987 resultados para Aesthetics in the Bible
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Gender relations put men and women in different areas of the hierarchy, for instance in the case of soccer. This work analyzed the news articles from the Beijing 2008 section of the Newspaper Folha de Sao Paulo to identify the space attributed to news articles about female and male soccer, and to qualitatively evaluate what is said to its readers. The result shows that the percentage of words addressing women was higher compared to other surveys and the area for pictures was similar for both genders, however this only happened on account of the influence of the event. The news allowed for an analysis of women in soccer: the entities that perpetuate the hierarchical difference between the genders when they don`t support them; the raising of issues regarding aesthetics which explains why these athletes are not erotized by the media as is the case in other modalities; as soccer is considered to be a male area the media demanded better results from the men.
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A sample of 445 consumers resident in distinct Lisbon areas was analyzed through direct observations in order to discover each lifestyle’s current proportion, applying the Whitaker Lifestyle™ Method. The findings of the conducted hypothesis tests on the population proportion unveil that Neo-Traditional and Modern Whitaker lifestyles have the significantly highest proportion, while the overall presence of different lifestyles varies across neighborhoods. The research further demonstrates the validity of Whitaker observation techniques, media consumption differences among lifestyles and the importance of style and aesthetics while segmenting consumers by lifestyles. Finally, market opportunities are provided for firms operating in Lisbon.
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This-~-case study used ethnographic-methodo-logy. --The research project was an introductory study of one adult's present and past experiences with the visual arts, exploring, in particular, the causes and processes that were related to the individual's changes of mind in order to develop an understanding of why that individual had changed her mind about what was significant in the visual arts. The individual who provided the data was a solid supporter of art galleries: female, middle-aged, graduate of university and college, married with two children, and living in an urban community. The data were collected from two informal conversational interviews and from a written description of one change experience selected by the participant. The individual had positive experiences with art during early childhood, in elementary and secondary school, during university, in avocational drawing and painting studio courses, and in aesthetic experiences. All of these experiences have had individual effects and, together, they have had a cumulative effect on the development of the participant's opinions and ideas about the visual arts. The experiences which had the most effect on the development of the individual's perspectives on the visual arts were handson studio, educational, and aesthetic experiences. Further research is suggested to investigate why some adults change their minds about the visual arts.
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Notice to appear for jury duty in the dispute between Stephen Jackson and Caleb Garion (plaintiffs) and William Woodruff (defendant) regarding the mill of the late John Jackson and the title deeds of the said property and the family bible of the late John Jackson containing the registry and births of his family. This is a 1 page printed document, Sept. 6, 1848.
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Ma thèse de doctorat, In the Circle: Jazz Griots and the Mapping of African American Cultural History in Poetry, étudie la façon dont les poètes afro-américains des années 1960 et 1970, Langston Hughes, David Henderson, Sonia Sanchez, et Amiri Baraka, emploient le jazz afin d’ancrer leur poésie dans la tradition de performance. Ce faisant, chacun de ces poètes démontre comment la culture noire, en conceptualisant à travers la performance des modes de résistance, fût utilisée par les peuples de descendance africaine pour contrer le racisme institutionnalisé et les discours discriminatoires. Donc, pour les fins de cette thèse, je me concentre sur quatre poètes engagés dans des dialogues poétiques avec la musicologie, l’esthétique, et la politique afro-américaines des années 1960 et 1970. Ces poètes affirment la centralité de la performativité littéraire noire afin d’assurer la survie et la continuité de la mémoire culturelle collective des afro-américains. De plus, mon argument est que la théorisation de l’art afro-américain comme engagement politique devient un élément central à l’élaboration d’une esthétique noire basée sur la performance. Ma thèse de doctorat propose donc une analyse originale des ces quatre poètes qui infusent leur poèmes avec des références au jazz et à la politique dans le but de rééduquer les générations des années 2000 en ce qui concerne leur mémoire collective.
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Ce mémoire se focalise sur la pièce Antony and Cleopatra de Shakespeare en relation avec la pensée biblique, l’humanisme de la Renaissance et les caractéristiques de la tragédie comme genre littéraire et philosophie grecque. La chute d’Adam et Eve dans la Bible, ainsi que le conflit entre le héros tragique et les dieux, sont deux thèmes qui sont au centre de ce mémoire. Le mythe de la chute d’Adam et Eve sert, en effet, d’un modèle de la chute—et par conséquent, de la tragédie—d’Antoine et Cléopâtre mais aussi de structure pour ce mémoire. Si le premier chapitre parle de paradis, le deuxième évoque le péché originel. Le troisième, quant à lui, aborde une contre-rédemption. Le premier chapitre réfère à l’idée du paradis, ou l’Éden dans la bible, afin d’examiner ce qui est édénique dans Antony and Cleopatra. La fertilité, l’épicuréisme, l’excès dionysien sont tous des éléments qui sont présents dans la conception d’un Éden biblique et Shakespearien. Le deuxième chapitre est une étude sur la tragédie comme genre fondamentalement lié à la pensée religieuse et philosophique des grecs, une pensée qui anime aussi Antony and Cleopatra. Ce chapitre montre, en effet, que les deux protagonistes Shakespeariens, comme les héros tragiques grecs, défient les dieux et le destin, engendrant ainsi leur tragédie (ou ‘chute’, pour continuer avec le mythe d’Adam et Eve). Si le deuxième chapitre cherche à créer des ponts entre la tragédie grecque et la tragédie Shakespearienne, le troisième chapitre montre que le dénouement dans Antony and Cleopatra est bien différent des dénouements dans les tragédies de Sophocle, Euripide, et Eschyle. Examinant la pensée de la Renaissance, surtout la notion d’humanisme, la partie finale du mémoire présente les protagonistes de Shakespeare comme des éternels rebelles, des humanistes déterminés à défier les forces du destin.
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“A Shine of Truth in the ‘universal delusional context of reification’ (Theodor W. Adorno)” comprend sept chapitres, un prologue et un épilogue. Chaque partie se construit à deux niveaux : (1) à partir des liens qui se tissent entre les phrases contiguës ; et (2) à partir des liens qui se tissent entre les phrases non contiguës. Les incipit des paragraphes forment l’argument principal de la thèse. Le sujet de la thèse, Schein (apparence, illusion, clarté) est abordé de manière non formaliste, c’est à dire, de manière que la forme donne d’elle-même une idée de la chose : illusion comme contradiction imposée. Bien que le sujet de la thèse soit l’illusion, son but est la vérité. Le Chapitre I présente une dialectique de perspectives (celles de Marx, de Lukács, de Hegel, de Horkheimer et d'Adorno) pour arriver à un critère de vérité, compte tenu du contexte d’aveuglement universel de la réification ; c’est la détermination de la dissolution de l’apparence. Le Chapitre II présente le concept d’apparence esthétique—une apparence réversible qui s’oppose à l’apparence sociale générée par l’industrie de la culture. Le Chapitre III cherche à savoir si la vérité en philosophie et la vérité en art sont deux genres distincts de vérités. Le Chapitre IV détermine si l’appel à la vérité comme immédiateté de l’expression, fait par le mouvement expressionniste du 20e siècle, est nouveau, jugé à l’aune d’un important antécédent à l’expressionisme musical : « Der Dichter spricht » de Robert Schumann. Le Chapitre V se penche sur la question à savoir si le montage inorganique est plus avancé que l’expressionisme. Le Chapitre VI reprend là où Peter Bürger clôt son essai Theorie de l’avant-garde : ce chapitre cherche à savoir à quel point l’oeuvre d’art après le Dada et le Surréalisme correspond au modèle hégélien de la « prose ». Le Chapitre VII soutient que Dichterliebe, op. 48, (1840), est une oeuvre d’art vraie. Trois conclusions résultent de cette analyse musicale détaillée : (1) en exploitant, dans certains passages, une ambigüité dans les règles de l’harmonie qui fait en sorte tous les douze tons sont admis dans l’harmonie, l’Opus 48 anticipe sur Schoenberg—tout en restant une musique tonale ; (2) l’Opus 48, no 1 cache une tonalité secrète : à l'oeil, sa tonalité est soit la majeur, soit fa-dièse mineur, mais une nouvelle analyse dans la napolitaine de do-dièse majeur est proposée ici ; (3) une modulation passagère à la napolitaine dans l’Opus 48, no 12 contient l’autre « moitié » de la cadence interrompue à la fin de l’Opus 48, no 1. Considérés à la lumière de la société fausse, l’Allemagne des années 1930, ces trois aspects anti-organiques témoignent d’une conscience avancée. La seule praxis de vie qu’apporte l’art, selon Adorno, est la remémoration. Mais l’effet social ultime de garder la souffrance vécue en souvenir est non négligeable : l’émancipation universelle.
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Mon projet de thèse démontre comment le genre de la bande dessinée peut être mobilisé de façon à déstabiliser les idéologies identitaires dominantes dans un contexte autobiographique. À partir de théories contemporaines de récits de vie et de leurs emphase sur la construction du sujet au travers du processus autobiographique, j’explore les façons par lesquelles les propriétés formelles de la bande dessinée permettent aux artistes féminines et minoritaires d’affirmer leurs subjectivités et de s’opposer aux idéaux hégémoniques reliés à la représentation du genre, du traumatisme, de la sexualité, de l’ethnicité, et du handicap, en s’auto-incarnant à même la page de bande dessinée. Par une analyse visuelle formelle, ma thèse prouve que les esthétiques hyper-personnelles du dessin à la main découlant d’une forme ancrée dans l’instabilité générique et le (re)mixage continu des codes verbaux et visuels permettent aux artistes de déstabiliser les régimes de représentation conventionnels dans une danse complexe d’appropriation et de resignification qui demeure toujours ouverte à la création de nouveaux sens. Suite à l’introduction, mon second chapitre explique la résistance de Julie Doucet par rapport aux plaisirs visuels découlant de la contemplation des femmes dans la bande dessinée par son utilisation du concept originairement misogyne de la matérialité féminine grotesque comme principe génératif à partir duquel elle articule une critique de la forme et du contenu des représentations normatives et restrictives du corps féminin. Le troisième chapitre considère la capacité de la bande dessinée à représenter le traumatisme, et se penche sur les efforts de Phoebe Gloeckner visant à faire face aux abus sexuels de son enfance par l’entremise d’un retour récursif sur des souvenirs visuels fondamentaux. Le chapitre suivant maintient que la nature sérielle de la bande dessinée, sa multimodalité et son association à la culture zine, fournissent à Ariel Schrag les outils nécessaires pour expérimenter sur les codes visuels et verbaux de façon à décrire et à affirmer le sens identitaire en flux de l’adolescent queer dans sa quadrilogie expérimentale Künstlerroman. Le cinquième chapitre suggère que l’artiste de provenance Libanaise Toufic El Rassi utilise la forme visuelle pour dénoncer les mécanismes générateurs de préjugés anti-Arabes, et qu’il affirme son identité grâce au pouvoir de rhétorique temporaire que lui procure l’incarnation d’un stéréotype connu. Mon dernier chapitre démontre comment Al Davison emploie la bande dessinée pour mettre en scène des rencontres d’observations dynamiques avec le spectateur implicite pouvant potentiellement aider l’auteur à éviter le regard objectivant généralement associé à la perception du handicap.
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Samuel Beckett was arguably one of the most influential writers of the 20th century. Known for his stage plays, including the renowned En attendant Godot (1948), Beckett’s contribution to the field of radio drama is often overlooked. His corpus of radio dramas included some of the most innovativeradio works of the post-World War II period. For Beckett, radio drama was not exclusively verbocentric, for he always maintained that his work was “a matter of fundamental sounds (no joke intended) made as fully as possible” (Frost 362). His (radio) drama aesthetics defined a strict hierarchy of sound whereby the dramatist balances sound effects, music and the characters’ dialogue – and the use of silence. In this essay, I examine the juxtaposition of sound and silence in Samuel Beckett’s most influential radio dramas: All That Fall, Embers, Words and Music and Cascando. In the end, this essay will show that the sounds and silence employed in Beckett’s radio dramatic works were inextricably linked, which added to the overall meaning of his dramas.
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This is a reading of the work of Mary Martha Sherwood, the Victorian Evangelist and Children’s Author (and pupil at the Abbey School, Reading). Based upon research on Sherwood’s private correspondences and diary conducted at UCLA with the aid of a Mitzi Myers (this before my arrival at Reading), the essay offers a radical reinterpretation of her work. Previously understood in terms of a rigid, if self-contradictory and ‘anxious’, Evangelism, the essay reads the diary through Sherwood’s little known Biblical scholarship. Through this I argue that Sherwood grants her own writing the status of Biblical truth precisely because of its contradictions and ‘anxiety’.
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Television’s long-form storytelling has the potential to allow the rippling of music across episodes and seasons in interesting ways. In the integration of narrative, music and meaning found in The O.C. (Fox, FOX 2003-7), popular song’s allusive and referential qualities are drawn upon to particularly televisual ends. At times embracing its ‘disruptive’ presence, at others suturing popular music into narrative, at times doing both at once. With television studies largely lacking theories of music, this chapter draws on film music theory and close textual analysis to analyse some of the programme's music moments in detail. In particular it considers the series-spanning use of Jeff Buckley’s cover of ‘Hallelujah’ (and its subsequent oppressive presence across multiple televisual texts), the end of episode musical montage and the use of recurring song fragments as theme within single episodes. In doing so it highlights music's role in the fragmentation and flow of the television aesthetic and popular song’s structural presence in television narrative. Illustrating the multiplicity of popular song’s use in television, these moments demonstrate song’s ability to provide narrative commentary, yet also make particular use of what Ian Garwood describes as the ability of ‘a non-diegetic song to exceed the emotional range displayed by diegetic characters’ (2003:115), to ‘speak’ for characters or to their feelings, contributing to both teen TV’s melodramatic affect and narrative expression.
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The dance film flourished in the 2000s in the form of the hip-hop teen dance film. Such films as Save the Last Dance (Thomas Carter, 2001), Honey (Billy Woodruff, 2002) and Step Up (Anne Fletcher, 2006) drew on hip-hop’s dominance of the mainstream music industry and combined the teen film’s pre-existing social problem and musical narratives. Yet various tension were created by their interweaving of representations of post-industrial city youth with the utopian sensibilities of the classical Hollywood musical. Their narratives celebrated hip-hop performance, and depicted dance’s ability to bridge cultural boundaries and bring together couples and communities. These films used hip-hop to define space and identity yet often constructed divisions within their soundscapes, limiting hip-hop’s expressive potential. This article explores the cycle’s celebration of, yet struggle with, hip-hop through examining select films’ interactions between soundscape, narrative and form. It will engage with these films’ attempts to marry the representational, narrative and aesthetic meanings of hip-hop culture with the form and ideologies of the musical genre, particularly the tensions and continuities that arise from their engagement with the genre’s utopian qualities identified by Richard Dyer (1985). Yet whilst these films illustrate the tensions and challenges of combining hip-hop culture and the musical genre, they also demonstrate an effective integration of hip-hop soundscape and the dancing body in their depiction of dance, highlighting both form’s aesthetics of layering, rupture and flow (Rose, 1994: 22).