KNOWING THE ENEMY: NAZI FOREIGN INTELLIGENCE IN WAR, HOLOCAUST, AND POSTWAR

“Knowing the Enemy: Nazi Foreign Intelligence in War, Holocaust and Postwar,” reveals the importance of ideologically-driven foreign intelligence reporting in the wartime radicalization of the Nazi dictatorship, and the continued prominence of Nazi discourses in postwar reports from German intelligence officers working with the U.S. Army and West German Federal Intelligence Service after 1945. For this project, I conducted extensive archival research in Germany and the United States, particularly in overlooked and files pertaining to the wartime activities of the Reichssicherheitshauptamt, Abwehr, Fremde Heere Ost, Auswärtiges Amt, and German General Staff, and the recently declassified intelligence files pertaining to the postwar activities of the Gehlen Organization, Bundesnachrichtendienst, and Foreign Military Studies Program. Applying the technique of close textual analysis to the underutilized intelligence reports themselves, I discovered that wartime German intelligence officials in military, civil service, and Party institutions all lent the appearance of professional objectivity to the racist and conspiratorial foreign policy beliefs held in the highest echelons of the Nazi dictatorship. The German foreign intelligence services’ often erroneous reporting on Great Britain, the Soviet Union, the United States, and international Jewry simultaneously figured in the radicalization of the regime’s military and anti-Jewish policies and served to confirm the ideological preconceptions of Hitler and his most loyal followers. After 1945, many of these same figures found employment with the Cold War West, using their “expertise” in Soviet affairs to advise the West German Government, U.S. Military, and CIA on Russian military and political matters. I chart considerable continuities in personnel and ideas from the wartime intelligence organizations into postwar West German and American intelligence institutions, as later reporting on the Soviet Union continued to reproduce the flawed wartime tropes of innate Russian military and racial inferiority.

Le penser pacifié et l’agir moral de l’après Auschwitz selon T. W. Adorno

Dans Dialectique de la Raison, Adorno et Horkheimer tentent d’esquisser le pourquoi et le comment de ce retour à la barbarie qu’a connu la civilisation européenne, lors du troisième Reich. Quelles sont ces conditions qui ont rendu possibles les massacres administrés sous le régime nazi? La résolution de cette énigme qui se solde sur l’échec de l’Auflkärung nous dévoile une nécessité, celle d’une transformation radicale à la fois de l’éthique et de la métaphysique dans sa conception de la vérité. Celle-ci se présente à nous sous la forme d’une norme morale : « Dans leur état de non-liberté, Hitler a imposé aux hommes un nouvel impératif catégorique; penser et agir en sorte qu’Auschwitz ne se répète pas ». Quelles modalités de penser et d’agir nous exhortent ce nouvel impératif catégorique? La philosophie d’Adorno, critiqué pour n’avoir été que négative dans son entreprise, est-elle en mesure de nous fournir des prescriptions normatives capables de réorienter le penser théorétique et l’éthique?

Le penser pacifié et l’agir moral de l’après Auschwitz selon T. W. Adorno

Dans Dialectique de la Raison, Adorno et Horkheimer tentent d’esquisser le pourquoi et le comment de ce retour à la barbarie qu’a connu la civilisation européenne, lors du troisième Reich. Quelles sont ces conditions qui ont rendu possibles les massacres administrés sous le régime nazi? La résolution de cette énigme qui se solde sur l’échec de l’Auflkärung nous dévoile une nécessité, celle d’une transformation radicale à la fois de l’éthique et de la métaphysique dans sa conception de la vérité. Celle-ci se présente à nous sous la forme d’une norme morale : « Dans leur état de non-liberté, Hitler a imposé aux hommes un nouvel impératif catégorique; penser et agir en sorte qu’Auschwitz ne se répète pas ». Quelles modalités de penser et d’agir nous exhortent ce nouvel impératif catégorique? La philosophie d’Adorno, critiqué pour n’avoir été que négative dans son entreprise, est-elle en mesure de nous fournir des prescriptions normatives capables de réorienter le penser théorétique et l’éthique?

La política exterior expansionista y racista del Tercer Reich en Checoslovaquia y Croacia en 1933-1943

El objetivo de este estudio de caso es analizar la forma en la cual la política exterior expansionista y racista del Tercer Reich repercutió en la invasión militar de Checoslovaquia y en la creación de un régimen fascista en Croacia. El surgimiento del Tercer Reich implicó el desencadenamiento de la Segunda Guerra Mundial, generando un cambio en la configuración del Sistema Internacional. Desde el ascenso de Hitler al poder en 1933, Alemania proyectó una discursiva racista y expansionista en su política exterior, con el objetivo de configurar un nuevo ordenamiento europeo. Por lo anterior, la política exterior del Tercer Reich justificó la invasión de Checoslovaquia basándose en los principios del espacio vital que permitieron adherir el territorio al Reich, e influyó en el ascenso del régimen fascista de Ante Pavelić en Croacia, quien colaboró para la consecución del interés nacional racial alemán.