977 resultados para Bonnet-type fundamental theorems


Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

MSC 2010: 30A10, 30B10, 30B30, 30B50, 30D15, 33E12

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

2000 Mathematics Subject Classification: 60G70, 60F05.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

MSC 2010: 33C47, 42C05, 41A55, 65D30, 65D32

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

How do the magnetic fields of massive stars evolve over time? Are their gyrochronological ages consistent with ages inferred from evolutionary tracks? Why do most stars predicted to host Centrifugal Magnetospheres (CMs) display no H$\alpha$ emission? Does plasma escape from CMs via centrifugal breakout events, or by a steady-state leakage mechanism? This thesis investigates these questions via a population study with a sample of 51 magnetic early B-type stars. The longitudinal magnetic field \bz~was measured from Least Squares Deconvolution profiles extracted from high-resolution spectropolarimetric data. New rotational periods $P_{\rm rot}$ were determined for 15 stars from \bz, leaving only 3 stars for which $P_{\rm rot}$ is unknown. Projected rotational velocities \vsini~were measured from multiple spectral lines. Effective temperatures and surface gravities were measured via ionization balances and line profile fitting of H Balmer lines. Fundamental physical parameters, \bz, \vsini, and $P_{\rm rot}$ were then used to determine radii, masses, ages, dipole oblique rotator model, stellar wind, magnetospheric, and spindown parameters using a Monte Carlo approach that self-consistently calculates all parameters while accounting for all available constraints on stellar properties. Dipole magnetic field strengths $B_{\rm d}$ follow a log-normal distribution similar to that of Ap stars, and decline over time in a fashion consistent with the expected conservation of fossil magnetic flux. $P_{\rm rot}$ increases with fractional main sequence age, mass, and $B_{\rm d}$, as expected from magnetospheric braking. However, comparison of evolutionary track ages to maximum spindown ages $t_{\rm S,max}$ shows that initial rotation fractions may be far below critical for stars with $M_*>10 M_\odot$. Computing $t_{\rm S,max}$ with different mass-loss prescriptions indicates that the mass-loss rates of B-type stars are likely much lower than expected from extrapolation from O-type stars. Stars with H$\alpha$ in emission and absorption occupy distinct regions in the updated rotation-magnetic confinement diagram: H$\alpha$-bright stars are found to be younger, more rapidly rotating, and more strongly magnetized than the general population. Emission strength is sensitive both to the volume of the CM and to the mass-loss rate, favouring leakage over centrifugal breakout.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

We present spectral classifications for 438 B-type stars observed as part of the VLT-FLAMES Tarantula Survey (VFTS) in the 30 Doradus region of the Large Magellanic Cloud. Radial velocities are provided for 307 apparently single stars, and for 99 targets with radial-velocity variations which are consistent with them being spectroscopic binaries. We investigate the spatial distribution of the radial velocities across the 30 Dor region, and use the results to identify candidate runaway stars. Excluding potential runaways and members of two older clusters in the survey region (SL 639 and Hodge 301), we determine a systemic velocity for 30 Dor of 271.6 ± 12.2 km s-1 from 273 presumed single stars. Employing a 3σ criterion we identify nine candidate runaway stars (2.9% of the single stars with radial-velocity estimates). The projected rotational velocities of the candidate runaways appear to be significantly different to those of the full B-type sample, with a strong preference for either large (≥345 km s-1) or small (≤65 km s-1) rotational velocities. Of the candidate runaways, VFTS 358 (classified B0.5: V) has the largest differential radial velocity (-106.9 ± 16.2 km s-1), and a preliminary atmospheric analysis finds a significantly enriched nitrogen abundance of 12 + log (N/H) ≳ 8.5. Combined with a large rotational velocity (υe sin i = 345 ± 22 km s-1), this is suggestive of past binary interaction for this star.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Les antimoniures sont des semi-conducteurs III-V prometteurs pour le développement de dispositifs optoélectroniques puisqu'ils ont une grande mobilité d'électrons, une large gamme spectrale d'émission ou de détection et offrent la possibilité de former des hétérostructures confinées dont la recombinaison est de type I, II ou III. Bien qu'il existe plusieurs publications sur la fabrication de dispositifs utilisant un alliage d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) qui émet ou détecte à une certaine longueur d'onde, les détails, à savoir comment sont déterminés les compositions et surtout les alignements de bande, sont rarement explicites. Très peu d'études fondamentales sur l'incorporation d'indium et d'arsenic sous forme de tétramères lors de l'épitaxie par jets moléculaires existent, et les méthodes afin de déterminer l'alignement des bandes des binaires qui composent ces alliages donnent des résultats variables. Un modèle a été construit et a permis de prédire l'alignement des bandes énergétiques des alliages d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) avec celles du GaSb pour l'ensemble des compositions possibles. Ce modèle tient compte des effets thermiques, des contraintes élastiques et peut aussi inclure le confinement pour des puits quantiques. De cette manière, il est possible de prédire la transition de type de recombinaison en fonction de la composition. Il est aussi montré que l'indium ségrègue en surface lors de la croissance par épitaxie par jets moléculaires d'In(x)Ga(1-x)Sb sur GaSb, ce qui avait déjà été observé pour ce type de matériau. Il est possible d'éliminer le gradient de composition à cette interface en mouillant la surface d'indium avant la croissance de l'alliage. L'épaisseur d'indium en surface dépend de la température et peut être évaluée par un modèle simple simulant la ségrégation. Dans le cas d'un puits quantique, il y aura une seconde interface GaSb sur In(x)Ga(1-x)Sb où l'indium de surface ira s'incorporer. La croissance de quelques monocouches de GaSb à basse température immédiatement après la croissance de l'alliage permet d'incorporer rapidement ces atomes d'indium et de garder la seconde interface abrupte. Lorsque la composition d'indium ne change plus dans la couche, cette composition correspond au rapport de flux d'atomes d'indium sur celui des éléments III. L'arsenic, dont la source fournit principalement des tétramères, ne s'incorpore pas de la même manière. Les tétramères occupent deux sites en surface et doivent interagir par paire afin de créer des dimères d'arsenic. Ces derniers pourront alors être incorporés dans l'alliage. Un modèle de cinétique de surface a été élaboré afin de rendre compte de la diminution d'incorporation d'arsenic en augmentant le rapport V/III pour une composition nominale d'arsenic fixe dans l'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y). Ce résultat s'explique par le fait que les réactions de deuxième ordre dans la décomposition des tétramères d'arsenic ralentissent considérablement la réaction d'incorporation et permettent à l'antimoine d'occuper majoritairement la surface. Cette observation montre qu'il est préférable d'utiliser une source de dimères d'arsenic, plutôt que de tétramères, afin de mieux contrôler la composition d'arsenic dans la couche. Des puits quantiques d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) sur GaSb ont été fabriqués et caractérisés optiquement afin d'observer le passage de recombinaison de type I à type II. Cependant, celui-ci n'a pas pu être observé puisque les spectres étaient dominés par un niveau énergétique dans le GaSb dont la source n'a pu être identifiée. Un problème dans la source de gallium pourrait être à l'origine de ce défaut et la résolution de ce problème est essentielle à la continuité de ces travaux.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-08

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-08

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Les antimoniures sont des semi-conducteurs III-V prometteurs pour le développement de dispositifs optoélectroniques puisqu'ils ont une grande mobilité d'électrons, une large gamme spectrale d'émission ou de détection et offrent la possibilité de former des hétérostructures confinées dont la recombinaison est de type I, II ou III. Bien qu'il existe plusieurs publications sur la fabrication de dispositifs utilisant un alliage d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) qui émet ou détecte à une certaine longueur d'onde, les détails, à savoir comment sont déterminés les compositions et surtout les alignements de bande, sont rarement explicites. Très peu d'études fondamentales sur l'incorporation d'indium et d'arsenic sous forme de tétramères lors de l'épitaxie par jets moléculaires existent, et les méthodes afin de déterminer l'alignement des bandes des binaires qui composent ces alliages donnent des résultats variables. Un modèle a été construit et a permis de prédire l'alignement des bandes énergétiques des alliages d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) avec celles du GaSb pour l'ensemble des compositions possibles. Ce modèle tient compte des effets thermiques, des contraintes élastiques et peut aussi inclure le confinement pour des puits quantiques. De cette manière, il est possible de prédire la transition de type de recombinaison en fonction de la composition. Il est aussi montré que l'indium ségrègue en surface lors de la croissance par épitaxie par jets moléculaires d'In(x)Ga(1-x)Sb sur GaSb, ce qui avait déjà été observé pour ce type de matériau. Il est possible d'éliminer le gradient de composition à cette interface en mouillant la surface d'indium avant la croissance de l'alliage. L'épaisseur d'indium en surface dépend de la température et peut être évaluée par un modèle simple simulant la ségrégation. Dans le cas d'un puits quantique, il y aura une seconde interface GaSb sur In(x)Ga(1-x)Sb où l'indium de surface ira s'incorporer. La croissance de quelques monocouches de GaSb à basse température immédiatement après la croissance de l'alliage permet d'incorporer rapidement ces atomes d'indium et de garder la seconde interface abrupte. Lorsque la composition d'indium ne change plus dans la couche, cette composition correspond au rapport de flux d'atomes d'indium sur celui des éléments III. L'arsenic, dont la source fournit principalement des tétramères, ne s'incorpore pas de la même manière. Les tétramères occupent deux sites en surface et doivent interagir par paire afin de créer des dimères d'arsenic. Ces derniers pourront alors être incorporés dans l'alliage. Un modèle de cinétique de surface a été élaboré afin de rendre compte de la diminution d'incorporation d'arsenic en augmentant le rapport V/III pour une composition nominale d'arsenic fixe dans l'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y). Ce résultat s'explique par le fait que les réactions de deuxième ordre dans la décomposition des tétramères d'arsenic ralentissent considérablement la réaction d'incorporation et permettent à l'antimoine d'occuper majoritairement la surface. Cette observation montre qu'il est préférable d'utiliser une source de dimères d'arsenic, plutôt que de tétramères, afin de mieux contrôler la composition d'arsenic dans la couche. Des puits quantiques d'In(x)Ga(1-x)As(y)Sb(1-y) sur GaSb ont été fabriqués et caractérisés optiquement afin d'observer le passage de recombinaison de type I à type II. Cependant, celui-ci n'a pas pu être observé puisque les spectres étaient dominés par un niveau énergétique dans le GaSb dont la source n'a pu être identifiée. Un problème dans la source de gallium pourrait être à l'origine de ce défaut et la résolution de ce problème est essentielle à la continuité de ces travaux.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

The infrared (IR) spectroscopic data for a series of eleven heteroleptic bis(phthalocyaninato) rare earth complexes MIII(Pc)[Pc(α-OC5H11)4] (M = Sm–Lu, Y) [H2Pc = unsubstituted phthalocyanine, H2Pc(α-OC5H11)4 = 1,8,15,22-tetrakis(3-pentyloxy)phthalocyanine] have been collected with 2 cm−1 resolution. Raman spectroscopic properties in the range of 500–1800 cm−1 for these double-decker molecules have also been comparatively studied using laser excitation sources emitting at 632.8 and 785 nm. Both the IR and Raman spectra for M(Pc)[Pc(α-OC5H11)4] are more complicated than those of homoleptic bis(phthalocyaninato) rare earth analogues due to the decreased molecular symmetry of these double-decker compounds, namely C4. For this series, the IR Pc√− marker band appears as an intense absorption at 1309–1317 cm−1, attributed to the pyrrole stretching. With laser excitation at 632.8 nm, Raman vibrations derived from isoindole ring and aza stretchings in the range of 1300–1600 cm−1 are selectively intensified. In contrast, when excited with laser radiation of 785 nm, the ring radial vibrations of isoindole moieties and dihedral plane deformations between 500 and 1000 cm−1 for M(Pc)[Pc(α-OC5H11)4] intensify to become the strongest scatterings. Both techniques reveal that the frequencies of pyrrole stretching, isoindole breathing, isoindole stretchings, aza stretchings and coupling of pyrrole and aza stretchings depend on the rare earth ionic size, shifting to higher energy along with the lanthanide contraction due to the increased ring-ring interaction across the series. The assignments of the vibrational bands for these compounds have been made and discussed in relation to other unsubstituted and substituted bis(phthalocyaninato) rare earth analogues, such as M(Pc)2 and M(OOPc)2 [H2OOPc = 2,3,9,10,16,17,23,24-octakis(octyloxy)phthalocyanine].

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

The infrared (IR) spectroscopic data and Raman spectroscopic properties for a series of 13 “pinwheel-like” homoleptic bis(phthalocyaninato) rare earth complexes M[Pc(α-OC5H11)4]2 [M = Y and Pr–Lu except Pm; H2Pc(α-OC5H11)4 = 1,8,15,22-tetrakis(3-pentyloxy)phthalocyanine] have been collected and comparatively studied. Both the IR and Raman spectra for M[Pc(α-OC5H11)4]2 are more complicated than those of homoleptic bis(phthalocyaninato) rare earth analogues, namely M(Pc)2 and M[Pc(OC8H17)8]2, but resemble (for IR) or are a bit more complicated (for Raman) than those of heteroleptic counterparts M(Pc)[Pc(α-OC5H11)4], revealing the decreased molecular symmetry of these double-decker compounds, namely S8. Except for the obvious splitting of the isoindole breathing band at 1110–1123 cm−1, the IR spectra of M[Pc(α-OC5H11)4]2 are quite similar to those of corresponding M(Pc)[Pc(α-OC5H11)4] and therefore are similarly assigned. With laser excitation at 633 nm, Raman bands derived from isoindole ring and aza stretchings in the range of 1300–1600 cm−1 are selectively intensified. The IR spectra reveal that the frequencies of pyrrole stretching and pyrrole stretching coupled with the symmetrical CH bending of –CH3 groups are sensitive to the rare earth ionic size, while the Raman technique shows that the bands due to the isoindole stretchings and the coupled pyrrole and aza stretchings are similarly affected. Nevertheless, the phthalocyanine monoanion radical Pc′− IR marker band of bis(phthalocyaninato) complexes involving the same rare earth ion is found to shift to lower energy in the order M(Pc)2 > M(Pc)[Pc(α-OC5H11)4] > M[Pc(α-OC5H11)4]2, revealing the weakened π–π interaction between the two phthalocyanine rings in the same order.