964 resultados para Combination therapy
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This paper describes the effect of dipyridamole (DIP) on the cytotoxicity of cisplatin in HEp-2 human larynx cancer cells in vitro and the nature of the interaction between cisplatin and dipyridamole. Cytotoxic assays were performed to obtain the IC50 for cisplatin. The cells were treated with 0, 20, 40, 80, 120 or 200 µM cisplatin, with or without a single concentration of DIP and incubated for 60 min at 37ºC and 5% CO2 for 3 days and then counted with a hemocytometer. The accumulation of cisplatin in the cells was measured by atomic absorption and fluorescence was used to determine the membrane binding constant of DIP. In the presence of 10, 20 and 30 µM DIP, the IC50 of cisplatin was reduced by 25, 60 and 82% in HEp-2 cells. Combination index analysis revealed that cisplatin and DIP interact synergistically. In larynx cancer cells, the accumulation of cisplatin increased by 13, 27 and 65% as the DIP concentration was increased from 10 to 20 and 30 µM, respectively. The binding constant of DIP to the cell membrane was estimated to be (0.36 ± 0.12 mg/ml)-1 (N = 2) by fluorescence and cisplatin did not suppress DIP fluorescence. These results suggest that DIP significantly enhances cisplatin cytotoxicity in HEp-2 cells by increasing cisplatin accumulation, probably by altering the cell membrane as suggested by its binding constant. The results obtained reinforce the importance of combination therapy to reduce the doses of chemotherapeutic drugs and therefore the side effects of chemotherapy.
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Fifty-seven type 2 diabetic patients with metabolic syndrome and on insulin were assessed by a paired analysis before and 6 months after addition of metformin as combination therapy to evaluate the impact of the association on glycemic control, blood pressure, and lipid profile. This was a historical cohort study in which the files of type 2 diabetic patients with metabolic syndrome on insulin were reviewed. The body mass index (BMI), waist circumference, lipid profile, A1C level, fasting blood glucose level, daily dose of NPH insulin, systolic blood pressure, and diastolic blood pressure were assessed in each patient before the start of metformin and 6 months after the initiation of combination therapy. Glycemic control significantly improved (P < 0.001) after the addition of metformin (1404.4 ± 565.5 mg/day), with 14% of the 57 patients reaching A1C levels up to 7%, and 53% reaching values up to 8%. There was a statistically significant reduction (P < 0.05) of total cholesterol (229.0 ± 29.5 to 214.2 ± 25.0 mg/dL), BMI (30.7 ± 5.4 to 29.0 ± 4.0 kg/m²), waist circumference (124.6 ± 11.7 to 117.3 ± 9.3 cm), and daily necessity of insulin. The reduction of total cholesterol occurred independently of the reductions of A1C (9.65 ± 1.03 to 8.18 ± 1.01%) and BMI and the reduction of BMI and WC did not interfere with the improvement of A1C. In conclusion, our study showed the efficacy of the administration of metformin and insulin simultaneously without negative effects. No changes were detected in HDL-cholesterol or blood pressure.
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Affiliation: Mark Daniel: Département de médecine sociale et préventive, Faculté de médecine, Université de Montréal et Centre de recherche du Centre hospitalier de l'Université de Montréal
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Résumé Introduction L’amlodipine et l’atorvastatine offrent des avantages thérapeutiques au-delà de leur indication primaire, soit la réduction de la pression artérielle et des lipides sanguins, respectivement. L’amlodipine induit l’apoptose des cellules de muscle lisse vasculaire (CMLV) in vivo, contribuant à la régression de l'hypertrophie aortique chez le rat spontanément hypertendu (SHR). L'atorvastatine induit l’apoptose des CMLV in vitro, un effet proportionnel à la dose. Toutefois, cet effet reste à être démontré in vivo. Nous postulons que l’atorvastatine induira la régression de l’hypertrophie aortique via l’apoptose des CMLV chez le SHR, et que la combinaison de l’amlodipine et de l’atorvastatine aura un effet synergique sur la régression de l’hypertrophie aortique via l’apoptose des CMLV chez le SHR. Méthodologie L’amlodipine et l’atorvastatine ont été administrées à des SHR âgés de 11 semaines durant trois ou six semaines, individuellement ou en combinaison. Les points principaux à l'étude étaient le remodelage vasculaire et la pression artérielle. La fragmentation et le contenu en ADN, le stress oxydant, le taux de cholestérol et les niveaux de nitrates ont aussi été mesurés. Résultats Lorsque l’atorvastatine a été administrée seule, une diminution significative du stress oxydant et de la pression artérielle a été observée après trois et six semaines de traitement, respectivement. Par contre, aucune différence n’a pu être décelée quant au remodelage vasculaire. L'amlodipine a réduit la pression artérielle et l'hypertrophie aortique de façon dépendante de la dose. Une diminution significative de l'hyperplasie a été détectée après trois semaines de traitement avec la combinaison, et après six semaines avec une faible dose d'amlodipine. Conclusion Nos résultats ne supportent pas l'hypothèse que l'atorvastatine induit l'apoptose des CMLV in vivo. Par contre, lorsque combinée à l'amlodipine, elle pourrait ajouter un bénéfice supplémentaire au niveau de la réduction de l'hyperplasie aortique.
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L’hypercholestérolémie familiale (FH) est un désordre lipidique associé aux maladies cardiovasculaires les plus fréquentes. La FH est causée par des mutations dans les gènes LDLR, APOB et PCSK9. Toutefois, chez 20% des patients souffrant de FH, aucune mutation dans ces gènes n'a été détectée et ceci suggère que d’autres gènes seraient à l’origine de la FH. Actuellement, le seul traitement de la FH est une thérapie aux statines. En général les statines sont bien tolérées, cependant, une monothérapie ne permet pas d’atteindre des niveaux thérapeutiques acceptables et dans bien des cas, une thérapie combinée devient nécessaire. De plus, l’intolérance aux statines est présente dans environ 12% des patients. Dans les trois dernières décennies, la survie des patients avec la FH a augmentée de façon notoire mais on observe aussi l’apparition d’une calcification vasculaire sévère chez certains d’entre eux. Il est donc primordial de développer des nouvelles approches thérapeutiques afin de prévenir ces complications tardives. Dans cette thèse doctorat, nous présentons l’étude d’une famille avec un phénotype de FH sévère non causé par des mutations dans les gènes LDLR, APOB et PCSK9. Par des études biochimiques et par séquençage d’ADN utilisant les technologies de nouvelle génération (NextGenSeq), nous avons découvert une mutation dans le gène de l’APOE (Leu167del). Ceci nous permet de proposer le gène codant pour l’APOE comme le 4e locus responsable de la FH (FH4). Par la suite, nous avons effectué deux études de cohortes chez les patients atteints de FH. Premièrement, dans l’étude JUPITER, nous avons démontré que la rosuvastatin augmente les niveaux sanguins de la protéine PCSK9 et ceci limiterait l’efficacité du traitement aux statines. Nous avons aussi étudié l’influence du mutant naturel R46L (perte de fonction de la PCSK9) dans la réponse aux statines. Deuxièmement, nous avons examiné les effets de la perte de fonction de la PCSK9 sur le profil cardiométabolique au sein d’une population pédiatrique. Nous avons déterminé que le génotype de l’APOE est déterminant dans ce profil cardiométabolique. Enfin, nous avons étudié la calcification vasculaire chez les patients atteints de FH. Cette calcification vasculaire progresse de façon indépendante des niveaux de cholestérol sérique et n’est pas associée aux anomalies de l’homéostasie du calcium. En utilisant des modèles murins, nous avons démontré que les souris Ldlr-/- et Tg(Pcsk9) développent des calcifications vasculaires semblables à celles observées chez l’homme. De plus, nous avons confirmé l’implication de la voie de signalisation LRP5/Wnt dans la pathophysiologie de la calcification artérielle. Avec une étude interventionnelle, nous avons trouvé que l’inhibition de l’interleukine 1β (IL-1β) diminue fortement l’apparition de calcifications vasculaire dans notre modèle murin. En conclusion, nos études ont permis l’identification d’un nouveau gène impliqué dans la FH, ont démontré aussi que les statines augmentent les niveaux sériques de PCSK9 et que la perte de fonction de la PCSK9 altère le profil cardiométabolique. Enfin, nous avons établi que la calcification vasculaire représente une complication tardive chez les patients atteints de FH et que, dans notre modèle murin, la calcification vasculaire peut être retardée par l’inhibition d’IL-1β. Ces découvertes peuvent avoir d’importantes répercussions cliniques chez l’humain.
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Le Cancer du Col Utérin (CCU) chez la femme est provoqué par le virus oncogénique VPH. La métastase lymphatique ganglionnaire est un facteur pronostique majeur pour l’évolution de ce cancer et sa présence influence la décision thérapeutique. En général, l’envahissement ganglionnaire est diagnostiqué par histologie, mais cette méthode est laborieuse et parfois prise en défaut pour détecter les micrométastases et les cellules cancéreuses isolées et pour donner des résultats rapides en per opératoire. L’outil moléculaire que nous désirons développer pour combler cette lacune est basé sur une analyse d’ARN des gènes du VPH exprimés par les cellules du CCU. Ceci sera fait par transcription réverse de l’ARN cellulaire couplé à une réaction quantitative en chaine par polymérase en temps réel (RT-qPCR). Cette technique devrait nous permettre une détection et une évaluation rapide des micrométastases pour aider à déterminer immédiatement un pronostic fiable et la thérapie associée. C’est un test précis, sensible et rapide pour détecter un envahissement ganglionnaire dans le CCU visant à améliorer la gestion thérapeutique. Le projet est basé sur trois objectifs. En premier lieu, valider les marqueurs moléculaires E6 et E7 de VPH16 et 18 à partir des échantillons frais et des échantillons fixés dans des blocs de paraffine. En deuxième lieu, déterminer la fiabilité et la sensibilité des marqueurs pour la détection des macrométastases, des micrométastases et les cellules tumorales isolées en utilisant la technique de RT-qPCR. En troisième lieu et parallèlement au travail présenté dans ce mémoire, il est nécessaire de constituer une base de données des patientes qui ont le virus VPH16 et 18 intégré dans leur génome, qui ont été traitées et dont nous connaissons déjà le diagnostic final afin de valider la méthode (biobanque). Nous avons réussi à extraire de l’ARNm de haute qualité à partir d’échantillons complexes, à détecter les gènes E6 et E7 de VPH16 et 18 en RT-qPCR, et à déterminer précisément la limite de détection de E6 et E7 dans les échantillons frais qui est une proportion de 0,008% de cellules cancéreuses. Dans les échantillons fixés dans la paraffine, cette limite est de 0,02% et 0,05% pour E6-E7-VPH16 et E6-E7-VPH18 respectivement. Ceci comparativement à une limite de détection histologique de 1% qui est déterminée par immunohistochimie de CK19. Enfin, notre protocole est validé pour VPH18 dans les ganglions lymphatiques du CCU.
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Introduction : Bien que la pratique de l’usage de la warfarine se soit améliorée au cours de la dernière décennie, aucune recommandation claire basée sur le dosage de l’amiodarone n’a été jusqu’à maintenant standardisée, ce qui représente un grand obstacle pour les cliniciens. La warfarine a un index thérapeutique étroit nécessitant un suivi régulier et un ajustement individuel de la posologie, ceci afin de déterminer la dose thérapeutique, tout en prévenant les effets secondaires qui pourraient être fatals dans certains cas. La variabilité interindividuelle de la réponse à la warfarine dépend de plusieurs facteurs, dont l’âge, le sexe, le poids, l’alimentation et l’interaction médicamenteuse, mais ceux-ci n’expliquent que partiellement les différences de sensibilité à la warfarine. Les polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 jouent un rôle important dans la réponse à la warfarine et expliquent jusqu’à 50% de la variabilité des doses. L’utilisation d’antiarythmiques telle l’amiodarone peut accentuer considérablement l’effet de la warfarine et nécessite généralement une diminution de 30 à 50% de la dose de la warfarine. Aucune étude à ce jour n’a tenté de déterminer l’utilité du génotypage des polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 chez les patients sous traitement combiné de warfarine et amiodarone. Objectif : Notre étude a pour objectif tout d’abord de déterminer si des facteurs génétiques influencent la première dose de stabilisation de la warfarine chez les patients en FA après l’introduction de l’amiodarone. Nous allons également tenter de confirmer l’association préalablement rapportée entre les facteurs génétiques et la première dose de stabilisation de warfarine dans notre population à l’étude. Méthodes : Un devis de cohorte rétrospective de patients qui fréquentaient la clinique d'anticoagulothérapie de l’Institut de cardiologie de Montréal entre le 1er janvier 2007 et le 29 février 2008 pour l’ajustement de leur dose selon les mesures d'INR. Au total, 1615 patients ont été recrutés pour participer à cette étude de recherche. Les critères de sélection des patients étaient les patients avec fibrillation auriculaire ou flutter, ayant un ECG documenté avec l'un de ces deux diagnostics et âgé de moins de 67 ans, en raison d’une moindre comorbidité. Les patients souffrant d’insuffisance hépatique chronique ont été écartés de l’étude. Tous les patients devaient signer un consentement éclairé pour leur participation au projet et échantillon de sang a été pri pour les tests génétiques. La collecte des données a été effectuée à partir du dossier médical du patient de l’Institut de cardiologie de Montréal. Un formulaire de collecte de données a été conçu à cet effet et les données ont ensuite été saisies dans une base de données SQL programmée par un informaticien expert dans ce domaine. La validation des données a été effectuée en plusieurs étapes pour minimiser les erreurs. Les analyses statistiques utilisant des tests de régression ont été effectuées pour déterminer l’association des variants génétiques avec la première dose de warfarine. Résultats : Nous avons identifié une association entre les polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 et la dose de la warfarine. Les polymorphismes génétiques expliquent jusqu’à 42% de la variabilité de dose de la warfarine. Nous avons également démontré que certains polymorphismes génétiques expliquent la réduction de la dose de warfarine lorsque l’amiodarone est ajoutée à la warfarine. Conclusion : Les travaux effectués dans le cadre de ce mémoire ont permis de démontrer l’implication des gènes CYP2C9 et VKORC1 dans la réponse au traitement avec la warfarine et l’amiodarone. Les résultats obtenus permettent d’établir un profil personnalisé pour réduire les risques de toxicité, en permettant un dosage plus précis de la warfarine pour assurer un meilleur suivi des patients. Dans le futur, d’autres polymorphismes génétiques dans ces gènes pourraient être évalués pour optimiser davantage la personnalisation du traitement.
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Introducción: el dolor neuropático es una patología de considerable prevalencia e impacto socio-económico en la población latinoamericana, la evidencia clínica sugiere que los ligandos de canales de calcio y el parche de Lidocaína pueden tratar exitosamente el dolor neuropático periférico y localizado. Metodología: se realizo una evaluación económica tipo costo-efectividad, observacional y retrospectiva con datos extraídos de las historias clínicas de pacientes atendidos en la clínica de dolor de la IPS. La variable primaria de efectividad fue la mejoría del dolor medida mediante escala visual análoga. Resultados: se estudiaron 94 pacientes tratados con: Gabapentina (G) 21, Pregabalina (P) 24, Gabapentina+ lidocaína (G/P) 24, Pregabalina + Lidocaína (P/L) 25, los costos asociados al tratamiento son los siguientes COP$114.070.835, COP$105.855.920, COP$88.717.481 COP$89.854.712 respectivamente, el número de pacientes con mejoría significativa de dolor fue: 8,10,9 y 21 pacientes respectivamente. El ICER de G/L con respecto a G fue: COP$ -25.353.354. El ICER de P/L con respecto a P fue: COP$ -1.454.655. Conclusiones: la adición del parche de lidocaína a la terapia regular con P/L represento una disminución de consumo de recursos en salud como uso de medicamentos co-analgésicos, analgésicos de rescate y fármacos para controlar reacciones adversas, de la misma forma que consultas a profesionales de la salud. Cada paciente manejado con P/L representa un ahorro de COP $1.454.655 al contrario si se manejase con el anticonvulsivante de manera exclusiva, en el caso de G/L este ahorro es de COP $ 25.353.354 frente a G sola.
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Introducción: El tratamiento con antagonistas del factor de necrosis tumoral alfa (anti TNF) ha impactado el pronóstico y la calidad de vida de los pacientes con artritis reumatoide (AR) positivamente, sin embargo, se interroga un incremento en el riesgo de desarrollar melanoma. Objetivo: Conocer la asociación entre el uso de anti TNF y el desarrollo de melanoma maligno en pacientes con AR. Metodología: Se realizó una búsqueda sistemática en MEDLINE, EMBASE, COCHRANE LIBRARY y LILACS para ensayos clínicos, estudios observacionales, revisiones y meta-análisis en pacientes adultos con diagnóstico de AR y manejo con anti TNF (Certolizumab pegol, Adalimumab, Etanercept, Infliximab y Golimumab). Resultados: 37 estudios clínicos cumplieron los criterios de inclusión para el meta-análisis, con una población de 16567 pacientes. El análisis de heterogeneidad no fue significativo (p=1), no se encontró diferencia en el riesgo entre los grupos comparados DR -0.00 (IC 95% -0.001; -0.001). Un análisis adicional de los estudios en los que se reportó al menos 1 caso de melanoma (4222 pacientes) tampoco mostró diferencia en el riesgo DR -0.00 (IC 95% -0.004 ; -0.003). Conclusión: En la evidencia disponible a la fecha no encontramos asociación significativa entre el tratamiento con anti TNF en pacientes con diagnóstico de AR y el desarrollo de melanoma cutáneo.
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Se realizó un estudio descriptivo, retrospectivo; se usó la base de datos de los aislamientos microbiológicos documentados en las UCI de la Fundación Santa fe de Bogotá para el año 2014. La prevalencia de bacterias resistentes en los aislamientos de la FSFB no es baja, por lo que se requiere una terapia empírica acertada acorde con la flora local. Se requieren estudios analíticos para evaluar factores asociados al desarrollo de gérmenes multi resistentes y mortalidad por sepsis
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Revisión sistemática de la literatura tomando ensayos clínicos aleatorizados sobre el uso de la inyección intraprostática de la toxina botulínica en los pacientes con hiperplasia prostática benigna evaluando una escala validada de síntomas del tracto urinario bajo como desenlace primario
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Recently we have described an HPMA copolymer conjugate carrying both the aromatase inhibitor aminoglutethimide (AGM) and doxorubicin (Dox) as combination therapy. This showed markedly enhanced in vitro cytotoxicity compared to the HPMA copolymer-Dox (FCE28068), a conjugate that demonstrated activity in chemotherapy refractory breast cancer patients during early clinical trials. To better understand the superior activity of HPMA copolymer-Dox-AGM, here experiments were undertaken using MCF-7 and MCF-7ca (aromatase-transfected) breast cancer cell lines to: further probe the synergistic cytotoxic effects of AGM and Dox in free and conjugated form; to compare the endocytic properties of HPMA copolymer-Dox-AGM and HPMA copolymer-Dox (binding, rate and mechanism of cellular uptake); the rate of drug liberation by lysosomal thiol-dependant proteases (i.e. conjugate activation), and also, using immunocytochemistry, to compare their molecular mechanism of action. It was clearly shown that attachment of both drugs to the same polymer backbone was a requirement for enhanced cytotoxicity. FACS studies indicated both conjugates have a similar pattern of cell binding and endocytic uptake (at least partially via a cholesterol-dependent pathway), however, the pattern of enzyme-mediated drug liberation was distinctly different. Dox release from PK1 was linear with time, whereas the release of both Dox and AGM from HPMA copolymer-Dox-AGM was not, and the initial rate of AGM release was much faster than that seen for the anthracycline. Immunocytochemistry showed that both conjugates decreased the expression of ki67. However, this effect was more marked for HPMA copolymer-Dox-AGM and, moreover, only this conjugate decreased the expression of the anti-apoptotic protein bcl-2. In conclusion, the superior in vitro activity of HPMA copolymer-Dox-AGM cannot be attributed to differences in endocytic uptake, and it seems likely that the synergistic effect of Dox and AGM is due to the kinetics of intracellular drug liberation which leads to enhanced activity. (c) 2006 Elsevier B.V All rights reserved.
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The last decade has seen successful clinical application of polymer–protein conjugates (e.g. Oncaspar, Neulasta) and promising results in clinical trials with polymer–anticancer drug conjugates. This, together with the realisation that nanomedicines may play an important future role in cancer diagnosis and treatment, has increased interest in this emerging field. More than 10 anticancer conjugates have now entered clinical development. Phase I/II clinical trials involving N-(2-hydroxypropyl)methacrylamide (HPMA) copolymer-doxorubicin (PK1; FCE28068) showed a four- to fivefold reduction in anthracycline-related toxicity, and, despite cumulative doses up to 1680 mg/m2 (doxorubicin equivalent), no cardiotoxicity was observed. Antitumour activity in chemotherapy-resistant/refractory patients (including breast cancer) was also seen at doxorubicin doses of 80–320 mg/m2, consistent with tumour targeting by the enhanced permeability (EPR) effect. Hints, preclinical and clinical, that polymer anthracycline conjugation can bypass multidrug resistance (MDR) reinforce our hope that polymer drugs will prove useful in improving treatment of endocrine-related cancers. These promising early clinical results open the possibility of using the water-soluble polymers as platforms for delivery of a cocktail of pendant drugs. In particular, we have recently described the first conjugates to combine endocrine therapy and chemotherapy. Their markedly enhanced in vitro activity encourages further development of such novel, polymer-based combination therapies. This review briefly describes the current status of polymer therapeutics as anticancer agents, and discusses the opportunities for design of second-generation, polymer-based combination therapy, including the cocktail of agents that will be needed to treat resistant metastatic cancer.
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N-(2-Hydroxypropyl)methacrylamide (HPMA) copolymer–doxorubicin (Dox) has already shown clinical activity in breast cancer patients. Moreover, we have recently found that an HPMA conjugate containing a combination of both Dox and the aromatase inhibitor aminoglutethimide (AGM) shows significantly increased anti-tumour activity in vitro. To better understand the mechanism of action of HPMA copolymer–AGM conjugates several models were used here to investigate their effect on cell growth and aromatase inhibition. Cytotoxicity of HPMA copolymer conjugates containing AGM, Dox and also the combination AGM–Dox was determined by MTT assay in MCF-7 and MCF-7ca cells. Androstenedione (5 × 10− 8 M) stimulates the growth of MCF-7ca cells. Both free AGM and polymer-bound AGM (0.2–0.4 mg/ml) were shown to block this mitogenic activity. When MCF-7ca cells were incubated [3H]androstenedione both AGM and HPMA copolymer–GFLG–AGM (0.2 mg/ml AGM-equiv.) showed the ability to inhibit aromatase. Although, free AGM was able to inhibit isolated human placental microsomal aromatase in a concentration dependent manner, polymer-bound AGM was not, suggesting that drug release is essential for activity of the conjugate. HPMA copolymer conjugates containing aromatase inhibitors have potential for the treatment of hormone-dependant cancers, and it would be particularly interesting to explore further as potential therapies in post-menopausal women as components of combination therapy.
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Psoriasis is a common, chronic and relapsing inflammatory skin disease. It affects approximately 2% of the western population and has no cure. Combination therapy for psoriasis often proves more efficacious and better tolerated than monotherapy with a single drug. Combination therapy could be administered in the form of a co-drug, where two or more therapeutic compounds active against the same condition are linked by a cleavable covalent bond. Similar to the pro-drug approach, the liberation of parent moieties post-administration, by enzymatic and/or chemical mechanisms, is a pre-requisite for effective treatment. In this study, a series of co-drugs incorporating dithranol in combination with one of several non-steroidal anti-inflammatory drugs, both useful for the treatment of psoriasis, were designed, synthesized and evaluated. An ester co-drug comprising dithranol and naproxen in a 1:1 stoichiometric ratio was determined to possess the optimal physicochemical properties for topical delivery. The co-drug was fully hydrolyzed in vitro by porcine liver esterase within four hours. When incubated with homogenized porcine skin, 9.5% of the parent compounds were liberated after 24 h, suggesting in situ esterase-mediated cleavage of the co-drug would occur within the skin. The kinetics of the reaction revealed first order kinetics, Vmax = 10.3 μM/min and Km = 65.1 μM. The co-drug contains a modified dithranol chromophore that was just 37% of the absorbance of dithranol at 375 nm and suggests reduced skin/clothes staining. Overall, these findings suggest that the dithranol-naproxen co-drug offers an attractive, novel approach for the treatment of psoriasis.