954 resultados para health studies


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Proporciona a los estudiantes los temas requeridos para el primer año del curso GCSE, especialidad biología. Es una edición revisada para el nuevo AQA GCSE en Fisiología humana y estudios de la salud.

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Our studies of the teeth and faces of Australian twins commenced at the School of Dentistry, The University of Adelaide in the early 1980s. There are now over 900 pairs of twins enrolled in our continuing investigations, together with 1200 relatives. There are 3 main cohorts of participants. The first cohort comprises around 300 pairs of teenage twins for whom various records have been collected, including dental casts, facial photographs, finger and palm prints and information on laterality, including handedness. The second cohort comprises around 300 pairs of twins who have been examined at 3 stages of dental development from approximately 4 years of age to about 14 years: at primary, mixed, and permanent dentition (excluding 3rd molars) stages. The most recent study of tooth emergence and oral health, for which we are currently recruiting twins, will provide a third cohort of around 500 twin pairs aged from around birth to 3 to 4 years of age. Our broad aim in these studies has been to improve our understanding of how genetic and environmental factors contribute to variation in dental and facial features, and to oral health. We have also used our data to investigate aspects of the determination of laterality, particularly the fascinating phenomenon of mirror imaging. We plan to maximize the use of the longitudinal data and DNA we have collected, and continue to collect, by performing genome-wide scans for putative genetic linkage peaks for a range of dental features, and then to test for association between a series of likely candidate genes and our phenotypes.

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This article provides a review of techniques for the analysis of survival data arising from respiratory health studies. Popular techniques such as the Kaplan–Meier survival plot and the Cox proportional hazards model are presented and illustrated using data from a lung cancer study. Advanced issues are also discussed, including parametric proportional hazards models, accelerated failure time models, time-varying explanatory variables, simultaneous analysis of multiple types of outcome events and the restricted mean survival time, a novel measure of the effect of treatment.

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Les études sur les milieux de vie et la santé ont traditionnellement porté sur le seul quartier de résidence. Des critiques ont été émises à cet égard, soulignant le fait que la mobilité quotidienne des individus n’était pas prise en compte et que l’accent mis sur le quartier de résidence se faisait au détriment d’autres milieux de vie où les individus passent du temps, c’est-à-dire leur espace d’activité. Bien que la mobilité quotidienne fasse l’objet d’un intérêt croissant en santé publique, peu d’études se sont intéressé aux inégalités sociales de santé. Ceci, même en dépit du fait que différents groupes sociaux n’ont pas nécessairement la même capacité à accéder à des milieux favorables pour la santé. Le lien entre les inégalités en matière de mobilité et les inégalités sociales de santé mérite d’être exploré. Dans cette thèse, je développe d'abord une proposition conceptuelle qui ancre la mobilité quotidienne dans le concept de potentiel de mobilité. Le potentiel de mobilité englobe les opportunités et les lieux que les individus peuvent choisir d’accéder en convertissant leur potentiel en mobilité réalisée. Le potentiel de mobilité est façonné par des caractéristiques individuelles (ex. le revenu) et géographiques (ex. la proximité des transports en commun), ainsi que par des règles régissant l’accès à certaines ressources et à certains lieux (ex. le droit). Ces caractéristiques et règles sont inégalement distribuées entre les groupes sociaux. Des inégalités sociales en matière de mobilité réalisée peuvent donc en découler, autant en termes de l'ampleur de la mobilité spatiale que des expositions contextuelles rencontrées dans l'espace d'activité. Je discute de différents processus par lesquels les inégalités en matière de mobilité réalisée peuvent mener à des inégalités sociales de santé. Par exemple, les groupes défavorisés sont plus susceptibles de vivre et de mener des activités dans des milieux défavorisés, comparativement à leurs homologues plus riches, ce qui pourrait contribuer aux différences de santé entre ces groupes. Cette proposition conceptuelle est mise à l’épreuve dans deux études empiriques. Les données de la première vague de collecte de l’étude Interdisciplinaire sur les inégalités sociales de santé (ISIS) menée à Montréal, Canada (2011-2012) ont été analysées. Dans cette étude, 2 093 jeunes adultes (18-25 ans) ont rempli un questionnaire et fourni des informations socio-démographiques, sur leur consommation de tabac et sur leurs lieux d’activités. Leur statut socio-économique a été opérationnalisé à l’aide de leur plus haut niveau d'éducation atteint. Les lieux de résidence et d'activité ont servi à créer des zones tampons de 500 mètres à partir du réseau routier. Des mesures de défavorisation et de disponibilité des détaillants de produits du tabac ont été agrégées au sein des ces zones tampons. Dans une première étude empirique je compare l'exposition à la défavorisation dans le quartier résidentiel et celle dans l'espace d’activité non-résidentiel entre les plus et les moins éduqués. J’identifie également des variables individuelles et du quartier de résidence associées au niveau de défavorisation mesuré dans l’espace d’activité. Les résultats démontrent qu’il y a un gradient social dans l’exposition à la défavorisation résidentielle et dans l’espace d’activité : elle augmente à mesure que le niveau d’éducation diminue. Chez les moins éduqués les écarts dans l’exposition à la défavorisation sont plus marquées dans l’espace d’activité que dans le quartier de résidence, alors que chez les moyennement éduqués, elle diminuent. Un niveau inférieur d'éducation, l'âge croissant, le fait d’être ni aux études, ni à l’emploi, ainsi que la défavorisation résidentielle sont positivement corrélés à la défavorisation dans l’espace d’activité. Dans la seconde étude empirique j'étudie l'association entre le tabagisme et deux expositions contextuelles (la défavorisation et la disponibilité de détaillants de tabac) mesurées dans le quartier de résidence et dans l’espace d’activité non-résidentiel. J'évalue si les inégalités sociales dans ces expositions contribuent à expliquer les inégalités sociales dans le tabagisme. J’observe que les jeunes dont les activités quotidiennes ont lieu dans des milieux défavorisés sont plus susceptibles de fumer. La présence de détaillants de tabac dans le quartier de résidence et dans l’espace d’activité est aussi associée à la probabilité de fumer, alors que le fait de vivre dans un quartier caractérisé par une forte défavorisation protège du tabagisme. En revanche, aucune des variables contextuelles n’affectent de manière significative l’association entre le niveau d’éducation et le tabagisme. Les résultats de cette thèse soulignent l’importance de considérer non seulement le quartier de résidence, mais aussi les lieux où les gens mènent leurs activités quotidiennes, pour comprendre le lien entre le contexte et les inégalités sociales de santé. En discussion, j’élabore sur l’idée de reconnaître la mobilité quotidienne comme facteur de différenciation sociale chez les jeunes adultes. En outre, je conclus que l’identification de facteurs favorisant ou contraignant la mobilité quotidienne des individus est nécessaire afin: 1 ) d’acquérir une meilleure compréhension de la façon dont les inégalités sociales en matière de mobilité (potentielle et réalisée) surviennent et influencent la santé et 2) d’identifier des cibles d’intervention en santé publique visant à créer des environnements sains et équitables.

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With increasing calls for global health research there is growing concern regarding the ethical challenges encountered by researchers from high-income countries (HICs) working in low or middle-income countries (LMICs). There is a dearth of literature on how to address these challenges in practice. In this article, we conduct a critical analysis of three case studies of research conducted in LMICs.We apply emerging ethical guidelines and principles specific to global health research and offer practical strategies that researchers ought to consider. We present case studies in which Canadian health professional students conducted a health promotion project in a community in Honduras; a research capacity-building program in South Africa, in which Canadian students also worked alongside LMIC partners; and a community-university partnered research capacity-building program in which Ecuadorean graduate students, some working alongside Canadian students, conducted community-based health research projects in Ecuadorean communities.We examine each case, identifying ethical issues that emerged and how new ethical paradigms being promoted could be concretely applied.We conclude that research ethics boards should focus not only on protecting individual integrity and human dignity in health studies but also on beneficence and non-maleficence at the community level, explicitly considering social justice issues and local capacity-building imperatives.We conclude that researchers from HICs interested in global health research must work with LMIC partners to implement collaborative processes for assuring ethical research that respects local knowledge, cultural factors, the social determination of health, community participation and partnership, and making social accountability a paramount concern.

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With increasing calls for global health research there is growing concern regarding the ethical challenges encountered by researchers from high-income countries (HICs) working in low or middle-income countries (LMICs). There is a dearth of literature on how to address these challenges in practice. In this article, we conduct a critical analysis of three case studies of research conducted in LMICs.We apply emerging ethical guidelines and principles specific to global health research and offer practical strategies that researchers ought to consider. We present case studies in which Canadian health professional students conducted a health promotion project in a community in Honduras; a research capacity-building program in South Africa, in which Canadian students also worked alongside LMIC partners; and a community-university partnered research capacity-building program in which Ecuadorean graduate students, some working alongside Canadian students, conducted community-based health research projects in Ecuadorean communities.We examine each case, identifying ethical issues that emerged and how new ethical paradigms being promoted could be concretely applied.We conclude that research ethics boards should focus not only on protecting individual integrity and human dignity in health studies but also on beneficence and non-maleficence at the community level, explicitly considering social justice issues and local capacity-building imperatives.We conclude that researchers from HICs interested in global health research must work with LMIC partners to implement collaborative processes for assuring ethical research that respects local knowledge, cultural factors, the social determination of health, community participation and partnership, and making social accountability a paramount concern.

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International responses to the outbreak of SARS, the spread of HIV/AIDS, and the promotion of health as a human right all demonstrate how global politics have a profound effect on the way we think about and respond to major health challenges. Despite a growing interest in the relationship between health and international relations there has yet to be a systematic study of the links between them. Global Health Issues aims to fill this gap – ultimately showing how world politics can be good, or bad, for your health. This book calls for a more nuanced understanding of the nature of the current global health crisis and the political dilemmas faced by those responsible for the development and implementation of responses to it. By charting these debates and showing how they shape the way actors think about key issues relating to health, such as people movement; infectious disease; the business of health; and the consequences of war; this volume provides an innovative and comprehensive introduction to health and international relations for students of global politics, health studies and related disciplines.

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This special edition of the International Journal of Critical Indigenous Studies focuses upon the work scholars within the growing discipline of Aboriginal and Torres Strait Islander health studies. The lamentable state of Indigenous health in Australia is reflected in Indigenous populations elsewhere, especially where settler colonialism has left an indelible mark. This special edition therefore speaks to where Indigenous health outcomes and the efficacy of remedies are causing concern. Common to all is the demand that Indigenous people are placed front and centre of all attempts to improve health outcomes and that improvements are sought in culturally sensitive ways. Terry Dunbar presents findings from a research study that set out to investigate the Indigenous experiences of health and family services in the Northern Territory, Australia. The study asserts that cultural security is an integral and vital element of any policy that will impact upon Indigenous peoples. Dunbar concludes by arguing that in seeking positive change with regard to cultural security or otherwise, the most vociferous champions of that change are likely to be the Aboriginal communities affected. The article by Bronwyn Fredericks, Karen Adams, Sandra Angus and Melissa Walker also highlights the need to involve Aboriginal and Torres Strait Islander people, in this case women, in the design and development of strategies affecting their lives. Utilising routine communication methods such the ‘talking circle’ and the process referred to as ‘talkin’ up’, where women ‘talk back’ to one another about issues of personal importance, the article argues that the health strategy which emerged through these consultation approaches was more accurately informed by and responsive to women’s health need. Indeed, the resulting strategy reflected the women’s sense of themselves and the clear direction they felt their health services and polices should take.

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The demography of Weddell seals in eastern McMurdo Sound, Antarctica, has been well studied during the past three decades (e.g. Stirling 1971; Siniff et al. 1977; Testa and Siniff 1987; Hastings and Testa 1998; Gelatt et al. 2001). Detailed life-history data are available on thousands of seals tagged as pups in McMurdo Sound, making this population a rich resource for wildlife health studies because health parameters can be evaluated in the light of reproductive histories and genetic relationships of several generations of tagged seals. Recently, evidence of exposure to diseases generally associated with domestic animals and feral wildlife has been detected in Antarctic wildlife (Austin and Webster 1993; Olsen et al. 1996; Gardner et al. 1997; Retamal et al. 2000; Foster et al. 2002) and this has generated concern and debate regarding the risks of disease introduction to Antarctic wildlife. Antibodies to viruses that have caused large die-offs in phocids in other areas of the world have been detected in Weddell seals (Bengtson et al. 1991), and there is a historical report of a mass die-off of crabeater seals that may have had a viral etiology (Laws and Taylor 1957).