876 resultados para economics, finance and management


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Options for the integrated management of white blister (caused by Albugo candida) of Brassica crops include the use of well timed overhead irrigation, resistant cultivars, programs of weekly fungicide sprays or strategic fungicide applications based on the disease risk prediction model, Brassica(spot)(TM). Initial systematic surveys of radish producers near Melbourne, Victoria, indicated that crops irrigated overhead in the morning (0800-1200 h) had a lower incidence of white blister than those irrigated overhead in the evening (2000-2400 h). A field trial was conducted from July to November 2008 on a broccoli crop located west of Melbourne to determine the efficacy and economics of different practices used for white blister control, modifying irrigation timing, growing a resistant cultivar and timing spray applications based on Brassica(spot)(TM). Growing the resistant cultivar, 'Tyson', instead of the susceptible cultivar, 'Ironman', reduced disease incidence on broccoli heads by 99 %. Overhead irrigation at 0400 h instead of 2000 h reduced disease incidence by 58 %. A weekly spray program or a spray regime based on either of two versions of the Brassica(spot)(TM) model provided similar disease control and reduced disease incidence by 72 to 83 %. However, use of the Brassica(spot)(TM) models greatly reduced the number of sprays required for control from 14 to one or two. An economic analysis showed that growing the more resistant cultivar increased farm profit per ha by 12 %, choosing morning irrigation by 3 % and using the disease risk predictive models compared with weekly sprays by 15 %. The disease risk predictive models were 4 % more profitable than the unsprayed control.

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This paper assesses the costs and benefits of a proposed project for restocking sandfish (Holothuria scabra) in Khanh Hoa Province, Vietnam. It identifies the key stakeholders, institutional framework, management and financing required for its implementation. The recommended management strategy includes a 50 percent harvest at optimum size. Limiting the number of boats fishing an area, possibly through licensing, can control the number of sandfish removed. The easiest way to prevent harvesting of undersized sandfish is to control the size of processed sandfish from processors. The potential benefits of restocking are shown by the rapid changes in selected indicators, particularly the net present value, the internal rate of return, and the benefit-cost ratio. Probability analysis is used to estimate the uncertainties in the project calculations. Based on a conservative estimate, the restocking of sandfish is expected to be profitable, although cost-benefit analyses are sensitive to the survival of restocked sandfish and their progeny, and the number of boats fishing for sandfish in the release area.

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Les questions abordées dans les deux premiers articles de ma thèse cherchent à comprendre les facteurs économiques qui affectent la structure à terme des taux d'intérêt et la prime de risque. Je construis des modèles non linéaires d'équilibre général en y intégrant des obligations de différentes échéances. Spécifiquement, le premier article a pour objectif de comprendre la relation entre les facteurs macroéconomiques et le niveau de prime de risque dans un cadre Néo-keynésien d'équilibre général avec incertitude. L'incertitude dans le modèle provient de trois sources : les chocs de productivité, les chocs monétaires et les chocs de préférences. Le modèle comporte deux types de rigidités réelles à savoir la formation des habitudes dans les préférences et les coûts d'ajustement du stock de capital. Le modèle est résolu par la méthode des perturbations à l'ordre deux et calibré à l'économie américaine. Puisque la prime de risque est par nature une compensation pour le risque, l'approximation d'ordre deux implique que la prime de risque est une combinaison linéaire des volatilités des trois chocs. Les résultats montrent qu'avec les paramètres calibrés, les chocs réels (productivité et préférences) jouent un rôle plus important dans la détermination du niveau de la prime de risque relativement aux chocs monétaires. Je montre que contrairement aux travaux précédents (dans lesquels le capital de production est fixe), l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque dépend du degré des coûts d'ajustement du capital. Lorsque les coûts d'ajustement du capital sont élevés au point que le stock de capital est fixe à l'équilibre, une augmentation du paramètre de formation des habitudes entraine une augmentation de la prime de risque. Par contre, lorsque les agents peuvent librement ajuster le stock de capital sans coûts, l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque est négligeable. Ce résultat s'explique par le fait que lorsque le stock de capital peut être ajusté sans coûts, cela ouvre un canal additionnel de lissage de consommation pour les agents. Par conséquent, l'effet de la formation des habitudes sur la prime de risque est amoindri. En outre, les résultats montrent que la façon dont la banque centrale conduit sa politique monétaire a un effet sur la prime de risque. Plus la banque centrale est agressive vis-à-vis de l'inflation, plus la prime de risque diminue et vice versa. Cela est due au fait que lorsque la banque centrale combat l'inflation cela entraine une baisse de la variance de l'inflation. Par suite, la prime de risque due au risque d'inflation diminue. Dans le deuxième article, je fais une extension du premier article en utilisant des préférences récursives de type Epstein -- Zin et en permettant aux volatilités conditionnelles des chocs de varier avec le temps. L'emploi de ce cadre est motivé par deux raisons. D'abord des études récentes (Doh, 2010, Rudebusch and Swanson, 2012) ont montré que ces préférences sont appropriées pour l'analyse du prix des actifs dans les modèles d'équilibre général. Ensuite, l'hétéroscedasticité est une caractéristique courante des données économiques et financières. Cela implique que contrairement au premier article, l'incertitude varie dans le temps. Le cadre dans cet article est donc plus général et plus réaliste que celui du premier article. L'objectif principal de cet article est d'examiner l'impact des chocs de volatilités conditionnelles sur le niveau et la dynamique des taux d'intérêt et de la prime de risque. Puisque la prime de risque est constante a l'approximation d'ordre deux, le modèle est résolu par la méthode des perturbations avec une approximation d'ordre trois. Ainsi on obtient une prime de risque qui varie dans le temps. L'avantage d'introduire des chocs de volatilités conditionnelles est que cela induit des variables d'état supplémentaires qui apportent une contribution additionnelle à la dynamique de la prime de risque. Je montre que l'approximation d'ordre trois implique que les primes de risque ont une représentation de type ARCH-M (Autoregressive Conditional Heteroscedasticty in Mean) comme celui introduit par Engle, Lilien et Robins (1987). La différence est que dans ce modèle les paramètres sont structurels et les volatilités sont des volatilités conditionnelles de chocs économiques et non celles des variables elles-mêmes. J'estime les paramètres du modèle par la méthode des moments simulés (SMM) en utilisant des données de l'économie américaine. Les résultats de l'estimation montrent qu'il y a une évidence de volatilité stochastique dans les trois chocs. De plus, la contribution des volatilités conditionnelles des chocs au niveau et à la dynamique de la prime de risque est significative. En particulier, les effets des volatilités conditionnelles des chocs de productivité et de préférences sont significatifs. La volatilité conditionnelle du choc de productivité contribue positivement aux moyennes et aux écart-types des primes de risque. Ces contributions varient avec la maturité des bonds. La volatilité conditionnelle du choc de préférences quant à elle contribue négativement aux moyennes et positivement aux variances des primes de risque. Quant au choc de volatilité de la politique monétaire, son impact sur les primes de risque est négligeable. Le troisième article (coécrit avec Eric Schaling, Alain Kabundi, révisé et resoumis au journal of Economic Modelling) traite de l'hétérogénéité dans la formation des attentes d'inflation de divers groupes économiques et de leur impact sur la politique monétaire en Afrique du sud. La question principale est d'examiner si différents groupes d'agents économiques forment leurs attentes d'inflation de la même façon et s'ils perçoivent de la même façon la politique monétaire de la banque centrale (South African Reserve Bank). Ainsi on spécifie un modèle de prédiction d'inflation qui nous permet de tester l'arrimage des attentes d'inflation à la bande d'inflation cible (3% - 6%) de la banque centrale. Les données utilisées sont des données d'enquête réalisée par la banque centrale auprès de trois groupes d'agents : les analystes financiers, les firmes et les syndicats. On exploite donc la structure de panel des données pour tester l'hétérogénéité dans les attentes d'inflation et déduire leur perception de la politique monétaire. Les résultats montrent qu'il y a évidence d'hétérogénéité dans la manière dont les différents groupes forment leurs attentes. Les attentes des analystes financiers sont arrimées à la bande d'inflation cible alors que celles des firmes et des syndicats ne sont pas arrimées. En effet, les firmes et les syndicats accordent un poids significatif à l'inflation retardée d'une période et leurs prédictions varient avec l'inflation réalisée (retardée). Ce qui dénote un manque de crédibilité parfaite de la banque centrale au vu de ces agents.

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The potential changes to the territory of the Russian Arctic open up unique possibilities for the development of tourism. More favourable transport opportunities along the Northern Sea Route (NSR) create opportunities for tourism development based on the utilisation of the extensive areas of sea shores and river basins. A major challenge for the Russian Arctic sea and river ports is their strong cargo transport orientation originated by natural resource extraction industries. A careful assessment of the prospects of current and future tourism development is presented here based on the development of regions located along the shores of the Arctic ocean (including Murmansk and Arkhangelsk oblast, Nenets Autonomous okrug (AO), Yamal-Nenets AO, Taymyr AO, Republic of Sakha, Chykotsky AO). An evaluation of the present development of tourism in maritime cities suggests that a considerable qualitative and quantitative increase of tourism activities organised by domestic tourism firms is made virtually impossible. There are several factors contributing to this. The previously established Soviet system of state support for the investments into the port facilities as well as the sea fleet were not effectively replaced by creation of new structures. The necessary investments for reconstruction could be contributed by the federal government but the priorities are not set towards the increased passenger transportation. Having in mind, increased environmental pressures in this highly sensitive area it is especially vital to establish a well-functioning monitoring and rescue system in the situation of ever increasing risks which come not only from the increased transports along the NSR, but also from the exploitation of the offshore oil and gas reserves in the Arctic seas. The capacity and knowledge established in Nordic countries (Norway, Finland) concerning cruise tourism should not be underestimated and the already functioning cooperation in Barents Region should expand towards this particular segment of the tourism industry. The current stage of economic development in Russia makes it clear that tourism development is not able to compete with the well-needed increase in the cargo transportation, which means that Russia’s fleet is going to be utilised by other industries. However, opening up this area to both local and international visitors could contribute to the economic prosperity of these remote areas and if carefully managed could sustain already existing maritime cities along the shores of the Arctic Ocean.