962 resultados para Grimsby (Ont.) -- History -- Sources.
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"The first part of the following is entirely derived from the Harleian MS. no. 6395, entitled "Merry Passages and Gests", compiled by Sir Nicholas Lestrangs... The Second Part... from the Lansdowne MS. No. 231, written by the well-known John Aubry... The Third... from No. 3890 of the Additional MSS. in the British Museum, the commonplace-book of a Mr. John Collet..." -- Pref.
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Bibliography: p. 217-224.
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"First published London 1894."
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Vols. 1, 3-12, 14-16, 18-20, 22, 25-27 have no date on t. p.
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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Latest issue consulted: Vol. 6, no. 5, 1900.
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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A community history project must be relevant to each person within it so that they see themselves as part of the socio-cultural fabric of the area and feel a sense of ownership of their environment. The Mill Albion community history project is a diverse, multi-layered public history/art program that captures the social heritage of The Mill Albion and allows the community to contribute to their ongoing history. The Albion Flour Mill was built in 1930 at a time when Australia was feeling the effects of its worst economic depression and continued operations for more than 72 years. After ceasing operation in 2005 the site was left to deteriorate. The FKP Property Group purchased the land to undertake a new urban redevelopment project, drawing on the design principles of a traditional ‘village’, while valuing the importance of remembering the community that once included the Flour Mill. This paper reflects on the this project and showcases some of the culturally creative ways this community’s history was told, using methods such as digital stories, contemporary and historical photography and oral history.
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Anna Hirsch and Clare Dixon (2008, 190) state that creative writers’ ‘obsession with storytelling…might serve as an interdisciplinary tool for evaluating oral histories.’ This paper enters a dialogue with Hirsch and Dixon’s statement by documenting an interview methodology for a practice-led PhD project, The Artful Life Story: Oral History and Fiction, which investigates the fictionalising of oral history. ----- ----- Alistair Thomson (2007, 62) notes the interdisciplinary nature of oral history scholarship from the 1980s onwards. As a result, oral histories are being used and understood in a variety of arts-based settings. In such contexts, oral histories are not valued so much for their factual content but as sources that are at once dynamic, emotionally authentic and open to a multiplicity of interpretations. How can creative writers design and conduct interviews that reflect this emphasis? ----- ----- The paper briefly maps the growing trend of using oral histories in fiction and ethnographic novels, in order to establish the need to design interviews for arts-based contexts. I describe how I initially designed the interviews to suit the aims of my practice. Once in the field, however, I found that my original methods did not account for my experiences. I conclude with the resulting reflection and understanding that emerged from these problematic encounters, focusing on the technique of steered monologue (Scagliola 2010), sometimes referred to as the Biographic Narrative Interpretative Method (Wengraf 2001, Jones 2006).
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A century ago, as the Western world embarked on a period of traumatic change, the visual realism of photography and documentary film brought print and radio news to life. The vision that these new mediums threw into stark relief was one of intense social and political upheaval: the birth of modernity fired and tempered in the crucible of the Great War. As millions died in this fiery chamber and the influenza pandemic that followed, lines of empires staggered to their fall, and new geo-political boundaries were scored in the raw, red flesh of Europe. The decade of 1910 to 1919 also heralded a prolific period of artistic experimentation. It marked the beginning of the social and artistic age of modernity and, with it, the nascent beginnings of a new art form: film. We still live in the shadow of this violent, traumatic and fertile age; haunted by the ghosts of Flanders and Gallipoli and its ripples of innovation and creativity. Something happened here, but to understand how and why is not easy; for the documentary images we carry with us in our collective cultural memory have become what Baudrillard refers to as simulacra. Detached from their referents, they have become referents themselves, to underscore other, grand narratives in television and Hollywood films. The personal histories of the individuals they represent so graphically–and their hope, love and loss–are folded into a national story that serves, like war memorials and national holidays, to buttress social myths and values. And, as filmic images cross-pollinate, with each iteration offering a new catharsis, events that must have been terrifying or wondrous are abstracted. In this paper we first discuss this transformation through reference to theories of documentary and memory–this will form a conceptual framework for a subsequent discussion of the short film Anmer. Produced by the first author in 2010, Anmer is a visual essay on documentary, simulacra and the symbolic narratives of history. Its form, structure and aesthetic speak of the confluence of documentary, history, memory and dream. Located in the first decade of the twentieth century, its non-linear narratives of personal tragedy and poetic dreamscapes are an evocative reminder of the distance between intimate experience, grand narratives, and the mythologies of popular films. This transformation of documentary sources not only played out in the processes of the film’s production, but also came to form its theme.