Human Rights in the Democratic People's Republic of Korea and the Future of the Troubled State after Kim Jong-Il

Since 2008, international speculation about the viability of Kim Jong-Il's leadership in North Korea has been at the forefront of diplomatic discussions. North Korea is known to be a secretive state where human rights violations abound. This paper discusses the history of leadership and government in North Korea since World War II, the current human rights situation in the country, the role of China, and potential successors to Kim Jong-Il. The ramifications of impending regime change are discussed in terms of North Korea's human rights issues and economic problems. While current efforts at diplomacy have proved ineffective, the need for concerned nations, intergovernmental organizations, and non-governmental organizations to be prepared to engage North Korea after Kim Jong-Il is imperative.

Medicaid prescription drug diversion : a major problem, but state approaches offer some promise : statement of Janet L. Shikles, Director, Health Financing and Policy Issues, Human Resources Division, before the Select Committee on Narcotics Abuse and Control, House of Representatives /

"July 29, 1992."

Health insurance : more resources needed to combat fraud and abuse : statement of Janet L. Shikles, Director, Health Financing and Policy Issues, Human Resources Division, before the Committee on the Judiciary, United States Senate /

"July 28, 1992."

Indeterminate and determinate sentencing : criminal justice issues before the first Special Session, October 24, 1977 : House Republican Committee Staff report /

Issued September, 1977.

Immigration reform : status of employer sanctions after second year and plans for third year : statement of Arnold P. Jones, Director, Administration of Justice Issues, General Government Division, before the Subcommittee on Immigration, Refugees, and International Law, Committee on the Judiciary, United States House of Representatives /

"May 17,1989."

Dislocated workers : trade adjustment assistance program flawed : statement of Linda G. Morra, Director of Education and Employment Issues, Human Resources Division, before the Subcommittee on Employment, Housing and Aviation, Committee on Government Operations, House of Representatives /

"October 19, 1993."

Medicare post-acute care : home health and skilled nursing facility cost growth and proposals for prospective payment : statement of William J. Scanlon, Director, Health Financing and Systems Issues, Health, Education, and Human Services Division : before the Subcommittee on Health, Committee on Ways and Means, House of Representatives /

"March 4, 1997."

Surrogacy under Indian Legal System: Legal and Human Rights Concerns

The advancements in medical science and technology have proved to be a boon to mankind. At the same time they have raised numerous challenges before the legal systems of the world. One such advancement is that of assisted human reproductive technologies and particularly surrogacy, which have given a new meaning to the concept of procreation. These technologies have made it possible for individuals to beget a genetically related child with the help of a third party and without sexual intercourse. Among all the assisted human reproductive technologies, the practice of surrogacy, in which women agree to have their bodies used to undergo a pregnancy and give birth to a baby for another, has raised various legal and human right controversies and diverse legal responses all over the world. India has particularly become a top destination for individuals who wish to beget a child through surrogacy and hence it is imperative for the Indian government to address the challenges posed by surrogacy. This study is an attempt to examine the need and importance of surrogacy practices and the conflicting legal and human rights issues raised by surrogacy in contemporary times. It also examines the adequacy of existing legal framework in India and attempts to provide pragmatic solutions for regulating surrogacy and protecting the interests of various stakeholders involved in surrogacy.

What ‘Security’, whose ‘Rights’ and which ‘Law’? : the Israeli High Court of Justice and the Israeli settlements in the occupied West Bank

Cette thèse examine l’interprétation et l’application, par l’Haute Cour d'Israël (HCJ), de principes du droit international de l’occupation et du droit international des droits de la personne dans le traitement de requêtes judiciaires formulées par des justiciables palestiniens. Elle s’intéresse plus particulièrement aux jugements rendus depuis le déclenchement de la deuxième Intifada (2000) suite à des requêtes mettant en cause la légalité des mesures adoptées par les autorités israéliennes au nom d’un besoin prétendu d’accroitre la sécurité des colonies et des colons israéliens dans le territoire occupé de la Cisjordanie. La première question sous étude concerne la mesure dans laquelle la Cour offre un recours effectif aux demandeurs palestiniens face aux violations alléguées de leurs droits internationaux par l’occupant. La recherche fait sienne la position de la HJC selon laquelle le droit de l’occupation est guidé par une logique interne tenant compte de la balance des intérêts en cause, en l’occurrence le besoin de sécurité de l’occupant, d’une part, et les droits fondamentaux de l’occupé, d’autre part. Elle considère, en outre, que cette logique se voit reflétée dans les principes normatifs constituant la base de ce corpus juridique, soit que l’occupation est par sa nature temporaire, que de l’occupation découle un rapport de fiduciaire et, finalement, que l’occupant n’acquiert point de souveraineté sur le territoire. Ainsi, la deuxième question qui est posée est de savoir si l’interprétation du droit par la Cour (HCJ) a eu pour effet de promouvoir ces principes normatifs ou, au contraire, de leur porter préjudice. La réunion de plusieurs facteurs, à savoir la durée prolongée de l’occupation de la Cisjordanie par Israël, la menace accrue à la sécurité depuis 2000 ainsi qu’une politique de colonisation israélienne active, soutenue par l’État, présentent un cas de figure unique pour vérifier l’hypothèse selon laquelle les tribunaux nationaux des États démocratiques, généralement, et ceux jouant le rôle de la plus haute instance judiciaire d’une puissance occupante, spécifiquement, parviennent à assurer la protection des droits et libertés fondamentaux et de la primauté du droit au niveau international. Le premier chapitre présente une étude, à la lumière du premier principe normatif énoncé ci-haut, des jugements rendus par la HCJ dans les dossiers contestant la légalité de la construction du mur à l’intérieur de la Cisjordanie et de la zone dite fermée (Seam Zone), ainsi que des zones de sécurité spéciales entourant les colonies. Le deuxième chapitre analyse, cette fois à la lumière du deuxième principe normatif, des jugements dans les dossiers mettant en cause des restrictions sur les déplacements imposées aux Palestiniens dans le but allégué de protéger la sécurité des colonies et/ou des colons. Le troisième chapitre jette un regard sur les jugements rendus dans les dossiers mettant en cause la légalité du tracé du mur à l’intérieur et sur le pourtour du territoire annexé de Jérusalem-Est. Les conclusions découlant de cette recherche se fondent sur des données tirées d’entrevues menées auprès d’avocats israéliens qui s’adressent régulièrement à la HCJ pour le compte de justiciables palestiniens.

What ‘Security’, whose ‘Rights’ and which ‘Law’? : the Israeli High Court of Justice and the Israeli settlements in the occupied West Bank

Cette thèse examine l’interprétation et l’application, par l’Haute Cour d'Israël (HCJ), de principes du droit international de l’occupation et du droit international des droits de la personne dans le traitement de requêtes judiciaires formulées par des justiciables palestiniens. Elle s’intéresse plus particulièrement aux jugements rendus depuis le déclenchement de la deuxième Intifada (2000) suite à des requêtes mettant en cause la légalité des mesures adoptées par les autorités israéliennes au nom d’un besoin prétendu d’accroitre la sécurité des colonies et des colons israéliens dans le territoire occupé de la Cisjordanie. La première question sous étude concerne la mesure dans laquelle la Cour offre un recours effectif aux demandeurs palestiniens face aux violations alléguées de leurs droits internationaux par l’occupant. La recherche fait sienne la position de la HJC selon laquelle le droit de l’occupation est guidé par une logique interne tenant compte de la balance des intérêts en cause, en l’occurrence le besoin de sécurité de l’occupant, d’une part, et les droits fondamentaux de l’occupé, d’autre part. Elle considère, en outre, que cette logique se voit reflétée dans les principes normatifs constituant la base de ce corpus juridique, soit que l’occupation est par sa nature temporaire, que de l’occupation découle un rapport de fiduciaire et, finalement, que l’occupant n’acquiert point de souveraineté sur le territoire. Ainsi, la deuxième question qui est posée est de savoir si l’interprétation du droit par la Cour (HCJ) a eu pour effet de promouvoir ces principes normatifs ou, au contraire, de leur porter préjudice. La réunion de plusieurs facteurs, à savoir la durée prolongée de l’occupation de la Cisjordanie par Israël, la menace accrue à la sécurité depuis 2000 ainsi qu’une politique de colonisation israélienne active, soutenue par l’État, présentent un cas de figure unique pour vérifier l’hypothèse selon laquelle les tribunaux nationaux des États démocratiques, généralement, et ceux jouant le rôle de la plus haute instance judiciaire d’une puissance occupante, spécifiquement, parviennent à assurer la protection des droits et libertés fondamentaux et de la primauté du droit au niveau international. Le premier chapitre présente une étude, à la lumière du premier principe normatif énoncé ci-haut, des jugements rendus par la HCJ dans les dossiers contestant la légalité de la construction du mur à l’intérieur de la Cisjordanie et de la zone dite fermée (Seam Zone), ainsi que des zones de sécurité spéciales entourant les colonies. Le deuxième chapitre analyse, cette fois à la lumière du deuxième principe normatif, des jugements dans les dossiers mettant en cause des restrictions sur les déplacements imposées aux Palestiniens dans le but allégué de protéger la sécurité des colonies et/ou des colons. Le troisième chapitre jette un regard sur les jugements rendus dans les dossiers mettant en cause la légalité du tracé du mur à l’intérieur et sur le pourtour du territoire annexé de Jérusalem-Est. Les conclusions découlant de cette recherche se fondent sur des données tirées d’entrevues menées auprès d’avocats israéliens qui s’adressent régulièrement à la HCJ pour le compte de justiciables palestiniens.