982 resultados para 720106 Taxation


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One-leaf folio-sized set of handwritten notes and extracts regarding New England academic institutions that received tax exemptions.

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Notebook with brown paper cover containing handwritten extracts from the charters and related legislation of New England academic, charitable, and commercial institutions regarding their ability to hold real estate and related tax exemptions. Most of the listed documents are dated in the 1780s and 1790s. The notebook also contains extracts from "Argument in the case of Poor's rate, charged on the College of Christ & Emmanuel in the University of Cambridge 1768." The item title is transcribed from a handwritten inscription on the back cover.

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One leaf containing handwritten research questions regarding the taxation of the College and tax exemptions offered to ministers. The paper was originally folded in three sections and a portion of the third section is missing.

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Folded leaf containing handwritten notes and figures related to tax acts, including a section of notes related to the use of "Sevill, Pillar, or Mexico" foreign silver coins. A section of the text is written in very faded pencil.

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One leaf containing a handwritten incomplete text arguing for the creation of tables containing financial data found in government records and account books, as a means of comparing the value of real estate, silver, and salaries, in part to "ascertain how much of the present expense of supporting a family is to be attributed to the present mode of living." The page has the remnants of a red wax seal.

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This thesis investigates the design of optimal tax systems in dynamic environments. The first essay characterizes the optimal tax system where wages depend on stochastic shocks and work experience. In addition to redistributive and efficiency motives, the taxation of inexperienced workers depends on a second-best requirement that encourages work experience, a social insurance motive and incentive effects. Calibrations using U.S. data yield higher expected optimal marginal income tax rates for experienced workers for most of the inexperienced workers. They confirm that the average marginal income tax rate increases (decreases) with age when shocks and work experience are substitutes (complements). Finally, more variability in experienced workers' earnings prospects leads to increasing tax rates since income taxation acts as a social insurance mechanism. In the second essay, the properties of an optimal tax system are investigated in a dynamic private information economy where labor market frictions create unemployment that destroys workers' human capital. A two-skill type model is considered where wages and employment are endogenous. I find that the optimal tax system distorts the first-period wages of all workers below their efficient levels which leads to more employment. The standard no-distortion-at-the-top result no longer holds due to the combination of private information and the destruction of human capital. I show this result analytically under the Maximin social welfare function and confirm it numerically for a general social welfare function. I also investigate the use of a training program and job creation subsidies. The final essay analyzes the optimal linear tax system when there is a population of individuals whose perceptions of savings are linked to their disposable income and their family background through family cultural transmission. Aside from the standard equity/efficiency trade-off, taxes account for the endogeneity of perceptions through two channels. First, taxing labor decreases income, which decreases the perception of savings through time. Second, taxation on savings corrects for the misperceptions of workers and thus savings and labor decisions. Numerical simulations confirm that behavioral issues push labor income taxes upward to finance saving subsidies. Government transfers to individuals are also decreased to finance those same subsidies.

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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.