982 resultados para Archie Carr National Wildlife Refuge
Resumo:
Background: The loss of working-aged adults to HIV/AIDS has been shown to increase the costs of labor to the private sector in Africa. There is little corresponding evidence for the public sector. This study evaluated the impact of AIDS on the capacity of a government agency, the Zambia Wildlife Authority (ZAWA), to patrol Zambia’s national parks. Methods: Data were collected from ZAWA on workforce characteristics, recent mortality, costs, and the number of days spent on patrol between 2003 and 2005 by a sample of 76 current patrol officers (reference subjects) and 11 patrol officers who died of AIDS or suspected AIDS (index subjects). An estimate was made of the impact of AIDS on service delivery capacity and labor costs and the potential net benefits of providing treatment. Results: Reference subjects spent an average of 197.4 days on patrol per year. After adjusting for age, years of service, and worksite, index subjects spent 62.8 days on patrol in their last year of service (68% decrease, p<0.0001), 96.8 days on patrol in their second to last year of service (51% decrease, p<0.0001), and 123.7 days on patrol in their third to last year of service (37% decrease, p<0.0001). For each employee who died, ZAWA lost an additional 111 person-days for management, funeral attendance, vacancy, and recruitment and training of a replacement, resulting in a total productivity loss per death of 2.0 person-years. Each AIDS-related death also imposed budgetary costs for care, benefits, recruitment, and training equivalent to 3.3 years’ annual compensation. In 2005, AIDS reduced service delivery capacity by 6.2% and increased labor costs by 9.7%. If antiretroviral therapy could be provided for $500/patient/year, net savings to ZAWA would approach $285,000/year. Conclusion: AIDS is constraining ZAWA’s ability to protect Zambia’s wildlife and parks. Impacts on this government agency are substantially larger than have been observed in the private sector. Provision of ART would result in net budgetary savings to ZAWA and greatly increase its service delivery capacity.
Resumo:
We evaluated the impacts of wildlife on household food security and income in three semi-arid villages adjacent to Lake Manyara National Park (LMNP) and Mkomazi Game Reserve (MGR) in Northeastern Tanzania. Survey data were collected using both household interviews and human-wildlife conflict related archive information from the village government offices. Crop destruction by wildlife influenced both household food security and cash income. Crop damage to households was, on average, 0.08 ton/annum, equivalent to two months household loss of food and reduced household cash income by 1.3%. A combination of measures is proposed as incentives for conservation. These include provision of economic incentives, soft loans to initiate non-farm (e.g., ecotourism, business enterprises) projects to ease dependency on natural resources, increasing of reserves buffer zones and fencing of reserves.
Resumo:
Le conflit israélo-palestinien dure depuis plus de 60 ans. Non seulement perdure-t-il, il gagne aussi en complexité. Cette thèse s’intéresse à l’expérience d’exil des Palestiniens et plus particulièrement à celle de femmes palestiniennes vivant en camp de réfugiés au Liban. La mémoire palestinienne a longtemps été, dans son ensemble, occultée dans la littérature, et qui plus est l’expérience des femmes; la façon dont leurs récits sont construits nous le démontre bien. La présente étude s’inscrit donc dans la lignée de travaux qui font une place aux « voix silencieuses » que sont souvent celles des femmes réfugiées palestiniennes des camps. Cette thèse s’appuie sur une approche qualitative – récits de vie et observation participante – et fait suite à une recherche qui a été menée entre 2009 et 2011 dans le camp palestinien de Bourj El Barajneh au Liban. Les résultats dégagés confirment que, dans l’exil, une partie de l’expérience de la nakba palestinienne telle que vécue par les femmes s’est perdue. Ceci dit, si la quasi-absence des femmes caractérise l’exode, on voit ces dernières s’affirmer au fil de l’exil qui devient une réalité durable. Au cours des deux premières décennies, les femmes apparaissent comme des « résistantes du quotidien ». Puis, la montée du sentiment national palestinien et l’éclatement de la guerre civile libanaise amènent les femmes à investir de plus en plus l’espace public. En temps de guerre, toutes les femmes participent à la survie de la communauté, et cela, par l’extension de leurs tâches domestiques et sociales. Plus le conflit prend de l’ampleur, plus leurs activités se diversifient : elles intègrent d’autres tâches à celles qui leur sont traditionnellement assignées. À l’issue du conflit, une grande partie des femmes palestiniennes commencent à prendre leurs distances de la lutte nationale partisane. Pour plusieurs d’entre elles, la fin de la guerre est aussi la fin des illusions : elles ont le sentiment d’avoir été abandonnées par la classe politique. Ainsi, le mouvement nationaliste palestinien a certes bousculé les rôles de genre, mais il n’a pas permis d’induire des changements durables. Dans les récits des femmes, on voit qu’à travers l’exil s’est créé un lien avec ce milieu que l’on croyait temporaire, le camp de Bourj El Barajneh : un lien qui se situe au cœur d’une tension entre un pôle réel et un pôle symbolique. Le camp « réel » est décrit comme insalubre, instable et non sécuritaire, et la vie dans ce camp est à ce point précaire et difficile que les femmes s’accrochent à cet autre camp qui, lui, est porteur de mémoire, de souvenirs, de relations et de rêves. C’est d’ailleurs parce que ce second pôle existe que la vie dans le camp peut être tolérée. Si la lutte nationale a été pour une certaine génération de Palestiniennes la préoccupation première, la fin de la guerre signe la perte de vitesse de cette lutte qui s’est longtemps avérée structurante. Ceci dit, le modèle de résistance, lui, persiste. Les femmes continuent de lutter et apparaissent comme des « actrices de la transmission ». L’un de ces projets qu’elles font leur, la transmission de l’identité religieuse, prend rapidement de l’ampleur alors que la communauté palestinienne peine à se relever des affres de la guerre. Nombreuses sont les femmes qui cherchent un sens à la vie dans ce cumul de catastrophes, et la religion les soutient dans cette quête, mais en plus c’est à travers elle que le projet du retour en Palestine est porté. D’ailleurs, la mémoire de la Palestine est une autre valeur que les femmes cherchent à transmettre d’une génération à l’autre. Maintenir la mémoire de la Palestine est un rôle traditionnel de la femme palestinienne. Ceci dit, les femmes ne remplissent pas ce rôle « aveuglément » : elles transmettent une mémoire, un message qu’elles ont cherché, reconstruit, évalué et parfois critiqué. Enfin, un autre projet se manifeste rapidement dans l’exil : la transmission des connaissances, une valeur phare pour les Palestiniennes puisque à la fois stratégie de survie, de développement et d’ascension sociale. Mais pour quelques-unes, l’éducation est une lutte parce que confrontée à des contraintes contextuelles et au poids des traditions. Ainsi, c’est par des valeurs traditionnellement portées et transmises par les femmes – l’identité religieuse, la mémoire et l’éducation – que l’oppression et la colonisation des Palestiniens se combattent au quotidien.
Resumo:
L’augmentation des interactions entre humains et animaux sauvages en lisière des habitats naturels pourrait faciliter la transmission d’agents pathogènes entre les humains et les différentes espèces animales d’un écosystème et ainsi favoriser l’émergence de maladies. Nous avons effectué une étude transversale portant sur l’infection par Giardia et Cryptosporidium chez les humains, les animaux domestiques, les rongeurs et les lémuriens au sein de l’écosystème de Ranomafana, Madagascar. Des échantillons de fèces ont étés collectés de manière non invasive chez des personnes volontaires, des mammifères domestiques et des rongeurs introduits habitant trois villages situés en lisière du Parc National de Ranomafana (PNR) ainsi que quatre espèces de lémuriens (Propithecus edwardsii, Prolemur simus, Eulemur rubriventer et Microcebus rufus) du PNR. Des analyses coproscopiques par la technique d’immunofluorescence directe ont été réalisées afin de détecter la présence de Cryptosporidium et Giardia. Leur prévalence a été estimée et certaines variables reliées à l’infection par les parasites ont été identifiées. Cryptosporidium et Giardia ont été détectés avec une prévalence estimée à 22,9 % et 13,6 % respectivement chez les humains. La prévalence de ces deux parasites variait de 0 % à 60 % chez les animaux domestiques et les rongeurs au sein des villages. L’espèce hôte, l’âge ainsi que la co-infection par un autre protozoaire sont les seules variables associées à l’infection par Cryptosporidium et Giardia dans cet écosystème tandis qu’aucune association avec une coinfection par un ordre de nématode n’a été détecté. De plus, Cryptosporidium a été détecté chez 10,5 % des lémuriens du PNR. Cette étude documente pour la première fois la présence de Cryptosporidium chez deux espèces de lémuriens du PNR. Par contre, Giardia n’a pas été détecté dans les échantillons issus de lémuriens du PNR.
Resumo:
La faune et la flore de l’île de La Réunion atteignent un niveau d’endémisme très élevé avec le tiers de sa surface encore recouverte par des forêts naturelles. Ces conditions exceptionnelles ont favorisé, en 2007, la création du Parc National de La Réunion qui couvre 40 % du territoire. Parmi les différentes atteintes à l’environnement dans les aires du Parc national, le braconnage est devenu, au cours des deux dernières décennies, un phénomène très préoccupant pour les différents acteurs locaux et régionaux qui s’occupent de la gestion de ce problème. Plusieurs espèces braconnées sont actuellement menacées et les dégâts occasionnés par les braconniers sont visibles dans le paysage réunionnais. Ce projet de recherche vise à répondre à la question de recherche suivante : De quelle façon se manifeste le braconnage (les motivations, la fréquence, les techniques, les lieux) dans le Parc national de La Réunion et comment les différents acteurs réagissent-ils face à la pratique du braconnage? La méthodologie de cette recherche repose sur une démarche combinant l’approche exploratoire et l’étude de cas. Les données qualitatives et quantitatives que nous avons utilisées pour cette étude ont été collectées par une recherche bibliographique, une collection de données statistiques, et par des entrevues (exploratoires, semi-dirigées, individuelles non-structurées) réalisées sur le terrain. Les résultats obtenus nous ont permis de constater que le braconnage à La Réunion est un phénomène ancré dans la culture locale et une conséquence directe du contexte économique actuel. Notre recherche a relevé deux catégories de braconniers : les braconniers occasionnels (touristes et braconniers du dimanche) et les braconniers professionnels. Le braconnage de type occasionnel est très largement répandu dans la population, car il s’inscrit dans une continuité des traditions. Le braconnage de type professionnel où le braconnier prélève de façon systématique dans la nature à des fins monétaires, est pratiqué par peu de gens, mais il occasionne de lourdes pertes contrairement au braconnage de type occasionnel. Les différentes méthodes mises en place par les divers acteurs impliqués dans la gestion du braconnage ont été répertoriées et examinées. Tandis que le poinçonnage des plants de vanille et le marquage des tangues sont efficaces, la délation des braconniers et les visites éducatives restent des pistes à explorer, et les conférences rééducatives des braconniers ainsi que la vente de permis de chasse au tangue ont démontré une faible efficacité. Des recommandations pour améliorer la dynamique entre les acteurs impliqués dans la gestion du braconnage ont été données par plusieurs de ces acteurs interrogés au cours de cette recherche.
Resumo:
As acções deste Projecto Educativo visam a criação e manutenção de uma rede de serviços educativos que contemplem três comunidades - Canda, Nhancuco e Vinho na zona envolvente do Parque Nacional da Gorongosa – Sofala – Moçambique9. O projecto configura como pólos as escolas locais e museus comunitários (a criar em cada uma das comunidades) visando a conexão entre a Educação formal e não formal, com a vida local e a compatibilização desta, com base num modelo dinâmico de acção. A criação desta rede de serviços, compatível com a realidade local, visa como destinatários a população, da idade de pré-escolar à escolaridade e à Educação não formal de adultos, no qual se inclui o grupo das mulheres. O desenvolvimento deste projecto para além de assentar na criação dos museus comunitários será coadjuvado com base na criação de um Centro de Recursos Educativos em Chitengo. Este centro de recursos funcionará como base logística de ajuda e suporte à zona e contemplará um Programa permanente de Acompanhamento de Professores, Monitores e outros líderes locais. Nele serão concebidos materiais educativos/de divulgação com base na articulação de saberes e resposta a necessidades da população. Esta concepção é compatível com vários eixos do modelo de Desenvolvimento Sustentável previsto pela Fundação Carr para o Parque Nacional da Gorongosa e zonas envolventes, contemplando do ponto de vista teórico-prático as necessidades no âmbito de Desenvolvimento Sustentável, a saber: a inclusão de géneros e de todos os escalões etários, a Educação para a Saúde, Educação Ambiental e Literacia das crianças e jovens até ao 5º ano de escolaridade.
Resumo:
A study to monitor boreal songbird trends was initiated in 1998 in a relatively undisturbed and remote part of the boreal forest in the Northwest Territories, Canada. Eight years of point count data were collected over the 14 years of the study, 1998-2011. Trends were estimated for 50 bird species using generalized linear mixed-effects models, with random effects to account for temporal (repeat sampling within years) and spatial (stations within stands) autocorrelation and variability associated with multiple observers. We tested whether regional and national Breeding Bird Survey (BBS) trends could, on average, predict trends in our study area. Significant increases in our study area outnumbered decreases by 12 species to 6, an opposite pattern compared to Alberta (6 versus 15, respectively) and Canada (9 versus 20). Twenty-two species with relatively precise trend estimates (precision to detect > 30% decline in 10 years; observed SE ≤ 3.7%/year) showed nonsignificant trends, similar to Alberta (24) and Canada (20). Precision-weighted trends for a sample of 19 species with both reliable trends at our site and small portions of their range covered by BBS in Canada were, on average, more negative for Alberta (1.34% per year lower) and for Canada (1.15% per year lower) relative to Fort Liard, though 95% credible intervals still contained zero. We suggest that part of the differences could be attributable to local resource pulses (insect outbreak). However, we also suggest that the tendency for BBS route coverage to disproportionately sample more southerly, developed areas in the boreal forest could result in BBS trends that are not representative of range-wide trends for species whose range is centred farther north.
Resumo:
The naturally occurring wildlife host associations between ticks and tick-borne pathogens found in the neotropics are poorly described. Understanding tick-bite lesions is important as these are the site of host reaction to and pathogen delivery by ticks. As part of a comprehensive study concerning established and emerging tick-host relationships. The present work describes some aspects of tick-bite lesions in anteaters and armadillos captured at the Emas National Park and the Pantanal region of Brazil. Biopsies were of skin were taken and examine. Tick feeding sites of all animals displayed an eosinophilic homogeneous mass, the cement cone, and, occasionally, a feeding cavity underneath the tick attachment site. At these locations the epidermis was usually thickened due to keratinocyte hyperplasia. The main dermal changes included tissue infiltration with a varying number of inflammatory cells, edema, hemorrhage. and vascular dilatation. Cellular infiltration of the dermis was predominantly composed of mononuclear cells, neutrophils. and eosinophils. Mast cells were also seen in both non-parasitized and parasitized skin but were found in higher numbers at perivascular sites and in parasitized skin. Basophils were not seen at tick attachment sites of anteaters or armadillos.
Resumo:
This study was conducted in October 1998 and November 1999 in the Emas National Park (131,868 ha), a savanna-type cerrado region situated in the far south of Goias State, Brazil, near the geographic center of South America (15degrees-23degrees S; 45degrees-55degrees W). Animals were captured with the aid of nets and anesthetized (15 mg/kg ketamine + 1 mg/kg xylasine) in order to collect ticks for identification and to establish laboratory colonies. They included giant anteaters (Myrmecophaga tridactyla) (n = 4) and yellow armadillos (Euphractus sexcinctus) (n = 6). Free-living ticks (larvae, nymphs, and adults) were collected from the field by using a 1 X 2-m flannel cloth. Free-living ticks were identified as Amblyomma sp., A. cajennense, and A. triste. Adult ticks collected from anteaters were identified as Amblyomma cajennense and A. nodosum and from armadillos as A. pseudoconcolor and A. nodosum. The relevance of these host-tick relationships to possible mechanisms underlying emergence of tick-borne pathogens of importance to public health is discussed.
Resumo:
Tuberculosis, caused by Mycobacterium bovis, was first diagnosed in African buffalo in South Africa’s Kruger National Park in 1990. Over the past 15 years the disease has spread northwards leaving only the most northern buffalo herds unaffected. Evidence suggests that 10 other small and large mammalian species, including large predators, are spillover hosts. Wildlife tuberculosis has also been diagnosed in several adjacent private game reserves and in the Hluhluwe-iMfolozi Park, the third largest game reserve in South Africa. The tuberculosis epidemic has a number of implications, for which the full effect of some might only be seen in the long-term. Potential negative long-term effects on the population dynamics of certain social animal species and the direct threat for the survival of endangered species pose particular problems for wildlife conservationists. On the other hand, the risk of spillover infection to neighboring communal cattle raises concerns about human health at the wildlife–livestock–human interface, not only along the western boundary of Kruger National Park, but also with regards to the joint development of the Greater Limpopo Transfrontier Conservation Area with Zimbabwe and Mozambique. From an economic point of view, wildlife tuberculosis has resulted in national and international trade restrictions for affected species. The lack of diagnostic tools for most species and the absence of an effective vaccine make it currently impossible to contain and control this disease within an infected free-ranging ecosystem. Veterinary researchers and policy-makers have recognized the need to intensify research on this disease and the need to develop tools for control, initially targeting buffalo and lion.
Resumo:
Table of Contents: Recovering the New England Cottontail FOCUS..Ready for Tomorrow Build It and They Will Come CARE: Restoring America’s Wildlife Refuges