386 resultados para Musiques populaires urbaines
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This dissertation project explores some of the technical and musical challenges that face pianists in a collaborative role—specifically, those challenges that may be considered virtuosic in nature. The material was chosen from the works of Rachmaninoff and Ravel because of the technically and musically demanding yet idiomatic piano writing. This virtuosic piano writing also extends into the collaborative repertoire. The pieces were also chosen to demonstrate these virtuosic elements in a wide variety of settings. Solo piano pieces were chosen to provide a point of departure, and the programmed works ranged from vocal to two-piano, to sonatas and a piano trio. The recitals were arranged to demonstrate as much contrast as possible, while being grouped by composer. The first recital was performed on April 24, 2009. This recital featured five songs of Rachmaninoff, as well as three solo piano preludes and his Suite No. 2 for two pianos. The second recital occurred on November 16, 2010. This recital featured the music of both Rachmaninoff and Ravel, as well as a short lecture introducing the solo work “Ondine” from Gaspard de la nuit by Ravel. Following the lecture were the Cinq mélodies populaires grecques and the program closed with the substantial Rachmaninoff Sonata for Cello and Piano. The final program was given on October 10, 2011. This recital featured the music of Ravel, and it included his Sonata for Violin and Piano, the Debussy Nocturnes transcribed for two pianos by Ravel, and the Piano Trio. The inclusion of a transcription of a work by another composer highlights Ravel’s particular style of writing for the piano. All of these recitals were performed at the Gildenhorn Recital Hall in the Clarice Smith Performing Arts Center at the University of Maryland. The recitals are recorded on compact discs, which can be found in the Digital Repository at the University of Maryland (DRUM).
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La necesidad de contar con un mapa de base científica que cubriera todo el territorio español llevó al Estado a crear en paralelo varias Comisiones con cometidos geodésicos, topográficos y cartográficos durante la década de 1850. La labor simultánea de estas Comisiones se prolongó hasta 1859, cuando se aprobó la Ley de Medición del Territorio, que las fusionó en un único organismo. Este artículo analiza aspectos técnicos de los trabajos que realizaron estas Comisiones a partir de la información contenida en algunos documentos que custodia el Archivo Topográfico del IGN. Las conclusiones que se extraen son que estas Comisiones acometieron operaciones geodésicas que resultaron cruciales en el establecimiento ulterior de la red de triangulación peninsular, realizaron mediciones topográficas que fueron reutilizadas veinte años después en el levantamiento del Mapa Topográfico Nacional, e idearon las características catastrales que fueron adoptadas durante todo el siglo posterior para el Catastro de España.
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Currently new digital tools used in architecture are often at the service of a conception of architecture as a consumer society’s cultural good. Within this neoliberal cultural frame, architects’ social function is no longer seen as the production of urban facts with sense of duty, but as a part within the symbolic logic that rules the social production of cultural values as it was defined by Veblen and developed by Baudrillard. As a result, the potential given by the new digital tools used in representation has shifted from an instrument used to verify a built project to two different main models: At the one hand the development of pure virtual architectures that are exclusively configured within their symbolic value as artistic “images” easily reproducible. On the other hand the development of all those projects which -even maintaining their attention to architecture as a built fact- base their symbolic value on the author’s image and on virtual aesthetics and logics that prevail over architecture’s materiality. Architects’ sense of duty has definitely reached a turning point.
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This paper examines the concept of the blason populaire in a corpus of Irish-language proverbial material covering the period 1858-1952. It will demonstrate that the focus of these blasons populaires is primarily regional, as opposed to national or ethnic, and, furthermore, that such proverbs are usually jocular, descriptive, and benign, rarely exhibiting ethnic or racial slurs. The study identifies and analyses the most salient stereotypical characterizations, and the proverbial forms in which they appear.
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Nous avons procédé à l'examen de problèmes relatifs à l'éducation aux sciences via une approche à caractère épistémologique, contrairement à l'approche plus usuelle qui aborde les difficultés des apprenants à composer avec les connaissances dites scientifiques seulement d'un point de vue cognitif. La question de recherche que nous nous sommes posée a été la suivante: Quel est le rapport au savoir scientifique d'enseignantes et d'enseignants du primaire? Pour répondre à cette question sur le plan méthodologique, nous avons envisagé l'étude du rapport au savoir scientifique d'enseignantes et d'enseignants dans un contexte relié à leur savoir et à leur expertise de tous les jours. Nos modalités de cueillette de données ont été le récit écrit et l'entrevue individuelle semi-structurée. Notre recherche a pris la forme d'une étude de cas multiples conduisant à l'étude des rapports épistémique, pratique et identitaire au savoir scientifique de dix enseignantes et enseignants d'écoles populaires de Caracas, au Vénézuéla. Nos analyses nous ont amenés à affirmer que les sujets ont manifesté un rapport au savoir scientifique dominé par la dépendance et la soumission à l'égard des sciences ainsi que d'autres caractéristiques propres à une approche empirico-réaliste. Cependant, dans un contexte relié à leur savoir-faire et à leur expertise, nous avons repéré des traces de l'émergence d'une vision des sciences qui tient compte, entre autres, du caractère social de la production de ces dernières, ce qui pourrait se qualifier comme faisant partie d'une tendance épistémologique du type socioconstructiviste. En plus, nos analyses nous amènent à suggérer que dans ce contexte les sujets auraient également initié une articulation entre leur savoir-faire et le savoir scientifique, ce qui les aurait amenés à véhiculer un rapport plus émancipatoire vis-à-vis les sciences. Cette articulation des savoirs permet également d'envisager des expériences éducatives plus créatives, plus émancipatoires et plus en lien avec les visions contemporaines émergentes de la science, de son enseignement et de son apprentissage. Bien que de nombreuses recherches dans le domaine de l'éducation soulignent l'importance d'articuler les savoirs disciplinaires avec les savoirs d'expérience, peu illustrent de manière approfondie l'exercice de cette articulation. Notre recherche permet de penser à l'idée d'un rapport au savoir qui donne une véritable place à l'expertise publique des individus et non seulement à l'explication scientifique jugée la seule valable. Ainsi, au-delà des hiérarchisations, chaque savoir aurait sa valeur et sa place, l'articulation des savoirs favorisant chez les sujets apprenants un plus grand intérêt pour l'apprentissage des sciences.
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L'intérêt des chercheurs pour la littérature de jeunesse remonte à quelques années. Il a fallu constater le peu d'études sur un phénomène intéressant, mais très peu connu au Québec: la novellisation, qui désigne le processus de transformation d'un livre en film ou vice-versa. Avec une passion pour cette littérature et pour l'audio-visuel et le média, il a été intéressant de se lancer à la quête d'une collection de livres qui découlent de films pour enfants très populaires au Québec: les"Contes pour tous". Notre but principal en choisissant ce sujet était de savoir si la collection, qui était dans ce cas-ci classée comme un produit dérivé du cinéma, pouvait être vraiment autonome. Afin de vérifier cette autonomie, le premier chapitre retrace donc l'historique de la collection. Le deuxième chapitre est consacré à la direction de la collection, et retrace le parcours personnel des différents directeurs afin de comprendre leur rôle dans le processus d'autonomisation. Le chapitre trois s'attarde plus précisément sur les livres faisant partie de la collection"Contes pour tous", pour voir comment ils ont aussi pu contribuer au processus d'autonomisation. Le chapitre quatre amène le lecteur sur les sentiers de la réception critique."--Résumé abrégé par UMI.
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Ce mémoire porte sur la réception, par des lectrices de la génération X, de cinq oeuvres autofictionnelles écrites par les auteures québécoises Marie-Sissi Labrèche ( Borderline 2000 et La brèche 2003), Nelly Arcan (Putain 2001 et Folle 2004) et Mélikah Abdelmoumen (Le dégoût du bonheur 2001), lesquelles appartiennent à cette même génération. Leurs récits ont suscité un certain engouement public et obtenu un écho considérable dans la sphère médiatique et dans le milieu de la recherche universitaire. Les observateurs notent, de façon générale, que les narratrices autodiégétiques, alter ego des auteures, sont brutalement imparfaites, névrosées, mal dans leur peau, sexuellement soumises, assujetties aux désirs des hommes, et qu'elles ne parviennent pas à s'épanouir comme êtres humains, mais surtout, comme femmes. D'une part, les héroïnes rompent avec les représentations largement véhiculées dans les médias et dans la littérature québécoise contemporaine. D'autre part, leur profil correspond aux discours populaires sur la génération X, fréquemment qualifiée de génération sacrifiée, désabusée. Ma recherche, exploratoire, se fonde sur quatre approches théoriques : théorie des genres littéraires, théories de la réception, études féministes et gender studies, sociologie des générations. J'ai tenu cinq entretiens collectifs auprès de seize Québécoises de la génération X. J'ai réuni ces lectrices, qui s'étaient d'elles-mêmes intéressées aux récits, en petits groupe [i.e. groupes] de trois ou quatre participantes. Le compte-rendu et l'analyse de leurs discussions m'ont permis d'observer la portée sociale des récits éminemment personnels de Labrèche, d'Arcan et d'Abdelmoumen. Une interrogation m'a habitée du début à la fin de ma démarche : pourquoi et comment ces récits"parlent-ils", intellectuellement et émotionnellement, aux lectrices de la génération X? Je dégage de mon analyse quelques hypothèses interprétatives. D'abord, les lectrices ont du mal à distinguer les auteures et les narratrices. Elles tendent à appréhender les récits autofictionnels comme des autobiographies et elles procèdent à une lecture littérale des oeuvres. Ensuite, plus de la moitié des lectrices s'identifient, à différents degrés, aux narratrices. Comme ces dernières, les participantes à ma recherche affirment qu'elles ressentent une certaine pression sociale liée aux normes de beauté et de féminité et à l'hypersexualisation de l'espace public. En cela, leurs positions se rapprochent de celles du courant féministe radical. Cependant, les lectrices refusent d'être cantonnées dans un rôle de victime. Elles reprochent aux narratrices de s'autodétruire. Les femmes doivent, selon les participantes, se responsabiliser et se montrer critiques envers les modèles qui leur sont offerts. Enfin, les lectrices reconnaissent dans les héroïnes certains traits associés à la génération X. Elles attribuent en partie la souffrance des narratrices au contexte social dans lequel ces dernières évoluent. Mais elles estiment que cette souffrance est surtout tributaire de carences familiales. Les discussions des lectrices reflètent en quelque sorte leur propre appartenance à la génération X. Ainsi, l'importance qu'elles accordent à la sphère privée, par rapport à la sphère publique, constitue une des particularités des X qui ressort clairement des entretiens. Par ailleurs, leurs observations sont teintées d'un certain individualisme. Bref, à la lumière de mes résultats, je conclus que les récits autofictionnels de Marie-Sissi Labrèche, de Nelly Arcan et de Mélikah Abdelmoumen ont une certaine portée sociale, mais que leur écho résonne davantage sur le plan individuel, chez les lectrices qui s'identifient personnellement aux narratrices. Cela dit, les participantes semblent toutes avoir été portées à se questionner et à réfléchir, pendant et après leur lecture, sur l'identité féminine dans la société actuelle.
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Contient : « Ci commence le Chastoiement que li peres ensaigne à son filz. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, II, 40 ; Fables de MARIE DE FRANCE. « Ci commence de Ysopes. Cil qui sevent de l'estreure... » ; «... Que ge li puisse l'ame rendre. Explicit de Ysopes » ; « Ci commence des XV signes. Se ne vos quidasse annuier... » ; «... Explicit des XV signes. » Cf. Romania, VI, 23 ; « Ci commence de seinte Leocade, qui fu dame de Tolete, et du saint arcevesque », par GAUTIER DE COINCY. Barbazan et Méon, I, 270, et Poquet, Les Miracles de la sainte Vierge, col. 77 ; « De quoi viennent li traitor et li mauvés. Or escoutez, et cler et lai... » Cf. Paulin Paris, Hist. littér. de la France, XXIII, 285 ; « Du cors et de l'ame. Cors en toi n'a point de savoir... » ; « D'un preudome qui rescolt son compere de noier. » Montaiglon, Recueil général et complet des fabliaux, I, 301 ; « Du segretain moine. » Montaiglon et Raynaud, Recueil... des fabliaux, V, 215 ; « Des eles de cortoisie», par RAOUL DE HOUDAN . Cf. Romania, IX, 150 ; « Ci commance de Florance et Blancheflor. » Barbazan et Méon, IV, 358 ; « D'un mercier. » G.-A. Crapelet, Proverbes et dictons populaires aux XIIIe et XIVe siècles (1831), p. 149 ; cf. Hist. littér. de la France, XXIII, 184 ; « Ci commence de la dame escolliée. » Montaiglon et Raynaud, Recueil... des fabliaux, VI, 95 ; « D'un jugleor qui ala en enfer et perdi les ames as dez. » Ibid., V, 65 ; Du vilain qui conquist paradis par plait. » Ibid., III, 209 ; « De II Angloys et de l'agnel. » Ibid., II, 178 ; « Du foteor. » Ibid., I, 304 ; « Du prestre et d'Alison », par GUILLAUME LE NORMAND. Ibid., II, 8 ; « Del convoiteus et de l'envieus », titre erroné pour « Estula ». Ibid., IV, 87 ; « Du convoitox », par JEAN DE BOVES. Ibid., V, 211 ; « De Haimet et de Barat, etc. » Ibid., IV, 93 ; « De Bérangier au lonc cul », par GUERIN. Ibid., III, 253 ; « De la pucele qui abevra le polain. » Ibid., IV, 199 ; « Du vilain asnier. » Ibid., V, 40 ; « Du provoire qui menga les meures. » Ibid., IV, 53 ; « De la damoiselle à la grue », par GARIN, Ibid., V, 151 ; « Du prestre qui ot mere malgré sien. » Ibid., V, 143 ; « Du chevalier qui fist les c... parler », par GUERIN. Ibid., VI, 68 ; « De Guillaume au faucon. » Ibid., II, 92 ; « De la male honte », par GUILLAUME LE NORMAND. Ibid., IV, 41 ; « Du c... Guautiers li leus dit a devise... » ; « ... Mais que ce fust li rois de France. Explicit du c... » ; « Du prestre qui dist la Passion. » Ibid., V, 80 ; « Du prestre et de la dame. » Ibid, II, 235 ; « De Audigier. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 217 ; « De II bordeors ribauz. » Montaiglon, Recueil général... des fabliaux. I, 1 ; « La response de l'un des II ribauz. » Ibid, I, 7 ; « Du chevalier tort. » Barbazan et Méon, III, 444 ; « De l'apostoile. » G.-A. Crapelet, Proverbes et dictons populaires..., pp. 1-123 ; « D'Alixandre et d'Aristote. » Lai d'Aristote, par HENRI D'ANDELI. Montaiglon et Raynaud, Recueil, etc., V, 243 ; manuscrit C de l'édition des OEuvres d'Henri d'Andeli, par A. Héron, 1880, p. 1 ; « Des proverbes et du vilain. Qui vult oïr bons dis, Bons proverbes, bons ris... » Le texte est en grande partie différent de celui qu'a publié Le Roux de Lincy, Le Livre des Proverbes français, t. II (1859), pp. 459-470 ; « De Constant Du Hamel. » Montaiglon et Raynaud, Recueil, etc., IV, 166 ; « D'Auberée la vielle maquerel[le]. » Ibid., V, 1 ; « Ci comence le cortois d'Artois. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, I, 356 ; « Ci comence de l'onbre et de l'anel. » Cf. Legrand d'Aussi, Fabliaux (1829), I, 256 ; « Ci comence l'erberie. » Rutebeuf, édit. Ach. Jubinal, 1839, t. I, Notes et éclaircissements, pp. 468-475, et 1875, t. III, Notes et éclaircissements, pp. 182-192 ; « Ci comence la bataille de quaresme et de charnage. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 80 ; « Ci comence de Ovide, de Arte. Entendez tuit, grant et petit, Ce que maistre ÉLIE nos dit... » ; «... Que de cest mal, par s. Johan, N'aurez vos jà fors que l'ahan. » Cf. Gaston Paris, Hist. littér. de la France, XXIX, 458-461 ; « Ci commence de Piramo et de Tisbe. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 326 ; cf. Gaston Paris, Hist. littér. de la France, XXIX, 498 ; « Ci commence Doctrinal de latin en roumans » [Doctrinal sauvage]. Cf. P. Meyer, Romania, VI, 20-22, et Notices et extraits des manuscrits, t. XXXIII, 1re partie, pp. 45-46 ; « Ci commence de la chante-pleure. » Cf. P. Meyer, Romania, VI, 26, et IX, 510 ; « Ci commence chastie-musart. » Cf. P. Meyer, Romania, XV, 604 et suiv ; « Ci commence la desputoison du juyf et du chrestien. Omnis credencium letetur populus... » ; «... Puis que j'ay I juyf à creance amené. Explicit. » Cf. Hist. littér. de la France, XXIII, 217 ; « Ci coumence d'amors et de jalousie. Comencer vueil I poi d'afaire, Que plus ne s'en puet mon cuer taire... » ; «... Ou jamais nul n'i faudrai. Explicit » ; « La bataille des VII arz », par HENRI D'ANDELI. A. Héron, OEuvres d'Henri d'Andeli, p. 43 ; « Ci commencent les proverbes au conte de Bretaigne. » G.-A. Crapelet, Proverbes et dictons populaires, p. 169 ; cf. Hist. littéraire de la France, XXIII, 686-688 ; « Ci coumence de Marcoul et de Salemon, que li cuens de Bretagne fist. » G.-A. Crapelet, Ibid., p. 189 ; cf. Hist. littér. de la France, XXIII, 688-689 ; « Ci coumence de Narciso le roumanz. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 143 ; cf. Gaston Paris, Hist. littér. de la France, XXIX, 498-499 ; « C'est li romanz des braies » [les braies du Cordelier]. Montaiglon et Raynaud, Recueil général... des fabliaux, III, 275 ; « Commence des tresces. » Ibid., IV, 67 ; Partonopex de Blois. Ms. utilisé dans l'édition G.-A. Crapelet, 1834 ; « C'est le romanz de Blanchandin et de Orgueillose d'amors. » Cf. l'édition Michelant, 1867, et Romania, XVIII, 290 ; « Ci commence le romanz de Floire et de Blanche-Flor. » Seconde version d' Édélestand Du Méril ; édition Éd. Du Méril (1856), pp. CCVII-CCVIII et 125-227
Recueil des pièces latines et françaises : Doctriual, vie de saint Alexis, chansons, cantiques, etc.
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Contient : « Les Enseignemenz Trebor de vivre sagement, » par Robert de Ho ; cf. M. P. Meyer, dans les Notï???ces et extraits des Mss., t. XXXIV, 1re part., p. 212 ; « Le Doctrinal de cortaisie : » cf. P. Meyer, dans la Romania, t. VI, p. 21 ; « La vie Saint Alexi ; » cf. Gaston Paris, La Vie de Saint Alexi, dans la Romania, t. VIII, p. 169 ; « Le Dialogue de Pere et de Fiz ; » cf. M. P. Meyer, Romania, t. XXVIII, p. 259 ; « Le Fabel de la mort, » d'Hélinand, moine de Froidmond : cf. M. P. Meyer, Romania, t. I, p. 365 ; « Le Compot en franceis » ; « Le Bestiaire en français... Ici finist le bestiaire. Anno Domini M° CC° LX° septimo, die sabbati ante Nativitatem Beate Marie Virginis » ; « Oracio ad Dominum nostrum Jhesum Christum » ; « Oracio de Sancta Maria » ; Pleure-chante et chantepleure ; « Hii sunt duodecim pares Franciae » ; Satire latine. « Femina, dulce malum, mentem roburque virile... » ; « De IIIIor rebus que expetuntur in equis » ; Cantique latin noté sur le déluge, publié par M. Sepet, Bibliothèque de l'École des Chartes, t. XXXVI, p. 144 ; Pièce rythmique sur la médisance ; Cantique latin en l'honneur de la Sainte Vierge ; Chanson latine sur le mépris du monde, publiée par Edelestand Du Méril, Poésies populaires latines au moyen âge (Paris, 1847, 8°), p. 125 ; Chanson française. « Bel semblant est coverteure... » ; Recettes médicales, etc
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20 scènes populaires, parlées et chantées ; édition de la salie Yu de.
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Contient : 1 Lettre de « FRANÇOYS » Ier à « monseigneur Du Bouchaige,... A St Germain à Laye, le XXIIIIe jour de mars » ; 2 Lettre du gouverneur de Fontarabie « DE LEYVA,... a... monseñor de San Bonet, guovernador de Bayona... De Fuenterravia, primero de julio » ; 3 Lettre de « LOYSE [DE SAVOIE]... à monseigneur Du Bouchaige,... A Paris, le IXe jour de decembre » ; 4 Lettres closes de « FRANÇOYS » Ier au « sire de Sainct Bonnet,... A Mezieu pres Lyon, le XXVIIe jour de janvier mil V.C.XXXV » ; 5 Lettre de « FRANÇOYS [Ier]... au cappitaine Iheronyme de Luterno de Salleurre,... A Folembray, le IIIIe jour d'aoust M.V.C.XLIII » ; 6 Lettre de la reine « CLAUDE,... à monseigneur Du Bouchage,... A Amboise, le XXIIe jour de novembre » ; 7 Lettre de la reine « CLAUDE,... à monseigneur Du Bouchage,... Au bois de Malesherbes, le XXIIe jour d'aoust » ; 8 Lettre de « FRANÇOYS [Ier]... à monseigneur Du Bouchaige,... Au bois Mallesherbes, ce XXIIe d'aoust » ; 9 Relation du voyage de « GUYENNE, roy d'armes de France... à Spire... mil V.C.XXIX ». Copie ; 10 « Responce » de l'empereur [CHARLES-QUINT] « à Clarence, roy d'armes d'Angleterre » ; 11 Lettre de « CHARLES DE GRAMONT, archevesque de Bourdeaulx... à monseigneur de Sainct Bonnet, cappitaine et gouverneur de Bayonne... A Bayonne, le XXVe de janvier » ; 12 Copie d'une lettre de l'archevêque de Bordeaux, « CHARLES DE GRAMONT,... A Bayonne, le XXVIe de fevrier » ; 13 Lettre de « MONTMORENCY,... à... madame de Bouchaige,... A Montrichart, le XIIIe jour de novembre » ; 14 Mémoire sur les forces de l'Empereur et des princes d'Allemagne ; 15 « Sommaire de la cappitulacion faicte entre l'Empereur et le roy de Tunis, laquelle envoya Sa Majesté au duc de Alburqueque, vis-roy et cappitaine general d'Arragon et de Catalloigne » ; 16 « Articles accordez entre la majesté de l'Empereur et du duc de Julliers » ; 17 Lettre de « FRANÇOYS, cardinal DE TOURNON,... à monseigneur de La Gatelinyere,... De Lyon, ce XXVIIe de decembre » ; 18 Lettre de « MONTMORENCY,... à monseigneur de La Gateliniere,... De Paris, ce XVe jour de juillet » ; 19 Lettre d' « ANNE DE MONTMORENCY,... A Compiegne, ce XVIe jour de fevrier, l'an mil cinq cens trente six » ; 20 Copie d'«ordonnances faictes par le roy... FRANÇOYS [Ier]... touchant le faict de la gendarmerye... A Villiers Costeretz, le vingtme jour d'aoust mil cinq cens et trente neuf » ; 21 Montres de la gendarmerie faites « à Fontainebleau, le XXIIIe jour de novembre M.V.C.XLVII. Signé : Montmorency ». Copie ; 22 Ordonnance du roi FRANÇOIS Ier sur la gendarmerie Copie ; 23 Ordonnance du roi « HENRY » II concernant sa gendarmerie. « Faict à Fontainebleau, le quinziesme jour de novembre l'an M.V.C. quarante sept ». Copie ; 24 Avis donné au roi concernant le « payement de ses gens de guerre, en maniere qu'ilz soient doresenavant si bien payez qu'ils ne puissent ou doient faire pillerie ne autres maulx aux povres populaires » ; 25 Certificat donné par « JOAN CARACCIOLO, principe de Melphe,... A Paris, ce Xe jour de janvier mil V.C. trente sept » ; 26 Certificat de « CHARLES TIERCELIN,... seigneur DE LA ROCHE DU MAINE,... A Mouzon... le septme may mil V.C. cinquante » ; 27 Lettre de « LOYSE DE BOURBON,... à... monseigneur Du Bouchaige,... A Champigny, ce XIIe jour de decembre » ; 28 Lettre de « LOYS DE BOURBON,... à monseigneur Du Bouchaige,... A Champigny, ce XIIe jour de decembre » ; 29 Lettre de « JEHAN DE BRETAYNNE,... au roy... De La Fere, ce dixme d'octobre » ; 30 Lettre de « MONTMORENCY,... à La Gastellinyere,... De Sainct Germain en Laye, ce XXX jour de janvier » ; 31 Ordonnance de HENRY II sur le payement de la gendarmerie ; 32 Lettre de « MONTMORENCY,... à monseigneur de La Gasteliniere,... De Bourg, ce XXVIe jour de juillet »