901 resultados para Logos (Philosophy)
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This thesis considers that the purport of the Bhagavadgita is to prioritize the philosophy of loving devotion to God (bhakti), not the propagation of color-coded-caste (varna system). The distinction between bhakti and caste becomes clear when one sees their effect on human life and on the society. Jnana and karma, two of the other polarities with which the Gita contends, finally support bhakti towards betterment, not deterioration, if done selflessly and with balance. Caste, however, is a totally different tension, which is always detrimental to the well-being of the person and the society. In the Gita, the devotees' mystical or emotional love of, God apprehends their ~ oneness with the Supreme God and with all beings, and transcends the pitiless segregation of the caste system, and opens the path of salvation to all irrespective of race, color, caste, class or gender in life. In spite of much opposition from orthodoxy, the bhakti movement spread allover India, and bhakti itself rose to the level of orthodoxy and has become the faith of millions of people especially of the south, and surprisingly, of even of those of the so called highest caste. And yet, caste still remains as an indelible mark of every Hindu, even after they change their religion. Although caste is less venomous now, it is still openly present in all walks of Indian life and shows up its ugly head at important moments such as marriage, elections for public office, admission to school or employment. True, bhakti is the antidote for. caste; but only real bhakti can remove caste completely, not mere lip-service to it. This thesis claims that bhakti is the deliberate major thrust of the teaching of the Gita while caste seems to be a contradiction of this thrust.
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Ma thèse montre la présence et le rôle de la métaphysique dans Vérité et méthode. Elle tente de démontrer que Gadamer s'inspire du néoplatonisme pour surmonter le subjectivisme de la modernité et propose une métaphysique à cette fin. Après avoir expliqué comment Gadamer se réapproprie l’héritage de la pensée grecque pour critiquer la modernité en situant son interprétation de Platon par rapport à celle de Heidegger, je montre que Gadamer s’approprie la conception de l’être de Plotin de façon telle qu’il peut s’y appuyer pour penser l’autoprésentation de l’être dans l’expérience herméneutique de la vérité. L’art va, pour ce faire, redevenir sous la conduite du néoplatonisme source de vérité. Gadamer redonne en effet une dignité ontologique à l’art grâce à la notion d’émanation, notion qui permet de penser qu’il y a une présence réelle du représenté dans sa représentation, celle-ci émanant du représenté sans l’amoindrir, mais lui apportant au contraire un surcroît d’être. La notion d’émanation permet ensuite à Gadamer d’affirmer le lien indissoluble qui unit les mots aux choses. En effet, la doctrine du verbe intérieur de Thomas d’Aquin implique ce lien que Platon avait occulté en réduisant le langage, comme la logique, à n’être qu’un instrument de domination du réel. L’utilisation de la notion néoplatonicienne d’émanation permet donc de dépasser la philosophie grecque du logos et de mieux rendre compte de l’être de la langue. Je montre ensuite comment Gadamer radicalise sa pensée en affirmant que l’être qui peut être compris est langage, ce qui veut dire que l’être, comme chez Plotin, est autoprésentation de soi-même. Pour ce faire, Gadamer rattache l’être du langage à la métaphysique néoplatonicienne de la lumière. Les dernières pages de Vérité et méthode rappellent en effet que la splendeur du beau est manifestation de la vérité de l’être. On rattachera alors le concept de vérité herméneutique à ses origines métaphysiques. La vérité est une manifestation de l’être dont on ne peut avoir part que si on se laisse submerger par sa lumière. Loin d’être affaire de contrôle méthodique, l’expérience de la vérité exige de se laisser posséder par ce qui est à comprendre. Je démontre ainsi que Gadamer a découvert dans le néoplatonisme des éléments permettant de s’opposer à la dictature du sujet moderne, dictature qui doit être renversée, car elle masque le réel rapport de l’homme à la vérité en faisant abstraction de la finitude de son existence concrète. La critique du subjectivisme moderne sous la conduite du néoplatonisme ouvre ainsi le chemin vers une métaphysique de la finitude.
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Pour exprimer ou définir une idée nouvelle, Derrida détourne souvent le sens d’un mot en se l’appropriant. La relation de Derrida avec les idées est telle que leur transmission passe par un vocabulaire spécifique, notamment l’analyse de l’étymologie (vraie et fausse). Mais quelle est sa conception du mot ? Quelles en sont les implications et les conséquences ? Pour répondre à ces questions, l’approche la plus féconde consiste à suivre au plus près celle que Derrida utilise en abordant la langue par rapport à la grammaire au sens large (c’est-à-dire tout ce qui fait événement dans la langue). En effet, la relation entre le mot et l’idée prend tout son sens dans l’analyse de certaines scènes bibliques, telles celles de la Genèse ou encore du mythe de Babel. Le fameux énoncé inaugural de l’Évangile de Jean, « Au commencement était la parole... », fait retour dans l’œuvre de Derrida, où il connaît plusieurs variations : il mérite examen, dans la perspective d’une déconstruction du logos et des origines de la langue. Le corpus de notre étude porte principalement sur trois textes de Jacques Derrida : « Des tours de Babel » (L’art des confins, PUF, 1979), Schibboleth – Pour Paul Celan (Galilée, 1986) et Donner la mort (Galilée, 1999), ces textes permettant tous une interrogation de l’« intention » divine dans le langage. Notre visée, en privilégiant dans l’œuvre derridienne ces « exemples » bibliques, est d’étudier la démarche de Derrida dans la « création » d’une langue, aspect qui a toujours été inséparable de l’élaboration de sa philosophie et auquel il a accordé la plus grande attention. À terme, ce travail se veut une contribution à la pensée du philosophe, portant sur un aspect capital de son travail et battant en brèche l’idée que son écriture est « absconse » ou « hermétique », alors qu’il y va pour lui de la mise en œuvre de sa manière même de concevoir la langue.
Absent From the Convention: Libraries, Law and Political Philosophy: John Adams and Thomas Jefferson
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Presentation by Professor Mary Sarah Bilder, as commentator, at the conference "John Adams & Thomas Jefferson: Libraries, Leadership & Legacy," held in Boston and Charlottesville, June 21-17, 2009.
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The following paper is a critical theorist analysis of post-structuralist philosophy. It examines the omission of an economic critique in post-structuralism and describes this omission as the result of a particular flaw in Nietzsche's epistemological work, an error which has persisted all the way down through deconstruction, post-colonialism, and cultural studies. The paper seeks to reintroduce an economic critique of capitalism back into the social critique of post-structuralism, with the promise that the combination of the two will prove stronger than either critical theory or post-structuralism alone. To achieve this it reinterprets Marx' concept of metabolism as a critical economic category that mirrors post-structuralism's concept of differance.
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Resumen tomado de la publicaci??n
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some logos we could need...