911 resultados para Cox regression
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Les objectifs du présent mémoire étaient d’identifier les dimensions présentes dans la Statique-99R, l’échelle actuarielle de prédiction de la récidive sexuelle la plus utilisée, et de tester leur validité prédictive. Une analyse factorielle exploratoire des items de l’instrument en a extrait trois dimensions : la déviance sexuelle, l’orientation antisociale et le détachement émotionnel. Des analyses de régressions de Cox ont révélé que ces facteurs affichaient une validité prédictive différentielle; la déviance sexuelle ne prédisait que la récidive sexuelle, alors que l’orientation antisociale ne prédisait que la récidive violente non sexuelle et la récidive générale. Le détachement émotionnel affichait une validité prédictive incohérente. Des analyses de courbes ROC ont indiqué que la dernière révision de la Statique-99, la Statique-99R, surpassait pratiquement en tout point son prédécesseur. Ces mêmes analyses indiquaient que la validité prédictive de l’échelle était similaire pour les agresseurs sexuels de femmes et d’enfants.
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Objectif: Définir l’effet des lipides et du traitement de la dyslipidémie sur les cancers de la prostate et de la vessie en utilisant différents devis d’étude et en tenant compte de la présence de plusieurs biais, particulièrement le biais du temps immortel. Devis: Le premier volet utilise un devis rétrospectif de type cas témoins. Un questionnaire semi-quantitatif de fréquence de consommation alimentaire validé a été utilisé. Le génotype COX2 de neuf polymorphisme nucléotidique unique (SNP) a été mesuré avec une plateforme Taqman. Des modèles de régression logistique non conditionnelle ont été utilisés pour comparer le risque de diagnostic d’un cancer de la prostate et l’interaction. Le deuxième volet utilise un devis rétrospectif de type cohorte basée sur les données administratives de la Régie de l’assurance-maladie du Québec (RAMQ). Des modèles de régression de Cox ont été employés pour mesurer l’association entre les statines et l’évolution du cancer de la vessie. Le troisième volet, porte un regard méthodologique sur le biais du temps immortel en examinant sa présence dans la littérature oncologique. Son importance est illustrée avec les données de la cohorte du deuxième volet, et les méthodes de correction possibles son appliquées. Résultats: L’étude du premier volet démontre qu’une diète riche en acides gras oméga-3 d’origine marine était fortement associée à un risque diminué de cancer de la prostate agressif (p<0.0001 pour la tendance). Le ratio de cote pour le cancer de la prostate du quartile supérieur d’oméga-3 était de 0.37 (IC 95% = 0.25 à 0.54). L’effet diététique était modifié par le génotype COX-2 SNP rs4648310 (p=0.002 pour l’interaction). En particulier, les hommes avec faible apport en oméga-3 et la variante rs4648310 avait un risque accru de cancer de la prostate (ratio de cote = 5.49, IC 95%=1.80 à 16.7), effet renversé par un apport en oméga-3 plus grand. L’étude du deuxième volet a observé que l’utilisation de statines est associée à une diminution du risque de progression du cancer de la vessie (risque relatif = 0.44, IC 95% = 0.20 à 0.96, p=0.039). Cette association était encore plus forte pour le décès de toute cause (HR = 0.57, 95% CI = 0.43 to 0.76, p=0.0001). L’effet des statines semble être dose-dépendant. L’étude du troisième volet démontre que le biais du temps immortel est fréquent et important dans les études épidémiologiques oncologiques. Il comporte plusieurs aspects dont certains sont mieux prévenus au stade du choix du devis d’étude et différentes méthodes statistiques permettent un contrôle de ce biais. Conclusion: 1) Une diète riche en oméga-3 aurait un effet protecteur pour le cancer de la prostate. 2) L’utilisation de statines aurait un effet protecteur sur la progression du cancer non invasif de la vessie. Les lipides semblent avoir un effet sur les cancers urologiques.
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Contexte: À date, il existe peu de données sur l’adhésion, la persistance et les coûts associés aux antidépresseurs selon le type d’assurance médicament (privé ou public). Objectif: Comparer selon le régime d’assurance médicament (privé ou public), l'adhésion, la persistance et les coûts des antidépresseurs. Méthodes de recherche: Une étude de cohorte appariée a été réalisée en utilisant des bases de données du Québec. Sujets: Nous avons sélectionné 194 patients assurés par un régime privé et 1923 patients assurés par le régime public de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) (18-64 ans) qui ont rempli au moins une ordonnance pour un antidépresseur entre décembre 2007 et septembre 2009. Mesures: L’adhésion, mesurée sur une période d’un an, a été estimée en utilisant le proportion of prescribed days covered (PPDC). Un modèle de régression linéaire a été utilisé afin d’estimer la différence moyenne en PPDC entre les patients assurés par un régime privé et ceux assurés par le régime public de la RAMQ. La persistance a été comparé entre ces deux groupes avec un modèle de régression de survie Cox, et le coût mensuel d'antidépresseurs ($ CAN) a été comparé entre ces deux groupes en utilisant un modèle de régression linéaire. Résultats: Le PPDC parmi les patients assurés par un régime privé était de 86,4% (intervalle de confiance (IC) 95%: 83,3%-89,5%) versus 81,3% (IC 95%: 80,1%-82,5%) pour les patients assurés par le régime public de la RAMQ, pour une différence moyenne ajustée de 6,7% (IC 95%: 3,0%-10,4%). La persistance après un an parmi les patients assurés par un régime privé était de 49,5% versus 18,9% pour les patients assurés par le régime public de la RAMQ (p <0,001), et le rapport de risque ajusté était de 0,48 (IC 95%: 0,30-0,76). Comparativement aux patients assurés par le régime public de la RAMQ, les patients ayant une assurance privée ont payé 14,94 $ CAD (95% CI: $12,30-$17,58) de plus par mois en moyenne pour leurs antidépresseurs. Conclusion: Les patients assurés par un régime privé avaient une meilleure adhésion, persistance, mais avaient aussi un plus haut coût pour leurs antidépresseurs que ceux assurés par le régime public de la RAMQ. Cette différence de coûts peut être due aux différentes exigences de paiement en pharmacie entre les deux régimes ainsi qu’aux limites des honoraires des pharmaciens imposés par le régime public.
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Introduction : Cette thèse est constituée de trois articles liés les uns aux autres. Le premier s’attache à clarifier les perspectives théoriques et problèmes conceptuels entourant la notion de capacité/incapacité au travail, sa définition et son évolution au fil du temps. Les deuxième et troisième articles visent à évaluer les effets différentiels selon le genre de déterminants du retour au travail (RAT) et de la durée d’indemnisation ainsi que les coûts associés, dans une population de travailleurs indemnisés à long terme pour troubles musculosquelettiques (TMS). Méthodes : Dans le premier article, une revue systématique des définitions de l’(in)capacité au travail et une analyse comparative basée sur la théorisation ancrée débouchent sur une carte conceptuelle intégrative. Dans le second article, une cohorte de 455 adultes en incapacité à long terme pour TMS au dos/cou/membres supérieurs est suivie cinq ans au travers d’entretiens structurés et de données d’indemnisation. Des modèles de Cox stratifiés par genre ont été utilisés pour évaluer la durée jusqu’au premier RAT. Dans le troisième article, une cohorte populationnelle de 13,073 hommes et 9032 femmes en incapacité prolongée pour TMS au dos/cou/membres supérieurs a été suivie pendant trois ans à l’aide de données administratives. Des modèles de Cox stratifiés par genre ont été utilisés pour étudier la durée d’indemnisation et détecter les effets dépendants du temps. Les coûts ont également été examinés. Résultats : Les définitions analysées dans la première étude ne reflètent pas une vision intégrée et partagée de l’(in)capacité au travail. Cependant, un consensus relatif semble émerger qu’il s’agit d’un concept relationnel, résultant de l’interaction de multiples dimensions aux niveaux individuel, organisationnel et sociétal. La seconde étude montre que malgré des courbes de survie jusqu’au RAT similaires entre hommes et femmes (p =0.920), plusieurs déterminants diffèrent selon le genre. Les femmes plus âgées (HR=0.734, par tranches de 10 ans), d’un statut économique perçu comme pauvre (HR=0.625), travaillant ≥40 heures/semaine en ayant des personnes à charge (HR=0.508) et ne connaissant pas l’existence d’un programme de santé et sécurité sur leur lieu de travail (HR=0.598) retournent moins vite au travail, tandis qu’un revenu brut annuel plus élevé (par $10,000) est un facteur facilitant (HR=1.225). Les hommes de plus de 55 ans (HR=0.458), au statut économique perçu comme pauvre (HR=0.653), travaillant ≥40 heures/semaine avec une charge de travail physique perçue élevée (HR=0.720) et une plus grande précarité d’emploi (HR=0.825) retournent moins rapidement au travail. La troisième étude a révélé que trois ans après la lésion, 12.3% des hommes et 7.3% des femmes étaient encore indemnisés, avec un ratio de coûts homme-femme pour l’ensemble des réclamations de 2.1 :1. L’effet de certain prédicteurs (e.g. revenu, siège de lésion, industrie) varie selon le genre. De plus, l’effet de l’âge chez les hommes et l’effet de l’historique d’indemnisation chez les femmes varient dans le temps. Conclusion : La façon de définir l’(in)capacité au travail a des implications importantes pour la recherche, l’indemnisation et la réadaptation. Les résultats confirment également la pertinence d’investiguer les déterminants du RAT et de l’indemnisation selon le genre.
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La pression artérielle est un déterminant potentiellement majeur de l’évolution de pathologies telles que la FA et l’insuffisance cardiaque. Pourtant, il demeure plusieurs incertitudes quant à la prise en charge optimale de la pression artérielle chez ces patients. Le rôle potentiel de la pression artérielle sur l’efficacité du maintien en rythme sinusal est inconnu. De plus, en présence d’insuffisance cardiaque, non seulement une pression artérielle élevée, mais aussi une pression artérielle basse pourrait augmenter la mortalité. Les travaux présentés ont pour but d’évaluer l’impact de la pression artérielle sur l’efficacité du contrôle du rythme et la mortalité ainsi que d’évaluer le rôle potentiel de l’insuffisance cardiaque sur cette interaction. Une étude post-hoc utilisant une banque de données combinant les études AFFIRM et AF-CHF a été réalisée. Les patients ont d’abord été classés selon leur FEVG (>40%, ≤40%), puis nous avons évalué l’impact de la PAS (<120 mmHg, 120-140 mmHg, >140 mmHg) sur les issues. Premièrement, chez les 2715 patients randomisés au contrôle du rythme, nous avons évalué la survie sans récidive de FA. Deuxièmement, chez tous les 5436 patients inclus dans les 2 études sources, nous avons évalué la mortalité et la morbidité. Chez les patients avec FEVG >40%, aucune des issues n’a été affectée par la PAS dans des analyses de régression multivariées de Cox. Par contraste, chez les patients avec FEVG ≤40%, le taux de récidive de FA était plus élevé avec une PAS >140 mmHg et une PAS <120 mmHg, par rapport à une PAS de 120-140 mmHg [HR, 1.47; IC 95% (1.12-1.93)] et [HR 1.15; IC 95% (0.92-1.43)], respectivement. La mortalité s’est également avérée augmentée chez ces patients avec une PAS >140 mmHg et une PAS <120 mmHg [HR 1.75; IC 95% (1.41-2.17)] et [HR 1.40; IC 95% (1.04-1.90)], respectivement. En conclusion, le maintien en rythme sinusal et la survie sont influencés par la PAS chez les patients avec FA et FEVG diminuée, mais non chez les patients avec FEVG normale. Une courbe en forme de U a été identifiée, où les pression plus basses (<120 mmHg) et plus hautes (>140 mmHg) sont associées à un moins bon pronostic.
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Le but premier des services de protection de la jeunesse est de mettre fin à une situation de compromission et d’éviter que celle-ci ne se reproduise. Cependant, une meilleure connaissance des facteurs de risque d’incidence LSJPA chez les jeunes pris en charge en raison de leurs comportements problématiques permettrait de mieux identifier et ainsi, d’adapter les interventions chez ceux se révélant être les plus à risque de délinquance juvénile. La présente étude propose donc de décrire l’ampleur et le risque d’incidence c’est-à-dire, l’application d’une sanction ou d’une mesure en vertu de la LSJPA chez ces jeunes et de déterminer, parmi les facteurs associés au jeune et ceux inhérents à l’intervention, quels en sont les meilleurs prédicteurs. Pour ce faire, des données clinico-administratives des 16 centres jeunesse du Québec ont été utilisées. Ainsi, tous les enfants et adolescents dont le dossier a été fermé à la suite d’une première intervention en protection de la jeunesse en raison de troubles de comportement entre le 1er janvier 2005 et le 31 décembre 2009 ont été observés (N = 6 630). Des analyses de survie (modèle Kaplan-Meier) ainsi que des régressions de Cox ont été effectuées. Les résultats indiquent qu’un jeune pris en charge en raison de troubles de comportement a 39,7% de risque de migrer vers les services judiciaires pour adolescents dans les cinq années qui suivent la fermeture de son dossier. Sans grande surprise, les garçons présentent un plus grand risque que leurs homologues féminins. Il appert également que le risque d’incidence varie en fonction du sexe et de la présence de maltraitance lors de la prise en charge initiale. De plus, les facteurs associés à l’usager lui-même semblent avoir un impact plus important sur l’incidence que ceux associés à la prise en charge. Aussi, la récurrence dans les services de protection en raison de troubles de comportement mais également en raison de nouveaux éléments liés à la maltraitance sont au nombre des éléments à surveiller avec beaucoup d’attention puisqu’ils sont fortement liés à une migration vers la LSJPA. Les implications cliniques sont discutées et une ouverture sur de futurs travaux est faite.
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Introducción: el riesgo de desarrollar cáncer de seno durante la vida es del 13,4% (1 de cada 7 mujeres) y la posibilidad de morir por la enfermedad después del diagnostico es cercana al 30%. Pacientes y Métodos: es un estudio de cohorte abierta retrospectiva en el que se analizó la sobrevida según los factores pronósticos de las pacientes con cáncer de seno del hospital militar central en el periodo de enero de 2003 a diciembre de 2008. Los factores pronósticos son: Edad, estadío del tumor al momento del diagnóstico, Grado de diferenciación del tumor, presencia de metástasis al momento del diagnóstico, presencia de metástasis, número de sitios de metástasis, erb2, presencia de ganglios afectados, número de ganglios positivos, receptores estrogénicos, receptores de progestágeno, tratamiento con trastuzumab, tratamiento con hormonoterapia; el análisis estadístico se realizó a partir de la herramienta de recolección de datos, esta base de datos fue trasladada al programa SPSS. Resultados: participaron 171 mujeres. La presencia de receptores para estrógenos positivos se correlaciona con una mayor sobrevida con una diferencia estadísticamente significativa (p=0.015). Durante el periodo de tiempo del estudio fallecieron 23 pacientes (13.4%), de las cuales 20 (86%) presentaban Carcinoma Canalicular Infiltrante y 21 (91%) presentaban estadios avanzados del carcinoma. Conclusiones: las características demográficas de nuestra población son similares a lo publicado en la literatura, sin variantes estadísticamente significativas frente a los hallazgos internacionales. En nuestro análisis hubo una fuerte correlación de la presencia de estrógenos positivos en relación al tiempo de sobrevida.
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Background: Stable-isotope ratios of carbon (13C/12C, expressed as δ13C) and nitrogen (15N/14N, or δ15N) have been proposed as potential nutritional biomarkers to distinguish between meat, fish, and plant-based foods. Objective: The objective was to investigate dietary correlates of δ13C and δ15N and examine the association of these biomarkers with incident type 2 diabetes in a prospective study. Design: Serum δ13C and δ15N (‰) were measured by using isotope ratio mass spectrometry in a case-cohort study (n = 476 diabetes cases; n = 718 subcohort) nested within the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC)–Norfolk population-based cohort. We examined dietary (food-frequency questionnaire) correlates of δ13C and δ15N in the subcohort. HRs and 95% CIs were estimated by using Prentice-weighted Cox regression. Results: Mean (±SD) δ13C and δ15N were −22.8 ± 0.4‰ and 10.2 ± 0.4‰, respectively, and δ13C (r = 0.22) and δ15N (r = 0.20) were positively correlated (P < 0.001) with fish protein intake. Animal protein was not correlated with δ13C but was significantly correlated with δ15N (dairy protein: r = 0.11; meat protein: r = 0.09; terrestrial animal protein: r = 0.12, P ≤ 0.013). δ13C was inversely associated with diabetes in adjusted analyses (HR per tertile: 0.74; 95% CI: 0.65, 0.83; P-trend < 0.001], whereas δ15N was positively associated (HR: 1.23; 95% CI: 1.09, 1.38; P-trend = 0.001). Conclusions: The isotope ratios δ13C and δ15N may both serve as potential biomarkers of fish protein intake, whereas only δ15N may reflect broader animal-source protein intake in a European population. The inverse association of δ13C but a positive association of δ15N with incident diabetes should be interpreted in the light of knowledge of dietary intake and may assist in identifying dietary components that are associated with health risks and benefits.
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Background: Dietary intervention studies suggest that flavan-3-ol intake can improve vascular function and reduce the risk of cardiovascular diseases (CVD). However, results from prospective studies failed to show a consistent beneficial effect. Objective: To investigate associations between flavan-3-ol intake and CVD risk in the Norfolk arm of the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC-Norfolk). Design: Data was available from 24,885 (11,252 men; 13,633 women) participants, recruited between 1993 and 1997 into the EPIC-Norfolk study. Flavan-3-ol intake was assessed using 7-day food diaries and the FLAVIOLA Flavanol Food Composition database. Missing data for plasma cholesterol and vitamin C were imputed using multiple imputation. Associations between flavan-3-ol intake and blood pressure at baseline were determined using linear regression models. Associations with CVD risk were estimated using Cox regression analyses. Results: Median intake of total flavan-3-ols was 1034 mg/d (range: 0 – 8531 mg/d) for men and 970 mg/d (0 – 6695 mg/d) for women, median intake of flavan-3-ol monomers was 233 mg/d (0 – 3248 mg/d) for men and 217 (0 – 2712 mg/d) for women. There were no consistent associations between flavan-3-ol monomer intake and baseline systolic and diastolic blood pressure (BP). After 286,147 person-years of follow up, there were 8463 cardio-vascular events and 1987 CVD related deaths; no consistent association between flavan-3-ol intake and CVD risk (HR 0.93, 95% CI:0.87; 1.00; Q1 vs Q5) or mortality was observed (HR 0.93, 95% CI: 0.84; 1.04). Conclusions: Flavan-3-ol intake in EPIC-Norfolk is not sufficient to achieve a statistically significant reduction in CVD risk.
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The prevalence and risk factors of radiographic vertebral fracture were determined among Brazilian community-dwelling elderly. Vertebral fractures were a common condition in this elderly population, and lower hip bone mineral density was a significant risk factor for vertebral fractures in both genders. The aim of the study was to estimate the prevalence of radiographic vertebral fracture and investigate factors associated with this condition in Brazilian community-dwelling elderly. This cross-sectional study included 943 elderly subjects (561 women and 382 men) living in So Paulo, Brazil. Thoracic and lumbar spine radiographs were obtained, and vertebral fractures were evaluated using Genant`s semiquantitative method. Bone mineral density (BMD) was measured by dual X-ray absorptiometry, and bone biochemical markers were also evaluated. Female and male subjects were analyzed independently, and each gender was divided into two groups based on whether vertebral fractures were present. The prevalence of vertebral fracture was 27.5% (95% CI 23.8-31.1) in women and 31.8% in men (95% CI 27.1-36.5) (P = 0.116). Cox regression analyses using variables that were significant in the univariate analysis showed that age (prevalence ratio = 1.03, 95% CI 1.01-1.06; p = 0.019) and total femur BMD (PR = 0.27, 95% CI 0.08-0.98; p = 0.048) were independent factors in predicting vertebral fracture for the female group. In the male group, Cox regression analyses demonstrated that femoral neck BMD (PR = 0.26, 95% CI 0.07-0.98; p = 0.046) was an independent parameter in predicting vertebral fractures. Our results suggest that radiographic vertebral fractures are common in Brazilian community-dwelling elderly and that a low hip BMD was an important risk factor for this condition in both genders. Age was also significantly correlated with the presence of vertebral fractures in women.
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AIMS/HYPOTHESIS: Soluble tumor necrosis factor receptors 1 and 2 (sTNFR1 and sTNFR2) contribute to experimental diabetic kidney disease, a condition with substantially increased cardiovascular risk when present in patients. Therefore, we aimed to explore the levels of sTNFRs, and their association with prevalent kidney disease, incident cardiovascular disease, and risk of mortality independently of baseline kidney function and microalbuminuria in a cohort of patients with type 2 diabetes. In pre-defined secondary analyses we also investigated whether the sTNFRs predict adverse outcome in the absence of diabetic kidney disease. METHODS: The CARDIPP study, a cohort study of 607 diabetes patients [mean age 61 years, 44 % women, 45 cardiovascular events (fatal/non-fatal myocardial infarction or stroke) and 44 deaths during follow-up (mean 7.6 years)] was used. RESULTS: Higher sTNFR1 and sTNFR2 were associated with higher odds of prevalent kidney disease [odd ratio (OR) per standard deviation (SD) increase 1.60, 95 % confidence interval (CI) 1.32-1.93, p < 0.001 and OR 1.54, 95 % CI 1.21-1.97, p = 0.001, respectively]. In Cox regression models adjusting for age, sex, glomerular filtration rate and urinary albumin/creatinine ratio, higher sTNFR1 and sTNFR2 predicted incident cardiovascular events [hazard ratio (HR) per SD increase, 1.66, 95 % CI 1.29-2.174, p < 0.001 and HR 1.47, 95 % CI 1.13-1.91, p = 0.004, respectively]. Results were similar in separate models with adjustments for inflammatory markers, HbA1c, or established cardiovascular risk factors, or when participants with diabetic kidney disease at baseline were excluded (p < 0.01 for all). Both sTNFRs were associated with mortality. CONCLUSIONS/INTERPRETATIONS: Higher circulating sTNFR1 and sTNFR2 are associated with diabetic kidney disease, and predicts incident cardiovascular disease and mortality independently of microalbuminuria and kidney function, even in those without kidney disease. Our findings support the clinical utility of sTNFRs as prognostic markers in type 2 diabetes.
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A hipoxemia pode ocorrer durante a Colangiopancreatografia Endoscópica Retrógrada (CPER) porque alguma analgesia e sedação precisam ser realizadas. O posicionamento do paciente em pronação dificulta a ventilação adequada. Um estudo transversal controlado foi utilizado para investigar possíveis fatores preditivos de dessaturação de oxigênio em pacientes submetidos à CPER sedados com midazolam associado à meperidina. No total, 186 pacientes foram monitorados continuamente com oxímetro de pulso. A regressão de Cox adaptada por Braslow foi utilizada para identificar fatores preditivos de dessaturação relacionados ao paciente e ao exame. As variáveis estudadas foram: idade, gênero, hematócrito e hemoglobina, uso de escopolamina, exame diagnóstico ou terapêutico, midazolam ( média 0,07mg/Kg) e meperidina (média 0,7mg/Kg), escores da Sociedade Americana de Anestesiologistas (ASA) e tempo de exame. Dos 186 pacientes, 113 não dessaturaram (60,8%), 22(11,8%) apresentaram dessaturação moderada (SpO2≤92%) e 51 (27,4%) apresentaram dessaturação grave (SpO2≤90%). As variáveis preditivas de dessaturação de oxigênio detectadas foram idade ≥60 anos (p=0,004; RR:1,5;IC:1,12-1,93) e escore ASA III (p=0,013) As variáveis idade (60 anos ou mais) e escore ASA III foram identificadas como de risco para dessaturação em pacientes que realizam CPER sob sedação consciente. Estes pacientes necessitam de maior monitoração para saturação e hipoventilação pela enfermagem, alertando para a depressão respiratória. A utilização do oxímetro de pulso e solicitação de respiração profunda durante o exame auxilia a diminuir estes riscos.
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Os fenômenos convulsivos despertaram o interesse de estudiosos e pensadores já na Antigüidade, quando aspectos mágicos e sobrenaturais eram a eles associados. No século XIX foram lançadas as bases dos conceitos atuais sobre a desestruturação funcional cerebral na epilepsia, e Berger, em 1929, marcou definitivamente a história com a descoberta dos ritmos cerebrais. Crise epiléptica e epilepsia não são sinônimos, já que o último termo refere-se a crises recorrentes espontâneas. Ela costuma iniciar na infância, daí a preocupação com o risco de repetição do primeiro episódio e com a decisão de instituir tratamento medicamentoso. Fatores prognósticos são apontados, mas não há consenso. No Brasil existem poucas pesquisas nesta linha, tanto de prevalência da epilepsia como de fatores envolvidos na recorrência de crises. Este estudo teve como objetivo geral avaliar aspectos clinicoeletrográficos capazes de auxiliar no prognóstico e no manejo da epilepsia da criança e do adolescente. Foram objetivos específicos determinar a incidência de crise epiléptica não provocada recorrente; identificar fatores remotos implicados na ocorrência de crise epiléptica; relacionar tipo de crise com achados eletrencefalográficos; relacionar tipo de crise, duração da crise, estado vigília/sono no momento da crise e achados eletrencefalográficos com possibilidade de recorrência; e identificar os fatores de risco para epilepsia. Foram acompanhados 109 pacientes com idades entre 1 mês e 16 anos, com primeira crise não-provocada, em média por 24 meses, a intervalos trimestrais, no Hospital de Clínicas de Porto Alegre (HCPA). Foram realizados eletrencefalogramas (EEG) após a primeira crise; depois, solicitados anualmente. Não foram incluídos casos com epilepsia ou síndrome epiléptica bem definida, ou que fizeram uso prévio de drogas antiepilépticas. A média de idade foi 6 anos, com predomínio da faixa etária de 6 a 12 anos. Setenta eram meninos e 39, meninas. Os indivíduos brancos eram 92, e os não-brancos, 17. O nível de escolaridade dos casos esteve de acordo com a distribuição da idade e, entre os responsáveis, predominaram 8 anos de escolaridade. Foi possível concluir que as crises únicas não-provocadas mais freqüentes foram generalizadas, e sem predomínio significativo do tipo de EEG. A incidência de crise não-provocada recorrente foi 51,4%. História de intercorrências pré-natais maternas aumentou em 2 vezes o risco de repetição de crises. Via de nascimento, escore de Apgar no 5º minuto, relação peso ao nascer/idade gestacional, intercorrências no período pós-natal imediato e desenvolvimento neuropsicomotor não tiveram influência na recorrência. História familiar de crises mostrou tendência à significância estatística para repetição dos episódios, com risco de 1,7. Não foi encontrada associação entre tipo de crise e achado eletrencefalográfico. A maioria das crises foi de curta duração (até 5 minutos), mas este dado não esteve relacionado com a recorrência. Estado de vigília teve efeito protetor na recorrência. Se a primeira crise foi parcial, o risco de repetição foi 1,62, com tendência à significância. Quando o primeiro EEG foi alterado, houve relação significativa com primeira crise tanto generalizada como parcial. O primeiro EEG com alterações paroxísticas focais apontou risco de repetição de 2,90. Quando as variáveis envolvidas na repetição de crises foram ajustadas pelo modelo de regressão de Cox, EEG alterado mostrou risco de 2,48, com riscos acumulados de 50%, 60%, 62% e 68%; com EEG normal, os riscos foram 26%, 32%, 34% e 36% em 6, 12, 18 e 24 meses respectivamente.
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OBJETIVO: Determinar o impacto de fatores prognósticos na sobrevida de pacientes com metástases hepáticas ressecadas e originadas de câncer colorretal. CASUISTICA E MÉTODOS: Foram analisados os prontuários de 28 pacientes submetidos a ressecção hepática de metástases de câncer colorretal de Abril /1992 a Setembro /2001. Foram realizadas 38 ressecções (8 pacientes com mais de uma ressecção no mesmo tempo cirúrgico e 2 pacientes submetidos a re-ressecções). Todos haviam sido submetidos previamente à ressecção do tumor primário. Utilizou-se um protocolo de rastreamento de metástases hepáticas que incluiu revisões clinicas trimestrais, ecografia abdominal e dosagem de CEA até completarem-se 5 anos de seguimento e, após, semestralmente. Os fatores prognósticos estudados foram: estágio do tumor primário, tamanho das metástases > 5cm, intervalo entre ressecção do tumor primário e surgimento da metástase <1 ano, CEA>100ng/ml, margens cirúrgicas <1cm e doença metastática extra-hepática. O estudo foi retrospectivo e a análise estatística foi feita através da curva de Kaplan-Meier, do log rank e da regressão de Cox. RESULTADOS: A morbidade foi 39,3% e a mortalidade operatória foi 3,6%.A sobrevida em 5 anos foi de 35%. Os fatores prognósticos independentes adversos foram: intervalo <1 ano entre ressecção do tumor primário e surgimento da metástase (p=0,047 e RR 11,56) e doença metastática extra-hepática (p=0,004 e RR=57,28). CONCLUSÕES: A ressecção hepática de metástases de câncer colorretal é um procedimento seguro com sobrevida em 5 anos acima dos 30%. Foram fatores prognósticos independentes adversos: doença metastática extra-hepática e intervalo<1ano entre ressecção do tumor primário e surgimento da metástase.
Resumo:
The aging process if characterizes for a complex events network, from multidimensional nature, that encloses biological, social, psychic and functional aspects. The alteration of one or more aspects can speed up the aging process, anticipating limitations and until the death in the aged. For an adjusted confrontation of this question is necessary an interdisciplinary vision, in which the some areas of the knowledge can interact and with this to intervenes of the best possible form. Then, information derived from studies of aspects related to incidence, morbidity-mortality and transition patterns, involved in the health-illness process can more accurately identify risk groups thereby establishing links between social factors, illness, incapacity and death. Thus, this study aimed to identify, by a multidimensional vision, the risk factors of mortality in a coorth of elderly in a city in the interior of the state of Rio Grande do Norte (RN), Brazil. A prospective study carried out in Santa Cruz RN, where 310 elderly were randomly selected to form a baseline. The follow-up was 53 months. The predictive variables were divided into sociodemographic, physical health, neuropsychiatric and functional capacity. The statistical analysis carried out by bivariate analysis, survival analysis, followed by binary logistic regression and Cox regression, in the multivariate analysis, considering significant levels p < 0.05 and confidence interval (CI) of 95%. A total of 60 (19.3%) elderly died during the follow-up, where cardiovascular disease was the main cause. The survival was approximately 24.8 months. The study of general survival showed, at 12, 24, 36, and 48 months of observation, a survival rate of 97%, 54%, 31%, and 5% respectively, with a statistical difference in survival only observed for the variables of cognitive function and Basic Activities of Daily Living. In the logistic regression analysis, the risk factors identified were cognitive deficits (OR = 8.74), poor perception of health (OR = 3.89) and dependence for Basic Activities of Daily Living (OR = 3.96). In the Cox analysis, as well as dependence for Basic Activities of Daily Living (HR = 3.17), cognitive deficit (HR = 4.30) and stroke (CVA) (HR = 3.49) continued as independent risk factors for death. The risk factors found in the study can be interpreted as the primary predictors for death among elderly members of the community. Therefore, improvements in health conditions, with actions towards sustaining an autonomous life with special attention for elderly with cognitive impairment, could mean additional healthy quality of life, resulting in the reduction of premature mortality in this population