296 resultados para Berufliche Identität
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À l'aide des tout derniers modèles narratologiques développés entre autres par Ansgar Nünning, nous nous penchons sur l'oeuvre d'Eveline Hasler, une voix phare de la littérature alémanique contemporaine. À partir d’un corpus de six romans, nous examinons de façon systématique sa poétique du roman historique au regard 1) des techniques narratives, 2) de la marginalité de ses personnages en société, 3) de la conception de l’Histoire, 4) de l'image critique qu'elle présente de la Suisse. Il en ressort un portrait très nuancé de l'oeuvre de Hasler, puisqu’elle allie un récit principalement réaliste, plutôt traditionnel, mais aussi inspiré du langage cinématographique, à des passages métahistoriographiques postmodernes, où une narratrice assimilable à l’auteure fait part au « je » de ses réflexions sur l'Histoire. Même si ces brefs passages relativement rares rappellent sans contredit la posture de l’historien, ils s’inscrivent toutefois dans la fiction, laquelle actualise le passé dans la perspective historique d’un lecteur contemporain. De fait, l’œuvre de Hasler se présente comme un jeu habile avec la liberté poétique et le souci de véracité historique, ce à quoi concourt l’imbrication de documents originaux en italique dans le roman. Par ailleurs, la question de la marginalité en société joue un rôle prépondérant chez Hasler, car tous ses personnages principaux sont autant de marginaux, de Außenseiter. Cette problématique montre entre autres les limites de l’Aufklärung, étant donné que ses tenants, les adversaires des marginaux, se targuent le plus souvent d’être motivés par la pensée éclairante pour mieux la pervertir. Il en résulte la mise à l’écart des individus dérangeants — la prétendue sorcière, le géant et les femmes qui remettent en cause l’organisation patriarcale. Or, certains marginaux de Hasler parviennent à s’arracher un espace de liberté dans la marge, au prix de leurs racines helvétiques. Ainsi, ces marginaux peinent à s’inscrire dans l’Histoire dite officielle, ce que Hasler tente de rectifier en leur redonnant une voix. Sur le plan individuel, la plupart d’entre eux expérimentent une évolution circulaire, puisqu’ils ne parviennent pas à sortir de la marge (sauf peut-être Henry Dunant). Cette impression de tourner en rond s’oppose à une conception de l’Histoire humaine qui se déroule en continuum, puisque les exclusions d’hier préfigurent celles d’aujourd’hui. Au-delà de cette mesure humaine du temps, l’horizon temporel de la nature s’inscrit pour sa part dans la permanence. Ainsi, Hasler développe une conception historique qui varie selon des points de vue coexistants. Cet amalgame est le plus souvent marqué par un certain pessimisme, comme le dénote la vie d’Emily Kempin associée au mythe d’Icare. Finalement, tous les acteurs historiques de Hasler appartiennent au contexte helvétique et en présentent une image assez rétrograde, laquelle se dévoile non seulement à travers la fictionnalisation des lieux, mais aussi par des références à trois symboles nationaux : les Alpes, le réduit helvétique et la légende de Guillaume Tell. Hasler fait le procès de ces mythes, associés à la liberté et à la sauvegarde de ce « peuple de bergers », en montrant que la Suisse n’apporte pas de solution originale aux défis de l’Occident.
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Quand le bilinguisme individuel résout les conflits linguistiques collectifs Frontière linguistique et discours identitaires à Fribourg/Freiburg : la perspective des jeunes adultes bilingues Cette thèse aborde la question linguistique fribourgeoise et l’importance de la langue à Fribourg / Freiburg (Suisse) dans la cohabitation de ses habitants. Elle porte également sur les points de discorde des groupes linguistiques, l’influence de la langue sur la construction des identités (collectives) et son rôle comme marqueur de différenciation entre les Fribourgeois alémaniques et romands. À cette fin, une analyse de discours portant sur un débat mené dans les quotidiens fribourgeois La Liberté et les Freiburger Nachrichten a été réalisée pour établir le contexte du travail. Ce débat, d’une durée de quatre ans, portait sur la nouvelle constitution cantonale. De plus, 17 entrevues furent menées auprès de 18 jeunes adultes bilingues (français et allemand) fribourgeois, afin d’aborder la question linguistique depuis une nouvelle perspective. L’analyse de discours a démontré l’existence de différentes perceptions de l’identité collective fribourgeoise, perceptions souvent liées à l’appartenance à un groupe linguistique : d’une part, la perception d’une ville francophone comptant une minorité germanophone prédomine chez les Fribourgeois romands, alors que, d’autre part, la perception d’une ville traditionnellement bilingue caractérise davantage les Fribourgeois alémaniques, divisant ainsi les Fribourgeois en deux camps. Les uns aspirent à une identité collective (bilingue) qui inclue l’altérité respective, tandis que les autres tentent de renforcer leur propre identité en soulignant l’altérité et en négligeant plutôt les points communs. Les entrevues réalisées ont démontré que la langue est le principal marqueur de différenciation des Fribourgeois alémaniques et romands – bien avant certains paramètres tels que les normes et valeurs, la mentalité, la religion, les habitudes de vie ou la culture. Les informateurs bilingues et la plupart du temps biculturels montrent des attitudes et perceptions particulières : se distinguant de plusieurs argumentaires présents dans l’analyse de discours, ceux-ci s’approprient les deux camps et montrent un sentiment d’appartenance avec le Fribourg romand et alémanique. Ce faisant, ils dénouent la majorité des sources de conflit et des contradictions de la question linguistique fribourgeoise. Leurs attitudes et perceptions spécifiques en font les médiateurs des groupes linguistiques dans le canton-pont et posent des questions potentiellement désagréables aux acteurs sociaux impliqués dans le débat linguistique fribourgeois.
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Les questions identitaires sont depuis des années au cœur des débats et des réflexions chez les Germano-Canadiens; les évènements du XXe siècle les ont poussés à constamment (re)définir leur identité face à la majorité (anglo-)canadienne. C’est notamment par le biais de médias ethniques qu’ils ont été en mesure de réfléchir à ces questions, sujettes aux débats les plus houleux. Le Kanada Kurier, un hebdomadaire germanophone du Canada, publié à l’échelle nationale pendant plus de cent ans, leur permettait notamment de s’exprimer sur cette question. Le mémoire s’interroge sur le discours identitaire produit par ce groupe et vise à mieux le décrire. Par une analyse de contenu des lettres de lecteurs de 1981, nous mettons en lumière les thèmes qui animent la communauté. Le corpus permet d’abord de voir la place importante qu’occupe la politique allemande, de constater la présence d’un discours identitaire duel, puisant ses références dans les contextes tant allemand que canadien, renforcé par des idéologies (politiques) communes chez certains germanophones du Canada et d’Europe. L’utilisation du concept de transnationalisme permet de soulever la question de la Heimat, sujet devenu éminemment politique après 1945, et illustre la complexité de la notion de patrie dans le cas allemand, surtout face aux revendications des « revanchistes » qui souhaitaient récupérer les territoires annexés par la Pologne et l’URSS après 1945. Au cœur de la majorité des lettres, nous apercevons le rapport complexe qu’entretiennent les Germano-Canadiens avec la Deuxième Guerre mondiale, véritable lieu de mémoire de la communauté. Finalement, le corpus montre surtout un journal dont le rôle aura été multiple et qu’on peut en définitive qualifier de journal diasporique.
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Gerade männliche Jugendliche nutzen in ihrer Pubertät und Adoleszenz zu einer gelingenden Gestaltung ihres Alltags und zur Ausbildung ihrer Identität zahlreiche Erscheinungsformen des Fantasy-Rollenspielens. In einem Prozess von Aneignung und Entäußerung integrieren dabei die Jugendlichen das überaus reiche multimediale Angebot, welches die Spiele bieten, in ihre Alltagsgestaltung, indem sie sich daraus spezifische Medien-, Text- und Ereignisarrangements bauen. Diese dienen einerseits der sozialen Integration und Distinktion, andererseits der Präsentation ihrer Identitätsentwürfe sich und anderen. Die Jugendlichen schaffen sich mittels dieser spezifischen Medien-, Text- und Ereignisarrangements eine in weiten Teilen von ihnen selbst bestimmte Welt, in der sie ihre Phantasie wie Kreativität mit großer Intensität, ja Obsession, innerhalb integrativer und solidarischer Interaktionsformen selbststeuernd und professionell ausleben. Diese Medien-, Text- und Ereignisarrangements zeigen Angebots- und Nutzungsformen, die sich nach einem medienkommunikativen Aneignungs- und Entäußerungsmodell in der Tradition der Cultural Studies (Stuart Hall) beschreiben lassen. Die Langzeitbeobachtung der Jugendlichen zeigt, dass sie alltagspragmatische Kulturtechniken zur selbstbestimmten Gestaltung von Alltag entwickeln: zunächst eine Strukturierung ihrer kognitiven, affektiven und pragmatischen Interaktion nach Kriterien erfolgreicher intrinsischer Interaktion, mit dem Ziel derer Perpetuierung im Flow-Erleben (Mihalyi Csikszentmihalyi), dann eine Ästhetisierung von Alltagswirklichkeit mittels kollektiver Fiktionalisierung in der Tradition des Collective Story Telling (Janet H. Murray). Diese Kulturtechniken stellen vor dem Hintergrund der Enkodierung und Dekodierung sozialer Codes spezifische Adaptionen von Prozessen der Bedeutungszuweisung und Subjekt- bzw. Identitätskonstitution dar. Die sie evozierenden und mit ihnen korrespondierenden handlungsleitenden Themen der Jugendlichen sind der Wunsch nach Rekonstitution von Gesamtheit in einer sich fragmentarisierenden Wirklichkeit, die Affirmation von Selbstbestimmung- und Autonomieerfahrungen, das Erleben von Reintegration und Solidarität für das sich dissoziiert erfahrende Individuum. Das Handeln der Jugendlichen basiert damit auf dem momentan dominanten Prozess einer Individualisierung von Lebenswelt unter den Bedingungen von Reflexivität und Erlebnisrationalität in der postmodernen Gesellschaft. Mit ihren Versuchen selbstbestimmter Gestaltung folgen sie dem aktuellen gesellschaftlichen Auftrag einer weitgehend in eigener Regie vorzunehmenden Lokalisierung dieses Prozesses. Zunehmend tritt diese von den Jugendlichen selbstgesteuerte Sozialisation neben die traditionell heteronome Sozialisation von gesellschaftlichen Instituten wie etwa die von Schule. Damit wird das Handeln der Jugendlichen zu einer Herausforderung an Pädagogik und Schule. Schule muss, wenn sie ihrem eigentlichen Auftrag von Förderung gerecht werden will, eine Sensibilität für diese Eigenständigkeit von Jugendlichen entwickeln und in der Beobachtung ihres Handelns didaktische Innovationen für Lehren und Lernen entwickeln. Im Mittelpunkt steht dabei die Wiederentdeckung des pädagogischen Dialogs, besonders aber die Entwicklung einer individualisierten Lernkultur und die Förderung jugendlicher Gestaltungskompetenzen, welche von deren alltagsästhetischen Erfahrungen und Kompetenzen im Umgang mit multimedialen Kulturprodukten ausgeht. Schule kann und muss für diese Prozesse selbstgesteuerten Lernens angemessene pädagogische Räume bereitstellen, in denen die Jugendlichen innerhalb eines geschützten Kontextes in der Auseinandersetzung mit eigenen wie fremden Entwürfen ihre Identität entwickeln können.
Gemeinsam selbständig. Eine Analyse kooperativen Handelns bei partnerschaftlichen Existenzgründungen
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Im Zentrum der empirischen Arbeit steht einerseits eine besondere Form der Unternehmensgründung, andererseits eine besondere Form der Kooperation: die partnerschaftliche Existenzgründung. Das Forschungsvorhaben geht dem Ziel nach, Kooperationsprozesse in solchen unternehmerischen Partnerschaften zu explorieren. Um letztendlich eine praktisch nutzbare Grundlage für Maßnahmen zur Förderung beruflicher Selbständigkeit zu gewinnen, werden Merkmale und Rahmenbedingungen erfolgreicher partnerschaftlicher Existenzgründungen aufgezeigt. Die Empirie stützt sich auf qualitative Interviews mit Personen, die erfolgreich im Team ein Unternehmen gegründet haben und führen. In einem ersten Schritt werden anhand der Interviews konkrete alltägliche Kooperationsprozesse präzise beschrieben. Darauf aufbauend zeichnen tiefer gehende qualitative Analysen Entwicklungen auf einer abstrakteren Handlungsebene nach. Das Spektrum der Betrachtung umfasst neben individuellen Entwicklungen der Unternehmensgründer auch Prozesse auf der Teamebene sowie auf unternehmerischer Ebene. Zur Exploration der Handlungsprozesse werden die eigenen Ergebnisse durch ausgewählte theoretische Ansätze aus Kognitions- und Sozialpsychologie, aus soziologischer Handlungstheorie und Betriebswirtschaftslehre bereichert. Als relevant auf individueller Ebene erweisen sich insbesondere Prozesse der Identitätsentwicklung hin zu einer unternehmerisch-partnerschaftlichen Identität. Auf der Teamebene sind die Bewahrung und Überwindung von Eigensinn in der Interaktion sowie der Aufbau einer vertrauensvollen Beziehung zentral. Auf Unternehmensebene schließlich spielen Prozesse der Sinnfindung zwischen individuellen Erwerbsentwürfen und ökonomischen Strukturen, die Entstehung von Ordnung sowie Problemlösungsprozesse eine entscheidende Rolle. Insgesamt wird deutlich, dass der Weg in eine partnerschaftliche Selbständigkeit ein vielschichtiger Lernprozess ist, der aus der Praxis heraus entsteht, im Wesentlichen von den Gründern selbst organisiert und von gemeinsamen Reflexionen getragen wird. Diese Erkenntnisse stellen erste Ansatzpunkte dar zur Förderung beruflicher Selbständigkeit in Hochschule und im beruflichen Bildungswesen.
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Die Studie betrachtet die berufliche Selbstständigkeit von Sozialarbeiter(innen) mit zwei zentralen Fragestellungen: 1. Wie konstituiert sich die wirtschaftliche, die fachliche und die persönlich-biographische Existenz der selbstständigen Sozialarbeitenden in der Sozialen Arbeit? 2. Welche professions- und sozialpolitischen Bedingungen und Auswirkungen hat die Arbeitsform? Die Arbeit erweitert das bestehende Wissen zum Thema, indem sie durch die Befragung von 11 Selbstständigen in Erst- und z.T. Wiederholungsinterviews einen Bogen spannt von den biographischen und fachlichen Ausgangslagen der Gründer über die Gründung und Etablierung der Selbständigkeit hinaus, bis hin zur Auf- und Übergabe der Selbstständigkeit und liefert somit erstmals eine prozessorientierte empirische Untersuchung. Die Titelkategorien Autonomie und Anerkennung sind die zentralen Themen der selbstständigen Sozialarbeitenden: mit ihrer Selbstständigkeit versuchen sie auf individueller Ebene, ihre Autonomie und Anerkennung durch den Wechsel der Arbeitsform zu stärken. Diese Motivation verweist darauf, dass ihnen der Beruf im Angestelltenverhältnis inhaltlich, strukturell und finanziell die gewünscht Autonomie und Anerkennung nicht gewährleistete und führt zur Diskussion über die Probleme der Professionalisierung, der Organisation und Finanzierung sowie der sozialpolitischen Abhängigkeiten Sozialer Arbeit. Selbstständige Sozialarbeitende verkehren ihre Arbeitssituation konsequent ins Gegenteil: im Kontext der Autonomiewahrung sind die erfolgreichen Selbstständigen höchst flexibel organisiert, nutzen mehrere Finanzierungsquellen, bieten verschiedene Dienste an und etablieren ihre Arbeit auf unterschiedlichen Ebenen mit Adressaten Sozialer Arbeit, auf der Beratungs- und Schulungsebene. Je pluraler selbstständige Sozialarbeiter(innen) ihre Arbeitsgebiete und Finanzierungsstrategien ausrichten, umso handlungsfähiger sind sie und desto eigenständiger können sie arbeiten. Die Kategorie der Anerkennung beinhaltet finanzielle und fachliche Fragen gleichzeitig. Ziel ist ein Gehalt im akademischen Bereich und höher. Bei den erfolgreichen Selbstständigen müssen Breite und Tiefe der angewandten sozialarbeiterischen Kompetenzen geeignet sein, sowohl für die Adressaten, als auch für sich selbst befriedigende Arbeitsprozesse gestalten zu können. Eine mittel- und langfristig erfolgreiche berufliche Selbstständigkeit definiert sich über Qualität: Gute Qualität Sozialer Arbeit heißt für die erfolgreichen Selbstständigen, sich in der Entwicklung ihrer Angebote eng an den Bedürfnissen und Kompetenzen der Adressaten zu orientieren. Selbstständige Sozialarbeit muss sich über Qualität definieren, weil sie einen Wettbewerb braucht, der einen existenzsichernden Preis garantiert. Daneben profitieren die selbstständigen Sozialarbeiter(innen) davon, dass es Bereiche gibt, in denen das bestehende Angebote Sozialer Arbeit Bedarfe nicht erfüllt. Selbstständige Sozialarbeiter(innen) haben nicht die Veränderung sozialpolitischer Systeme zum Ziel. Sie suchen Nischen im eigenen Sinn bedürfniserfüllend arbeiten können. Dabei sind sie immer aufmerksam, flexibel und in Entwicklung zu bleiben, um sich veränderten Rahmenbedingungen anpassen zu können bzw. die funktionablen Rahmenbedingungen zu erhalten. Ihre Grenzen in der Arbeit werden plural ausgerichteten selbstständigen Sozialarbeitern nicht mehr wie als Angestellte durch die Logik bürokratisch-technischer Realitäten gesetzt, sondern durch persönliche Kompetenzen, Risikobereitschaft, Zeit und wirtschaftliche Spielräume. Ausschlaggebend für ausreichende Handlungs- und Entwicklungsmöglichkeiten als Selbstständige sind die persönlichen und fachlichen Kompetenzen sowie Netzwerke. Eine Innovationswirkung für den Berufsstand geht von den erfolgreichen selbständigen Sozialarbeiter(innen) dieser Studie insofern aus, als dass sie in den Arbeitsbereichen, die keine klassisch sozialstaatlichen sind, neue und andere Adressaten ansprechen. Sie erweitern die potentiellen Arbeitgebiete. In sozialstaatlich verankerten Bereichen können selbständige Sozialarbeiter(innen) durch ihre flexible Arbeitsform Innovationen erzeugen, die sich durch eine stärkere Orientierung an Bedürfnissen von Adressaten auszeichnen und somit Alternativen zu bestehenden Konzepten bilden.
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Ausgehend von dem von Friedrich Edding geprägten Begriff der Schlüsselfähigkeit entwickelte Dieter Mertens Anfang der 1970er Jahre sein Konzept der Schlüsselqualifikationen. Damit suchte er Wege, Menschen so zu qualifizieren, dass sie ihnen übertragene berufliche Aufgaben, auch in einem sich rasch verändernden Umfeld, bewältigen können. In der vorliegenden Arbeit wird gezeigt, dass die Rezeption des Begriffs in verschiedenen Bildungsbereichen mit unterschiedlichen Intensitäten und Resultaten verlief. Am folgenreichsten war die Rezeption in der Berufsbildung. Von wenigen skeptischen Stimmen abgesehen, stieß das Konzept der Schlüsselqualifikationen auf positive Zustimmung und mehrere Umsetzungsversuche wurden unternommen. Diese führten allerdings zu einer Verlängerung der Liste der Schlüsselqualifikationen (die ursprünglich von Mertens als abschließbar angedacht war). Ein Konsens, was in der Berufsbildung als Schlüsselqualifikationen zu gelten hat, ist immer noch nicht in Sicht. In den allgemeinbildenden Schulen hingegen fand das Konzept keine große Beachtung. Zwar wurde hin und wieder auf den Begriff zurückgegriffen, um beispielsweise allgemein verbindliche Standards in der Schule zu thematisieren oder neuen Inhalten eine Legitimation zu verschaffen, dennoch griff die Debatte in der Schulpädagogik nicht nachhaltig. Gründe dafür liegen zum einen in der dem Konzept inhärenten berufsvorbereitenden Funktion, die der Idealvorstellung einer zweckfreien Bildung widerspricht, zum anderen in der relativ straffen und zentralisierten Gestaltung der Lehrpläne. Die vorliegende Arbeit setzt sich mit dem Konzept der Schlüsselqualifikationen im Hochschulbereich auseinander. Eine Untersuchung von ca. 130 deutsch- und englischsprachigen Arbeiten, die Schlüsselqualifikationen im Hochschulbereich zum Thema haben, belegt eine sehr große Heterogenität der zugrunde liegenden Vorstellungen und konkreten Modelle. Es wird gezeigt, dass die zwei wichtigsten Ordnungsschemata, die gelegentlich zur Abgrenzung der Schlüsselqualifikationen gegenüber anderen Bildungskomponenten herangezogen werden (nämlich die Taxonomie der Lernziele von Bloom und das Handlungskompetenzmodell von Roth in der Weiterentwicklung von Reetz) mit keinem kohärenten Rahmenwerk, das der Fülle der Modelle von Schlüsselqualifikationen im Hochschulbereich gerecht wäre, aufwarten können. Eine Alternative bietet eine diskursanalytische Perspektive foucaultscher Prägung. Begriffen als eine diskursive Formation, haben Modelle der Schlüsselqualifikationen ihre Gemeinsamkeit nicht in dem vermeintlich gemeinsamen Gegenstand. Demnach sind Schlüsselqualifikationen in der heutigen Hochschuldebatte keine Qualifikationen suis generis, die eine eigene Kategorie bilden, sondern eine Antwort auf die Herausforderungen, die die verschiedenartigen Veränderungen in und um Hochschulen mit sich bringen. Es lassen sich drei Kontexte identifizieren, in denen die Modelle der Schlüsselqualifikationen der Herausforderung zu begegnen versuchen: in der Gesellschaft im Allgemeinen, in der vor-universitären Bildung sowie in der Hochschulbildung und in der Berufswelt. In diesen Kontexten artikulieren die Modelle der Schlüsselqualifikationen verschiedene Dimensionen, um Gesellschafts-, Studier und Beschäftigungsfähigkeit der Studierenden zu fördern. Eine vergleichende Analyse der Debatten und Modelle der Schlüsselqualifikationen in der BRD und in England zeigt, dass diese drei Kontexte in beiden Ländern vorfindbar sind, jedoch deren inhaltliche Vorstellung und konkrete Umsetzung aufgrund der Partikularitäten des jeweiligen Hochschulsystems unterschiedliche Akzentuierungen erfahren. Anders als in der BRD betonen die Modelle der Förderung der Studierfähigkeit in England die Brückenkurse als Hilfestellung bei der Vorbereitung auf das Studium. Das hängt mit den uneinheitlichen Zugangsregelungen zum Hochschulstudium und der hierarchischen Struktur im englischen Hochschulsystem zusammen. Bei der Förderung der Beschäftigungsfähigkeit setzen die Modelle der Schlüsselqualifikationen in Deutschland, wo traditionell ein Hochschulstudium als berufsvorbereitend angesehen wird, den Akzent auf Praxisbezug des Studiums und auf Flexibilität. In England hingegen, wo sich das Studium per se nicht als berufsqualifizierend versteht, rücken die Modelle der Schlüsselqualifikationen den Übergang in den Arbeitsmarkt und das Karrieremanagement - subsumiert unter dem Konzept der employability - in den Vordergrund.
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Im Rahmen des Programms Lernkulturentwicklung hat die Arbeitsgemeinschaft berufliche Weiterbildungsforschung (ABWF) das Schulzentrum/Akademie Silberburg (AKAS) für zunächst zwei Jahre (2001-2002) gefördert, mit dem Ziel neuartige Wege zu einem umfassenden Lernkulturwandel zu erproben. Mit der Konzipierung und wiss. Begleitung wurden die Projektgruppe Zukunftsmoderation der Universität Kassel unter Leitung von Prof. Dr. Olaf-Axel Burow beauftragt. Nachfolgend geben wir einen Einblick in erste Erfahrungen mit dem Projekt und skizzieren einige Elemente unseres "Evolutionären Personal- und Organisationsentwicklungssystems" (EPOS). Schulentwicklung - so unsere These - ist dann besonders folgenreich, wenn - auf freiwilliger Basis - ein evolutionärer Prozess der integrierten Personal- und Organisationsentwicklung eingeleitet wird. Dieser Prozess muss von Lehrer/innen, Schüler/innen, der Geschäftsleitung sowie des sonstigen Personals getragen werden. Aufgabe der Berater/innen ist es, bedarfsorientiert Möglichkeitsräume und Trainingsangebote zur Verfügung zu stellen, um den evolutionären Prozess anzustoßen und zu unterstützen. Als besonders fruchtbar haben sich dabei Verfahren der prozessorientierten Zukunfsmoderation sowie des Biographischen Lernens erwiesen.
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In diesem working paper werden die Bedeutung und Wirkung der Fördermaßnahmen des Sozialfonds FONVIS und der venezolanischen Reformpolitik beschrieben und die Dynamik des aktuellen Regimewandels Venezuelas erstmals konkret in einer empirischen Studie der lokalen Ebene untersucht. Dazu wurden in einer eigenständigen Erhebung über zahlreiche Tiefeninterviews lokale Basisprojekte, die die Verbesserung der Lebensbedingungen, die Stärkung der Rolle der Frau, die Förderung lokaler Partizipation, den Ausbau sozialer Netzwerke sowie die Stärkung einer sozioterritorialen Identität zum Ziel haben, auf ihre realen Entwicklungs- und Partizipationspotenziale überprüft. Die Erhebung kam dabei zu dem Ergebnis, dass im Rahmen der untersuchten Projekte nachweislich eine deutliche Verbesserung innerhalb der medizinischen Grundversorgung der Bevölkerung erreicht wurde. Darüber hinaus wurden die neu angebotenen Partizipationsräume meistens breit genutzt und trugen insbesondere zu einer Stärkung der Rolle der Frauen in den jeweiligen Gemeinden bei. Allerdings weisen resultierend aus einer fehlenden institutionellen Konsolidierung und klaren Zuweisung der Verantwortlichkeiten im Kontext der staatlichen Sozialstrategie, sowohl die aktuellen Förderkonzepte, als auch die Ausgestaltung der konkreten Projekt- bzw. Programmumsetzung einen eher provisorischen Charakter auf.
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Non-governmental Organisations (NGOs) have not only gained more and more relevance in the development process of Near Eastern developing societies, but they have also raised an increasing scholarly interest. The traditional civil society in the Middle East, which used to be in charge of the tribe or large families, has been altered by new groups, which are organized around new social structures, interests and goals. The number of NGOs has experienced a swift increase in number and size, and the extent of some renders them important players in the social welfare sector, both at the national and global levels. The expansion and the increasing role of NGOs worldwide since the end of the 1970s as actors in socio-economic development and in the formulation of public policies has had great influence around the globe. However, this new function is not automatically the outcome of independent activity; but rather the result of ramified relationships between the national and international environment.