999 resultados para Savoir-vivre à table -- Ouvrages avant 1800
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Comparer aussi, Cat. imp., liv. 106, f. 21 (Xin fa suan shu, 100 livres).Publiée par ordre impérial avant 1644, par Xu Guang qi et le P. Terenz (1576-1630).
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Contient : 1 « Definition d'amour », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 2 « Rondeau », par « S[AINT] G»[ELAIS] (fol. 2). Refrain : « Mal ou bien » ; 3 « Le Courtisant » [par BALTHASARD DE CASTIGLIONE] ; 4 « Epistre » ; 5 Épigramme contre le duc de Guise et le cardinal de Lorraine ; 6 « Epistre de J[ACQUES] C»[OLIN] ; 7 « Epistre du chevalier navré et prins devant Pavie à sa dame negligente de luy escribre » ; 8 « Epistre » ; 9 « Epistre » ; 10 « Compte d'amour fugitif, translaté de grec en latin par POLITIAN, et de latin en françois par CLEMENT MAROT » ; 11 « Six Dames de Paris à Clement Marot », épître, par « JANNE DEMONT » ; 12 « Epistre de CLEMENT MAROT à trois sortes de dames parisiennes » ; 13 « A six dames, Dieu sçait quelles, qui luy envoierent une epistre pleine de ce qu'elles sçavent dire », par le même ; 14 « A celles de qui ledict MAROT ne vouldroit perdre la grace » — Commençant (fol. 60) par: Et vous aultres bien saiges... » ; 15 « CLEMENT MAROT aux gentilz veaulx « Qui ont faict les adieux nouveaulx » ; 16 Huit rondeaux, par « C[LEMENT] M»[AROT]. Refrains ; 1 « Au temps passé » ; 2 « Avant mes jours » ; 3 « En la baisant » ; 4 « Toutes les nuictz » ; 5 « S'il est ainsy » ; 6 « D'avoir le pris » ; 7 « Tout à par soy » ; 8 « De nuict » ; 17 « Dixain », par « C[LEMENT] M»[AROT] ; 18 Cinq rondeaux, par « J[ACQUES] C»[OLIN]. Refrains ; 1 « Je le voy bien » ; 2 « Quand j'ay voulu » ; 3 « Taire ou cryer » ; 4 « En me taisant » ; 5 « Incontinent » ; 19 Sept rondeaux, par « J. G ». Refrains ; 1 « De m'acquiter » ; 2 « Sy ne revient » ; 3 « Si longuement » ; 4 « L'honesteté » ; 5 « Tout vient de Dieu » ; 6 « Oultre mon gré » ; 7 « De ton ennuyt » ; 20 Cinq rondeaux, par « J[EAN] MA»[ROT]. Refrains ; 1 « Contre le coup » ; 2 « Plus chault que feu » ; 3 « Dont vient cela » ; 4 « D'un seul regard » ; 5 « Pour le deduyt » ; 21 Quatorze rondeaux. Refrains ; 1 « Au feu d'amours » ; 2 « Aupres du vif » ; 3 « Comme ung phoenix » ; 4 « Mort ou mercy » ; 5 « Faict ou failly » ; 6 « Sy mieulx ne vient » ; 7 « De grise teste » ; 8 « D'estre amoureux » ; 9 « A ma requeste » ; 10 « Je n'en veuls point » ; 11 « Au tour de vous » ; 12 « Maulgré moy » ; 13 « Quand je vous voy » ; 14 « Ung jour » ; 22 « Dixain » ; 23 Trois stances amoureuses sur les mêmes rimes ; 24 « Dixain » ; 25 « Huittain » ; 26 Deux quatrains, par « L[A] M»[AISONNEUVE] ; 27 Huitain ; 28 Deux quatrains ; 29 Deux huitains ; 30 Deux huitains ; 31 « Epitaphe » ; 32 Deux huitains ; 33 Huitain ; 34 Deux huitains ; 35 Huitain ; 36 « La Royne de Navarre, du dieu Cupido » ; 37 « Dixain » ; 38 « Complaincte fort lugubre » ; 39 « In amorem furem », épigramme latine ; 40 Traduction de l'épigramme précédente, par « STROSIUS, poeta ferrariensis » ; 41 « AUSONIUS e greco », texte latin et « translat » de l'épigramme suivante ; 42 Trois quatrains amoureux, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] ; 43 « Dixain » ; 44 Pièce de vers de « CHAP»[UIS] ; 45 Epigramme sur « les Blancs Manteauls » ; 46 « Response » de « MAROT » à l'épigramme précédente ; 47 Deux huitains ; 48 « Response » aux huitains précédents ; 49 Rondeau, par « CHAP»[UIS]. Refrain : « Che foeu » ; 50 Deux rondeaux. Refrains ; 51 Rondeau, par [LA] « M[AISON] N»[EUVE]. Refrain ; 52 Rondeau (fol. 97). Refrain : « En bone foy » ; 53 Dixain « pour les dames de la rue S. Antoine », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 54 En envoyant un portrait, par « H. J. » ; 55 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 56 Vers sur l'«amour », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 57 Deux quatrains, par « COLIN » ; 58 Quatrain, par « CHAP»[UIS] ; 59 « Rondeau » (fol. 100). Refrain : « A Dieu » ; 60 Dixain ; 61 Huitain ; 62 Dixain, par [LA] « M[AISON] N»[EUVE] ; 63 Trois sixains, par « CHAP»[UIS] ; 64 Douzain, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] et « CHAP»[UIS] ; 65 Dixain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 66 Vers sur une « amitié... decousue », par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 67 Deux quatrains, par « C[LAUDE] C»[OLLET] ; 68 Quatrain, par « CHAP»[UIS] ; 69 « Blason de couleurs », par « BRO»[DEAU] ; 70 Huitain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 71 « Enigme » ; 72 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 73 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 74 Plainte d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 75 ; 76 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 77 « Response d[e] MACAULT » ; 78 Dixain ; 79 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 80 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 81 « Dixain », par « CHAP»[UIS] ; 82 Huitain, par « S»[AINT-GELAIS] ; 83 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 84 Sept vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 85 A une dame qui avait mêlé sa voix au son du luth de « SAINCT GELAIS » ; 86 Huitain, par « M. T. » ; 87 Huitain, par « M. T. » ; 88 Dixain, par « T. » ; 89 Huitain, par « T. » ; 90 Huitain, par « T. » ; 91 Dixain, par « le roy » [FRANÇOIS Ier] ; 92 « Rithme françoise tirée d'un epigramme latin de JONI PONTAN » ; 93 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 94 Dixain ; 95 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 96 Dixain, par « S[AINT] G»[ELAIS] ; 97 « Envoy » ; 98 Huitain, par « LA M»[AISONNEUVE] ; 99 Dixain, par « GHAP»[UIS] ; 100 Dixain ; 101 Neuf vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 102 Cinq quatrains d'amour ; 103 Huitain, par « CHAP»[UIS] ; 104 Dixain, par « CHAP»[UIS] ; 105 Sept vers d'amour, par « CHAP»[UIS] ; 106 « Pour monsieur de S. », dixain ; 107 Huitain ; 108 « Response » ; 109 Dixain ; 110 Dixain « du roy » [FRANÇOIS Ier] ; 111 Unzain « d'une qui allumat le foeu de la S. Jehan » ; 112 Douzain « de monseigneur le cardinal DE TOURNON » ; 113 Quatrain, par « M. D. L. »
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Contient : 1 « Advis sur l'histoire genealogique de la maison de France des Srs de Saincte Marthe, envoiez le 4 mars, l'an 1635 » ; 2 « Memoires des chanceliers de France » ; 3 « Annotations sur les Memoires de M. Jean Du Tillet » ; 4 « Observatio de Conradi Salicis, imperatoris, et Giselae, ejus uxoris cognatione » et « de Henrico IV, imperatore » ; 5 « Chronologie des règnes des rois de France des deux premières lignées » ; 6 « Collection de plusieurs extraicts d'histoires, chroniques et tiltres touchant le mariage du roi Philippe Ier avec Bertrade de Montfort, son divorce, et l'excommunication qu'il encourut pour ce faict » ; 7 « Philippe Auguste. Sur la dissolution du mariage du roy Philippes Auguste avec Ingeburge de Dannemark » ; 8 « Memoires pour le Bearn », savoir : a. « Memoires de la souveraineté de Bearn » (fol. 127 à 138); b. « Bearn, ou traicté du Bearn et des seigneurs qui en ont tenu le tiltre » (fol. 139 à 153); c. Les feuillets 144 et 145, 146 à 148, 152 et 153 contiennent trois brouillons de lettres sur le même sujet, et le second est daté du « 1er novembre 1620 »; d. « Memoire des vicomtes de Bearn » (fol. 154-159); e. « Memoire des vicomtes de Bearn » (fol. 160-5) ; f. « Force braves seigneurs » (fol. 166-9); g. « Memoires du Bearn » (fol. 170-8) ; 9 Foix ; 10 Suite des Mémoires concernant le Bearn, savoir : h. « Fors et costumas de Bearn » (fol. 180); i. « Extraict d'un gros inventaire du tresor des cartes de Bearn » (fol. 181); j. Vicomtes de Bearn (fol. 183-4) ; 11 Comtes de Toulouse, chronique en provençal : « Aiso es comtes que ag d'Azam entro al diluvi... Anno Domini MCC LXXV, iij die introitus mensis junii obiit nobilis vir dominus Sicardus Alamanni, cujus anima requiescat in pace » ; 12 Lettre signée : « Gaudineau » et adressée de « Luçon, le 24 may 1620... à M. l'advocat du roy et mayre, à Fontenay » ; 13 Factum contre « defuncte Jeh. de S. Martin, qui par son testament avait violé la coutume de Poitou » ; 14 Vicomtes de Bearn ; 15 « Project de l'origine de Hugues, roy d'Italie » ; 16 Poitou, Guyenne, Toulouse, ou histoire des comtes de Toulouse ; 17 Au feuillet 254 brouillon de lettre; au feuillet 255 dessins de sceaux : a. « S. Raimundi, Dei gra comitis Tolose, march. Provincie »; b. Autre figure, même légende. Dans a, le comte de Toulouse est représenté assis; dans b., il est représenté à cheval. Au feuillet 257 dessins de sceaux : a. « S. Alfonsus, fili. reg. Franc., comes Pict. et Tolose »; b. « S. R. Dalfini, comitis clr. ». Au feuillet 259 dessins de sceaux : a. Sigillum Ademari »; b. contresceau : « comitis Valemtinensis ». Au feuillet 261 dessins de sceaux : a. « S. comitis Provincie »; b. « Sigillum Raimundi Berengeri ». Au feuillet 262 dessins de sceaux : a. « S. comisse, uxoris Bereng., comitis et march. Provincie et comitis Forcalhari »; b. « Arma comitis a Sabaudie et marchis Italie » ; 18 « Mathildis comitissa » ; 19 Hugues, roi d'Italie, et Mathilde, la comtesse ; 20 Les mariages consanguins ; 21 Anthemius, etc., note adressée à l'év. de Poitiers, mise au net « le 16 fevrier 1640 » ; 22 « Regnante Christo », note sur cette formule ; 23 « Memoires pour Mr Du Chasteler-Barlot, contre les quatre tiltres qu'on luy oppose touchant la capitainerie de l'isle de Bouyn » ; 24 Lettre concernant les comtes d'Auvergne ; 25 Lettre ; 26 Lettre sur Chastelaillon et La Rochelle. Date : « A Fontenay le Comte, le 19 mars 1628 » ; 27 Lettre concernant Hugues Capet. Date : « A Paris, ce 7 mars 1633 ». Signé : « Besly » ; 28 « Galliae distributio » ; 29 Note sur la ville de « Vivonne » ; 30 Note sur Thouars et ses vicomtes ; 31 « De Melusine, dame de Lezignan » ; 32 « De S. Hilario Trevirensi » ; 33 Mémoire sur les comtes de Toulouse
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Le protestant a la réputation de ne pas savoir profiter de la vie. Ainsi, autour d'une table "interconfessionnelle", il aurait tendance à être le rabat-joie, celui qui, sérieux comme un pape(!), pontifie dans son coin, alors que les autres se réjouissent, boivent et mangent! Évidemment, la caricature ne résiste pas à l'analyse, comme le démontre cette auto-interview.
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La réflexion sur l’intégration au travail des nouvelles enseignantes touche de plus en plus la communauté des chercheurs en éducation. Avec la valorisation de la pratique réflexive, l’enseignante se voit plus que par le passé autorisé à exercer une grande liberté d’action dans son travail, ainsi qu’une grande autonomie en ce qui à trait à l’exécution de sa tâche. Cette liberté peut être lourde à porter, surtout lorsqu’on entre dans le métier. Aussi, pour soutenir cette liberté et la diriger, la référence aux valeurs demeure fondamentale. Dans le présent mémoire, nous tentons d’en savoir plus sur les valeurs qui animent ces nouvelles venues, et comment celles-ci les aident à vivre leur intégration et à concevoir leur place dans le métier. La cueillette des données effectuée à partir de leurs réflexions, souvent profondes, sur les valeurs personnelles, les valeurs au travail et le rapport au métier, permet une analyse du discours basée sur le ressenti et l’expérience. C’est en puisant dans les thèses de la modernité et de la postmodernité, toutes deux parlantes quant à l’époque actuelle, que nous tentons de mieux cerner et induire les valeurs propres aux enseignantes ayant participé à notre étude phénoménologique de type exploratoire. Grâce à l’analyse de contenu, nous sommes à même de constater que malgré une ligne de partage présente entre certaines valeurs dites modernes et postmodernes, il n’en demeure pas moins qu’une tendance se dessine : nos nouvelles enseignantes désirent être fidèles d’abord et avant tout à elles-mêmes, même si cela implique l’abandon du métier qu’elles envisagent toutes comme une possibilité, sans exception. Cela en dit long sur leurs priorités et leurs valeurs au travail. Il est clair qu’elles travaillent de manière à se sentir authentiques, toujours avec le souci de savoir s’adapter aux nouvelles situations. Cependant, même si certaines d’entre elles trouvent plus ardu de s’adapter à une demande en matière de flexibilité professionnelle à la hausse, il n’en demeure pas moins que la flexibilité au travail est un élément désormais bien intégré à l’habitus professionnel des enseignantes pratiquant depuis dix ans et moins. Si postmodernes que ça nos nouvelles enseignantes? Oui.
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Dans le contexte actuel de l’éducation au Québec où la réforme des programmes de formation des jeunes appelle un renouvellement des pratiques d’enseignement, notre recherche s’intéresse au développement de la dimension didactique de la pratique liée à l’enseignement des mathématiques qui est considéré comme l’un des éléments clés des nouvelles orientations. Nous abordons la question par le biais de la collaboration de formation initiale pour l’enseignement des mathématiques au primaire qui se vit en stage entre des praticiennes en exercice et en formation et une didacticienne des mathématiques. Cette rencontre sur le terrain des stages au primaire entre praticiennes et didacticienne, longtemps réclamée et rendue possible à l’UQAT , nous a amené à formuler une première question de recherche touchant ce qui se construit à travers les échanges de ces partenaires de la formation au cours des supervisions pédagogiques conjointes qui les réunissent en stage. Nous avons cadré ce questionnement à partir des balises théoriques de la didactique professionnelle qui proposent modèle et concepts pour expliciter l’activité professionnelle et traiter des phénomènes de développement des compétences professionnelles en contexte de travail et de formation. La didactique professionnelle attribue un rôle essentiel à la communauté de pratique et au processus d’analyse de l’expérience dans le développement professionnel des novices et dans l’explicitation d’un savoir d’action jugé pertinent et reconnu. Nous y faisons donc appel pour poser le potentiel que représentent les échanges issus de la collaboration quant à leur contribution à l’établissement d’un savoir de référence pour l’enseignement des mathématiques. La didactique professionnelle propose également le recours au concept de schème pour décrire l’activité professionnelle et à l’idée de concepts organisateurs comme élément central de l’activité et comme variable de la situation professionnelle concernée. Nous recourons à ces mêmes concepts pour expliciter le savoir de référence pour l’enseignement des mathématiques qui émerge à travers les échanges des partenaires de la formation. Dans le cadre d’une étude de cas, nous nous sommes intéressée aux échanges qui se déroulent entre une stagiaire qui effectue son troisième et avant dernier stage , l’enseignante-associée qui la reçoit et la chercheure-didacticienne qui emprunte le rôle de superviseure universitaire. Les échanges recueillis sont issus de trois cycles de supervision conjointe qui prennent la forme de rencontres de préparation des situations d’enseignement de mathématique; d’observation en classe des séances d’enseignement pilotées par la stagiaire auprès de ses élèves; et des rencontres consacrées à l’analyse des situations d’enseignement observées et de l’activité mise en œuvre par la stagiaire. Ainsi les objets de discussion relevés par les différents partenaires de la formation et la négociation de sens des situations professionnelles vécues et observées sont analysés de manière à rendre visibles les constituants de l’activité professionnelle qui sont jugés pertinents par la triade de formation. Dans un deuxième temps, en partant de cette première analyse, nous dégageons les concepts organisateurs des situations professionnelles liées à l’enseignement des mathématiques qui sont pris en compte par la triade de formation et qui constituent des variables de la situation professionnelle. Les constituants de l’activité et des situations professionnelles qui résultent de cette analyse sont envisagés en tant que représentations collectives qui se révèlent à travers les échanges de la triade de formation. Parce que ces représentations se sont trouvées partagées, négociées dans le cadre des supervisions pédagogiques, elles sont envisagées également en tant que savoir de référence pour cette triade de formation. Les échanges rendus possibles entre les praticiennes et la didacticienne placent ce savoir de référence dans une dynamique de double rationalité pratique et didactique. Enfin, partant de l’apport déterminant de la communauté de pratique et de formation de même que du savoir de référence que cette dernière reconnait comme pertinent dans le développement professionnel des novices, les résultats de cette recherches peuvent contribuer à réfléchir la formation des futures enseignantes en stage en ce qui a trait à l’enseignement des mathématiques au primaire.
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Responsabilité sociale (RSE) et droit financier sont souvent perçus comme des notions appartenant à des sphères différentes. La première serait une ouverture sur des préoccupations de long-terme et de nature extra-financière ; la seconde se caractériserait par une concentration sur le court-terme et une recherche de maximisation d’un retour financier. Toutefois, si cette croyance a longtemps prévalu en Europe, il apparaît que les temps changent. La crise financière, économique, sociale, environnementale oblige à repenser certains fondamentaux dont celui de l’hermétisme de la finance à la RSE. Bien qu’habituellement l’investissement socialement responsable soit l’authentique cheval de troie de cet intérêt du monde financier pour d’autres modes de pensées et de croyances se résumant en une fascination pour le credo néolibéral, il nous semble que la construction contemporaine du droit financier va bien au-delà de cette observation. En effet, le droit des sociétés et financier que l’Europe rebâti sur de nouvelles bases paraît animé d’un souffle nouveau... celui de la RSE. Qu’il s’agisse de l’architecture de la finance, de ses acteurs, de son information ou de ses principes sous-jacents, tout semble s’orienter vers une « RSisation » de la finance européenne. À défaut d’une telle orientation, le risque est grand pour l’Europe. À ce titre, n’oublions pas ce qu’écrivait Simonde de Sismondi au XIXe siècle : « [C]e n’est point [...] d’une manière absolue que la richesse et la population sont les signes de la prospérité des États ; c’est seulement dans leurs rapports l’un avec l’autre. La richesse est un bien lorsqu’elle répand l’aisance dans toutes les classes ; la population est un avantage lorsque chaque homme est sûr de trouver par le travail une honnête existence. Mais un État peut être misérable encore que quelques individus y accumulent des fortunes colossales ; et si sa population [...] est toujours supérieure à ses moyens de subsistance, si elle se contente pour vivre du rebut des animaux, si elle est sans cesse menacée par la famine, cette population nombreuse, loin d’être un objet d’envie ou un moyen de puissance, est une calamité. »