1000 resultados para Agasse, Jacques Laurent, 1767-1849.
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1845 - 1849
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A description of Biomphalaria obstructa (Morelet, 1849), based on specimens collected at its type locality - isla del carmen, state of Campeche, Mexico - is presented. The Shell is small, 13 mm in diameter, 3.5 mm in width and with 5.75 whorls in the largest specimen, thin, moderately lustrous and translucent, horn-colored. Whorls increasing regularly (neither slowly nor rapidly) in diameter, rounded on the periphery side, bluntly angular on the left. Suture well-marked, deeper on the left. Right side widely concave, with first whorl deeply situated and partly hidden by the next. Left side shallower than right one, largely flattened, with first whorl plaintly visible. Aperture roundly heart-shaped, usually in the same plane as the body whorl but somewhat deflected to the left (less frequently to the right) in some specimens. Peristome sharp, seldom blunt; a distinct callus on the parietal wall. A number of young shells develop one set (seldom more) of apertural lamellae which tend to be resorbed as the shell grows. Absence of renal ridge. Ovotestis with about 70 mostly unbrached diverticula. Seminal vesicle beset with well-developed knoblike to fingerlike diverticula. Vaginal pouch more or less developed. Spermatheca club-shaped when empty, egg-shaped when full, and with intermediate forms between those extremes. Spermathecal body usually somewhat longer than the duct. Prostate with 7 to 20 (mean 12.06 ± 2.51) usually short diverticula which give off plumpish branches spreading out in a fan shape and overlapping to some extent their immediate neighbors. Foremost prostatic diverticulum nearly always partially or completely inserted between the spermathecal body and the uterine wall. Penial sheath consistently narrower and shorter than the prepuce. Muscular coat of the penis consisting of an inner longitudinal and an outer circular layers. Ratios between organ lengths: caudal to cephalic parts of female duct = 0.55 to 1.37 (mean 0.85 +- 0.17); cephalic parte of female duct to penial complex = 1.36 to 2.81 ((mean 1.90 +- 0.33); penial sheath to prepuce = 042 to 0.96 (mean 0.67 +- 0.13). Comparison with Morelets type specimens of Planorbis orbiculus and P. retusus points to the identity of those nominal species with B. obstructa.
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In both species, maintained under laboratory environmental conditions, anautogeny was comproved and all females that had free access to proteic source were fertiles. We obtained the following average values for Peckiachrysostoma: 59.7 ± 15.6 and 81.8 ± 15.4 days of longevity in the respective cases of free access and no access to proteic source, 21.4 ± 4.3 days of pre-larviposition period and 35.2 ± 16.5 days of larviposition period, 5.3 ± 1.8 larvipositions female with 7.0 ± 1.1 days of periodicity, 35.7 ± 6.1 larvae per larviposition leading to a total number of 183.8 ± 69.2 viable larvae per female and 94.8% ± 5.3% of productivity. The mean number of ovarioles per female was 56.4 ± 9.8, resulting in a reproductive potential of 63.3%. For Adiscochaeta ingens, the obtained average values were: 41.3 ± 6.3 and 52 ± 13.1 days of longevity in the respective cases of free access and no access to proteic source, 15.3 ± 1.7 days of pre-larviposition period and 21.5 ± 7.5 days of larviposition period, 3 ± 0.7 larvipositions per female with 10.4 ± 0.8 days of periodicity, 30.3 ± 8.2 larvae per larviposition leading to a total number of 78.5 ± 21.7 viable larvae per female and 90.1% ± 16% of productivity. The mean number of ovarioles per female was 54.6 ± 5.2, resulting in a reproductive potential of 55.5%. Within applied parameters, the values obtained for P. chrysostoma demonstrate its superior productivity in comparison with A. ingens
Le Protévangile de Jacques latin dans l'homélie Inquirendum est pour la fête de la Nativité de Marie
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L'article est le fruit d'une recherche sur la survie du Protévangile de Jacques en latin. Il contient l'édition critique et la traduction d'une homélie pour la fête de la Nativité de Marie, désignée par son incipit, Inquirendum est, et conservant les ch. 1-8 du Protévangile de Jacques (PJ). Dans trois des six manuscrits utilisés pour l'édition, l'homélie fait partie d'un recueil de sermons de l'époque carolingienne, l'« Homéliaire de Saint-Père de Chartres ». Elle a été composée en même temps que cet homéliaire, entre 820 et 950, dans un milieu marqué par des échanges entre l'Angleterre et la France. L'auteur de l'homélie a inséré dans un cadre homilétique les ch. 1-8 du PJ. Il a utilisé une version latine amplifiée du Protévangile (traduction II), dont dépendent également plusieurs autres témoins: le manuscrit de Paris, Sainte-Geneviève 2787 (PJlatG); les Latin Infancy Gospels édités par M. R. James (JAr et JHer, formes Arundel et Hereford de la « compilation J »); le récit irlandais de l'enfance du Liber Flavus Fergusiorum (InfLFF). Certaines amplifications du récit primitif sont présentes dans l'ensemble de ces témoins, comme l'épisode de la révélation céleste du nom de Marie (traduction IIa). D'autres sont communes à l'homélie, à JAr-JHer et/ou à InfLFF, comme l'ordre supplémentaire donné par Joachim à ses bergers (traduction IIb). A côté de ces éléments traditionnels, l'article met en évidence une série de particularités rédactionnelles (omissions, retouches, additions). L'auteur de l'homélie tient notamment à souligner le caractère naturel de la conception de Marie.
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Dans la première partie, on décrit et classifie les témoins qui contribuent à la connaissance du Protévangile de Jacques (PJ) en latin : 23 mss latins, les évangiles irlandais de l'enfance du Liber Flavus Fergusiorum (LFF) et du Leabhar Breac (LB). On clarifie dans une seconde partie plusieurs questions touchant à la diversité des formes textuelles du PJ en Occident, démontrant l'existence d'au moins deux traductions latines indépendantes. (I) L'une, plutôt littérale, est conservée en partie dans Montpellier 55 (M2) et Paris, n.a.l. 718 (S). (II) L'autre, caractérisée par des amplifications, est représentée par 4 témoins : Sainte-Geneviève 2787 (G; texte presque complet); l'homélie Inquirendum est (ch. 1-8, mss KPRBDO); l'Evangile latin de l'enfance combinant une partie du PJ, le Pseudo-Matthieu et une source inconnue, de coloration docète (compilation J, 8 témoins); le récit du LFF (ch. 1-16). Une troisième traduction indépendante est peut-être attestée (mss TUE). On montre ainsi l'existence de deux étapes successives d'amplification de la traduction II (IIa et IIb), illustrant le besoin d'expliciter la narration concise du PJ original. Cette traduction amplifiée a servi de modèle à l'auteur du remaniement latin du Pseudo-Matthieu. On éclaire enfin les antécédents, les caractéristiques et l'évolution de J, qui a vu le jour avant 800. La présente étude trouvera son prolongement dans l'édition critique des diverses formes du Protévangile latin