972 resultados para Juridical ideology


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The author of this paper reviewing the perceptions of competitiveness reveals the origin and ambiguity of the concept of “national competitiveness” which is mostly confused with that of development of countries and competitiveness of their enterprises. He investigates the role of transnational companies and governments in shaping the world economic position of countries, presents a critique on the measurement of “national competitiveness” of countries, and heavily opposes the ideological use of the latter for justifying antisocial measures.

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This research examined the relative influence of a number of factors, patriarchal ideology, age, socio-economic status, partner relationship, and problem behaviors on the frequency of partner abuse. Patriarchal ideology as measured by the Attitudes Toward Women Scale (AWS), and the Inventory of Beliefs about Wife Beating (IBWB) among men in batterer treatment programs did not have the strong influence expected on whether men in treatment are more frequent abusers of their partners. Instead, having a criminal record and having been identified as having a substance abuse problem stood out as being the most influential factors associated with frequent partner abuse. Questionnaires were administered to 283 men in batterer treatment programs in Dade County Florida who volunteered to participate in the study. Specifically, men in batterer groups who scored low on the AWS or high on the IBWB indicating an adherence to patriarchal ideology were predicted to report more frequent abuse of their partners. Conversely, men in treatment who scored high on the AWS or low on the IBWB indicating a tendency towards a non-patriarchal ideology were predicted to report less frequent abuse. ^

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Mediante de un acercamiento cronológico, esta disertación analiza la función de la ideología como herramienta poderosa para construir la nación y moldear al futuro ciudadano en la narrativa infantil cubana pre y pos-revolucionaria. Aunque una tradición y un proceso de formación de identidad nacional anteceden la literatura infantil publicada antes del triunfo de la Revolución, en los períodos posteriores existe una estrecha relación entre el contexto social de los textos y su función ideológica. Partiendo de “La Edad de Oro” (1889) de José Martí, este estudio se enfoca en los cambios socio-culturales que influyen en el desarrollo de una narrativa infantil nacional que transita del didacticismo más férreo a una variada exploración temática. Por encontrarse entre la Colonia y la etapa revolucionaria, el período republicano ha recibido poca atención crítica, marginado a veces de la herencia literaria de la nación. Sin embargo, el análisis de varios textos representativos en este período permite apreciar la integración de un pensamiento cubano desde búsquedas y posiciones muy diferentes a las del período siguiente, de 1959 a 1989. A partir de 1990 una diversificación temática fomenta objetivos muy distantes del enunciado didáctico. Este estudio concluye que en contraste con los pertenecientes a generaciones anteriores, en los escritores formados dentro de la Revolución, especialmente a partir de la década del ochenta, existe un interés especial por abordar temáticas inexploradas en la literatura infantil tradicional. El divorcio, la muerte, los conflictos generacionales y las diferencias raciales son sólo algunos de los temas que matizan la narrativa infantil posrevolucionaria, cuyos presupuestos ideo-estéticos, se encuentran intrínsecamente relacionados al contexto sociocultural.

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Japan is an important ally of the United States–the world’s third biggest economy, and one of the regional great powers in Asia. Making sense of Japan’s foreign and security policies is crucial for the future of peace and stability in Northeast Asia, where the possible sources of conflict such as territorial disputes or the disputes over Japan’s war legacy issues are observed. This dissertation explored Japan’s foreign and security policies based on Japan’s identities and unconscious ideologies. It employed an analysis of selected Japanese films from the late 1940s to the late 1950s, as well as from the late 1990s to the mid-2000s. The analysis demonstrated that Japan’s foreign and security policies could be understood in terms of a broader social narrative that was visible in Japanese popular cultural products, including films and literatures. Narratives of Japanese families from the patriarch’s point of view, for example, had constantly shaped Japan’s foreign and security policies. As a result, the world was ordered hierarchically in the eyes of the Japan Self. In the 1950s, Japan tenaciously constructed close but asymmetrical security relations with the U.S. in which Japan willingly subjugated itself to the U.S. In the 2000s, Japan again constructed close relations with the U.S. by doing its best to support American responses to the 9/11 terrorist attacks by mobilizing Japan’s SDFs in the way Japan had never done in the past. The concepts of identity and unconscious ideology are helpful in understanding how Japan’s own understanding of self, of others, and of the world have shaped its own behaviors. These concepts also enable Japan to reevaluate its own behaviors reflexively, which departs from existing alternative approaches. This study provided a critical analytical explanation of the dynamics at work in Japan’s sense of identity, particularly with regard to its foreign and security policies.

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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.

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Deeply conflicting views on the political situation of Judaea under the Roman prefects (6-41 c.e.) have been offered. According to some scholars, this was a period of persistent political unrest and agitation, whilst according to a widespread view it was a quiescent period of political calm (reflected in Tacitus’ phrase sub Tiberio quies). The present article critically examines again the main available sources –particularly Josephus, the canonical Gospels and Tacitus– in order to offer a more reliable historical reconstruction. The conclusions drawn by this survey calls into question some widespread and insufficiently nuanced views on the period. This, in turn, allows a reflection on the non-epistemic factors which might contribute to explain the origin of such views.

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In order to examine whether the usual identification of neoliberal ideas with an ideological discourse is valid, this paper starts off with an analysis of what Marx terms commodity fetishism in Capital, based on which a certain sense of the concept of ideology may be inferred which would result in its being both true and false. In order to determine whether this definition of ideology may be applied to neoliberal theory, we look at its fundamental features and how they continue with or break away from economic liberalism as studied in Michel Foucault’s Birth of biopolitics. Attention is later moved to the characteristics detected by David Harvey in the socalled flexible accumulation as the latest stage of capitalism which coincides with the political implementation of neoliberal doctrine. At the end of the road travelled, it is hypothesised that this theory would be a form of ideology containing a dimension of both truth and falsehood, in line with Marx’s thought.

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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.

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Japan is an important ally of the United States–the world’s third biggest economy, and one of the regional great powers in Asia. Making sense of Japan’s foreign and security policies is crucial for the future of peace and stability in Northeast Asia, where the possible sources of conflict such as territorial disputes or the disputes over Japan’s war legacy issues are observed.^ This dissertation explored Japan’s foreign and security policies based on Japan’s identities and unconscious ideologies. It employed an analysis of selected Japanese films from the late 1940s to the late 1950s, as well as from the late 1990s to the mid-2000s. The analysis demonstrated that Japan’s foreign and security policies could be understood in terms of a broader social narrative that was visible in Japanese popular cultural products, including films and literatures. Narratives of Japanese families from the patriarch’s point of view, for example, had constantly shaped Japan’s foreign and security policies. As a result, the world was ordered hierarchically in the eyes of the Japan Self. In the 1950s, Japan tenaciously constructed close but asymmetrical security relations with the U.S. in which Japan willingly subjugated itself to the U.S. In the 2000s, Japan again constructed close relations with the U.S. by doing its best to support American responses to the 9/11 terrorist attacks by mobilizing Japan’s SDFs in the way Japan had never done in the past.^ The concepts of identity and unconscious ideology are helpful in understanding how Japan’s own understanding of self, of others, and of the world have shaped its own behaviors. These concepts also enable Japan to reevaluate its own behaviors reflexively, which departs from existing alternative approaches. This study provided a critical analytical explanation of the dynamics at work in Japan’s sense of identity, particularly with regard to its foreign and security policies.^

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Ethos is the spirit that motivates ideas and practices. When we talk casually about the ethos of a town, state, or country we are describing the fundamental or at least underlying rationale for action, as we see it. Ideology is a way of looking at things.It is the set of ideas that constitute one’s goals, expectations, and actions. In this brief essay I want to create a space where we might talk about the ethos and ideology in knowledge organization from a particular point of view; combining ideas and inspiration from the Arts and Crafts movement of the early Twentieth Century, critical theory in extant knowledge organization work, the work of Slavoj Žižek, and the work of Thich Nhat Hahn on Engaged Buddhism.I will expand more below, but we can say here and now that there are many open questions about ethos and ideology in and of knowledge organization, both its practice and products. Many of them in classification, positioned as they are around identity politics of race, gender, and other marginalized groups, ask the classificationist to be mindful of the choice of terms and relationships between terms. From this work we understand that race and gender requires special consideration, which manifests as a particular concern for the form of representation inside extant schemes. Even with these advances in our understanding there are still other categories about which we must make decisions and take action. For example, there are ethical decisions about fiduciary resource allocation, political decisions about standards adoption, and even broader zeitgeist considerations like the question of Fordist conceptions (Day, 2001; Tennis 2006) of the mechanics of description and representation present in much of today’s practice.Just as taking action in a particular way is an ethical concern, so too is avoiding a lack of action. Scholars in Knowledge Organization have also looked at the absence of what we might call right action in the context of cataloguing and classification. This leads to some problems above, and hints at larger ethical concerns of watching a subtle semantic violence go on without intervention (Bowker and Star, 2001; Bade 2006).The problem is not to act or not act, but how to act or not act in an ethical way, or at least with ethical considerations. The action advocated by an ethical consideration for knowledge organization is an engaged one, and it is here where we can take a nod from contemporary ethical theory advanced by Engaged Buddhism. In this context we can see the manifestation of fourteen precepts that guide ethical action, and warn against lack of action.

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This paper provides rationale for considering precepts for an engaged knowledge organization based on a Buddhist conception of intentional action. Casting knowledge organization work as craft, this paper employs Žižek’s conception of vio- lence in language as a call to action. The paper closes with a listing of precepts for an engaged knowledge organization.

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Language is a unique aspect of human communication because it can be used to discuss itself in its own terms. For this reason, human societies potentially have superior capacities of co-ordination, reflexive self-correction, and innovation than other animal, physical or cybernetic systems. However, this analysis also reveals that language is interconnected with the economically and technologically mediated social sphere and hence is vulnerable to abstraction, objectification, reification, and therefore ideology – all of which are antithetical to its reflexive function, whilst paradoxically being a fundamental part of it. In particular, in capitalism, language is increasingly commodified within the social domains created and affected by ubiquitous communication technologies. The advent of the so-called ‘knowledge economy’ implicates exchangeable forms of thought (language) as the fundamental commodities of this emerging system. The historical point at which a ‘knowledge economy’ emerges, then, is the critical point at which thought itself becomes a commodified ‘thing’, and language becomes its “objective” means of exchange. However, the processes by which such commodification and objectification occurs obscures the unique social relations within which these language commodities are produced. The latest economic phase of capitalism – the knowledge economy – and the obfuscating trajectory which accompanies it, we argue, is destroying the reflexive capacity of language particularly through the process of commodification. This can be seen in that the language practices that have emerged in conjunction with digital technologies are increasingly non-reflexive and therefore less capable of self-critical, conscious change.

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Underlying social space are territories, lands,geographical domains, the actual geographical underpinnings of the imperial, and also the cultural contest. To think about distant places, to colonize them, to populate or depopulate them: all of this occurs on, about, or because of land. […] Imperialism and the culture associated with it affirm both the primacy of geography and an ideology about control of territory.

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Over the last few decades, most large cities in the developing world have been experiencing rapid and imbalanced transport sector development resulting in severe congestion and poor levels of service. The most common response at a policy level under this circumstance has been to focus on private and public motorized transport modes, and especially on traffic control measures and mass transit systems. Despite their major role in the overall transport system in many developing cities in Asia & Latin America, relatively little attention is given to non-motorized transport (NMT) modes (walk, bicycle and cycle-rickshaw). In particular, this ideology is applicable to the paid category of non-motorized public transport (NMPT), notably three-wheeler cycle rickshaws that still have an important socio-economic, environmental and trip-making role in many developing cities. Despite, they are often seen as inefficient and backward; an impediment to progress; and inconsistent with modern urban image. Policy measures therefore, to restrict or eliminate non-motorized transport from urban arterials and other feeder networks have been implemented in cities as diverse as Dhaka, Delhi, Karachi, Bangkok, Jakarta, Manila, Surabaya and Beijing . This paper will primarily investigate the key contribution of NMPT in the sustainable transport system and urban fabric of developing cities, with Dhaka as case study. The paper will also highlight in detail the impediments towards NMPT development and provide introductory concept on possible role this mode is expected to play into the future of these cities