884 resultados para Forest Fires


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"May, 1960."

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A turn towards documentary modes of practice amongst contemporary fine art video and filmmakers towards the end of the 20th Century, led to moving image works that represent current social realities. This drew some comparisons of these forms of art to journalism and industrial documentary. The practical research is embodied in a single screen film that responds to recent political and ecological realities in Spain. These include the mass demonstrations that led to the occupation of Madrid’s Plaza del Sol and Spain’s in 2011 and largest recorded forest fires that spread through Andalusia in August of the following year. The film, titled Spanish Labyrinth, South from Granada, is a response to these events and also relates to political avant-garde film of the 1930’s by re-tracing a journey undertaken by three revolutionary filmmakers, Yves Allegret, René Naville and Eli Lotar, in 1931. The theoretical research for this project establishes an historical root of artists’ film that responds to current social realities, in contrast to news media, in the Soviet and European avant-garde movements of the 1920s and 1930s. The main aim of this method is to argue the status of the works that I identify, both avant-garde and contemporary, as a form of art that preceded a Griersonian definition of documentary film.

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Lors du transport du bois de la forêt vers les usines, de nombreux événements imprévus peuvent se produire, événements qui perturbent les trajets prévus (par exemple, en raison des conditions météo, des feux de forêt, de la présence de nouveaux chargements, etc.). Lorsque de tels événements ne sont connus que durant un trajet, le camion qui accomplit ce trajet doit être détourné vers un chemin alternatif. En l’absence d’informations sur un tel chemin, le chauffeur du camion est susceptible de choisir un chemin alternatif inutilement long ou pire, qui est lui-même "fermé" suite à un événement imprévu. Il est donc essentiel de fournir aux chauffeurs des informations en temps réel, en particulier des suggestions de chemins alternatifs lorsqu’une route prévue s’avère impraticable. Les possibilités de recours en cas d’imprévus dépendent des caractéristiques de la chaîne logistique étudiée comme la présence de camions auto-chargeurs et la politique de gestion du transport. Nous présentons trois articles traitant de contextes d’application différents ainsi que des modèles et des méthodes de résolution adaptés à chacun des contextes. Dans le premier article, les chauffeurs de camion disposent de l’ensemble du plan hebdomadaire de la semaine en cours. Dans ce contexte, tous les efforts doivent être faits pour minimiser les changements apportés au plan initial. Bien que la flotte de camions soit homogène, il y a un ordre de priorité des chauffeurs. Les plus prioritaires obtiennent les volumes de travail les plus importants. Minimiser les changements dans leurs plans est également une priorité. Étant donné que les conséquences des événements imprévus sur le plan de transport sont essentiellement des annulations et/ou des retards de certains voyages, l’approche proposée traite d’abord l’annulation et le retard d’un seul voyage, puis elle est généralisée pour traiter des événements plus complexes. Dans cette ap- proche, nous essayons de re-planifier les voyages impactés durant la même semaine de telle sorte qu’une chargeuse soit libre au moment de l’arrivée du camion à la fois au site forestier et à l’usine. De cette façon, les voyages des autres camions ne seront pas mo- difiés. Cette approche fournit aux répartiteurs des plans alternatifs en quelques secondes. De meilleures solutions pourraient être obtenues si le répartiteur était autorisé à apporter plus de modifications au plan initial. Dans le second article, nous considérons un contexte où un seul voyage à la fois est communiqué aux chauffeurs. Le répartiteur attend jusqu’à ce que le chauffeur termine son voyage avant de lui révéler le prochain voyage. Ce contexte est plus souple et offre plus de possibilités de recours en cas d’imprévus. En plus, le problème hebdomadaire peut être divisé en des problèmes quotidiens, puisque la demande est quotidienne et les usines sont ouvertes pendant des périodes limitées durant la journée. Nous utilisons un modèle de programmation mathématique basé sur un réseau espace-temps pour réagir aux perturbations. Bien que ces dernières puissent avoir des effets différents sur le plan de transport initial, une caractéristique clé du modèle proposé est qu’il reste valable pour traiter tous les imprévus, quelle que soit leur nature. En effet, l’impact de ces événements est capturé dans le réseau espace-temps et dans les paramètres d’entrée plutôt que dans le modèle lui-même. Le modèle est résolu pour la journée en cours chaque fois qu’un événement imprévu est révélé. Dans le dernier article, la flotte de camions est hétérogène, comprenant des camions avec des chargeuses à bord. La configuration des routes de ces camions est différente de celle des camions réguliers, car ils ne doivent pas être synchronisés avec les chargeuses. Nous utilisons un modèle mathématique où les colonnes peuvent être facilement et naturellement interprétées comme des itinéraires de camions. Nous résolvons ce modèle en utilisant la génération de colonnes. Dans un premier temps, nous relaxons l’intégralité des variables de décision et nous considérons seulement un sous-ensemble des itinéraires réalisables. Les itinéraires avec un potentiel d’amélioration de la solution courante sont ajoutés au modèle de manière itérative. Un réseau espace-temps est utilisé à la fois pour représenter les impacts des événements imprévus et pour générer ces itinéraires. La solution obtenue est généralement fractionnaire et un algorithme de branch-and-price est utilisé pour trouver des solutions entières. Plusieurs scénarios de perturbation ont été développés pour tester l’approche proposée sur des études de cas provenant de l’industrie forestière canadienne et les résultats numériques sont présentés pour les trois contextes.

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Chaque année le feu brûle quelques dizaines de milliers d’hectares de forêts québécoises. Le coût annuel de prévention et de lutte contre les feux de forêts au Québec est de l’ordre de plusieurs dizaines de millions de dollars. Le présent travail contribue à la réduction de ces coûts à travers l’automatisation du processus de planification des opérations de suppression des feux de forêts majeurs. Pour ce faire, un modèle mathématique linéaire en nombres entiers a été élaboré, résolu et testé; introduisant un nouveau cas particulier à la littérature des Problèmes de Tournées de Véhicules (VRP). Ce modèle mathématique concerne le déploiement aérien des ressources disponibles pour l’extinction des incendies. Le modèle élaboré a été testé avec CPLEX sur des cas tirés de données réelles. Il a permis de réduire le temps de planification des opérations d’extinction des feux de forêts majeurs de 75% dans les situations courantes.

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Remote Sensing has been used for decades, and more and more applications are added to its repertoire. With this study we aim to show the use of Remote Sensing in the field of vegetation recovery monitoring in burned areas and the added value of data with a high spatial resolution. This was done by analysing both Landsat 7 and 8 scenes, after the forest fire of summer 2012 in the parish of Calde, in the central region of Portugal, as well as an orthophoto produced with images acquired by an unmanned aerial vehicle.

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Dissertação (mestrado)—Universidade de Brasília, Instituto de Ciências Humanas, Departamento de Geografia, Programa de Pós-Graduação em Geografia, 2015.

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Lors du transport du bois de la forêt vers les usines, de nombreux événements imprévus peuvent se produire, événements qui perturbent les trajets prévus (par exemple, en raison des conditions météo, des feux de forêt, de la présence de nouveaux chargements, etc.). Lorsque de tels événements ne sont connus que durant un trajet, le camion qui accomplit ce trajet doit être détourné vers un chemin alternatif. En l’absence d’informations sur un tel chemin, le chauffeur du camion est susceptible de choisir un chemin alternatif inutilement long ou pire, qui est lui-même "fermé" suite à un événement imprévu. Il est donc essentiel de fournir aux chauffeurs des informations en temps réel, en particulier des suggestions de chemins alternatifs lorsqu’une route prévue s’avère impraticable. Les possibilités de recours en cas d’imprévus dépendent des caractéristiques de la chaîne logistique étudiée comme la présence de camions auto-chargeurs et la politique de gestion du transport. Nous présentons trois articles traitant de contextes d’application différents ainsi que des modèles et des méthodes de résolution adaptés à chacun des contextes. Dans le premier article, les chauffeurs de camion disposent de l’ensemble du plan hebdomadaire de la semaine en cours. Dans ce contexte, tous les efforts doivent être faits pour minimiser les changements apportés au plan initial. Bien que la flotte de camions soit homogène, il y a un ordre de priorité des chauffeurs. Les plus prioritaires obtiennent les volumes de travail les plus importants. Minimiser les changements dans leurs plans est également une priorité. Étant donné que les conséquences des événements imprévus sur le plan de transport sont essentiellement des annulations et/ou des retards de certains voyages, l’approche proposée traite d’abord l’annulation et le retard d’un seul voyage, puis elle est généralisée pour traiter des événements plus complexes. Dans cette ap- proche, nous essayons de re-planifier les voyages impactés durant la même semaine de telle sorte qu’une chargeuse soit libre au moment de l’arrivée du camion à la fois au site forestier et à l’usine. De cette façon, les voyages des autres camions ne seront pas mo- difiés. Cette approche fournit aux répartiteurs des plans alternatifs en quelques secondes. De meilleures solutions pourraient être obtenues si le répartiteur était autorisé à apporter plus de modifications au plan initial. Dans le second article, nous considérons un contexte où un seul voyage à la fois est communiqué aux chauffeurs. Le répartiteur attend jusqu’à ce que le chauffeur termine son voyage avant de lui révéler le prochain voyage. Ce contexte est plus souple et offre plus de possibilités de recours en cas d’imprévus. En plus, le problème hebdomadaire peut être divisé en des problèmes quotidiens, puisque la demande est quotidienne et les usines sont ouvertes pendant des périodes limitées durant la journée. Nous utilisons un modèle de programmation mathématique basé sur un réseau espace-temps pour réagir aux perturbations. Bien que ces dernières puissent avoir des effets différents sur le plan de transport initial, une caractéristique clé du modèle proposé est qu’il reste valable pour traiter tous les imprévus, quelle que soit leur nature. En effet, l’impact de ces événements est capturé dans le réseau espace-temps et dans les paramètres d’entrée plutôt que dans le modèle lui-même. Le modèle est résolu pour la journée en cours chaque fois qu’un événement imprévu est révélé. Dans le dernier article, la flotte de camions est hétérogène, comprenant des camions avec des chargeuses à bord. La configuration des routes de ces camions est différente de celle des camions réguliers, car ils ne doivent pas être synchronisés avec les chargeuses. Nous utilisons un modèle mathématique où les colonnes peuvent être facilement et naturellement interprétées comme des itinéraires de camions. Nous résolvons ce modèle en utilisant la génération de colonnes. Dans un premier temps, nous relaxons l’intégralité des variables de décision et nous considérons seulement un sous-ensemble des itinéraires réalisables. Les itinéraires avec un potentiel d’amélioration de la solution courante sont ajoutés au modèle de manière itérative. Un réseau espace-temps est utilisé à la fois pour représenter les impacts des événements imprévus et pour générer ces itinéraires. La solution obtenue est généralement fractionnaire et un algorithme de branch-and-price est utilisé pour trouver des solutions entières. Plusieurs scénarios de perturbation ont été développés pour tester l’approche proposée sur des études de cas provenant de l’industrie forestière canadienne et les résultats numériques sont présentés pour les trois contextes.

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The South Carolina Department of Health and Environmental Control has declared an air quality alert day for fine particulates, caused by smoke from widespread forest fires. This sheet gives seven tips for protecting yourself from wildfire smoke.

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Los incendios forestales constituyen problemas que ocasionan grandes daños ambientales sobre los ecosistemas, uno de los mayores impactos en el ambiente son los efectos sobre el cambio climático, situación que acentúa los problemas globales que atentan la vida sobre el planeta. Notoriamente, se reconoce que los incendios son un agente constante de cambios sobre los paisajes naturales y por tanto su estudio reviste importancia, ya que afectan de una manera notable la vegetación, la fauna, el suelo y aumentan el peligro de desertificación, lo que conlleva a los problemas socioeconómicos. Este artículo tiene por objetivo determinar el riesgo ante incendios forestales en la cuenca del Río Tempisque en Costa Rica, a partir de variables explicativas como la proximidad a carreteras, tipos de usos de la tierra, focos de incendios, insolación y altitud sobre el nivel de mar, modeladas con técnicas de Evaluación Multicriterio (ECM) en un Sistema de Información Geográfica (SIG).Dado que el concepto riesgo se refiere a una condición de probabilidad, en este artículo se recrea escenarios en donde podría tener lugar el fuego, los cuales se correlacionan con eventos que se han presentando en años anteriores. Se debe advertir que no se considera la variable viento como factor dispersor del fuego, ya que el objetivo es determinar lugares con condición favorable a incendio sin mediar los factores que contribuyen en su distribución.Palabras claves: incendio forestal, problema ambiental, riesgo, modelaje, sistemas de información geográfica y evaluación multicriterio.AbstractForest fires are problems that cause environmental damage to ecosystems. One of the biggest impacts is on the atmosphere and their effects on climatic change, a situation that exacerbates globalproblems perpetrated on planet life. Historically, fires are recognized as a constant agent of change Julio César Moraga Peralta Evaluación del riesgo ante incendios forestalesen la cuenca del río Tempisque, Costa Rica on the natural landscape. Therefore, fire studies are important because of the significant effect of fire on vegetation, fauna and soils and the increased danger of desertification, leading to socioeconomicproblems.This article has as its objective to determine the risk before forest fires on the Tempisque RiverBasin in Costa Rica from explanatory variables such as proximity to roads, types of land uses, fireoutbreaks, isolation and altitude above sea level, using Multicriteria Evaluation (NDE) modeling techniques in a Geographic Information System.As the term risk refers to a condition of probability, this article recreates scenarios where a fire could occur, which correlate with events that have occurred in previous years. It should be noted that the variable of wind is not considered as a fire-scattering factor since the objective of this study is to identify places with conditions already favorable to fires without a contributing factor in their distribution.Key words: forest fire, environmental problems, risk, geographical information system, multicriteria evaluation modeling, Tempisque River Basin, Costa Rica

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Prescribed fire is one of the most widely-used management tools for reducing fuel loads in managed forests. However the long-term effects of repeated prescribed fires on soil carbon (C) and nitrogen (N) pools are poorly understood. This study aimed to investigate how different fire frequency regimes influence C and N pools in the surface soils (0–10 cm). A prescribed fire field experiment in a wet sclerophyll forest established in 1972 in southeast Queensland was used in this study. The fire frequency regimes included long unburnt (NB), burnt every 2 years (2yrB) and burnt every 4 years (4yrB), with four replications. Compared with the NB treatment, the 2yrB treatment lowered soil total C by 44%, total N by 54%, HCl hydrolysable C and N by 48% and 59%, KMnO4 oxidizable C by 81%, microbial biomass C and N by 42% and 33%, cumulative CO2–C by 28%, NaOCl-non-oxidizable C and N by 41% and 51%, and charcoal-C by 17%, respectively. The 4yrB and NB treatments showed no significant differences for these soil C and N pools. All soil labile, biologically active and recalcitrant and total C and N pools were correlated positively with each other and with soil moisture content, but negatively correlated with soil pH. The C:N ratios of different C and N pools were greater in the burned treatments than in the NB treatments. This study has highlighted that the prescribed burning at four year interval is a more sustainable management practice for this subtropical forest ecosystem.