995 resultados para Rites et cérémonies
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L'État est une organisation qui revendique et réussit généralement à faire respecter un monopole ultime de la force sur un territoire donné. Un tel monopole se traduit par l’imposition de sanctions à quiconque utilise la force sans une permission spécifique ou générale du monopoleur. Certes, il y a des conditions d'existence de l’État que cette définition ne saisit pas -une certaine reconnaissance de sa légitimité, par exemple-; elle ne réussit pas la tâche difficile de formuler des conditions suffisantes de l'existence de l’État. Mais elle se rapproche suffisamment de l’acception ordinaire du terme et elle nous servira assez bien pour que l'on s’en satisfasse. La revendication et l'exercice habituel d’un monopole ultime de la force constituent certainement, à tout le moins, des conditions nécessaires de l’existence de l'État. En plus de sa compatibilité avec ce que l'usage général perçoit comme le plus petit commun dénominateur, l'expérience historique ou la nature de l'État, cette définition offre l'avantage important de ne rien présumer de la question de l'État, de son fonctionnement de sa finalité, de son utilité et de sa moralité, bref de sa justification. C'est une pétition de principe trop courante que d'inclure dans la définition de l'État les fondements de sa justification. Tel qu’il est vécu, l’État, et surtout l'État démocratique moderne, ressemble fort à un rituel, un ensemble d'actions, de gestes et d'incantations que l’on répète sans effet et dont la véritable valeur réside dans leur répétition même. On chante l’hymne national; on vote tous les deux , quatre ou sept ans; les projets de loi présentés par la majorité parlementaire sont votés en première, deuxième et troisième lecture; on répète que l'État c'est nous. Ces rites ne sont pas nécessairement inoffensifs : les dieux ont toujours aimé les sacrifices. Mais l'une des fonctions sociales du rite, suggère Kenneth Boulding, est de contrer la frustration agressive que les problèmes insolubles engendrent chez les hommes, en leur fournissant un placebo pour solution. Ainsi agiraient les rituels sociaux , la magie, les cérémonies religieuses et les techniques comptables mêmes. Ajoutons le rituel étatique, qui répond au problème redoutable de légitimer une organisation qui prétend employer la force pour imposer l'harmonie. […]
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RESUMÉ DE LA THÈSE EN FRANÇAIS La présente recherche se veut être un examen de la première enquête quantitative menée en Suisse sur les paroisses et communautés religieuses. La recherche vise de à appréhender la dynamique institutionnelle du champ religieux de ce pays. En relation avec une enquête similaire menée aux États-Unis (National Congregations Study, Chaves, 2004) la présente recherche analyse les données récoltées auprès d'un échantillon représentatif de plus de mille responsables spirituels des communautés religieuses de Suisse. Dans la perspective de la sociologie des organisations, elle examine le positionnement des communautés dans le champ institutionnel pour comprendre comment elles s'activent pour se maintenir dans la durée. Les communautés, pour assurer leurs services sur le long terme, sont imbriquées dans des structures confessionnelles avec des contraintes administratives diverses selon leur reconnaissance légale. En conséquence, la dynamique du champ religieux institutionnel est différenciée en trois environnements, selon leur degré de reconnaissance, qui demandent des réponses particulières à chacun pour pouvoir s'adapter et perdurer. Ces trois environnements poussent les groupes qui s'y logent à adopter des structures identiques. Pratiquer la religion ensemble, c'est ainsi se rendre dans une communauté avec une forme de rituel et d'engagement des membres correspondant à la reconnaissance du groupe par la société. Même pratiquée fortuitement, la religion collective est loin d'être un acte fortuit. RESUMÉ DE LA THÈSE EN ANGLAIS Practice the religion together Analysis of parishes and religious congregations in Switzerland in a perspective of sociology of organization This research is intended as a review of the first quantitative survey conducted in Switzerland on parishes and religious communities. The research aims to understand the dynamics of institutional religious field in this country. In connection with a similar survey conducted in the U.S. (National Congregations Study, Chaves, 2004) this research examines data gathered from a representative sample of over a thousand spiritual leaders of religious communities in Switzerland. From the perspective of sociology of organization, it examines the position of communities in the institutional field to understand how they are activated to maintain over time. Communities to ensure their services over the long term, are nested within denominational structures with different administrative constraints according to their legal recognition. Consequently, the dynamics of the religious field is differentiated into three institutional environments according to their degree of recognition, which require specific responses to each in order to adapt and endure. These three environments grow groups staying there to adopt identical structures.
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La mort est au centre de toutes les sociétés. Quelles que soient les procédures funéraires suivies - de la crémation du cadavre à l'embaumement le plus sophistiqué -, la mort fait l'objet de traitements obéissant aux conceptions que les sociétés se font de la mort elle-même, du devenir du défunt et des relations que les vivants entretiennent avec ce dernier. Si la mort donne lieu à des rites funéraires fort variés, ceux-ci partagent cependant des fonctions communes: prendre acte d'une rupture tout en la dissolvant dans le temps long d'une transition, créer un espace dans le temps ordinaire continu, recomposer du lien social là où la mort a imposé un vide.... Etudier les rites funéraires, c'est donc s'intéresser aux réponses culturelles développées par les êtres humains face à la mort biologique, s'interroger sur les pratiques mises en place pour accompagner les défunts, mais aussi aborder la question du deuil et de la séparation des vivants d'avec leurs morts. -- Trois dimensions Pour transmettre ces connaissances, une nouvelle forme de communication multimédia a été mise au point au sein d'une équipe interdisciplinaire sciences humaines-informatique : «les eTalks», un nouveau nom que nous nous permettons d'utiliser désormais en français. Cette nouvelle forme est décrite plus bas. Quant à leur contenu, les eTalks proposés sont issus de deux cycles de formation continue organisés par l'Université de Lausanne et la Haute école pédagogique du canton de Vaud en 2010 et 2012. Les conférences, données par des professeurs d'université, de Hautes Ecoles ou par des praticiens, s'adressaient à un public provenant d'horizons professionnels très variés (enseignants, agents funéraires, membres du corps médical, représentants des communautés religieuses, etc.). Il est donc à relever que les genres littéraires de ces e-talks varient, depuis la communication académique standard, jusqu'aux témoignages de professionnels engagés sur le terrain. -- Pour des raisons de clarté, nous avons regroupé les eTalks en trois sous-thèmes: -- 1. A la découverte des cultures funéraires Génératrice de culture depuis la préhistoire, la mort suscite des attitudes et des pratiques diversifiées selon les époque et les sociétés. Les eTalks regroupés ici visent à présenter et à expliquer des pratiques funéraires développées dans trois traditions religieuses distinctes - l'Egypte ancienne, le monde réformé (du XVIe - XIXe siècle) et l'islam - et invitent ainsi à comparer des usages provenant d'horizons culturels très différents. -- 2. Rites funéraires sur le terrain Dans nos sociétés très institutionnalisées, la mort et les demandes de rites funéraires qui en découlent ont aussi un impact au sein des établissements professionnels que l'on fréquente à différentes étapes de nos vies. Les eTalks regroupés ici s'intéressent aux rites funéraires et à la gestion du deuil dans des institutions telles que l'école, les établissements médico-sociaux, le monde du travail et les pompes funèbres. Ils joignent des recherches menées sur le terrain et rendent compte des expériences vécues par les acteurs institutionnels confrontés à la mort. -- 3. Rites funéraires contemporains Certains déplorent la déperdition des rites funéraires dans nos sociétés contemporaines. Mais en est-il vraiment ainsi ? N'assiste-t-on pas aujourd'hui à une revitalisation des formes rituelles que ce soit à travers la reélaboration de pratiques anciennes ou la création de nouveaux rites ? Les eTalks regroupés ici démontrent en tous les cas une grande vitalité rituelle que ce soit par le biais de la réinterprétation et de l'adaptation des traditions religieuses ou de la créativité dont témoignent des non-croyants. Ils indiquent qu'après un temps marqué par l'éloignement de la mort, nous sommes peut-être engagés dans des formes multiples de réappropriation de cette dernière.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Contient : 1 à 4 Rangs et préséances ; 1 « Memoire pour les rangs des princes et grands » ; 2 « Discours des rangs et preseances de France. Année 1605 » ; 3 « Du differend qui, en l'an 1434, survint au concile de Basle pour la preseance entre les ducz de Bourgongne et de Bretaigne » ; 4 « Preseance entre les ambassadeurs de France et d'Espagne, à Rome, lors de la canonisation de S. Ignace, en aoust 1609 » ; 5 « Extrait de l'Histoire du roy Philippe III par LOUIS CABRERA de Cordoue, historiographe de Castille, lib. V, cap. 13, imprimée à Madrid », en « 1619 » ; 6 « Diverses ceremonies observées aux entrées, sacres des roys, enterremens et autres, et l'ordre de chacun officier de la couronne » ; 7 à 9 Cérémonies ; 7 « Creation de l'office de grand maistre des ceremonies par le roy HENRY III, en janvier 1585, pour le Sr de Rhodes, Guillaume Pot, prevost et maistre des ceremonies » des « deux ordres » du roi ; 8 « Don fait par le roy HENRY [IV] au Sr de Rodes, filz du deffunt Sr de Rhodes, de l'office de grand maistre des ceremonies, en juin 1603 » ; 9 « Don fait par le roy LOUIS XIII à François Pot, sieur de Rhodes, de l'office de deffunt Guillaume Pot, sieur de Rhodes, son pere, en febvrier 1616 » ; 10 et 11 Rangs et préséances ; 10 « Ordonnance du roy CHARLES IX, par laquelle il declare que les officiers de la couronne precederont les ducz, marquis et comtes creez depuis le trespas de son pere le roy Henry II. A Moullins, le 18 mars 1566 » ; 11 « Lettres patentes du roy HENRY III pour la preseance des officiers de la couronne sur les ducz et pairs non princes du sang, à la reserve des quatre maisons de Longueville, Savoye, Lorraine et Mantoue. En l'an 1582 » ; 12 « Habitz royaux et pieces de la royauté » ; 13 « Maistres des ceremonies et prevost de l'ordre » ; 14 « Fault faire advertir ceux qui s'ensuit (sic) d'avoir la robbe longue et chapperon sur l'espaulle... ». Ordre pour une audience d'ambassadeurs ; 15 à 19 Rangs et préséances ; 15 « Reiglement fait par le roy [LOUIS XIII] pour le rang et sceances des princes enfans naturels des roys et de ceux issus des maisons souveraines estrangeres... Fontainebleau, le 15 septembre 1629 » ; 16 « Declaration du roy LOUIS [XIII], que l'arrest du 15 septembre 1629, touchant les rangs des princes autres que du sang de France, ne porte aucun prejudice au rang, preeminence et dignité de M. le duc de Longueville,... Fontainebleau, le 20 octobre 1629 » ; 17 « Declaration du roy CHARLES IX, par laquelle il recongnoist Mre Leonor d'Orleans, duc de Longueville, pour prince du sang, veult que luy et ses enfans masles soyent reputez pour telz et ayent le premier lieu apres les autres princes du sang. Duretal, decembre 1571 » ; 18 « L'ordre qui sera observé jeudy que le roy donnera audience aux ambassadeurs » ; 19 « Memoire touchant la preseance entre evesques et parlemens » ; 20 à 50 Cérémonies ; 20 « Ceremonie observée quand le roy se communie » ; 21 « Ceremonies observées le jour du jeudy saint, au lavement des piedz des pauvres » ; 22 « Ceremonie observée quand le roy touche les malades des escrouelles » ; 23 « Forme que l'on observe pour servir le roy, lorsqu'il est au lit malade » ; 24 « Ceremonie qui s'observe lorsque le roy donne le bonnet à un cardinal » ; 25 « Ceremonie observée par la royne mere [Marie de Médicis], en donnant le bonnet à M. le cardinal de Berulle, le mardy 26 octobre 1627, à Paris » ; 26 « Ceremonies observées à la canonisation de S. Jaques d'Alcala, celebrée en l'eglise de S. Pierre, le 2 juillet 1588 » ; 27 « Ceremonies observées à la canonisation de S. Charles Boromée, le 1 novembre 1618 » ; 28 « Les ceremonies observées à la solemnisation de la paix faite en l'eglise N. D. de Paris, le 21 juin 1598 » ; 29 « Tiré du ceremonial de la chambre des comptes. La paix. Ce jourd'huy 12 juing 1598, Mrs ayans esté advertis du Te Deum que l'on alloit dire en l'eglise de N. D.... » ; 30 « Ceremonies de la confederation entre les royaumes de Hongrie et de Boheme et les provinces incorporées et haulte et basse Austriche, le 25 avril 1620, à Prague » ; 31 « Extrait des lettres de M. DE STE CATHERINE, agent de France » en Allemagne. « Du 6 may 1610 » ; 32 « Ceremonie observée à la procession generalle faite par le roy pour implorer l'ayde de Dieu contre les heretiques. Du mercredy 29 septembre 1568 » ; 33 « Ordre que le roy veult estre gardé et observé en la procession generalle que S. M. entend faire dimanche prochain 26 de ce mois... Fait à Paris, le 23 octobre 1614 » ; 34 « Discours des entreveues. Les roys et princes font quelquefois non seulement des entrées dans les villes de leurs royaumes... » ; 35 « Entreveues du roy Louis XII et de Philippe, archiduc d'Austriche, pere des empereurs Charles V et Ferdinand. A Blois, l'an 1501 » ; 36 Même sujet. Extrait de JEAN D'AUTON ; 37 « Seance du roy Louis XII et du roy Ferdinand d'Arragon, à la messe qu'ils ouirent ensemble à Savonne, le jour de la feste S. Pierre et S. Paul, le 29 juin 1507, celebrée par le cardinal Ste Praxedde, lors legat en Lombardie » ; 38 « Sacre et couronnement du roy Louis XI. L'an 1461, le 14 jour d'aoust, entra Louis, roy de France... » ; 39 « L'ordre tenu au couronnement du roy Jean d'Albret et Catherine de Navarre. Au nom du Seigneur tout puissant, le Pere, le Fils et le S. Esprit, trois personnes en une essence... en tesmoignage de verité, requis de ce faire... ». 1494 ; 40 « L'ordre du sacre et couronnement du roy Henry III pour roy de Polongne. Apres avoir fait son entrée à Cracovie... » ; 41 « L'ordre qui s'observe au sacre et couronnement des roys de Polongne... In primis enim convocantur primores et consiliarii regni... ». En latin ; 42 « Ceremonies observées au sacre et couronnement du roy Henry IV, à Chartres. 1594. Sa Majesté se desirant conformer aux louables coustumes de plusieurs roys, ses predecesseurs... » ; 43 « C'est l'ordre et les rangs que le roy veut estre tenus au sacre et couronnement de la royne. Faict à Paris, le 16 avril 1610 » ; 44 « Les ceremonies du sacre et couronnement du tres chrestien roy de France et de Navarre Louis XIII. Bien qu'en France les roys sont couronnez... Voilà tout ce qui s'est passé de plus remarquable en cette année » ; 45 « Lettres du roy LOUIS XIII à la chambre, pour la resjouissance de son sacre. Tiré du cerimonial de la chambre des comptes. Ce jourd'huy, 22 octobre 1610... » ; 46 « Fonctions de la dame d'honneur au sacre des roynes. Mme de Guiercheville a de la naissance... » ; 47 « L'ordre et façon des Carintiens au couronnement de leurs princes. En ceste province de Carintie, il y a une grande plaine... » ; 48 « Chambre de parade pour le baptesme des enfans de France. La chambre de parade de Monsieur doibt estre tapissée... » ; 49 « Memoire de ce qui s'est passé au baptesme de M. le prince de Piémont, où a esté envoyée Mme de Carnavalet pour representer la personne de la royne mere du roy. Pour satisfaire au commandement que la royne mere du roy a fait au Sr de Storis,... » ; 50 Pièce imprimée de 16 pages, portant pour titre : « L'ordre et triumphe du baptesme de tres hault et tres puissant prince Mgr Loys, second filz de France, duc d'Orleans, faict à S. Germain en Laye, le XIX jour du moys de may M.D.XLIX »