935 resultados para uterine cervix cytology


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Assessment of Human papillomavirus (HPV) prevalence and genotype distribution is important for monitoring the impact of prophylactic HPV vaccination. This study aimed to demonstrate the HPV genotypes predominating in pre-malignant and cervical cancers in Northern Ireland (NI) before the vaccination campaign has effect. Formalin fixed paraffin embedded tissue blocks from 2,303 women aged 16-93 years throughout NI were collated between April 2011 and February 2013. HPV DNA was amplified by PCR and HPV genotyping undertaken using the Roche® linear array detection kit. In total, 1,241 out of 1,830 eligible samples (68.0%) tested positive for HPV, with the majority of these [1,181/1,830 (64.5%)] having high-risk (HR) HPV infection; 37.4% were positive for HPV-16 (n=684) and 5.1% for HPV-18 (n=93). HPV type-specific prevalence was 48.1%, 65.9%, 81.3%, 92.2%, and 64.3% among cervical intraepithelial neoplasias (CIN) Grades I-III, squamous cell carcinomas (SCC) and adenocarcinoma (AC) cases, respectively. Most SCC cases (81.3%) had only one HPV genotype detected and almost a third (32.0%) of all cervical pathologies were HPV negative including 51.9% of CIN I (n=283), 34.1% CIN II (n=145), 18.7% of CIN III (n=146), 7.8% of SCC (n=5), and 35.7% of AC (n=5) cases. This study provides important baseline data for monitoring the effect of HPV vaccination in NI and for comparison with other UK regions. The coverage of other HR-HPV genotypes apart from 16 and 18, including HPV-45, 31, 39, and 52, and the potential for cross protection, should be considered when considering future polyvalent vaccines.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Maestría en Ciencias con Especialidad en Inmunobiología) UANL

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Objectif: Évaluer l'efficacité du dépistage de l’hypertension gestationnelle par les caractéristiques démographiques maternelles, les biomarqueurs sériques et le Doppler de l'artère utérine au premier et au deuxième trimestre de grossesse. Élaborer des modèles prédictifs de l’hypertension gestationnelle fondées sur ces paramètres. Methods: Il s'agit d'une étude prospective de cohorte incluant 598 femmes nullipares. Le Doppler utérin a été étudié par échographie transabdominale entre 11 +0 à 13 +6 semaines (1er trimestre) et entre 17 +0 à 21 +6 semaines (2e trimestre). Tous les échantillons de sérum pour la mesure de plusieurs biomarqueurs placentaires ont été recueillis au 1er trimestre. Les caractéristiques démographiques maternelles ont été enregistrées en même temps. Des courbes ROC et les valeurs prédictives ont été utilisés pour analyser la puissance prédictive des paramètres ci-dessus. Différentes combinaisons et leurs modèles de régression logistique ont été également analysés. Résultats: Parmi 598 femmes, on a observé 20 pré-éclampsies (3,3%), 7 pré-éclampsies précoces (1,2%), 52 cas d’hypertension gestationnelle (8,7%) , 10 cas d’hypertension gestationnelle avant 37 semaines (1,7%). L’index de pulsatilité des artères utérines au 2e trimestre est le meilleur prédicteur. En analyse de régression logistique multivariée, la meilleure valeur prédictive au 1er et au 2e trimestre a été obtenue pour la prévision de la pré-éclampsie précoce. Le dépistage combiné a montré des résultats nettement meilleurs comparés avec les paramètres maternels ou Doppler seuls. Conclusion: Comme seul marqueur, le Doppler utérin du deuxième trimestre a la meilleure prédictive pour l'hypertension, la naissance prématurée et la restriction de croissance. La combinaison des caractéristiques démographiques maternelles, des biomarqueurs sériques maternels et du Doppler utérin améliore l'efficacité du dépistage, en particulier pour la pré-éclampsie nécessitant un accouchement prématuré.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

L’importance de la problématique des vaches laitières non gestantes avec multiples inséminations (› 3) communément appelées « Repeat Breeder » (RB), au Québec, repose sur deux facteurs: son incidence et son impact économique. Actuellement, l’incidence du syndrome RB au Québec est de ± 25% (Rapport annuel, juin 2008, www.dsahr.ca). Les pertes monétaires associées à ce problème proviennent des frais vétérinaires et d’insémination, de la diminution de productivité ainsi que des pertes en lien avec la réforme involontaire. Afin d’avoir de meilleures connaissances sur ce syndrome, nous devons connaître les facteurs de risques généraux impliqués et ensuite explorer la condition individuelle de ces vaches problèmes. Dans la première partie de ce mémoire, une banque de données informatisées répertoriant 418 383 lactations fut analysée. L’objectif de ce projet de recherche était d’évaluer l’impact des problèmes reproducteurs post-partum et l’effet du nombre de lactations comme facteurs de risques de la vache Repeat Breeder. L’analyse a permis d’établir la dystocie comme étant la condition ayant le plus de conséquences sur la fertilité future. D’autres facteurs de risques à savoir le nombre de lactations influencent le pronostic reproducteur. La deuxième partie de ce mémoire consistait à explorer, à l’aide d’outils cliniques, la condition individuelle des vaches RB. Une étude cohorte fut menée sur des vaches Holstein en fin de période d’attente volontaire au jour 7 du cycle oestral. Les tests cliniques étudiés furent la vaginoscopie, l’examen transrectal, l’ultrasonographie du système reproducteur, la présence d’estérases leucocytaires, la bactériologie et la biochimie du liquide utérin, la cytologie endométriale et le profil de progestérone sérique. Les résultats de ces tests cliniques dévoilent que l’examen bactériologique du liquide utérin est révélateur du statut reproducteur futur.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Le développement et la survie de l’embryon dépendent des nutriments fournis par les sécrétions utérines. Les objectifs de cette étude étaient de déterminer l’effet de la surovulation (SOV) sur la bactériologie et cytologie utérine et sur les paramètres biochimiques utérin et sérique et leurs effets sur le nombre d’embryons transférables (ET). Deux groupes de vaches Holstein (groupe I, non lactante, n=7 et groupe II, lactante, n=28) ont été respectivement induites en chaleur ou surovulées et ensuite inséminées. Au jour 7 du cycle œstral (J7) et lors du jour de la récolte (JR), un prélèvement individuel de sang et de liquide de lavage utérin a été fait pour l’analyse du statut bactériologique et cytologique de l’utérus et la mesure de la concentration de plusieurs paramètres biochimiques présélectionnés. Les embryons récoltés ont été évalués selon les critères de l’IETS. La SOV a donnée une moyenne de 7.39 ± 6.22 ovocytes/embryons dont 3.32 ± 4.81 ET. Il n’y avait pas de variation significative de la bactériologie et cytologie utérine des deux groupes entre J7 et JR. La concentration sérique de l’urée (P=0.0001), d’E2 (P=0.006); la concentration utérine du Glu (P=0.002), de Ck (p=0.0007), de LDH (P <0.0001), de PT (P=0.004), de P4 (P=0.008), de PGFM (P<0.0001) du groupe I et la concentration sérique de P4 (P<0.0001), de PGFM (P<0.0001); la concentration utérine de LDH (P=0.002), de PGFM (P<0.0001) du groupe II ont été significativement élevées à JR qu’à J7. La concentration utérine et sérique de l’urée (P<0.0001 et P<0.0001), de LDH (P<0.0001 et P=0.008), la concentration sérique de P4 (P=0.0002) et la concentration utérine de PT (P=0.0003) à JR du groupe II étaient différente du groupe I. Il n’y avait pas d’association entre la bactériologie et cytologie utérine et le nombre d’ET. Cependant, le nombre d’ET a été positivement corrélé avec la concentration sérique d’IGF-1 à J7 (r=0.45; P=0.001) et la concentration sérique de P4 à JR (r=0.43; P<0.05) et négativement corrélé avec la concentration utérine et sérique de PGFM à la fois à J7 (r=-0.54; P<0.005 et r=-0.67; P<0.001) et à JR (r=-0.48; P<0.01 et r=-0.57; P<0.002). Ces résultats suggèrent que la SOV induit des changements au niveau sérique et utérin qui affectent le nombre d’ET récoltés.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

L’implantation retardée ou diapause embryonnaire décrit l'arrêt ou le retardement pendant l'embryogenèse. Chez le vison, la diapause est corrélée avec une sécrétion pituitaire insuffisante de la prolactine, ayant pour résultat la différentiation incomplète du corpus luteum et réduction de la progestérone. Des études antérieures suggèrent que le blastocyste de vison en diapause demeure dans un état de quiescence ou se développe lentement. Pour élucider ceci, la réplication de l'ADN a été étudiée. Les résultats démontrent synthèse de l’ADN et prolifération cellulaire dans les embryons au stade de morula, avant la diapause et dans les blastocystes après la réactivation. La réplication de l'ADN a été également détectée dans des blastocystes en diapause et en diapause prolongée. L'implantation est considérée comme une interaction bidirectionnelle entre le blastocyste et l'utérus. Il a été montré que les prostaglandines sont importantes pour la vascularisation de l’utérus au moment de l’implantation et peuvent réactiver l'utérus des visons après la diapause. La concentration protéinique et la localisation de la phospholipase citosolique A2 (CPLA2) et de la cyclooxygenase 2 (COX2) ont été étudiées dans l'utérus de vison. L’expression de la CPLA2 et COX2 étaient sur-régulées au moment de l'implantation. Il est connu que la prolactine active les corpus luteum des visons. L'idée de un lien entre la prolactine et la voie de signalisation des prostaglandines a été testée en mesurant les récepteurs de prolactine. Les résultats montrent une augmentation de l’expression des récepteurs de prolactine à l'implantation suggérant que la prolactine pourrait activer la voie de prostaglandine à l'utérus par son propre récepteur. La conclusion, les embryons pendant la diapause ne sont pas arrêtées complètement et les protéines liées à la voie de prostaglandine sont implique dans la réactivation de l'utérus.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Arrière-plan: les cellules tumorales circulantes (CTC) sont détectables dans de nombreux cancers et peuvent être utiles cliniquement pour le pronostic de la maladie, pour mesurer la récidive et pour prédire la sensibilité aux medicaments chimiothérapeutiques. Au cours des dernières années, l’études des CTC dans de nombreux cancers tels que le cancer du sein, du poumon, du côlon et de la prostate a grandement évolué. Alternativement, il y peu d'études à ce sujet concernant le cancer du col de l’utérus (CCU). Objectifs: Notre objectif est d’optimiser le processus d'enrichissement des CTC dans le CCU et la détection moléculaire des biomarqueurs E6 et E7. Matériel et Méthodes: Dans l’optique de mimer la présence de CTC dans le sang, nous avons dilué des cellules cancéreuses CaSki VPH16-positif provenant d’un CCU dans du sang humain prélevé sur des volontaires sains. Les CaSki ont été collectées suite à une centrifugation par densité avec le Ficoll, la lyse des globules rouges (RBC) et la lyse des RBC combinée avec un enrichissement positif et négatif à l’aide de marqueurs de surface cellulaire. Les CTC ont été détectées par la mesure d’expression des oncogènes E6 et E7 du virus du papillome humain (VPH), de la cytokératine 19 (CK19) et de la cycline p16INK4 en utilisant la technique quantitative en temps réel de Reverse Transcriptase-Polymerase Chain Reaction (qRT-PCR). Pour valider notre méthode de détection des CTC in vivo, nous avons recruté dix patientes atteintes d’un CCU VPH16 positif et six contrôles sains. Résultats: Dans le modèle de dilutions de cellules CaSki, la lyse des RBC seule ou combinée avec l'enrichissement négatif ou positif suggèrent des limites de détection de 1 CTC par mL de sang pour tous les biomarqueurs moléculaires utilisés. La sensibilité de détection est accrue lors de l'utilisation de l’enrichissement positif et négatif en réduisant le bruit de fond causé par les monocytes sanguins. Contrairement aux oncogènes E6 et E7, les marqueurs CK19 et p16INK4A ont été détectés chez des individus sains, les niveaux d'expression de base appropriés doivent donc être déterminés avec précision par rapport aux patientes CCU. Le gradient de densité par Ficoll a une limite de détection de seulement environ 1000 cellules par mL de sang. Enfin, les CTC ont été détectées dans 2/10 patientes en utilisant le marqueur CK19. Cependant, ces patientes étaient négatives pour les oncogènes E6/E7. Le marqueur p16INK4A était exprimé au même niveau dans tous les échantillons (CCU et normaux). Conclusion: Notre étude suggère que les oncogènes E6 et E7 du VPH16 sont les marqueurs biologiques les plus sensibles et spécifiques en qRT-PCR pour détecter les CTC dans le modèle de dilution de cellules de CCU dans le sang. Chez les patientes atteintes d’un CCU de stade précoce, seulement CK19 a révélé la présence potentielle de CTC, ce qui suggère que ces cellules sont rares à ce stade de la maladie. Mots clés: cancer du col de l’utérus, cellules tumorales circulantes, RT-qPCR, E6 et E7, CK19, p16INK4A, enrichissement immunomagnétique, détection moléculaire.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Hace más de tres décadas existe en el mundo un programa para la prevención del cáncer de cérvix centrado en la práctica de la Citología Cervico Uterina. Aspectos como las bajas coberturas dadas por la realización de exámenes reiterados a mujeres de bajo riesgo y la no captación de mujeres de alto riesgo, pobres controles de calidad, no entrega de reportes y el bajo acceso a los servicios de diagnostico y tratamiento han impedido cambios del perfil epidemiológico de esta enfermedad en Colombia. Este estudio evalúa la cobertura, el conocimiento del reporte y los motivos para la realización o no del examen y el nivel de conocimientos con respecto a la prueba y a ésta patología.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

In the pregnant mouse uterus, small leucine-rich proteoglycans (SLRPs) are drastically remodeled within a few hours after fertilization, suggesting that ovarian hormone levels modulate their synthesis and degradation. In this study, we followed by immunoperoxidase approach, the presence of four members of the SLRP family (decorin, lumican, biglycan, and fibromodulin) in the uterine tissues along the estrous cycle of the mouse. All molecules except fibromodulin, which predominates in the myometrium, showed a striking modulation in their distribution in the endometrial stroma, following the rise in the level of estrogen. Moreover, notable differences in the distribution of SLRPs were observed between superficial and deep stroma, as well as between the internal and external layers of the myometrium. Only biglycan and fibromodulin were expressed in the luminal and glandular epithelia. All four SLRPs were found in cytoplasmic granules of mononucleated cells. The pattern of distribution of the immunoreaction for these molecules in the uterine tissues was found to be estrous cycle-stage dependent, suggesting that these molecules undergo ovarian hormonal control and probably participate in the preparation of the uterus for decidualization and embryo implantation. In addition, this and previous results from our laboratory suggest the existence of two subpopulations of endometrial fibroblasts that may be related to the centrifugal development of the decidua. Anat Rec, 292:138-153, 2009. (c) 2008 Wiley-Liss, Inc.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

AZEVEDO, George Dantas de et al. Raloxifene therapy does not affect uterine blood flow in postmenopausal women: a transvaginal Doppler study. Maturitas, Amsterdam, v.47, n.3, p.195-200, 2004

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Sexually transmitted diseases (STDs) are among the largest public health problems, especially in developing countries. The acquisition of these infections during early sexual activity is common and many infections have a benign course. However, in some pathogens remain in the state of latency can be reactivated and cause productive infection that may progress to severe forms. In addition, some of them are transmitted vertically resulting in congenital infection, causing immediate damage or long-term child. The classic risk factors for sexually transmitted agents are: early onset of sexual and reproductive health, multiple sexual partners throughout life, use of oral contraceptives and co-infections with different pathogens. We present the results of a cross-sectional study aimed to estimate the prevalence of genital infection by human papillomavirus (HPV), Herpes simplex virus (HSV) and Chlamydia trachomatis (CT) in a segment of the female population of the metropolitan area Christmas, among those who enrolled voluntarily sought, Basic Health Units for the examination of cancer screening cervix in the period 2008 to 2010. All participants, a total of 261 women answered a standard questionnaire by which identified the socio-demographic characteristics, classical risk factors for STDs, reproductive and sexual activity and smoking. Of each patient were obtained two samples, one for the completion of the Pap test for detection of cellular changes and the other processed for DNA extraction and analyzed by PCR (polymerase chain reaction) to detect the three pathogens studied. The population of the study was composed of sexually active women aged between 13 and 79 years, mean 38.7 years, most of them being married, low education levels and low incomes. The majority (87%) had normal results on cytology and only 2.7% had low-grade cytological abnormalities. Prevalence rates were 37.9% for HPV, 4.6% for CT and 26% for HSV. HPV prevalence was higher in women under 25, unmarried and in those who had multiple sexual partners. Women with simultaneous infection by HSV-1 and 2 had higher prevalence of HPV infection. The prevalence of HSV infection showed no association whatsoever with the risk factors analyzed and HSV-1 was the predominant type among the cases of genital HSV infection. The overall prevalence of C. Trachomatis was relatively low, thus providing greater value in younger women aged less than or equal to 20 years