981 resultados para INVESTMENT POLICY
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Contrasting with the 1929 great crisis, authorities intervened forcefully in 2008 to stop the disintegration of the financial system. Governments and central banks then sought to revise the prudential regulation in depth. It would be optimistic, however, to believe that prudential measures, alone, could deliver full economic recovery, at least in the countries that had been involved in the financial turmoil. Indeed, the collapse of the "state of confidence" and the negative effects of private debts on consumption and investment decisions have fed depressive forces and policy challenges which could hold for a while, even once the financial sector is made safe. On the one hand, the economic slowdown and the direct and indirect assistance provided by the governments to the private sectors are having a heavy impact on public finances, meanwhile, on the other hand, the massive amounts of money which artificially inflated the prices of housing and financial products could produce inflationary pressures in the post-crisis period, unless a new assets bubble is allowed for. Authorities could therefore be facing high unemployment in a damaged context of public deficits and inflationary pressures. The paper aims at discussing these new challenges. The inadequacy of inflation targets and fiscal orthodoxy in a depressed economy is emphasized, and the outlines of a Post Keynesian alternative policy are examined.
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Brazil attracted relatively little innovation-intensive and export-oriented foreign investment during the liberalization period of 1990 to 2010, especially compared with competitors such as China and India. Adopting an institutionalist perspective, I argue that multinational firm investment profiles can be partly explained by the characteristics of investment promotion policies and bureaucracies charged with their implementation. Brazil's FDI policies were passive and non-discriminating in the second half of the 1990s, but became more selective under Lula. Investment promotion efforts have often been undercut by weakly coordinated and inconsistent institutions. The paper highlights the need for active, discriminating investment promotion policies if benefits from non-traditional FDI are to be realized.
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This paper constructs and estimates a sticky-price, Dynamic Stochastic General Equilibrium model with heterogenous production sectors. Sectors differ in price stickiness, capital-adjustment costs and production technology, and use output from each other as material and investment inputs following an Input-Output Matrix and Capital Flow Table that represent the U.S. economy. By relaxing the standard assumption of symmetry, this model allows different sectoral dynamics in response to monetary policy shocks. The model is estimated by Simulated Method of Moments using sectoral and aggregate U.S. time series. Results indicate 1) substantial heterogeneity in price stickiness across sectors, with quantitatively larger differences between services and goods than previously found in micro studies that focus on final goods alone, 2) a strong sensitivity to monetary policy shocks on the part of construction and durable manufacturing, and 3) similar quantitative predictions at the aggregate level by the multi-sector model and a standard model that assumes symmetry across sectors.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Article
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Dans cette thèse, je me suis interessé à l’identification partielle des effets de traitements dans différents modèles de choix discrets avec traitements endogènes. Les modèles d’effets de traitement ont pour but de mesurer l’impact de certaines interventions sur certaines variables d’intérêt. Le type de traitement et la variable d’intérêt peuvent être défini de manière générale afin de pouvoir être appliqué à plusieurs différents contextes. Il y a plusieurs exemples de traitement en économie du travail, de la santé, de l’éducation, ou en organisation industrielle telle que les programmes de formation à l’emploi, les techniques médicales, l’investissement en recherche et développement, ou l’appartenance à un syndicat. La décision d’être traité ou pas n’est généralement pas aléatoire mais est basée sur des choix et des préférences individuelles. Dans un tel contexte, mesurer l’effet du traitement devient problématique car il faut tenir compte du biais de sélection. Plusieurs versions paramétriques de ces modèles ont été largement étudiées dans la littérature, cependant dans les modèles à variation discrète, la paramétrisation est une source importante d’identification. Dans un tel contexte, il est donc difficile de savoir si les résultats empiriques obtenus sont guidés par les données ou par la paramétrisation imposée au modèle. Etant donné, que les formes paramétriques proposées pour ces types de modèles n’ont généralement pas de fondement économique, je propose dans cette thèse de regarder la version nonparamétrique de ces modèles. Ceci permettra donc de proposer des politiques économiques plus robustes. La principale difficulté dans l’identification nonparamétrique de fonctions structurelles, est le fait que la structure suggérée ne permet pas d’identifier un unique processus générateur des données et ceci peut être du soit à la présence d’équilibres multiples ou soit à des contraintes sur les observables. Dans de telles situations, les méthodes d’identifications traditionnelles deviennent inapplicable d’où le récent développement de la littérature sur l’identification dans les modèles incomplets. Cette littérature porte une attention particuliere à l’identification de l’ensemble des fonctions structurelles d’intérêt qui sont compatibles avec la vraie distribution des données, cet ensemble est appelé : l’ensemble identifié. Par conséquent, dans le premier chapitre de la thèse, je caractérise l’ensemble identifié pour les effets de traitements dans le modèle triangulaire binaire. Dans le second chapitre, je considère le modèle de Roy discret. Je caractérise l’ensemble identifié pour les effets de traitements dans un modèle de choix de secteur lorsque la variable d’intérêt est discrète. Les hypothèses de sélection du secteur comprennent le choix de sélection simple, étendu et généralisé de Roy. Dans le dernier chapitre, je considère un modèle à variable dépendante binaire avec plusieurs dimensions d’hétérogéneité, tels que les jeux d’entrées ou de participation. je caractérise l’ensemble identifié pour les fonctions de profits des firmes dans un jeux avec deux firmes et à information complète. Dans tout les chapitres, l’ensemble identifié des fonctions d’intérêt sont écrites sous formes de bornes et assez simple pour être estimées à partir des méthodes d’inférence existantes.
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Dans le sillage de la récession mondiale de 2008-09, plusieurs questions ont été soulevées dans la littérature économique sur les effets à court et à long terme de la politique budgétaire sur l’activité économique par rapport à son signe, sa taille et sa durée. Ceux-ci ont des implications importantes pour mieux comprendre les canaux de transmission et l’efficacité des politiques budgétaires, avec la politique monétaire étant poursuivi, ainsi que pour leurs retombées économiques. Cette thèse fait partie de ce regain d’intérêt de la littérature d’examiner comment les changements dans la politique budgétaire affectent l’activité économique. Elle repose alors sur trois essais: les effets macroéconomiques des chocs de dépenses publiques et des recettes fiscales, les résultats macroéconomiques de l’interaction entre les politiques budgétaire et monétaire et le lien entre la politique budgétaire et la répartition des revenus. Le premier chapitre examine les effets des chocs de politique budgétaire (chocs de dépenses publiques et chocs de recettes fiscales) sur l’économie canadienne au cours de la période 1970-2010, en s’appuyant sur la méthode d’identification des restrictions de signe développée par Mountford et Uhlig [2009]. En réponse à la récession mondiale, les autorités fiscales dans les économies avancées, dont le Canada ont généralement mis en oeuvre une approche en deux phases pour la politique budgétaire. Tout d’abord, ils ont introduit des plans de relance sans précédent pour relancer leurs économies. Par exemple, les mesures de relance au Canada, introduites à travers le Plan d’action économique du Canada, ont été projetées à 3.2 pour cent du PIB dans le budget fédéral de 2009 tandis que l’ "American Recovery and Reinvestment Act"(ARRA) a été estimé à 7 pour cent du PIB. Par la suite, ils ont mis en place des plans d’ajustement en vue de réduire la dette publique et en assurer la soutenabilité à long terme. Dans ce contexte, évaluer les effets multiplicateurs de la politique budgétaire est important en vue d’informer sur l'efficacité de telles mesures dans la relance ou non de l'activité économique. Les résultats montrent que les multiplicateurs d'impôt varient entre 0.2 et 0.5, tandis que les multiplicateurs de dépenses varient entre 0.2 et 1.1. Les multiplicateurs des dépenses ont tendance à être plus grand que les multiplicateurs des recettes fiscales au cours des deux dernières décennies. Comme implications de politique économique, ces résultats tendent à suggérer que les ajustements budgétaires par le biais de grandes réductions de dépenses publiques pourraient être plus dommageable pour l'économie que des ajustements budgétaires par la hausse des impôts. Le deuxième chapitre, co-écrit avec Constant Lonkeng Ngouana, estime les effets multiplicateurs des dépenses publiques aux Etats-Unis en fonction du cycle de la politique monétaire. Les chocs de dépenses publiques sont identifiés comme étant des erreurs de prévision du taux de croissance des dépenses publiques à partir des données d'Enquêtes des prévisionnistes professionnels et des informations contenues dans le "Greenbook". L'état de la politique monétaire est déduite à partir de la déviation du taux des fonds fédéraux du taux cible de la Réserve Fédérale, en faisant recours à une fonction lisse de transition. L'application de la méthode des «projections locales» aux données trimestrielles américaines au cours de la période 1965-2012 suggère que les effets multiplicateurs des dépenses fédérales sont sensiblement plus élevées quand la politique monétaire est accommodante que lorsqu'elle ne l'est pas. Les résultats suggèrent aussi que les dépenses fédérales peuvent stimuler ou non la consommation privée, dépendamment du degré d’accommodation de la politique monétaire. Ce dernier résultat réconcilie ainsi, sur la base d’un cadre unifié des résultats autrement contradictoires à première vue dans la littérature. Ces résultats ont d'importantes implications de politique économique. Ils suggèrent globalement que la politique budgétaire est plus efficace lorsqu'on en a le plus besoin (par exemple, lorsque le taux de chômage est élevé), si elle est soutenue par la politique monétaire. Ils ont également des implications pour la normalisation des conditions monétaires dans les pays avancés: la sortie des politiques monétaires non-conventionnelles conduirait à des multiplicateurs de dépenses fédérales beaucoup plus faibles qu'autrement, même si le niveau de chômage restait élevé. Ceci renforce la nécessité d'une calibration prudente du calendrier de sortie des politiques monétaires non-conventionnelles. Le troisième chapitre examine l'impact des mesures d'expansion et de contraction budgétaire sur la distribution des revenus dans un panel de 18 pays d'Amérique latine au cours de la période 1990-2010, avec un accent sur les deniers 40 pour cent. Il explore alors comment ces mesures fiscales ainsi que leur composition affectent la croissance des revenus des dernier 40 pour cent, la croissance de leur part de revenu ainsi que la croissance économique. Les mesures d'expansion et de contraction budgétaire sont identifiées par des périodes au cours desquels il existe une variation significative du déficit primaire corrigé des variations conjoncturelles en pourcentage du PIB. Les résultats montrent qu'en moyenne l'expansion budgétaire par la hausse des dépenses publiques est plus favorable à la croissance des revenus des moins bien-nantis que celle par la baisse des impôts. Ce résultat est principalement soutenu par la hausse des dépenses gouvernementales de consommation courante, les transferts et subventions. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. Cependant, l'expansion budgétaire pourrait soit n'avoir aucun effet sur la croissance économique ou entraver cette dernière à travers la hausse des dépenses en capital. Les résultats relatifs à la contraction budgétaire sont quelque peu mitigés. Parfois, les mesures de contraction budgétaire sont associées à une baisse de la croissance des revenus des moins bien nantis et à une hausse des inégalités, parfois l'impact de ces mesures est non significatif. Par ailleurs, aucune des mesures n’affecte de manière significative la croissance du PIB. Comme implications de politique économique, les pays avec une certaine marge de manœuvre budgétaire pourraient entamer ou continuer à mettre en œuvre des programmes de "filets de sauvetage"--par exemple les programmes de transfert monétaire conditionnel--permettant aux segments vulnérables de la population de faire face à des chocs négatifs et aussi d'améliorer leur conditions de vie. Avec un potentiel de stimuler l'emploi peu qualifié, une relance budgétaire sage par les dépenses publique courantes pourrait également jouer un rôle important pour la réduction des inégalités. Aussi, pour éviter que les dépenses en capital freinent la croissance économique, les projets d'investissements publics efficients devraient être prioritaires dans le processus d'élaboration des politiques. Ce qui passe par la mise en œuvre des projets d'investissement avec une productivité plus élevée capable de générer la croissance économique nécessaire pour réduire les inégalités.
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Diese Arbeit befasst sich mit der Innovations- und Globalisierungspolitik in kleinen Transformationsländern am Beispiel Mazedoniens; diese wurde mit der Lage in Slowenien verglichen, einem Land von ungefähr gleicher Größe und mit gemeinsamer Vergangenheit als Teilrepublik der Jugoslawischen Föderation, aber mit einem wesentlich höheren ökonomischen Entwicklungsstand. Innovation wird dabei verstanden als „Herstellung, Anpassung und Ausnutzung von Neuerungen“, und sie wird durch das Umfeld, in dem sie stattfindet, beeinflusst. Anpassung und Ausnutzung sind gerade für kleine Transformationsländer von erheblicher Bedeutung, da ihre Fähigkeit zu Herstellung von Neuerungen sehr begrenzt sind. Die Rolle der Innovationspolitik besteht hierbei darin, institutionelle und organisationelle Regulierungen einzuführen, die ein günstiges Umfeld sowohl für Innovationen als auch für die Entwicklung eines nationalen Innovationssystems schaffen. Die Rolle der Politik besteht also nicht in der Innovation als solcher, sondern in der Herstellung der notwendigen Bedingungen für die Industrie und die Forschungseinrichtungen dahingehend zu schaffen, dass sie ihr Wissen, ihre Fertigkeiten und ihre praktischen Erfahrungen für innovative Tätigkeiten einsetzen können. Auf der einen Seite gibt es Institutionen und Organisationen, ohne die die Unternehmen rückständig und wenig leistungsstark wären (etwa das Patentamt oder Institutionen höherer Bildung), und auf der anderen Seite gibt es Institutionen und Organisationen, welche die Unternehmen dabei unterstützen, dass sie ihre Tätigkeit weiter unterstützen (z.B. durch Technologietransfer-Zentren und Netzwerke). Die Leistungen dieser Institutionen und Organisationen sind von großer Bedeutung für die nationalen Innovationssysteme und sollten ihrerseits durch Innovationspolitik unterstützt werden; dies bedeutet jedoch nicht, dass diese Leistungen vom Staat bereitgestellt werden, vielmehr sollte die Wirtschaftspolitik Möglichkeiten für die öffentlich/private oder sogar rein private Bereitstellung solcher Leistungen in Erwägung ziehen; dies würde nicht nur die Kosten für den Staat senken, sondern auch die Effizienz bei der Erstellung dieser Leistungen steigern. Die Arbeit kommt zu dem Schluss, dass das größte Problem der Innovationspolitik in Mazedonien darin besteht, dass es sie gar nicht gibt, und zwar nicht als Folge einer bewussten Entscheidung darüber. Tatsächlich müssen Ressourcen und Zeit für die Schaffung eines nationalen Innovationssystems eingesetzt werden mit Hilfe einer Politik, die sich auf die wesentlichen Umrisse konzentriert, wobei die Nachfrage nach Technologie im Unternehmensbereich gesteigert wird und das Wissen und das Informationsangebot restrukturiert wird. Dieses System muss offen sein, unter beständigem Verbesserungsdruck stehen und fähig sein, sich an Veränderungen anzupassen. Damit eine solche Politik erfolgreich ist, muss es einen Konsens darüber zwischen allen beteiligten Akteuren geben und darüber hinaus auch eine Kohärenz zwischen den verschiedenen politischen Institutionen. Das ist deswegen wichtig, weil der Innovationsprozess komplex ist und verschiedene Politikbereiche berührt. Ziel sollte die Schaffung eines Systems sein, das einerseits auf Autonomie und Kooperation aufbaut, andererseits aber auch Wettbewerb zwischen den beteiligten Institutionen und Organisationen fördert. Eine wichtige Bedingung für ein positives Investitionsklima im Bereich der Innovation ist die Erreichung von makroökonomischer Stabilität. Die gegenwärtige Situation ist gekennzeichnet durch Instabilität des Rechtswesens, durch Korruption und Probleme des Vertragsschutzes, die sowohl ausländische als auch inländische Akteure davon abhält, sich in wirtschaftlichen Aktivitäten in Mazedonien zu engagieren. Bei der Suche nach einem Ausweg aus diesen Problemen ist es wichtig für Mazedonien, von anderen Ländern wie Slowenien zu lernen, die ähnliche Probleme haben, aber auch schon Erfahrungen in der Problemlösung. Man muss dabei beachten, dass der Entwicklungsstand, das wirtschaftliche und das politische Umfeld in beiden Vergleichsländern sich erheblich unterscheiden, so dass die Lektionen, die Mazedonien von Slowenien lernen könnte, nicht direkt übertragen und kopiert werden können, sondern entsprechend angepasst werden müssen. Die vorliegende Arbeit liefert Einsichten in die Probleme der Innovationspolitik in Transformationsländern und liefert daher sowohl einen Anreiz als auch eine Quelle von Informationen für künftige Analysen der wirtschaftlichen Bedingungen und vor allem Innovationspolitik in Transformationsländern.
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In Sri Lanka policy responses have direct impacts on rural dwellers. Over 80% of Sri Lanka’s population live in rural areas and 90% of them represent low income dwellers. Their production system may be hampered by fragmented landholding, poor economics of scale, low investment levels resulting from poor financial services as well as inappropriate or limited technology. They are vulnerable to price hikes of basic foods and food security issues due to fragmented landholding and poor financial services. Policy measures to reduce the transmission of higher international prices in domestic markets exist to protect the food security of the vulnerable population. This paper will discuss the food policy and strategies implemented by the government and outside to the above facts this paper also describes the effectiveness of the policies forwarded by the government. The objective of this study is to analyse the impact of policy responses to the food price crisis and rural food security in Sri Lanka. Outside of the above facts this study also treats the impact of policies and decisions on the nutritional condition of rural dwellers. Furthermore this study is to analyse the fluctuation of buying power with the price hikes and the relation of above facts with issues like malnutrition. This paper discusses why policy makers should pay greater attention to rural dwellers and describes the multiple pathways through which food price increases have on rural people. It also provides evidence of the impact of this crisis in particular, through hidden hunger, and discusses how current policy responses should adjust and improve to protect the rural dwellers in the short and long term.
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This Policy Contribution assesses the broad obstacles hampering ICT-led growth in Europe and identifies the main areas in which policy could unlock the greatest value. We review estimates of the value that could be generated through take-up of various technologies and carry out a broad matching with policy areas. According to the literature survey and the collected estimates, the areas in which the right policies could unlock the greatest ICT-led growth are product and labour market regulations and the European Single Market. These areas should be reformed to make European markets more flexible and competitive. This would promote wider adoption of modern data-driven organisational and management practices thereby helping to close the productivity gap between the United States and the European Union. Gains could also be made in the areas of privacy, data security, intellectual property and liability pertaining to the digital economy, especially cloud computing, and next generation network infrastructure investment. Standardisation and spectrum allocation issues are found to be important, though to a lesser degree. Strong complementarities between the analysed technologies suggest, however, that policymakers need to deal with all of the identified obstacles in order to fully realise the potential of ICT to spur long-term growth beyond the partial gains that we report.
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Greece, Portugal and Spain face a serious risk of external solvency due to their close to minus 100 percent of GDP net negative international investment positions, which are largely composed of debt. The perceived inability of these countries to rebalance their external positions is a major root of the euro crisis. Intra-euro rebalancing through declines in unit labour costs (ULC) in southern Europe, and ULC increases in northern Europe should continue, but has limits because: The share of intra-euro trade has declined. Intra-euro trade balances have already adjusted to a great extent. The intra-euro real exchange rates of Greece, Portugal and Spain have also either already adjusted or do not indicate significant appreciations since 2000. There are only two main current account surplus countries, Germany and the Netherlands. A purely intra-euro adjustment strategy would require too-significant wage increases in northern countries and wage declines in southern countries, which do not seem to be feasible. Before the crisis, the euro was significantly overvalued despite the close-to balanced current account position. The euro has depreciated recently, but more is needed to support the extra-euro trade of southern euro-area members. A weaker euro would also boost exports, growth, inflation and wage increases in Germany, thereby helping further intra-euro adjustment and the survival of the euro.
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As an alternative to the present system of intermediation of the German savings surplus, this paper suggests that the risk-adjusted rate of return could be improved by creating a sovereign wealth fund for Germany (designated DESWF), which could invest excess German savings globally. Such a DESWF would offer German savers a secure vehicle paying a guaranteed positive minimum real interest rate, with a top-up when real investment returns allowed. The vehicle would invest the funds in a portfolio that is highly diversified by geography and asset classes. Positive real returns can be expected in the long run based on positive real global growth. Since, in this case, a significant amount of funds would flow outside the euro area, the euro would depreciate, which would help crisis countries presently struggling to revive growth through exports and to close their external deficits so as to recoup their international credit-worthiness. Target imbalances would gradually disappear and German claims abroad would move from nominal claims on the ECB to diversified real and nominal claims on various private and public foreign entities in a variety of asset classes.
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Many factors have contributed to the euro crisis. Some have been addressed by policymakers, even if belatedly, and European Union member states have been willing to improve the functioning of the euro area by agreeing to relinquish national sovereignty in some important areas. However, the most pressing issue threatening the integrity, even the existence, of the euro, has not been addressed: the deepening economic contraction in southern euro-area member states. The common interest lies in preserving the integrity of the euro area and in offering these countries improved prospects. Domestic structural reform and appropriate fiscal consolidation, wage increases and slower fiscal consolidation in economically stronger euro-area countries, a weaker euro exchange rate, debt restructuring and an investment programme should be part of the arsenal. In the medium term, more institutional change will be necessary to complement the planned overhaul of the euro area institutional framework. This will include the deployment of a euro-area economic stabilising tool, managing the overall fiscal stance of the euro area, some form of Eurobonds and measures to make euro-area level decision making bodies more effective and democratically legitimate.
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Recovery in Greece, Italy, Portugal and Spain is held back in part by structural barriers. Overcoming these requires structural reform and public investment. Given the limited availability of political and financial capital, prioritising reform efforts and spending is important, but difficult. The different success factors for individual sectors are complementary. Using the example of the high-tech industry, we make the case that only investing in one success factor (eg broadband infrastructure) without having a sufficient endowment of others (eg education) is unlikely to make the sector successful. One consequence of the complementarity of the different success factors is that public investment and reform efforts should be fine-tuned in order to match the endowment of other factors. This might imply an increase in efforts to tackle several structural barriers at the same time, but it might also imply reducing investment in less promising fields. This in turn requires strategic thinking about whether it is worthwhile pursuing development strategies that require investment in many success factors but that do not promise much success. Such a strategic approach to public investment and reform efforts might make the allocation of scarce public financial and political capital more efficient.
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The terminator gene can render seeds sterile, so forcing farmers to purchase fresh seed every year. It is a technological solution to the problem of market failure that could increase the appropriability of R&D investment more effectively than intellectual property rights legislation or patents. This paper shows that appropriability should be more than tripled and that this leads to greater private R&D investment, which may be expected to double or triple. This would bring open-pollinating varieties into line with F1 hybrids, for which seed cannot be saved. In turn, the increased investment should raise yield increases to levels similar to those for hybrid crops. Thus, there are benefits to set against the possible ecological and environmental costs and the clear distributional and social consequences. The paper discusses the way the seed market is developing, the possible impacts, especially from a developing country viewpoint, and considers the policy changes that are needed.