973 resultados para Sino-Japanese War, 1894-1895
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On leaf preceding the t.p.: Battles of Chippawa and Lundy's Lane, by Charles Anderson, guide to the battle ground.
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The site of present-day St. Catharines was settled by 3000 United Empire Loyalists at the end of the 18th century. From 1790, the settlement (then known as "The Twelve") grew as an agricultural community. St. Catharines was once referred to Shipman's Corners after Paul Shipman, owner of a tavern that was an important stagecoach transfer point. In 1815, leading businessman William Hamilton Merritt abandoned his wharf at Queenston and set up another at Shipman's Corners. He became involved in the construction and operation of several lumber and gristmills along Twelve Mile Creek. Shipman's Corners soon became the principal milling site of the eastern Niagara Peninsula. At about the same time, Merritt began to develop the salt springs that were discovered along the river which subsequently gave the village a reputation as a health resort. By this time St. Catharines was the official name of the village; the origin of the name remains obscure, but is thought to be named after Catharine Askin Robertson Hamilton, wife of the Hon. Robert Hamilton, a prominent businessman. Merritt devised a canal scheme from Lake Erie to Lake Ontario that would provide a more reliable water supply for the mills while at the same time function as a canal. He formed the Welland Canal Company, and construction took place from 1824 to 1829. The canal and the mills made St. Catharines the most important industrial centre in Niagara. By 1845, St. Catharines was incorporated as a town, with the town limits extending in 1854. Administrative and political functions were added to St. Catharines in 1862 when it became the county seat of Lincoln. In 1871, construction began on the third Welland Canal, which attracted additional population to the town. As a consequence of continual growth, the town limits were again extended. St. Catharines attained city status in 1876 with its larger population and area. Manufacturing became increasingly important in St. Catharines in the early 1900s with the abundance of hydro-electric power, and its location on important land and water routes. The large increase in population after the 1900s was mainly due to the continued industrialization and urbanization of the northern part of the city and the related expansion of business activity. The fourth Welland Canal was opened in 1932 as the third canal could no longer accommodate the larger ships. The post war years and the automobile brought great change to the urban form of St. Catharines. St. Catharines began to spread its boundaries in all directions with land being added five times during the 1950s. The Town of Merritton, Village of Port Dalhousie and Grantham Township were all incorporated as part of St. Catharines in 1961. In 1970 the Province of Ontario implemented a regional approach to deal with such issues as planning, pollution, transportation and services. As a result, Louth Township on the west side of the city was amalgamated, extending the city's boundary to Fifteen Mile Creek. With its current population of 131,989, St. Catharines has become the dominant centre of the Niagara region. Source: City of St. Catharines website http://www.stcatharines.ca/en/governin/HistoryOfTheCity.asp (January 27, 2011)
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On leaf preceding the t.p.: Battles of Chippawa and Lundy's Lane, by Charles Anderson, guide to the battle ground. On box: Chippawa and Lundy's Lane. Printed by John Simpson
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The Intelligencer was an American newspaper that was established in Washington by Samuel Harrison Smith, a young Jeffersonian-Republican from Philadelphia. The paper was a supporter of the Jefferson and Madison administrations until 1810 when it was sold to Joseph Gales Jr. from North Carolina. In 1812 William Seaton joined Gales as a publishing partner. The paper made significant contributions to the nation and wielded considerable influence in political circles during its publication
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The reports are also published in the Annual report of the Department of Agriculture of the province of Ontario, and in the Sessional papers of the province of Ontario "Printed by order of the Legislative Assembly" [-1923] "Printed by order of ... Minister of Agriculture" [1924-] 25th, 1893- pub. by the Ontario Department of Agriculture, Toronto 1890 -1908 reports are bound with the corresponding annual reports of the Entomological Society of Ontario 1894 -1905 reports are bound with the corresponding annual reports of the Fruit Experiment Stations of Ontario 1906 -1910 reports are bound with the corresponding Report of the Fruit Branch, Dept. of Agriculture, Ontario
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UANL
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Aux lendemains de la Guerre de Sécession, le petit centre manufacturier de Warren, dans l’État du Rhode Island, attira plusieurs immigrants canadiens-français en quête de travail. Ces derniers s’organiseront rapidement en établissant un réseau paroissial, en fondant plusieurs sociétés mutuelles et en multipliant les commerces prêts à desservir une clientèle francophone de plus en plus nombreuse. Les premiers stades de développement de la communauté (1888-1895) avaient déjà été observés par Jean Lamarre dans le cadre de son mémoire de maîtrise (1985). D’une part, le chercheur avait remarqué un phénomène graduel d’enracinement des paroissiens et, d’autre part, l’analyse de leur profil socio-économique indiquait qu’ils travaillaient majoritairement à la filature. Par cette étude, nous avons voulu revisiter cette communauté au moment où sa présence dans le paysage industriel et urbain de Warren apparaît consolidée. Grâce aux listes nominatives du recensement fédéral de 1910 et aux publications gouvernementales parues à la même époque, nous évaluons l’ampleur des changements socio-économiques transformant la communauté en l’espace d’une quinzaine d’années. L’observation du processus d’intégration des Canadiens français à l’environnement industriel est complétée par une analyse de l’apport des femmes et des enfants au ménage ouvrier. Les conclusions principales de cette étude démontrent que malgré l’attrait indéniable que représente encore et toujours le secteur manufacturier auprès de nombreux travailleurs, les Canadiens français jouissent en 1910 d’une qualité de vie généralement supérieure à celle qui caractérisait leurs débuts au sein de la localité. Leur situation socio-économique s’apparentera d’ailleurs davantage à celle des anglophones de Warren, Yankees et Irlandais, que de celle des représentants de la « nouvelle vague d’immigration » (Polonais, Italiens et Portugais).
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Ce mémoire vise la compréhension du mécanisme des choix stratégiques de l’Inde en fonction de la menace perçue de la Chine. Selon une logique réaliste néoclassique, l’étude de l’effet des contraintes systémiques et domestiques présente un paradoxe dans les volontés stratégiques indiennes. L’Inde est soumise à la pression systémique de la montée de la Chine dans un monde post-Guerre froide qui la verrouille dans sa position traditionnellement défensive, alors que sa volonté de projection de la puissance guidée par sa perception, ses idées et sa culture stratégique la porte à adopter une position plus offensive. L’Inde perçoit la menace chinoise de manière dissonante avec l’orientation stratégique chinoi-se. Elle se concentre ainsi sur des signaux et des indices particuliers afin de justifier cette me-nace perçue. C’est pourquoi l’ambiguïté du langage diplomatique de la Chine envers l’Arunachal Pradesh et de sa présence dans l’océan Indien engendre un accroissement de la menace chinoise et une réponse plus agressive conséquemment. La réponse stratégique in-dienne doit s’adapter aux changements de la puissance relative de la Chine. N’ayant pas les capacités relatives suffisantes, l’Inde choisit une stratégie située entre une émulation dans une logique de poursuite aux armements afin de maintenir la parité technologique et un engage-ment afin de désamorcer la rivalité et éviter une réaction chinoise pré-emptive. La culture stratégique de l’Inde traditionnellement défensive se transforme vers une position offensive sous l’effet du nation building du nationalisme hindou. Les préférences stratégiques indiennes agressives s’illustrent principalement dans le choc multidirectionnel des sphères d’influence sino-indiennes en Asie.
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L’histoire des relations franco-japonaises est source de bien des surprises pour les historiens, ces deux pays n’ayant, à première vue, que peu de raisons de se rapprocher. La France du Second Empire est l’une des premières puissances à se rendre au Japon et elle démontre rapidement un vif intérêt pour le développement du Japon. Dès la signature des premiers traités en 1859, la présence française se développe pour atteindre son sommet quelques années plus tard. Malgré les changements de régime au Japon et en France, cette présence restera forte jusqu’au début des années 1880, avant de décliner. Qu’est-ce qui explique cet intérêt? Et, surtout, qu’est-ce qui explique le désintérêt de la France après les années 1880? Il n’y a que quelques auteurs qui ont tenté d’y trouver des réponses, et celles-ci sont, à notre point de vue, peu concluantes: soit la France agit pour faire grandir son prestige, soit elle agit en fonction de ses représentants. Nous tenterons dans le présent travail de cerner et, si possible, de trouver en utilisant une variété de sources françaises une autre cause plus convaincante comme explication de la position française au Japon. Serait-ce le commerce qui a motivé la France au Japon, notamment à cause de la crise du ver à soie? Serait-ce la religion, avec toute la question des persécutions des chrétiens? Ou encore, est-ce une raison plus globale liée à la colonisation de l’Indochine? Afin d’y répondre, nous avons étudié avec minutie les archives du gouvernement français ainsi que les données économiques de l’époque, afin de cerner l’importance qu’ont eue certaines raisons, telles la crise de la soie, les persécutions religieuses et la présence française en Indochine, dans les décisions du gouvernement français.
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Este trabajo explica las razones por las cuales China se estrecha sus vinculos con Afirca. El tema principal es el inicio de la relacion sino-sudanesa y la evolucion de esta hasta el fin de la guerra civil en Sudan.
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Conocer la obra institucionista fundada en Toro (Zamora). El trabajo se centró principalmente en el uso, estudio y análisis de fuentes primarias, teniendo un carácter primordial las actas de Juntas de Patronos, las memorias inéditas de Organización Escolar y los reglamentos y estatutos fundacionales. Las fuentes secundarias se usaron para la contextualización de la Fundación, tanto en su contexto castellano como en su contexto histórico. Se utilizó el método histórico pedagógico a través del seguimiento de las etapas heurística, crítica, hermenéutica y exposición. La Fundación González Allende no es una fundación al uso. Pese a circunstancias políticas y educativas, se mantuvo la alianza fundacional entre docentes y patronos, primando la democracia cultural y pedagógica. Los docentes se adaptaron a las circunstancias requeridas por el patronato. Para ellos la fundación era más que un lugar de trabajo, porque el carácter benéfico de las enseñanzas daba una concepción diferente de los procesos de enseñanza así como de los actores que en ellos intervenían. La Fundación garantizaba a sus alumnos comida, cultura y ocio, por lo que los padres veían en las escuelas, no sólo un medio para la formación académica y profesional, sino un espacio para el bienestar social y sanitario de sus vástagos.
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Se estudian los orígenes de la Guerra Fría, iniciada tras la conferencia de Yalta en 1945. Fue un conflicto entre Estados Unidos y sus aliados, por una parte y la URSS (Unión de Repúblicas Socialistas Soviéticas) y sus aliados, por otra. No supusó un enfrentamiento directo entre los dos países, sino un período sostenido de tensión internacional, que finalizó con la caída de la URRS en 1991. Durante este tiempo, los dos países eran potencias económicas, a nivel mundial y, superpotencias por su inmensa fuerza militar. Incluye prácticas adecuadas para exámenes del General Certificate Secondary Education (GCSE) en sus especificaciones para AQA, EDEXCEL y OCR.