236 resultados para SOMATOTROPH ADENOMAS
Resumo:
Growth hormone secretion is classically modulated by two hypothalamic hormones, growth hormone-releasing hormone and somatostatin. A third pathway was proposed in the last decade, which involves the growth hormone secretagogues. Ghrelin is a novel acylated peptide which is produced mainly by the stomach. It is also synthesized in the hypothalamus and is present in several other tissues. This endogenous growth hormone secretagogue was discovered by reverse pharmacology when a group of synthetic growth hormone-releasing compounds was initially produced, leading to the isolation of an orphan receptor and, finally, to its endogenous ligand. Ghrelin binds to an active receptor to increase growth hormone release and food intake. It is still not known how hypothalamic and circulating ghrelin is involved in the control of growth hormone release. Endogenous ghrelin might act to amplify the basic pattern of growth hormone secretion, optimizing somatotroph responsiveness to growth hormone-releasing hormone. It may activate multiple interdependent intracellular pathways at the somatotroph, involving protein kinase C, protein kinase A and extracellular calcium systems. However, since ghrelin has a greater ability to release growth hormone in vivo, its main site of action is the hypothalamus. In the current review we summarize the available data on the: a) discovery of this peptide, b) mechanisms of action of growth hormone secretagogues and ghrelin and possible physiological role on growth hormone modulation, and c) regulation of growth hormone release in man after intravenous administration of these peptides.
Resumo:
Les lésions surrénaliennes surviennent dans la population générale à une fréquence d’environ 2-3%. Parmi les anomalies génétiques identifiées jusqu’à présent dans les tumeurs surrénaliennes, les mutations somatiques de β-caténine sont les plus prévalentes. Elles sont présentes dans environ 20% des adénomes et carcinomes cortico-surrénaliens. β-caténine est l’élément central de la voie canonique de WNT qui joue un rôle crucial dans le développement embryonnaire, l’homéostase et la tumourigenèse. Les mutations activatrices de β-caténine conduisent à l’accumulation nucléaire de β- caténine qui interagit avec les TCF/LEF-1 qui active la transcription des gènes cibles. Les gènes cibles de β-caténine, varient et dépendent du contexte cellulaire. Dans la glande surrénale, les gènes cibles de β-caténine sont inconnus. Nous avons effectué des études de microarray qui nous ont permis d’identifier 490 transcrits dérégulés dans les adénomes corticosurrénaliens porteurs de mutations ponctuelles de β-caténine. L’expression aberrante d’ISM1, RALBP1, PDE2A, CDH12, ENC1, PHYHIP et CITED2 dans les adénomes porteurs de mutations de β-caténine a été confirmée par PCR en temps réel. Le traitement des cellules humaines de carcinome cortico-surrénalien H295R (mutation de CTNNB1, Ser45Prol) avec les inhibiteurs de β-caténine/TCF (PKF115-584 et PNU74654) ont confirmé l'implication de β-caténine dans la régulation transcriptionelle d’ISM1, RALBP1, PDE2A, ENC1 et CITED2. En conclusion, nos travaux ont conduit à l’identification de nouveaux gènes cibles de β-catenin impliqués dans la tumourigenèse cortico-surrénalienne.
Resumo:
Les lésions tumorales cortico-surrénaliennes sont majoritairement des adénomes bénins et très rarement des carcinomes. Les altérations génétiques impliquées dans le développement des tumeurs cortico-surrénaliennes sporadiques, plus particulièrement au stade malin, demeurent à ce jour très peu connues. Lors de travaux récents menant à l’identification d’altérations génétiques de β-CATÉNINE nous avons constaté que plusieurs tumeurs présentaient une accumulation nucléo/cytoplasmique de la protéine β-CATÉNINE sans toutefois contenir de mutations pour ce gène. Nous avons donc émis l’hypothèse que, comme pour d’autres types de cancers, d’autres composants de la voie de signalisation Wnt/β-CATÉNINE, tel qu’AXIN2, pourrait être impliqués dans le développement des tumeurs du cortex surrénalien. De plus, plusieurs aberrations dans l’expression d’AXIN2 et de β-CATÉNINE sont associées à des tumeurs présentant de l’instabilité microsatellite dans d’autres types de cancer, notamment le cancer gastrique et colorectal. Nous avons donc étudié une cohorte de 30 adénomes, 6 carcinomes, 5 AIMAH, 3 hyperplasies ACTH-dépendante et 5 PPNAD ainsi que les lignées cellulaires de carcinomes cortico-surrénaliens humains H295R et SW13. Une étude préliminaire du statut MSI a également été réalisée sur 10 tumeurs contenant une mutation pour AXIN2 et/ou β-CATÉNINE. Nous avons trouvé des mutations d’AXIN2 dans 7% des adénomes (2/30) et 17% des carcinomes (1/6) cortico-surrénaliens. L’analyse fonctionnelle des mutations par immunohistochimie, analyse western blot et analyse de RT-PCR en temps réel a révélé une diminution de l’expression d’AXIN2 associée à cette mutation. L’analyse préliminaire MSI a démontré 1 échantillon AIMAH MSI-H, c’est-à-dire instable pour le locus BAT-25 et BAT-26 et 3 autres adénomes sécrétant de l’aldostérone instables seulement pour le locus BAT-26. Ainsi, ces travaux permirent d’identifier une nouvelle altération génétique associée au développement des tumeurs du cortex surrénalien en plus de rapporter pour la première fois la présence de MSI-H dans ce type de tumeurs.
Resumo:
Dans les cellules somatotropes, la liaison du facteur de libération de l’hormone de croissance (GHRH) à son récepteur (GHRH-R) stimule la synthèse et la sécrétion de l’hormone de croissance (GH) ainsi que la prolifération cellulaire. Chez les mammifères, le vieillissement est caractérisé par une diminution de la sécrétion de GH, liée à une perte de sensibilité des somatotropes au GHRH. Chez le rat âgé, des modifications de niveaux d'ARNm du GHRH-R et une diminution d'affinité et de capacité de liaison du GHRH sont rapportés. Au cours du vieillissement, une augmentation des niveaux de glucose et d’acides gras libres sérique suggère qu’une gluco- ou lipotoxicité puisse contribuer au dysfonctionnement de la fonction somatotrope. À ce jour, la restriction calorique modérée de longue durée (RCMLD) constitue l’intervention la plus efficace pour prévenir ou retarder les détériorations liées à l’âge. Des études ont montré des effets bénéfiques de la RCMLD sur l’axe somatotrope au cours du vieillissement via un maintien des paramètres de liaison du GHRH-R. Compte tenu de l’importance de cet axe, la compréhension des mécanismes menant à la somatopause ainsi que ceux associés aux effets bénéfiques de la RCMLD s’avère importante. Les objectifs principaux de la présente thèse étaient : 1) de déterminer les effets de la RCMLD chez le rat, sur le GHRH-R hypophysaire et la sensibilité des somatotropes au GHRH, 2) d’identifier les mécanismes associés à la somatopause et aux effets bénéfiques de la RCMLD, et 3) de préciser les effets d’une gluco-ou lipotoxicité sur l’axe somatotrope de rats et leur implication dans la somatopause. Des rats de 8 mois ont été soumis à une restriction calorique de 40% jusqu’à l’âge de 18-20 mois et ont été comparés à des rats jeunes et âgés nourris ad libitum. Cette étude a permis de mettre en évidence des effets bénéfiques de la RCMLD sur la régulation et la fonctionnalité du GHRH-R et de proposer que le glucose et les acides gras libres (AGL) circulants soient impliqués dans le vieillissement de la somatotrope. Une étude de micro-puce à ADN à permis d’identifier des gènes associés à des mécanismes de protection et de réparation des dommages cellulaires mis en place dans l’hypophyse antérieure au cours du vieillissement et par la RCMLD. Finalement, les effets d’un stress gluco- ou lipotoxique sur la fonction somatotrope ont été étudiés chez des rats de 2 et 6 mois, infusés 72 h avec une solution de glucose ou d’Intralipides, mimant les niveaux circulants de glucose et d’AGL retrouvés chez le rat âgé. Les résultats obtenus montrent que la glucotoxicité affecte la régulation de certains gènes de la somatotrope, dont le GHRH-R, et suggèrent que la capacité de réponse à ce type de stress est altérée. Les mécanismes par lesquels la glucotoxicité exerce ces effets pourraient inclure la génération de stress oxydant. L’ensemble de ces résultats proposent de nouvelles pistes mécanistiques qui pourraient contribuer au retardement de la somatopause et, ultimement, à l’élaboration de nouvelles stratégies d’intervention nutritionnelles ou pharmacologiques ciblant les mêmes voies que la RCMLD, avec une efficacité similaire ou supérieure.
Resumo:
Une dérégulation de la voie de signalisation Ras/Raf/MEK/ERK1/2 est observée dans plus de 30% des cancers et des mutations activatrices de RAS sont observées dans 30% à 50% des adénomes colorectaux. À la suite d’une analyse extensive de biopsies de tumeurs colorectales humaines par micromatrices tissulaires (TMA), nous avons observé que 44% des tissus cancéreux exprimaient MEK1/2 phosphorylés, contre 10% des tissus normaux. L'analyse des TMA a également révélé que 79% des tumeurs arboraient un marquage nucléaire de MEK1/2 phosphorylés, contre 4 % pour les tissus normaux. Bien que la voie MEK/ERK1/2 soit fréquemment activée dans les cancers, le rôle précis des isoformes de MEK1 et de MEK2 n'a jamais été clairement établie. De même, l'impact de cette localisation nucléaire aberrante de phospho-MEK1/2, dans l'initiation et la progression des cancers colorectaux, est inconnu. Lors d'un premier projet, nous avons démontré, que l’expression de MEK1 ou MEK2 activé est suffisante pour transformer in vitro des cellules intestinales épithéliales de rat (IEC-6). L'expression des mutants actifs de MEK1 ou MEK2 est suffisante pour induire une dérégulation de la prolifération cellulaire et engendrer la formation d'adénocarcinomes invasifs dans un modèle de greffe orthotopique du côlon chez la souris. Nous avons également démontré que l'inhibition de MEK2 par shRNA supprime complètement la prolifération des lignées humaines de cancer du côlon, alors que la suppression de MEK1 a peu d'effet sur la capacité de prolifération. Le deuxième projet, nous a permis d'observer que l'expression d'un mutant nucléaire de MEK1 dans les cellules IEC-6 transforme drastiquement les cellules. Une augmentation de prolifération, une résistance à l'anoikose, un dérèglement du cycle cellulaire, de l'instabilité chromosomique (CIN), de la tétra/aneuploïdie sont observés. La caractérisation des mécanismes responsables de cette localisation aberrante de MEK1/2 phosphorylés, a permis d'identifier la protéine Sef, un régulateur de la localisation cytoplasmique de MEK/ERK1/2. Nous avons démontré que l'expression d'une forme oncogénique de Ras (H-RasV12) inhibe l'expression de Sef, engendrant alors une accumulation nucléaire de MEK1/2 activés. Plus encore, la réexpression de Sef restaure la localisation cytoplasmique de MEK1/2 et renverse les propriétés tumorigéniques ainsi que l'aneuploïdie induite par Ras activé. Un troisième projet, visant la caractérisation des mécanismes associés à la CIN et à l'aneuploïde engendrés par l'activation aberrante de la voie de Ras-ERK1/2, a permis d'observer que l'hyperactivation de ERK1/2 induit des anomalies mitotiques menant à la binucléation. Une localisation erronée et une surexpression de la kinase Aurora A, de même que des protéines de passage du complexe chromosomique (CPC), Aurora B, Survivine et INCENP, sont observées. L'inhibition partielle de l'activation de ERK1/2 par de faible dose de PD184352, un inhibiteur de MEK1/2, est suffisante pour renverser la surexpression de ces régulateurs mitotiques, de même que corriger les anomalies de la mitose et réduire la tétra/aneuploïdie engendrée par Ras oncogénique. Ainsi, nous avons démontré, pour la première fois, que la voie des MAP kinases ERK1/2 est impliquée dans la CIN, la tétraploïdie et l'aneuploïdie. Nos résultats suggèrent que la perte de Sef est un événement oncogénique précoce, qui contribue à la localisation nucléaire aberrante de MEK1/2 qui est observée dans les tumeurs colorectales. Cette localisation anormale de MEK1/2 est associée à l'initiation de la transformation, la progression tumorale et la CIN, via l'activité soutenue de ERK1/2. Ces informations sont capitales et démontrent l’importance de la voie de signalisation Ras/Raf/MEK/ERK1/2 dans le processus de tumorigénèse colorectale.
Resumo:
Los pólipos del colon son un importante factor de riesgo para el desarrollo de neoplasia, su identificación precoz, remoción y clasificación histológica es fundamental para determinar curación y sobrevida. OBJETIVO: Describir las características de los pólipos del colon resecados en un hospital de tercer nivel de Cundinamarca. METODOS: Estudio descriptivo retrospectivo tipo serie de casos, de pacientes mayores de 18 años sometidos a colonoscopía en quienes se resecaron pólipos de colon, durante el periodo 2009 a 2011. RESULTADOS: Durante el periodo de estudio de realizaron 3267 colonoscopías, se excluyeron los pacientes que no tenían pólipos, sin reporte de patología o en quienes no se recupero la pieza para histología. Se analizaron 381 pacientes con pólipos los cuales fueron incluidos en el análisis final. La localización principal de los pólipos fueron recto y sigmoide 66%, poliposis múltiple se identifico en el 2,9%. Los pólipos hiperplásicos fueron los mas frecuentemente diagnosticado, seguido por adenomas tubulares. En los pacientes que se le realizó resección de múltiples pólipos se diagnosticó cáncer en 2. Las indicaciones de realización de colonoscopía que no están claramente aprobadas pero en las cuales se identificaron y resecaron pólipos son mas del 30%. CONCLUSIONES: La mayoría de pacientes eran mujeres, sigue siendo el sangrado digestivo la principal indicación de realización de colonoscopía. Los pólipos hiperplásicos seguido de los adenomas son el principal hallazgo de patología.
Resumo:
Objective: To explore and define the utility of different strategies for primary prevention (ASA, diet, physical activity) and strategies of screening test (FOBT, sigmoidoscopy, colonoscopy, etc.) for colorectal cancer. Data source: Databases consulted were MEDLINE (1966 to 2006), DARE (1980 to 2006), Cochrane Central Register of Controlled Trials, Cochrane Collaboration’s Registry of Clinical Trials, Cochrane Database of Systematic Reviews and LILACS. Study selection: Studies such clinical trial, cohort and case-control studies of the effectiveness of tests for screening and primary prevention adenoma and colorectal cancer were identified by two reviewers. Data Extraction: The extraction of data and its evaluation is done in most of the process so paired. Limitations: Not strictly complies with the methodology of a systematic review and therefore reproducibility is questionable, the conclusions of this study should be extrapolated with caution. Conclusions: The major strategy of screening on the effectiveness of early detection of premalignant lesions or cancer is colonoscopy every 5 years, however it is necessary to evaluate this measure cost-effectiveness studies. For primary prevention, aspirin and cyclooxygenase-2 inhibitors reduce the incidence of colorectal adenomas. Aspirin can reduce colorectal cancer incidence. However, these medications may be associated with a significant risk of cardiovascular events and gastrointestinal bleeding. The balance between risks and benefits must be evaluated in future studies.
Resumo:
The aim of this study was to evaluate Ki-67 and Bcl-2 protein expression in the normal colorectal mucosa adjacent to adenomatous polyps in women with breast cancer. A cross-sectional, controlled study was conducted in 35 women with and without breast cancer who had adenomatous colorectal polyps. The patients were divided into two groups: Group A (a control group of women without breast cancer, n = 18) and Group B (a study group of women with breast cancer, n = 17). A sample of normal colonic mucosa was collected at a distance of 5 cm from the polypoid lesion to evaluate immunchistochemical expression of the Ki-67 and Bcl-2 proteins. Student`s t-test and the chi-square test were used to analyse Ki-67 and Bcl-2 expression, respectively. Statistical significance was established at p < 0.05. The mean percentage of Ki-67-stained nuclei in Groups A and B was 25.12 +/- 2.08 and 41.50 +/- 1.85, respectively (p < 0.001), whereas the percentage of cases with cells expressing Bcl-2 in Groups A and B was 17.6% and 82.4%, respectively (p < 0.003). In the present study, greater proliferative activity and greater expression of the antiapoptotic protein Bcl-2 was found in the normal colorectal mucosa of women with breast cancer. (C) 2009 Elsevier Ltd. All rights reserved.
Resumo:
A prolactina (PRL) é um hormônio peptídico sintetizado e secretado, principalmente, pelas células lactotróficas da glândula hipófise anterior, tendo como principal função a indução e manutenção da lactação. Existem três formas moleculares de PRL na circulação: PRL monomérica (little prolactin) com massa molecular de cerca de 23KDa, PRL dimérica (big prolactin) com 45 a 50KDa, e macroprolactina (big big prolactin) maior do que 150KDa. Esta última está geralmente ligada a imunoglobulinas G. Em condições normais, ou em pacientes com hiperprolactinemia sintomática, predomina em circulação a forma monomérica. A hiperprolactinemia é uma das disfunções endócrinas hipotálamo-hipofisárias mais comuns em mulheres em idade reprodutiva. Ocorre mais freqüentemente por adenomas hipofisários (prolactinomas) e secundária ao uso de drogas com ação central. Na ausência de causas conhecidas, a hiperprolactinemia é considerada como idiopática. Finalmente, pode estar associada ao predomínio de macroprolactina no soro, sendo denominada macroprolactinemia. A suspeita de macroprolactinemia ocorre quando um paciente com hiperprolactinemia não apresenta os sintomas típicos e/ou não tem evidências radiográficas de tumor na hipófise, embora a macroprolactinemia possa estar ocasionalmente associada a prolactinomas. Os objetivos deste trabalho foram: avaliar a freqüência de macroprolactinemia, através da precipitação com PEG, numa amostra de mulheres com hiperprolactinemia; descrever associações da macroprolactinemia com variáveis clínicas, hormonais e de imagem da hipófise; e caracterizar a evolução clínica e dos níveis de prolactina durante o seguimento desta coorte. Realizou-se um estudo descritivo, onde foi estudada uma coorte de pacientes do sexo feminino (n = 32), consultando no HCPA de 1989 a 2005, com diagnóstico de hiperprolactinemia (>26ng/mL) e seguimento com agonistas da dopamina. Após um período de 3 meses sem tratamento (washout), as pacientes dosaram prolactina para investigação dos níveis séricos e presença de macroprolactina, e foram classificadas como aquelas que normalizaram os níveis séricos de prolactina durante estes anos de seguimento (Grupo Hprl prévia) e as que continuaram hiperprolactinêmicas. Estas foram reclassificadas como grupo de hiperprolactinêmicas cuja forma circulante predominante é a prolactina monomérica (Grupo Hprl mono) e o grupo de hiperprolactinêmicas com predominância de macroprolactina (Grupo Hprl macro). O percentual de macroprolactina foi calculado através dos valores de PRL totais obtidos das amostras íntegras em comparação com os níveis de PRL encontrados nas amostras precipitadas com PEG. Recuperações de prolactina monomérica > 50% classificaram a amostra como tendo predomínio de formas monoméricas, o percentual de recuperação 40% foi considerado como predomínio de formas de alto peso molecular (macroprolactinemia), e recuperação entre 40 e 50% indicou indefinição da forma predominante de PRL. A freqüência de macroprolactina foi de 28,1% (n = 32). Pacientes hiperprolactinêmicas com macroprolactinemia são significativamente mais jovens do que as hiperprolactinêmicas com a forma monomérica. Como esperado, tanto as pacientes do grupo Hprl macro como Hprl mono apresentam níveis de prolactina significativamente mais elevados que as pacientes Hprl prévia. Através do método de precipitação com PEG, identificou-se a forma predominante de prolactina na circulação em 71,8% dos casos (n = 32). Verificamos ainda que as pacientes com predominância de macroprolactina não apresentam os sintomas da síndrome hiperprolactinêmica, e na maioria dos casos, possuem exames de imagem por TC normal.
Resumo:
Pleomorphic adenoma and adenoid cystic carcinoma represent a benign and malignant salivary gland neoplasm, respectively, that shares the same histological origin, however with distinct biological behavior. The aim of the present study was identify the -160 C/A polymorphism in the gene CDH1, mutational analysis of CTNNB1 gene and evaluation the expression of the E-cadherin and β-catenin in pleomorphic adenomas and adenoid cystic carcinomas. Furthermore, it was proposed correlate the immunochemistry staining patterns with the polymorphism and mutations. Twenty-four pleomorphic adenomas and 24 adenoid cystic carcinomas were retrieved. The polymorphism analysis was performed by restriction fragment length polymorphism (RFLP), using the restriction enzymes HphI or AflIII and the mutational screening was performed by PCR-single strand conformational polymorphism (PCR-SSCP). The immunohistochemical analysis was taken by the counting of cells, recorded as the Hscore index, and considering the presence or absence, intensity, distribution and localization of proteins expression. Comparing the two neoplasms, the results demonstrated statistically significant difference for the E-cadherin and β-catenin expression, with pleomorphic adenoma presenting weaker immunostaining. Was observed statistical correlation between E-cadherin and β-catenin expression. CDH1 heterozigotic polymorphism was seen in two cases and 13 cases displayed abnormal mobility electrophoretic shifts, suggesting CTNNB1 gene mutation. The immunohistochemical expression was not statistically correlated with the polymorphism or suggested mutations. In conclusion this study supports that the E-cadherin/β-catenin complex immunohistochemical expression might be related with the myoepithelial component amount and differentiation neither the tumor biological behavior. The cases that showed E-cadherin gene polymorphism presented reduced protein expression and, moreover, CTNNB1 suggested mutations seem not influence in the β-catenin protein expression
Resumo:
Pleomorphic adenoma and adenoid cystic carcinoma (ACC) consist benign and malignant neoplasm from salivary gland, respectively. These neoplasms share some characteristics, such as cellular origin and considerable production of extracellular matrix, however, with distinct biological behavior. The aim of the present study was to compare the expression of D2E1, D3E1 e D5E1 integrins in pleomorphic adenoma from minor and major salivary glands and ACCs. Furthermore, it was investigated possible differences in the expression of these integrins according to histological subtypes of ACC. Fourteen cases of pleomorphic adenoma from major salivary gland, fourteen cases from minor salivary gland and ten cases of ACC were selected. It was taken into consideration the presence or absence, localization and intensity of integrin immunoexpression. The cases of pleomorphic adenoma were grouped in order to compare the expression between the distinct neoplasms. It was observed a highly significant difference (p<0,0001) in relation to D2E1 integrin between the neoplasms since pleomorphic adenoma showed a pronounced immunostaining. It was not possible to perform statistical tests considering the D2E1 integrin expression; nevertheless, it could be observed a tendency of higher staining in pleomorphic adenoma. For comparative reasons the cases ACCs were divided in two groups: solid and tubular/cribriform. It was not detected significant differences in regard to D2E1 integrin; and statistical analysis could not be realized in relation to D3E1 and D5E integrin expression. However, it was also verified a tendency of absence or reduced expression in the solid subtype. It can be concluded that the reduced D2E1 integrin expression observed in CACs may be related to a lesser degree of cell differentiation in this neoplasm and the reduced D5E1 integrin expression can be associated with aggressive biological behavior. Moreover, the absence and/or reduced expression of the studied integrins in solid ACC suggests a role in pathogenesis and more aggressive biological behavior of this histological subtype
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
Resumo:
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
Resumo:
Benign and malignant thyroid tumors constitute a wide range of neoplasias showing recurrent chromosome abnormalities. In an attempt to characterize specific numerical chromosome abnormalities in thyroid tissues, We present here the findings from a study of archival samples depicted by 10 malignant tumors, 30 benign lesions, and 10 normal thyroid tissues. Fluorescence in situ hybridization was performed on noncultured samples using biotinylated centromere-specific probes for chromosomes 7, 10, and 17. Trisomy or tetrasomy 7 were present in 19 benign and in 7 malignant tumors. Trisomy 10 or 17 were observed in 18 adenomas or goiters and in 9 carcinomas, and monosomy 17 was seen in 2 carcinomas. Our findings suggest that such abnormalities are an in vivo phenomenon and may be important in the neoplastic proliferation of thyroid gland. (C) Elsevier B.V., 2000. All rights reserved.
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)