Recherche d'une empreinte phylogénétique reliée à la fonctionnalité des récepteurs couplés aux protéines G

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Contribution relative des sous-types 1 et 5 des récepteurs métabotropes du glutamate dans la potentialisation à long terme des interneurones hippocampiques chez la souris

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Expression des récepteurs EphA dans le raphé dorsal néonatal et adulte

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Distribution et altération des récepteurs centraux des kinines en physiopathologie

Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Étude du rôle des récepteurs des kinines dans la douleur neuropathique chez le rat

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Modulation des réponses des cellules voisines simples et complexes par un contraste différentiel entre le centre et la périphérie des champs récepteurs dans l'aire 17 du chat

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Étude des récepteurs des kinines dans les complications diabétiques chez le rat

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

La valeur prédictive et pronostique d’une faible expression des récepteurs d’oestrogènes en cancer du sein

L’objectif de ce projet fut d’évaluer le bénéfice associé à la thérapie antihormonale (TA) pour les cancers du sein avec des récepteurs d’estrogènes (ER) faiblement positifs (<10 fmol/mg de cytosol). Nous avons identifié 2221 patientes avec cancer du sein dont ER ont été évalués par méthode biochimique (Ligand-Based Assay ou LBA) de 1976 à 1995 et suivies jusqu’en 2008. Des modèles à risques proportionnels de Cox ont été utilisés pour évaluer l’impact des différents niveaux de ER sur la survie au cancer du sein chez les patientes ayant reçu ou non une TA. Parmi les 2221 patientes incluses dans l’étude, 661 (29,8%) ont reçu une TA. Chez celles avec TA, une diminution significative de la mortalité spécifique au cancer du sein n’a été démontrée que pour les niveaux de ER ≥10 fmol/mg de cytosol. Ainsi, ceci ne supporte pas une TA pour les cancers du sein faiblement positif pour ER testés en LBA.

Les récepteurs GPR91 et GPR99 et leur implication dans le développement du système nerveux visuel

Les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) démontrent de plus en plus de capacités à activer des mécanismes jusqu’alors associés à des facteurs de transcription ou des molécules d’adhésion. En effet, de nouvelles preuves rapportent qu’ils pourraient également participer au guidage axonal qui est le mécanisme permettant aux axones de cellules nerveuses de rejoindre leur cible anatomique. Le guidage axonal se fait par l’interaction entre les molécules de guidage et une structure particulière présente à l’extrémité de l’axone, le cône de croissance. Par exemple, les RCPGs participent au guidage des cellules ganglionnaires de la rétine (CGR), dont les axones s’étendent de la rétine jusqu’au noyaux cérébraux associés à la vision. Cet effet est observé avec des RCPGs tels que les récepteurs aux cannabinoïdes (CB1 et CB2) et celui du lysophosphatidylinositol, le GPR55. Les RCPGs GPR91 et GPRG99, respectivement récepteurs au succinate et à l’α-cétoglutarate, se trouvent à la surface de ces CGRs, ce qui en font des candidats potentiels pouvant participer au guidage axonal. Dans ce mémoire, l’effet des ligands de ces récepteurs sur la croissance et la navigation des axones des CGRs fut analysé. L’impact produit par ces récepteurs ainsi que leurs ligands sur la morphologie des cônes de croissance fut déterminé en mesurant leur taille et le nombre de filopodes présents sur ces cônes. Pour évaluer le rôle du succinate et de l’a-cétoglutarate sur la croissance globale des axones de CGRs, la longueur totale des projections axonales d’explants rétiniens a été mesurée. L’effet de ces ligands des récepteurs GPR91 et GPR99 sur le guidage axonal a également été évalué en temps réel à l’aide d’un gradient créé par un micro injecteur placé à 45° et à 100µm du cône de croissance. La distribution in vivo des récepteurs GPR91 et GPR99 sur la rétine a été étudié à l’aide d’expériences d’immunohistochimie. Les résultats obtenus indiquent que l’ajout de 100µM de succinate produit une augmentation de la taille des cônes de croissance et du nombre de filopodes présents à leur surface. Il augmente également la croissance des axones. Ce type de réponse fut également observé lorsque les cellules furent soumises à 200µM d’α-cétoglutarate. Fait à noter, les deux récepteurs n’ont pas d’impact sur le guidage axonal. Ces résultats indiquent donc que les agonistes des récepteurs GPR91 et GPR99 augmentent la croissance des cellules ganglionnaires lorsqu’ils sont présents lors du développement. Par contre, ils n’ont pas d’influence sur la direction prise par les cônes de croissance. Ces nouvelles données sont un pas de plus dans la compréhension des mécanismes qui gèrent et participent au développement et la croissance des CGRs, ce qui pourrait donner de nouvelles cibles thérapeutique pouvant mener à la régénération de nerfs optiques endommagés.

Les récepteurs GPR91 et GPR99 et leur implication dans le développement du système nerveux visuel

Les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) démontrent de plus en plus de capacités à activer des mécanismes jusqu’alors associés à des facteurs de transcription ou des molécules d’adhésion. En effet, de nouvelles preuves rapportent qu’ils pourraient également participer au guidage axonal qui est le mécanisme permettant aux axones de cellules nerveuses de rejoindre leur cible anatomique. Le guidage axonal se fait par l’interaction entre les molécules de guidage et une structure particulière présente à l’extrémité de l’axone, le cône de croissance. Par exemple, les RCPGs participent au guidage des cellules ganglionnaires de la rétine (CGR), dont les axones s’étendent de la rétine jusqu’au noyaux cérébraux associés à la vision. Cet effet est observé avec des RCPGs tels que les récepteurs aux cannabinoïdes (CB1 et CB2) et celui du lysophosphatidylinositol, le GPR55. Les RCPGs GPR91 et GPRG99, respectivement récepteurs au succinate et à l’α-cétoglutarate, se trouvent à la surface de ces CGRs, ce qui en font des candidats potentiels pouvant participer au guidage axonal. Dans ce mémoire, l’effet des ligands de ces récepteurs sur la croissance et la navigation des axones des CGRs fut analysé. L’impact produit par ces récepteurs ainsi que leurs ligands sur la morphologie des cônes de croissance fut déterminé en mesurant leur taille et le nombre de filopodes présents sur ces cônes. Pour évaluer le rôle du succinate et de l’a-cétoglutarate sur la croissance globale des axones de CGRs, la longueur totale des projections axonales d’explants rétiniens a été mesurée. L’effet de ces ligands des récepteurs GPR91 et GPR99 sur le guidage axonal a également été évalué en temps réel à l’aide d’un gradient créé par un micro injecteur placé à 45° et à 100µm du cône de croissance. La distribution in vivo des récepteurs GPR91 et GPR99 sur la rétine a été étudié à l’aide d’expériences d’immunohistochimie. Les résultats obtenus indiquent que l’ajout de 100µM de succinate produit une augmentation de la taille des cônes de croissance et du nombre de filopodes présents à leur surface. Il augmente également la croissance des axones. Ce type de réponse fut également observé lorsque les cellules furent soumises à 200µM d’α-cétoglutarate. Fait à noter, les deux récepteurs n’ont pas d’impact sur le guidage axonal. Ces résultats indiquent donc que les agonistes des récepteurs GPR91 et GPR99 augmentent la croissance des cellules ganglionnaires lorsqu’ils sont présents lors du développement. Par contre, ils n’ont pas d’influence sur la direction prise par les cônes de croissance. Ces nouvelles données sont un pas de plus dans la compréhension des mécanismes qui gèrent et participent au développement et la croissance des CGRs, ce qui pourrait donner de nouvelles cibles thérapeutique pouvant mener à la régénération de nerfs optiques endommagés.

A biological staging model for operable non-small cell lung cancer

Background Currently the best prognostic index for operable non-small cell lung cancer (NSCLC) is the TNM staging system. Molecular biology holds the promise of predicting outcome for the individual patient and identifying novel therapeutic targets. Angiogenesis, matrix metalloproteinases (MMP)-2 and -9, and the erb/HER type I tyrosine kinase receptors are all implicated in the pathogenesis of NSCLC. Methods A retrospective analysis of 167 patients with resected stage I-IIIa NSCLC and >60 days postoperative survival with a minimum follow up of 2 years was undertaken. Immunohistochemical analysis was performed on paraffin embedded sections for the microvessel marker CD34, MMP-2 and MMP-9, EGFR, and c-erbB-2 to evaluate the relationships between and impact on survival of these molecular markers. Results Tumour cell MMP-9 (HR 1.91 (1.23-2.97)), a high microvessel count (HR 1.97 (1.28-3.03)), and stage (stage II HR 1.44 (0.87-2.40), stage IIIa HR 2.21 (1.31-3.74)) were independent prognostic factors. Patients with a high microvessel count and tumour cell MMP-9 expression had a worse outcome than cases with only one (HR 1.68 (1.04-2.73)) or neither (HR 4.43 (2.29-8.57)) of these markers. EGFR expression correlated with tumour cell MMP-9 expression (p<0.001). Immunoreactivity for both of these factors within the same tumour was associated with a poor prognosis (HR 2.22 (1.45-3.41)). Conclusion Angiogenesis, EGFR, and MMP-9 expression provide prognostic information independent of TNM stage, allowing a more accurate outcome prediction for the individual patient. The development of novel anti-angiogenic agents, EGFR targeted therapies, and MMP inhibitors suggests that target specific adjuvant treatments may become a therapeutic option in patients with resected NSCLC.

Herceptest: HER2 expression and gene amplification in non-small cell lung cancer

HER2 is an erbB/HER type I tyrosine kinase receptor that is frequently over-expressed in malignant epithelial tumours. Herceptin, a humanised mouse monoclonal antibody to HER2, is proven therapeutically in the management of metastatic breast cancer, significantly prolonging survival when combined with cytotoxic chemotherapeutic agents. Immunohistochemical studies suggest that non-small-cell lung cancer (NSCLC) tumours may over-express HER2. Our aim was to evaluate HER2 gene amplification and semi-quantitative immuno-expression in NSCLC. A total of 344 NSCLC cases were immunostained for HER2 expression in 2 centres using the HercepTest. Fluorescence in situ hybridisation (FISH) analysis for HER2 gene amplification was performed on most positive cases and a subset of negative cases. Fifteen cases (4.3%) demonstrated 2+ or 3+ membranous HER2 immuno-expression. There was no correlation between immuno-expression and tumour histology or grade. Tumours from higher-stage disease were more often HercepTest-positive (p < 0.001). All 4 HercepTest 3 + cases demonstrated gene amplification. One of the 5 2+ cases tested for gene amplification showed areas of borderline amplification and areas of polyploidy. None of the 19 HercepTest-negative cases demonstrated gene amplification or polyploidy (p < 0.001). Gene amplification was demonstrated in all HercepTest 3+ scoring NSCLC cases. Unlike breast cancer, gene amplification and HER2 protein over-expression assessed by the HercepTest appeared to be uncommon in NSCLC. Herceptin may therefore target only a small proportion of NSCLC tumours and be of limited clinical value in this disease, particularly in the adjuvant setting. © 2001 Wiley-Liss, Inc.

Molecular approaches to diagnosis and management of ovarian cancer

The recent advances in the understanding of the pathogenesis of ovarian cancer have been helpful in addressing issues in diagnosis, prognosis and management. The study of ovarian tumours by novel techniques such as immunohistochemistry, fluorescent in situ hybridisation, comparative genomic hybridisation, polymerase chain reaction and new tumour markers have aided the evaluation and application of new concepts into clinical practice. The correlation of novel surrogate tumour specific features with response to treatment and outcome in patients has defined prognostic factors which may allow the future design of tailored therapy based on a molecular profile of the tumour. These have also been used to design new approaches to therapy such as antibody targeting and gene therapy. The delineation of roles of c-erbB2, c-fms and other novel receptor kinases in the pathogenesis of ovarian cancer has led initially to the development of anti-c-erbB2 monoclonal antibody therapy. The discovery of BRCA1 and BRCA2 genes will have an impact in the diagnosis and the prevention of familial ovarian cancer. The important role played by recessive genes such as p53 in cancer has raised the possibility of restoration of gene function by gene therapy. Although the pathological diagnosis of ovarian cancer is still confirmed principally on morphological features, addition of newer investigations will increasingly be useful in addressing difficult diagnostic problems. The increasingly rapid pace of discovery of genes important in disease, makes it imperative that the evaluation of their contribution in the pathogenesis of ovarian cancer is undertaken swiftly, thus improving the overall management of patients and their outcome.

Potential role of bcl-2 as a suppressor of tumour angiogenesis in non- small-cell lung cancer

It has been reported that genes regulating apoptosis may play a role in tumoral angiogenesis. This study examined the relationship between tumour vascularization, a measure of tumour angiogenesis, and bcl-2 and p53 expression in operable non-small-cell lung cancer (NSCLC). The relationship between bcl-2, p53 and tumour vascularization and epidermal-growth-factor- receptor(EGFR) and c-erbB-2 expression was also studied. Tissue sections from resected tumour specimens of 107 NSCLC patients were evaluated immunohistochemically for vascular grade and bcl-2, p53, EGFR and c-erbB-2 expression. bcl-2 expression was found in 20/107 (19%) cases and was associated with squamous-cell histology (p = 0.03). A strong inverse relationship was found between bcl-2 expression and vascular grade (p = 0.005). All c-erbB-2-positive cases were negative for bcl-2 expression (p = 0.01). Overall no association was found between c-erbB-2 expression and vascular grade. However, in bcl-2-negative cases positive c-erbB-2 expression correlated with low angiogenesis (p = 0.05). No relationship was found between p53 and EGFR expression and bcl-2, c-erbB-2 or vascular grade. The improved prognosis reported in bcl-2-positive NSCLC may be related to low tumour vascularization. The results suggest that the anti-apoptotic gene bcl- 2 plays a role in regulating tumour angiogenesis. Since normal lung epithelium expresses bcl-2, a sequence of tumour progression involving loss of bcl-2, then activation of c-erbB-2 or increase in tumour vascularization is proposed.