915 resultados para twin deficits
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Dans le sillage de la récession mondiale de 2008-09, plusieurs questions ont été soulevées dans la littérature économique sur les effets à court et à long terme de la politique budgétaire sur l’activité économique par rapport à son signe, sa taille et sa durée. Ceux-ci ont des implications importantes pour mieux comprendre les canaux de transmission et l’efficacité des politiques budgétaires, avec la politique monétaire étant poursuivi, ainsi que pour leurs retombées économiques. Cette thèse fait partie de ce regain d’intérêt de la littérature d’examiner comment les changements dans la politique budgétaire affectent l’activité économique. Elle repose alors sur trois essais: les effets macroéconomiques des chocs de dépenses publiques et des recettes fiscales, les résultats macroéconomiques de l’interaction entre les politiques budgétaire et monétaire et le lien entre la politique budgétaire et la répartition des revenus. Le premier chapitre examine les effets des chocs de politique budgétaire (chocs de dépenses publiques et chocs de recettes fiscales) sur l’économie canadienne au cours de la période 1970-2010, en s’appuyant sur la méthode d’identification des restrictions de signe développée par Mountford et Uhlig [2009]. En réponse à la récession mondiale, les autorités fiscales dans les économies avancées, dont le Canada ont généralement mis en oeuvre une approche en deux phases pour la politique budgétaire. Tout d’abord, ils ont introduit des plans de relance sans précédent pour relancer leurs économies. Par exemple, les mesures de relance au Canada, introduites à travers le Plan d’action économique du Canada, ont été projetées à 3.2 pour cent du PIB dans le budget fédéral de 2009 tandis que l’ "American Recovery and Reinvestment Act"(ARRA) a été estimé à 7 pour cent du PIB. Par la suite, ils ont mis en place des plans d’ajustement en vue de réduire la dette publique et en assurer la soutenabilité à long terme. Dans ce contexte, évaluer les effets multiplicateurs de la politique budgétaire est important en vue d’informer sur l'efficacité de telles mesures dans la relance ou non de l'activité économique. Les résultats montrent que les multiplicateurs d'impôt varient entre 0.2 et 0.5, tandis que les multiplicateurs de dépenses varient entre 0.2 et 1.1. Les multiplicateurs des dépenses ont tendance à être plus grand que les multiplicateurs des recettes fiscales au cours des deux dernières décennies. Comme implications de politique économique, ces résultats tendent à suggérer que les ajustements budgétaires par le biais de grandes réductions de dépenses publiques pourraient être plus dommageable pour l'économie que des ajustements budgétaires par la hausse des impôts. Le deuxième chapitre, co-écrit avec Constant Lonkeng Ngouana, estime les effets multiplicateurs des dépenses publiques aux Etats-Unis en fonction du cycle de la politique monétaire. Les chocs de dépenses publiques sont identifiés comme étant des erreurs de prévision du taux de croissance des dépenses publiques à partir des données d'Enquêtes des prévisionnistes professionnels et des informations contenues dans le "Greenbook". L'état de la politique monétaire est déduite à partir de la déviation du taux des fonds fédéraux du taux cible de la Réserve Fédérale, en faisant recours à une fonction lisse de transition. L'application de la méthode des «projections locales» aux données trimestrielles américaines au cours de la période 1965-2012 suggère que les effets multiplicateurs des dépenses fédérales sont sensiblement plus élevées quand la politique monétaire est accommodante que lorsqu'elle ne l'est pas. Les résultats suggèrent aussi que les dépenses fédérales peuvent stimuler ou non la consommation privée, dépendamment du degré d’accommodation de la politique monétaire. Ce dernier résultat réconcilie ainsi, sur la base d’un cadre unifié des résultats autrement contradictoires à première vue dans la littérature. Ces résultats ont d'importantes implications de politique économique. Ils suggèrent globalement que la politique budgétaire est plus efficace lorsqu'on en a le plus besoin (par exemple, lorsque le taux de chômage est élevé), si elle est soutenue par la politique monétaire. Ils ont également des implications pour la normalisation des conditions monétaires dans les pays avancés: la sortie des politiques monétaires non-conventionnelles conduirait à des multiplicateurs de dépenses fédérales beaucoup plus faibles qu'autrement, même si le niveau de chômage restait élevé. Ceci renforce la nécessité d'une calibration prudente du calendrier de sortie des politiques monétaires non-conventionnelles. Le troisième chapitre examine l'impact des mesures d'expansion et de contraction budgétaire sur la distribution des revenus dans un panel de 18 pays d'Amérique latine au cours de la période 1990-2010, avec un accent sur les deniers 40 pour cent. Il explore alors comment ces mesures fiscales ainsi que leur composition affectent la croissance des revenus des dernier 40 pour cent, la croissance de leur part de revenu ainsi que la croissance économique. Les mesures d'expansion et de contraction budgétaire sont identifiées par des périodes au cours desquels il existe une variation significative du déficit primaire corrigé des variations conjoncturelles en pourcentage du PIB. Les résultats montrent qu'en moyenne l'expansion budgétaire par la hausse des dépenses publiques est plus favorable à la croissance des revenus des moins bien-nantis que celle par la baisse des impôts. Ce résultat est principalement soutenu par la hausse des dépenses gouvernementales de consommation courante, les transferts et subventions. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. En outre ces mesures d’expansion budgétaire sont favorables à la réduction des inégalités car elles permettent d'améliorer la part des revenus des moins bien-nantis tout en réduisant la part des revenus des mieux-nantis de la distribution des revenus. Cependant, l'expansion budgétaire pourrait soit n'avoir aucun effet sur la croissance économique ou entraver cette dernière à travers la hausse des dépenses en capital. Les résultats relatifs à la contraction budgétaire sont quelque peu mitigés. Parfois, les mesures de contraction budgétaire sont associées à une baisse de la croissance des revenus des moins bien nantis et à une hausse des inégalités, parfois l'impact de ces mesures est non significatif. Par ailleurs, aucune des mesures n’affecte de manière significative la croissance du PIB. Comme implications de politique économique, les pays avec une certaine marge de manœuvre budgétaire pourraient entamer ou continuer à mettre en œuvre des programmes de "filets de sauvetage"--par exemple les programmes de transfert monétaire conditionnel--permettant aux segments vulnérables de la population de faire face à des chocs négatifs et aussi d'améliorer leur conditions de vie. Avec un potentiel de stimuler l'emploi peu qualifié, une relance budgétaire sage par les dépenses publique courantes pourrait également jouer un rôle important pour la réduction des inégalités. Aussi, pour éviter que les dépenses en capital freinent la croissance économique, les projets d'investissements publics efficients devraient être prioritaires dans le processus d'élaboration des politiques. Ce qui passe par la mise en œuvre des projets d'investissement avec une productivité plus élevée capable de générer la croissance économique nécessaire pour réduire les inégalités.
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This article presents a new framework for analyzing the simultaneous determination of current account imbalances and the path of national income. Using standard macroeconomic behavioral relationships, it first examines how and why current account deficits matter by investigating links between domestic consumption, government spending, output, saving, investment, interest rates, and capital flows. Central to the model is the distinction between aggregate output and expenditure that enables dissection of the effects of discretionary fiscal change on the current account and national income. The framework yields results relevant to the twin deficits hypothesis that are contrary to those of standard models.
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Migraine is a painful disorder for which the etiology remains obscure. Diagnosis is largely based on International Headache Society criteria. However, no feature occurs in all patients who meet these criteria, and no single symptom is required for diagnosis. Consequently, this definition may not accurately reflect the phenotypic heterogeneity or genetic basis of the disorder. Such phenotypic uncertainty is typical for complex genetic disorders and has encouraged interest in multivariate statistical methods for classifying disease phenotypes. We applied three popular statistical phenotyping methods—latent class analysis, grade of membership and grade of membership “fuzzy” clustering (Fanny)—to migraine symptom data, and compared heritability and genome-wide linkage results obtained using each approach. Our results demonstrate that different methodologies produce different clustering structures and non-negligible differences in subsequent analyses. We therefore urge caution in the use of any single approach and suggest that multiple phenotyping methods be used.
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We have read with great interest the retrospective study by Caffaro and Avanzi1 evaluating the relation between narrowing of the spinal canal and neurological deficits in patients with burst-type fractures of the spine. The authors are to be commended for obtaining detailed neurological and radiological data in a large cohort of 227 patients. The authors conclude: “The percentage of narrowing of the spinal canal proved to be a pre-disposing factor for the severity of the neurological status in thoracolumbar and lumbar burst-type fractures according to the classifications of Denis and Magerl.” Although this conclusion is mainly in accordance with previous findings, we would like to comment on the methodological approach applied in the current study.
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Objective: Older driver research has mostly focused on identifying that small proportion of older drivers who are unsafe. Little is known about how normal cognitive changes in aging affect driving in the wider population of adults who drive regularly. We evaluated the association of cognitive function and age, with driving errors. Method: A sample of 266 drivers aged 70 to 88 years were assessed on abilities that decline in normal aging (visual attention, processing speed, inhibition, reaction time, task switching) and the UFOV® which is a validated screening instrument for older drivers. Participants completed an on-road driving test. Generalized linear models were used to estimate the associations of cognitive factor with specific driving errors and number of errors in self-directed and instructor navigated conditions. Results: All errors types increased with chronological age. Reaction time was not associated with driving errors in multivariate analyses. A cognitive factor measuring Speeded Selective Attention and Switching was uniquely associated with the most errors types. The UFOV predicted blindspot errors and errors on dual carriageways. After adjusting for age, education and gender the cognitive factors explained 7% of variance in the total number of errors in the instructor navigated condition and 4% of variance in the self-navigated condition. Conclusion: We conclude that among older drivers errors increase with age and are associated with speeded selective attention particularly when that requires attending to the stimuli in the periphery of the visual field, task switching, errors inhibiting responses and visual discrimination. These abilities should be the target of cognitive training.
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This article continues the critical analysis of ‘meaningful relationships’ in the context of the operation of the ‘twin pillars’ which underpin the parenting provisions. It will be argued that the attitude of judicial officers to three key questions influence how they interpret this concept and consequently apply the best interest considerations. Relevant to this discussion is an examination of the Full Court’s approach to the key parenting sections, particularly the interaction of the primary and additional considerations. Against this backdrop, a current proposal to amend the ‘twin pillars’ will be examined.
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Motivational deficits are generally accepted to be part of the behavioural phenotype associated with Down syndrome (DS). A motivational profile comprising low or inconsistent levels of task persistence, avoidance of challenging activities and over-dependence on adult direction has been described. However, comparisons are usually made between children with DS and those who are developing typically, without the inclusion of samples with intellectual disability (ID) from aetiologies other than DS. Such comparisons are needed to determine the extent to which motivational deficits are specific to DS, as opposed to being a feature of ID generally. Methods: The current study collected data about the personality-motivation profiles of children in three groups matched for mental age. They consisted of 80 typically developing (TD)3–7 year old children, 62 children with DS aged 7–15 years, and 54 children with moderate ID aged 7–15 years. Parents completed the 37-item EZ-Personality Questionnaire (EZPQ; Zigler et al., 2002), a measure of personality-motivational functioning. Results: There were significant differences between TD children and those with ID on all EZPQ scales. In most respects children with DS did not differ significantly from others with moderate ID, although they were rated as having greater expectancy of success and fewer negative reactions. Conclusion: The finding that children with DS are less motivated than TD children of the same mental age is consistent with previous studies in which parents have rated motivation. It seems, however, that motivation difficulties are associated with ID more generally, rather than being specific to those with DS. The study raises questions about phenotypic versus experiential effects on motivation for children with ID.
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INTRODUCTION: Hamstring strain injuries (HSI) are the predominant non-contact injury in many sports. Eccentric hamstring muscle weakness following intermittent running has been implicated within the aetiology of HSI. This weakness following intermittent running is often greater eccentrically than concentrically, however the cause of this unique, contraction mode specific phenomenon is unknown. AIM: To determine if this preferential eccentric decline in strength is caused by declines in voluntary hamstring muscle activation. METHODS: Fifteen recreationally active males completed 18 × 20m overground sprints. Maximal strength (concentric and eccentric knee flexor and concentric knee extensor) was determined isokinetically at the velocities of ±1800.s-1 and ±600.s- while hamstring muscle activation was assessed using surface electromyography, before and 15 minutes after the running protocol. RESULTS: Overground intermittent running caused greater eccentric (27.2 Nm; 95% CI = 11.2 to 43.3; p=0.0001) than concentric knee flexor weakness (9.3 Nm; 95% CI = -6.7 to 25.3; P=0.6361). Following the overground running, voluntary activation levels of the lateral hamstrings showed a significant decline (0.08%; 95% CI = 0.045 to 0.120; P<0.0001). In comparison, medial hamstring activation showed no change following intermittent running. CONCLUSION: Eccentric hamstring strength is decreased significantly following intermittent overground running. Voluntary activation deficits in the biceps femoris muscle are responsible for some portion of this weakness. The implications of this finding are significant because the biceps femoris muscle is the most frequently strained of all the hamstring muscles and because fatigue appears to play an important part in injury occurrence.
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Hamstring strain injuries (HSI) are the predominant non-contact injury in many sports. Eccentric hamstring muscle weakness following intermittent running has been implicated within the aetiology of HSI. This weakness following intermittent running is often greater eccentrically than concentrically, however the cause of this unique, contraction mode specific phenomenon is unknown. PURPOSE: To determine if this preferential eccentric decline in strength is caused by declines in voluntary hamstring muscle activation. METHODS: Fifteen recreationally active males completed 18 × 20m overground sprints. Maximal strength (concentric and eccentric knee flexor and concentric knee extensor) was determined isokinetically at the velocities of ±1800.s-1 and ±600.s- while hamstring muscle activation was assessed using surface electromyography, before and 15 minutes after the running protocol. RESULTS: Overground intermittent running caused greater eccentric (27.2 Nm; 95% CI = 11.2 to 43.3; p=0.0001) than concentric knee flexor weakness (9.3 Nm; 95% CI = -6.7 to 25.3; P=0.6361). Following the overground running, voluntary activation levels of the lateral hamstrings showed a significant decline (0.08%; 95% CI = 0.045 to 0.120; P<0.0001). In comparison, medial hamstring activation showed an increased level of activation following intermittent running (0.12%; 95% CI = 0.049 to 0.030; P = 0.0102). CONCLUSION: Eccentric hamstring strength is decreased significantly following intermittent overground running. Voluntary activation deficits in the biceps femoris muscle are responsible for some portion of this weakness. The implications of this finding are significant because the biceps femoris muscle is the most frequently strained of all the hamstring muscles and because fatigue appears to play an important part in injury occurrence.
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Background: Hamstring strain injuries (HSI) are prevalent in sport and re-injury rates have been high for many years. Maladaptation following HSI are implicated in injury recurrence however nervous system function following HSI has received little attention. Aim: To determine if recreational athletes with a history of unilateral HSI, who have returned to training and competition, will exhibit lower levels of voluntary activation (VA) and median power frequency (MPF) in the previously injured limb compared to the uninjured limb at long muscle lengths. Methods: Twenty-eight recreational athletes were recruited. Of these, 13 athletes had a history of unilateral HSI and 15 had no history of HSI. Following familiarisation, all athletes undertook isokinetic dynamometry testing and surface electromyography assessment of the biceps femoris long head and medial hamstrings during concentric and eccentric contractions at ± 180 and ± 60deg/s. Results: The previously injured limb was weaker at all contraction speeds compared to the uninjured limb (+180deg/s mean difference(MD) = 9.3Nm, p = 0.0036; +60deg/s MD = 14.0Nm, p = 0.0013; -60deg/s MD = 18.3Nm, p = 0.0007; -180deg/s MD = 20.5Nm, p = 0.0007) whilst VA was only lower in the biceps femoris long head during eccentric contractions (-60deg/s MD = 0.13, p = 0.0025; -180deg/s MD = 0.13, p = 0.0003). There were no between limb differences in medial hamstring VA or MPF from either biceps femoris long head or medial hamstrings in the injured group. The uninjured group showed no between limb differences with any of the tested variables. Conclusion: Previously injured hamstrings were weaker than the contralateral uninjured hamstring at all tested speeds and contraction modes. During eccentric contractions biceps femoris long head VA was lower in the previously injured limb suggesting neural control of biceps femoris long head may be altered following HSI. Current rehabilitation practices have been unsuccessful in restoring strength and VA following HSI. Restoration of these markers should be considered when determining the success of rehabilitation from HSI. Further investigations are required to elucidate the full impact of lower levels of biceps femoris long head VA following HSI on rehabilitation outcomes and re-injury risk.