1870-1896) : un contexte difficile

Perçue comme organisation institutionnelle, l'activité théâtrale peut être divisée en quatre grands secteurs (ou instances) : la production, la distribution, la consommation et la légitimation. À l'intérieur de chacun de ces secteurs, différents agents assument des fonctions précises et complémentaires : interpréter, écrire, produire, distribuer, regarder, juger, etc. Dans ce partage des responsabilités et des pouvoirs, la critique joue un rôle complexe dont l'importance et la pertinence varient selon les époques et les lieux. La critique relève de l'instance de légitimation. Dans une société organisée et hiérarchisée (comme la France du XIXe siècle), elle s'exprime autant dans les grands journaux que dans les périodiques spécialisés et les ouvrages érudits. Elle constitue la première étape de l'oeuvre dramatique vers sa consécration. Les académies, par leurs prix et leurs concours, et l'École, par la mise au programme de certains textes, assurent le couronnement définitif des oeuvres et des auteurs. Le Québec de la fin du XIXe siècle ne dispose pas d'une instance de légitimation aussi structurée. Son organisation interne et sa situation géographique le soumettent à des pressions si variées et si nombreuses qu'il doit continuellement chercher à l'extérieur de ses frontières le pouvoir de consécration qui lui manque. Il n'a pas d'académie, pas de grand concours dramatique (d'écriture ou d'interprétation), et les sommités qui remplissent les rares chaires littéraires des universités Laval de Québec et de Montréal sont des Français de passage. On pourrait donc croire qu'en raison de l'absence d'autres agents, la critique locale aurait envahi tout le champ de la légitimation et assumé seule le couronnement des oeuvres et des auteurs au Québec. Mais il n'en fut rien! [Introduction]

Les débuts de la critique dramatique au Québec (1870-1896) : un contexte difficile

Perçue comme organisation institutionnelle, l'activité théâtrale peut être divisée en quatre grands secteurs (ou instances): la production, la distribution, la consommation et la légitimation. À l'intérieur de chacun de ces secteurs, différents agents assument des fonctions précises et complémentaires : interpréter, écrire, produire, distribuer, regarder, juger, etc. Dans ce partage des responsabilités et des pouvoirs, la critique joue un rôle complexe dont l'importance et la pertinence varient selon les époques et les lieux. [...]

Piaget y la génesis del número : cuantificación global, intuición y operación.

Comprobar si se dan las tres etapas propuestas por Piaget, o cuatro según Pierre Greco, en la formación del concepto operatorio del número en el niño, tanto en el niño normal como en el niño deficiente. Analizar el proceso seguido por el niño hasta poseer el número con carácter operatorio. Determinar, si existiesen diferencias de edad en la adquisición del concepto operatorio. Establecer posibles diferencias en cuanto al sexo y nivel socioeconómico. Dos grupos: 50 niños normales de ambos sexos con edades entre los cuatro y los ocho años, del Colegio Nacional Fuentenueva de Granada; y 25 niños deficientes de ambos sexos con edades entre los seis y quince años, del Centro Provincial de Educación Especial 'Jean Piaget' de Armilla (Granada). Aplicación de tests de inteligencia, tomando como principales variables: coeficiente de inteligencia, sexo, edad. Absentismo y nivel socioeconómico. Test de inteligencia de Goodenough; test de inteligencia de Raven color; test de inteligencia de Wisc; escala de madurez mental de Columbia (CMMS). Gráficos. Resultados con niños normales: aparecen tres etapas claramente definidas en el proceso de adquisición del número por parte del niño: en una primera etapa, las relaciones percibidas no se coordinan entre sí; durante la sgunda etapa, asistimos a un esbozao de operación, más con caracter intuitivo; en la tercera etapa, cuando el niño alcanza la operación, domina la conservación, la medida, etc. de manera inmediata. Resultados con niños deficientes: existencia de tres etapas distintas en el proceso de aparición del número, con caracter operatorio en los niños deficientes: en una primera etapa, los niños consideran natural que la cantidad de líquido varía según la forma y dimensiones del recipiente; la segunda etapa aparece situada a mitad de camino entre la cantidad bruta y la cuantificación, entre la no seriación y la seriación, es una etapa intuitiva; en la tercera etapa, es cuando los niños no necesitan ya reflexionar para asegurarse de la conservación, de la medida y de la seriación. Se dan las tres etapas propuestas por Piaget en la adquisición del número con caracter operatorio, en los niños de Granada. El orden de sucesión de las etapas es constante, aunque las edades promedio pueden variar. No se encuentran diferencias acuciantes en cuanto al sexo. En el niño deficiente se da el mismo proceso de elaboración y formación del número, con carácter operatorio. En el estudio con niños normales no se encuentran diferencias entre un status y otro en el proceso de adquisición del número.