995 resultados para ouvrages généraux
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Ouvrage de Lu Ying yang, traitant de l'empire et des pays barbares ; enrichi de cartes ; diverses préfaces dont une de Shen Shi xing, non datée (elle est de 1600). Édition antérieure à 1644.24 livres.
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Même ouvrage, édition augmentée avec notes, postérieure à 1644.24 livres.
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Préface du traducteur, le P. Giulio Aleni, (1623) ; préface non datée de Ye Xiang gao, pour la 2e édition faite au Fu jian, la 1re étant du Zhe jiang.6 livres, avec 2 cartes du globe et cartes des parties du monde. — Cat. imp., liv. 71, f. 17.
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Préface du traducteur, le P. Giulio Aleni, (1623) ; préface non datée de Ye Xiang gao, pour la 2e édition faite au Fu jian, la 1re étant du Zhe jiang.6 livres, avec 2 cartes du globe et cartes des parties du monde. — Cat. imp., liv. 71, f. 17.
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Fragment (livres 6 à 8) relatif aux provinces de Shan xi. Zhe jiang et Jiang xi, avec trois cartes. Note manuscrite française non signée, datée de 1686.
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Cat. imp., liv. 71, f. 23.Par les PP. Ferdinand Verbiest et Giulio Aleni ; cosmographie, géographie avec figures.
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Contient : Conseil de la Maison impériale, livres 1 à 8 ; Grande Chancellerie, Grand Conseil, livres 9 à 13 ; Ministère des Fonctionnaires civils, livres 14 à 127 ; Ministère du Cens, livres 128 à 232 ; Ministère des Rites, livres 233 à 409 ; Section de la Musique, livres 410 à 426 ; Ministère de l'Armée, livres 427 à 583 ; Ministère des Châtiments, livres 584 à 660 ; Ministère des Travaux, livres 661 à 725 ; Cour des Tributaires, livres 726 à 753 ; Cour des Censeurs, Académie, Bureau d'Astrologie, etc., livres 754 à 831 ; Gardes du corps, Préposés aux équipages, livres 832 à 836 ; les huit Bannières, livres 837 à 884 ; Intendance de la Cour, livres 885 à 920
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Le présent texte porte sur les règles régissant l’imputation des paiements dans le Code civil du Québec. Dans l’état actuel du droit, le droit de l’imputation des paiements est essentiellement traité à l’intérieur des ouvrages généraux portant sur le droit des obligations. Quant à la jurisprudence, celle-ci se présente comme étant confuse et de peu d’aide pour qui voudrait comprendre l’application de ces règles. L’objet de ce mémoire est donc de procéder avant tout à une analyse détaillée des articles 1569 à 1572 du Code civil du Québec. Nous expliciterons et expliquerons les termes de chacun de ces articles, nous démontrerons leur mécanisme propre et décrirons leurs applications et leurs limites. Nous procéderons également à une critique, parfois poussée, de ce qui a été écrit sur le sujet par la doctrine et la jurisprudence et nous nous questionnerons à l’occasion sur la rédaction même des dispositions actuelles.
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Mode of access: Internet.
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Traducido por Iñaki Villoslada Fernández
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La tradition lexicographique de langue française opère, en théorie, une séparation stricte entre noms communs et noms propres. Or, dans les faits, cette séparation touche surtout les noms propres de lieux et de personnes. En effet, l'observation des articles du vocabulaire politique révèle un nombre important de noms propres d'une autre nature dans les pages de dictionnaires, comme des noms propres d'institutions, de partis politiques ou d'événements et de périodes historiques. Qui plus est, ces noms propres reçoivent souvent un traitement lexicographique comparable à celui des noms communs. Toutefois, ce traitement n'a pas encore fait l'objet d'une étude approfondie. Afin de faire la lumière sur le traitement lexicographique des noms propres du vocabulaire politique, nous avons procédé à une analyse de ces noms propres à travers quatre dictionnaires généraux de langue française : Le Nouveau Petit Robert 2007 (version électronique), Le Petit Larousse Illustré 2007 (version électronique), le Dictionnaire du français Plus - À l'intention des francophones d'Amérique (1988) et le Dictionnaire québécois d'aujourd'hui (1992). Nous avons d'abord mis sur pied une typologie des noms propres du vocabulaire politique susceptibles d'être définis dans les dictionnaires généraux de langue française; puis nous avons relevé ces noms propres dans les dictionnaires à l'étude. Il ressort de ce relevé que le nombre de noms propres du vocabulaire politique dans les dictionnaires est assez élevé pour nécessiter une caractérisation de la pratique lexicographique les entourant. En outre, la description du vocabulaire politique passe par une description de certains types de noms propres en plus des mots du lexique commun. Nous nous sommes penchée sur la manière dont sont présentés les noms propres dans les dictionnaires, pour conclure que leur intégration et leur identification n'obéissent pas à une méthode systématique.La majuscule initiale n'est pas systématiquement utilisée pour les noms propres de même type.La nomenclature des noms propres à inclure dans le dictionnaire de langue à été étudiée à travers l'exemple des noms de partis politiques.La méthode servant à dresser cette nomenclature devrait se baser sur l'observation d'un corpus (fréquence) et l'importance dans un système socioculturel de référence - pour les noms de partis politiques, les noms des partis représentés dans les instances officielles devraient être décrits dans les dictionnaires généraux. Nous avons ensuite analysé les catégories de noms propres les plus représentées dans notre corpus d'articles du vocabulaire politique (les noms propres d'événements et de périodes historiques, les noms de partis politiques, dont les sigles, et les noms propres d'institutions). À la suite de cette analyse, nous proposons une liste d'éléments que le traitement lexicographique devrait inclure afin de permettre une circonscription efficace du référent (c'est-à-dire les traits distinctifs que devrait contenir une définition suffisante pour ces types de noms propres). Un point commun à toutes les catégories concerne l'explicitation du contexte référentiel : en contexte francophone particulièrement, le lieu doit être précisé par le traitement lexicographique. L'étude se termine par une analyse de l'arrimage entre noms propres et lexique commun dans les dictionnaires où ils sont intégrés dans un même ouvrage (PLI) ou dans une même nomenclature ( Dictionnaire Hachette, Dixel ). Nous arrivons à la conclusion que ces particularités dictionnairiques n'ont pas pour l'instant permis de corriger certaines faiblesses dans l'intégration des noms propres du vocabulaire politique, surtout en ce qui a trait à leur présence (nomenclature) et à leur traitement en terme de définition suffisante.