977 resultados para Campbell, Angus, 1910-
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Indenture of bargain and sale between Walter Hamilton Dickson and Augusta Maria Dickson of Niagara to Jane Dickson (widow of Robert Dickson), Thomas Clark Street of Stamford and Edward Clarke Campbell of Niagara for 150 acres for the south half of Lot no. 32 in the 7th concession and the north east quarter of Lot no. 22 in the 10th Concession of Dumphries. This was recorded in the County of Halton on the 29th day of January, 1849 in Folio 326, memorial 236, Jan. 12, 1849.
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Conférence donnée dans le cadre du Colloque international « Justice et différence des sexes (XIXe et XXe siècles) », à Angers, du 17 au 19 mai 2001.
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Aux lendemains de la Guerre de Sécession, le petit centre manufacturier de Warren, dans l’État du Rhode Island, attira plusieurs immigrants canadiens-français en quête de travail. Ces derniers s’organiseront rapidement en établissant un réseau paroissial, en fondant plusieurs sociétés mutuelles et en multipliant les commerces prêts à desservir une clientèle francophone de plus en plus nombreuse. Les premiers stades de développement de la communauté (1888-1895) avaient déjà été observés par Jean Lamarre dans le cadre de son mémoire de maîtrise (1985). D’une part, le chercheur avait remarqué un phénomène graduel d’enracinement des paroissiens et, d’autre part, l’analyse de leur profil socio-économique indiquait qu’ils travaillaient majoritairement à la filature. Par cette étude, nous avons voulu revisiter cette communauté au moment où sa présence dans le paysage industriel et urbain de Warren apparaît consolidée. Grâce aux listes nominatives du recensement fédéral de 1910 et aux publications gouvernementales parues à la même époque, nous évaluons l’ampleur des changements socio-économiques transformant la communauté en l’espace d’une quinzaine d’années. L’observation du processus d’intégration des Canadiens français à l’environnement industriel est complétée par une analyse de l’apport des femmes et des enfants au ménage ouvrier. Les conclusions principales de cette étude démontrent que malgré l’attrait indéniable que représente encore et toujours le secteur manufacturier auprès de nombreux travailleurs, les Canadiens français jouissent en 1910 d’une qualité de vie généralement supérieure à celle qui caractérisait leurs débuts au sein de la localité. Leur situation socio-économique s’apparentera d’ailleurs davantage à celle des anglophones de Warren, Yankees et Irlandais, que de celle des représentants de la « nouvelle vague d’immigration » (Polonais, Italiens et Portugais).
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Ce mémoire documente l’émergence d’une sous-culture gaie masculine dans la région montréalaise entre 1860 et 1910 et s’intéresse aux discours et à la répression envers les hommes ayant des comportements homosexuels ou d’inversion de genre. Par l’analyse de sources journalistiques, judiciaires et juridiques, il déconstruit une série de préjugés, notamment à l’égard des sources, présumées pauvres; du discours public sur les comportements homosexuels, supposé inexistant; et des hommes qui avaient ces comportements, que plusieurs imaginent invisibles et isolés les uns des autres. Il montre au contraire que des archives variées révèlent une vie « gaie » et le déploiement d’une opinion publique à son égard. Ainsi, l’analyse d’un important corpus d’articles de journaux et une étude de cas portant sur deux des plus anciens clubs homosexuels connus au Québec, démantelés en 1892 et en 1908, confirment l’existence de réseaux de sociabilités « gaies » dans la région montréalaise, dès le XIXe siècle. Ce faisant, il dévoile l’existence de pratiques caractéristiques des sous-cultures gaies telles que l’usage d’un vocabulaire spécifique ou l’adoption de manières efféminées par certains hommes que l’on qualifierait aujourd’hui d’homosexuels.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de cette thèse a été dépouillée de certains documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L’objectif général de notre projet est d’étudier l’interrelation entre espaces intérieurs, temporalité et sociabilités dans la littérature dite « mémorialiste » de Buenos Aires de la période 1880-1910. Notre recherche privilégie l’analyse des textes d’inspiration mémorialiste parus à Buenos Aires entre 1881 et 1904: Buenos Aires, desde setenta años atrás (José A. Wilde); La Gran Aldea (Lucio V. López); Las beldades de mi tiempo (Santiago Calzadilla); Memorias de un viejo (Víctor Gálvez) et Memorias. Infancia y adolescencia (Lucio V. Mansilla). Plus spécifiquement, nous essayons de définir notre concept de « dimension intérieure », à partir de l’intersection entre espace et temps perceptible chez les auteurs mémorialistes dès le commencement de leurs récits évocateurs. Parallèlement, nous cherchons à prouver que ce concept s’exprime comme la progression graduelle, à partir de la pensée des auteurs (c’est-à-dire, le premier espace intérieur, le plus intime), jusqu’à la conquête des espaces plus vastes, comme la maison de l’enfance, le quartier, la ville, la Nation. En même temps, nous explorons la relation problématique entre mémoire et espace intime, d’un côté, et les complexes relations entre mémoire et histoire nationale, de l’autre côté. Parallèlement, nous analysons la transition historique de la période coloniale à la période moderne -ce qui José Luis Romero appelle les ères « créole » et « alluviale »- depuis la perspective des sociabilités de la « haute société » et des « secteurs populaires ». Pour ce faire, nous analysons, en premier lieu, les espaces domestiques des grandes maisons coloniales de la « haute société » de Buenos Aires, dans Memorias. Infancia y adolescencia (Lucio V. Mansilla), avant de nous consacrer à d’autres sites qui nous permettent d’identifier les variables sociabilités historiques: « tertulias », magasins, « pulperías », cafés et clubs.
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Estudiar el fenómeno de la extensión universitaria en Oviedo, a partir de su fundación, y realizar un seguimiento de su evolución a lo largo del período de estudio. La extensión universitaria en Oviedo. Dentro de esta investigación se han estudiado los siguientes temas: antecedentes e influencia de la extensión universitaria. Fundación de la misma. Los hombres de la extensión y sus ideas: la crisis y la búsqueda de soluciones, la regeneración por la educación, la educación del obrero, carácter pacificador de la educación. El carácter neutral de la extensión universitaria. Naturaleza de las enseñanzas que imparte. Actividades de la extensión: conferencias, estudios o cursos superiores, la Universidad Popular, etc.. Obras de carácter bibliográfico: anales de la Universidad de Oviedo en los que se incluyen las memorias de la extensión universitaria, expedientes de provisión de cátedra de los profesores de la Universidad, el Boletín de la ILE, la prensa de la época. Se utiliza el método histórico para trazar la trayectoria y el funcionamiento de la extensión universitaria, para lo cual se realiza un análisis de las fuentes mencionadas en el apartado anterior. Es fundamental la aportación del Krausismo, y más concretamente de la ILE a la obra realizada en Oviedo, aunque hay características que las diferencian: los hombres de la Institución habían roto con la enseñanza oficial, los de la extensión actúan siempre desde la Universidad el espíritu de renovación pedagógica, tomado de la ILE, en Oviedo se encauza hacia una reforma de la Universidad en cuanto a sus métodos, fines, creación de nuevas enseñanzas, reforma de las existentes, etc. La extensión de Oviedo dirige sus enseñanzas a un auditorio obrero y en su mayor parte adulto, cosa que no sucedía en la ILE, toda la obra llevada a cabo en Oviedo se basa en un fuerte idealismo que lleva a una concepción psicologista del hombre (no cultural). La concepción en que se basa la extensión parte de que el hombre puede encontrar la felicidad en sí mismo en su propio perfeccionamiento: lo cual se contrapone a la idea de lucha de clases ya que todo puede resolverse por vía pacífica por medio de la educación, la obra de la extensión se emprende para que todas las clases sociales tengan acceso a la cultura, pero en el fondo de estas actividades está el miedo a la violencia de las luchas sociales y a las masas proletarias que reclaman sus justos derechos.
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Los objetivos de esta investigación han sido: por un lado, analizar los motivos por los que la historiografía, hasta el momento, ha excluido de la memoria histórica del Viaje Americanista la figura del rector de la Universidad de Oviedo, Fermín Canella; por otro lado, revisar la validez de los tópicos heredados acerca de esta iniciativa, realizada entre 1909 y 1910, e inscrita en el proyecto intelectual de los profesores que integraron el Grupo de Oviedo, reconsiderando el papel que en esta empresa tuvo Canella, tanto en la organización como en el desarrollo del proyecto, materializado en el respaldo activo a la labor de Rafael Altamira.
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Resumen tomado de la propia revista
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El interés de esta investigación es construir una imagen de las mujeres de sectores populares que habitaron Bogotá entre 1870-1910, partiendo de las denominaciones que en la época se constituyeron alrededor del ‘bello sexo’ y ‘las hijas del pueblo’, como vía de aproximación a las apropiaciones, resistencias y negociaciones que las mujeres de los sectores populares efectuaron sobre el ideal de lo femenino. Este trabajo sitúa los oficios de costureras y modistas, un determinado sector de trabajadoras capitalinas, para señalar la jerarquización que existió respecto de los oficios femeninos, donde estas mujeres alcanzaron un estatus intermedio entre el sector de artesanos, especialmente los sastres, y las hijas del pueblo. A través de ello, se evidencia un paulatino empoderamiento de estas mujeres en espacios y prácticas sociales a las que antes no podían acceder, de modo que su trabajo les sitúo en la construcción de un nuevo tipo de feminidad diferente al del ‘bello sexo’. El acercamiento a estos oficios permite identificar los saberes y las prácticas que suponían tales trabajos, además de los lugares en los cuales estos conocimientos eran fortalecidos desde espacios no escolarizados. En consecuencia, la investigación establece una diferenciación entre las mujeres de los sectores populares, señalando que no eran un grupo homogéneo y que los oficios eran mecanismos eficaces de distinción social. Durante la Regeneración las mujeres iniciaron un empoderamiento que se fundamentó en un proceso de autonomía económica y el desplazamiento paulatino del hogar a los espacios de trabajo, evidenciando cómo la imagen de la mujer subordinada socialmente y caracterizada por su rol como madre, esposa y ama de casa sufrió profundas fisuras al articular la imagen de una mujer que debía potenciar su capacidad intelectual y su independencia para subsistir.