986 resultados para Canada -- History -- Fenian Invasions, 1866-1870.


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On spine : The Grand Lodge of Canada in the Province of Ontario.

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Two unidentified girls are featured in this black and white cabinet card style photograph by R. F. Uren, of St. Catharines. The photograph is not dated, however, the address of the photographer is printed at the bottom of the cabinet card. This photograph was in the possession of Iris Sloman Bell, of St. Catharines, Ontario. The Sloman - Bell family descendants include former African American slaves who settled in Canada.Richard Frank (R.F.) Uren was a photographer in St. Catharines from 1886-1895. Source: Phillips, Glen C. The Ontario photographers list (1851-1900). Sarnia: Iron Gate Publishing Co., 1990. "Cabinet card photographs were first introduced in 1866. They were initially employed for landscapes rather than portraitures. Cabinet cards replaced Carte de visite photographs as the popular mode of photography. Cabinet cards became the standard for photographic portraits in 1870. Cabinet cards experienced their peak in popularity in the 1880's. Cabinet cards were still being produced in the United States until the early 1900's and continued to be produced in Europe even longer. The best way to describe a cabinet card is that it is a thin photograph that is mounted on a card that measures 4 1/4″ by 6 1/2″. Cabinet cards frequently have artistic logos and information on the bottom or the reverse of the card which advertised the photographer or the photography studio's services." Source: http://cabinetcardgallery.wordpress.com/category/cabinet-card-history/

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An unidentified African Canadian man is featured in this cabinet card by W. J. Rea, photographer, of Windsor, Ontario. The man appears to be in official dress, possibly of a religious or legal nature. This cabinet card bears the stamp of the photographer, W. J. Rea, in black ink along the bottom of the card and on the reverse. While it is undated, it is likely from the 1870s or 1880s. This cabinet card was in the possession of Iris Sloman Bell, of St. Catharines, Ontario. The Sloman - Bell family descendants include African American slaves from the United States who settled in Canada."Cabinet card photographs were first introduced in 1866. They were initially employed for landscapes rather than portraitures. Cabinet cards replaced Carte de visite photographs as the popular mode of photography. Cabinet cards became the standard for photographic portraits in 1870. Cabinet cards experienced their peak in popularity in the 1880's. Cabinet cards were still being produced in the United States until the early 1900's and continued to be produced in Europe even longer. The best way to describe a cabinet card is that it is a thin photograph that is mounted on a card that measures 4 1/4″ by 6 1/2″. Cabinet cards frequently have artistic logos and information on the bottom or the reverse of the card which advertised the photographer or the photography studio's services." Source: http://cabinetcardgallery.wordpress.com/category/cabinet-card-history/

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This unidentified African Canadian man is photographed at the Dominion Photo Studio, located at 388 Queen St. West in Toronto. The photographer's name is not known. No date is provided, however, the Dominion Studio is listed as operating from 1893-1894. The reverse of the card displays the Dominion Photo Studio stamp in gold lettering (image also attached). The gentleman in this cabinet card is possibly a relative of the Sloman - Bell family, who settled in the London and St. Catharines areas of Ontario. This cabinet card was among the family memorabilia in the possession of Iris Sloman Bell, of St. Catharines. Relatives of the Sloman - Bell family include former African American slaves who came to Canada.The Dominion Portait Co. is listed as operating from 1893-1894 in Toronto. There is an additional listing for the Dominion Portrait Co. (Gourlay and Clark props.) for 1894. Source: Phillips, Glen C. The Ontario photographers list (1851-1900). Sarnia: Iron Gate Publishing Co., 1990. "Cabinet card photographs were first introduced in 1866. They were initially employed for landscapes rather than portraitures. Cabinet cards replaced Carte de visite photographs as the popular mode of photography. Cabinet cards became the standard for photographic portraits in 1870. Cabinet cards experienced their peak in popularity in the 1880's. Cabinet cards were still being produced in the United States until the early 1900's and continued to be produced in Europe even longer. The best way to describe a cabinet card is that it is a thin photograph that is mounted on a card that measures 4 1/4″ by 6 1/2″. Cabinet cards frequently have artistic logos and information on the bottom or the reverse of the card which advertised the photographer or the photography studio's services." Source: http://cabinetcardgallery.wordpress.com/category/cabinet-card-history/

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"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures En vue de l'obtention du grade de Docteur en droit"

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Titre de la page de titre additionnel: Ghost dancing at the Supreme Court of Canada : indigenous rights during the First quarter century of s.35.of Canada's Constitution Act, 1982.

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Ce mémoire de maitrise porte sur la représentation de l’ailleurs véhiculée aux lecteurs d’images, au Québec, par les gravures du journal illustré L’Opinion publique. Effectivement, si l’Histoire commence avec les premières traces écrites, elle pose le problème de l’étude historique de ceux qui n’ont pas laissé de tels témoignages, les personnes qui ne sont pas ou peu alphabétisées. Nous proposons d’étudier ces personnes par le biais de l’image, médium auquel elles ont pu avoir accès. Nous avons ainsi cherché à savoir quelle connaissance de l’ailleurs a pu être véhiculée aux lecteurs d’images à travers les gravures du journal. Nous considérons que les gravures sont comprises par tous. Celles-ci représentent la moitié des pages du périodique, nous pensons que ce journal a pu être accessible à chacun, à ceux que nous appelons les lecteurs d’images. Nos conclusions montrent que ces illustrations ont pu étendre la connaissance de l’espace des Québécois, à travers la représentation de l’actualité. Il est à noter que ces gravures proviennent en partie de journaux français et montrent la France et ses colonies. La population montréalaise se trouve donc au contact d’une certaine influence française, dont les élites se font les vecteurs. Une comparaison avec le Canadian Illustrated News révèle de profondes différences. Ainsi, ce journal du même propriétaire indique un intérêt marqué pour l’Empire britannique. Ce journal qui vise un public plus cultivé que celui de son homologue francophone donne à voir un espace plus large à ses lecteurs. Ainsi, chaque ligne éditoriale se fait l’écho de représentations différentes, transmises à ses lecteurs, populaires ou moins, francophones ou anglophones.

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La guerre franco-prussienne (ou franco-allemande) de 1870-71 fut un conflit majeur dont l’issue changea considérablement l’équilibre des puissances en Europe avec notamment l’émergence de l’Empire allemand. Pourtant, elle a été oubliée. Bien que depuis la fin du XIXe siècle, elle fut largement traitée par l’historiographie, la question des responsabilités relativement à son déclenchement demeure un sujet de débat. Tandis que certains historiens estiment que cette guerre fut sciemment provoquée par Bismarck afin de parachever l’unification allemande, d’autres croient que la responsabilité est partagée et que ce conflit était tout simplement inévitable dans le contexte du refroidissement des rapports franco-allemands depuis la défaite autrichienne de Königgrätz (Sadowa). Le présent mémoire entend se dissocier de ces interprétations en jetant un nouveau regard sur le rôle joué par Bismarck lors des « préliminaires » (Vorgeschichte) de 1870. En s’appuyant sur des sources primaires ainsi que sur ce que les historiographies allemande, française et anglo-saxonne nous apprennent, il sera démontré premièrement que la candidature Hohenzollern pour le trône d’Espagne n’a pas été « fabriquée » volontairement par le chef de la diplomatie prussienne afin de compléter l’unification allemande, mais qu’elle fut promue d’abord et avant tout pour des considérations de prestige politique. Deuxièmement, la fameuse dépêche d’Ems modifiée par Bismarck ne peut être considérée comme l’élément déclencheur de ce conflit, car la décision d’aller en guerre fut prise à Paris avant que les effets de la dépêche ne se fassent sentir. Enfin, par son besoin d’un succès politico-diplomatique qui aurait consolidé le Second Empire en faisant oublier les reculades antérieures, par son refus de se satisfaire du retrait de la candidature Hohenzollern et par les erreurs de sa politique étrangère en général, la France a adopté une position belliqueuse et s’est retrouvée seule dans une guerre qu’elle n’avait su ni prévenir, ni préparer. L’enjeu à Paris n’était finalement pas le règlement pacifique des différends avec la Prusse, mais la pérennisation de la prépondérance française sur le continent européen.

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Ce mémoire a pour objectif d’analyser la nature et l’ampleur des enjeux de sécurité dans l’Arctique contemporain en utilisant les outils offerts par la théorie de la sécurisation de l’École de Copenhague. Cinq secteurs de sécurité – militaire, politique, identitaire, environnemental et économique – et quatre variables – la géographie, l’identité, l’histoire et la politique – sont utilisées pour examiner les perceptions de sécurité, les sécurisations et les comportements stratégiques du Canada et de la Norvège. La 1re hypothèse avancée dans ce mémoire est la suivante : depuis 2005, au Canada et en Norvège, nous sommes en train d’assister à une sécurisation progressive des enjeux non militaires dans l’Arctique - politiques, identitaires, environnementaux et économiques - et les effets entre ces secteurs de sécurité ont d’importantes conséquences sur le secteur militaire, notamment au niveau de la multiplication de projets étatiques pour la plupart essentiellement militaires, ainsi qu’au niveau d’un déclenchement d’une sécurisation de leur intégrité territoriale ou du moins un accroissement de l’insécurité à son égard. La 2e hypothèse avancée est la suivante : les nouvelles perceptions de sécurité et les comportements stratégiques des États de la région engendrent de l’insécurité à l’intérieur des sociétés ainsi qu’une dégradation de la confiance entre les acteurs étatiques. Cela a pour effet d’augmenter la division politique dans l’Arctique et de ralentir toute construction régionale. Nous concluons, sur la base de nos études de cas, qu’au Canada, la souveraineté, la nordicité et l’intégrité territoriale sont perçues comme étant menacées. De plus, les sécurisations dans l’Arctique semblent faire partie d’un renouvellement stratégique global en matière de politique étrangère et de défense. En Norvège, la Russie est considérée comme l’acteur principal du High North et à partir de 2008, la relation russo-norvégienne a subi une sécurisation. Contrairement au Canada, la Norvège préfère le statu quo stratégique dans l’Arctique en privilégiant les trois éléments traditionnels de sa politique de défense et de sécurité - la dissuasion par l’OTAN, la gestion de la Russie par l’assurance, et l’amélioration des relations est-ouest.

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Le 29 février 1704, une force de 250 alliés franco-amérindiens attaque le petit village frontalier de Deerfield au Massachusetts et enlève 112 habitants. De ce nombre, 89 parviennent vivants en Nouvelle-France. À la fin de la guerre de Succession d’Espagne, 25 d’entre eux finissent par s’installer parmi les Français ou les Amérindiens. Pendant longtemps, ils auront le statut de captifs, d’Anglais ou simplement, d’étrangers. Ce travail vise à reconstituer le parcours de vie et d’intégration des anciens captifs de Deerfield dans la colonie française. Nous identifierons pour commencer les participants de l’attaque de Deerfield. Passant ensuite aux captifs, nous étudierons le processus d’intégration à la colonie et d’assimilation par la religion. Nous aborderons les modalités de l’adoption des captifs par les Français et les Amérindiens. Nous verrons quelle a été l’influence du mariage quant à l’insertion des captifs dans les réseaux sociaux. Finalement, nous analyserons le statut socioprofessionnel et la reproduction sociale de la descendance immédiate de certains de ces captifs.

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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).

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Thèse de doctorat réalisée dans le cadre d'une cotutelle entre l'Université de Montréal et l'École des Hautes Études en Sciences Sociales, Paris