950 resultados para Stars: Wolf-Rayet


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L’étoile Wolf-Rayet WR 46 est connue pour sa variabilité complexe sur des échelles de temps relativement courtes de quelques heures et sur des échelles de temps plus longues de plusieurs mois. Des décalages périodiques mais intermittents en vitesse radiale ont déjà été observés dans ses raies d’émission optiques. Plusieurs périodes photométriques ont aussi été mesurées dans le passé. Des pulsations non-radiales, une modulation liée à la rotation rapide, ou encore la présence d’un compagnon de faible masse dont la présence reste à confirmer ont été proposées pour expliquer le comportement de l’étoile sur des échelles de temps de quelques heures. Dans un effort pour dévoiler sa vraie nature, nous avons observé WR 46 avec le satellite FUSE sur plusieurs cycles de variabilité à court terme. Nous avons trouvé des variations sur une échelle de temps d’environ 7,5 heures dans le continu ultraviolet lointain, dans l’aile bleue de la composante d’absorption du profil P Cygni du doublet de O vi 1032, 1038, ainsi que dans la composante d’absorption du profil P Cygni de S vi 933, 944. Nous avons également récupéré des données archivées de cette étoile obtenues avec le satellite XMM-Newton. La courbe de lumière en rayons X montre des variations sur une échelle de temps similaire aux courbes de lumière du continu ultraviolet et ultraviolet lointain, et le spectre rayons X de WR 46 est très mou avec un pic d’émission à des énergies plus faibles que 1 keV. Nous discutons des différentes contraintes sur la nature de la variabilité de cette étoile que ces nouvelles observations aident à poser. Parmi les scénarios suggérés, nous concluons que celui des pulsations non-radiales est le plus probable, bien que nous soyons encore loin d’une compréhension détaillée de WR 46.

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Nous présentons les résultats de trois campagnes d'observation d'un mois chacune dans le cadre de l'étude de la collision des vents dans les systèmes binaires Wolf-Rayet + OB. Ce travail se concentre sur l'étude des objets de l'hémisphère sud n'ayant jamais encore fait l'objet d'études poussées dans ce contexte. À cela, nous avons ajouté l'objet archétype pour ce type de systèmes : WR 140 (WC7pd + O5.5fc) qui a effectué son dernier passage périastre en janvier 2009. Les deux premières campagnes (spectroscopiques), ont permis une mise à jour des éléments orbitaux ainsi qu'une estimation de la géométrie de la zone de collision des vents et d'autres paramètres fondamentaux des étoiles pour 6 systèmes binaires : WR 12 (WN8h), 21 (WN5o+O7V), 30 (WC6+O7.5V), 31 (WN4o+O8), 47 (WN6o+O5) et 140. Une période non-orbitale courte (probablement reliée à la rotation) a également été mesurée pour un des objets : WR 69 (WC9d+OB), avec une période orbitale bien plus grande. La troisième campagne (photométrique) a révélé une variabilité étonnamment faible dans un échantillon de 20 étoiles WC8/9. Cela supporte l'idée que les pulsations ne sont pas courantes dans ce type d'étoiles et qu'il est peu probable que celles-ci soient le mécanisme dominant de formation de poussière, suggérant, par défaut, le rôle prédominant de la collision des vents.

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We present Gemini-N GMOS and CFHT MOS spectroscopy of Wolf-Rayet candidates in the Local Group dwarf galaxy IC 10 that were previously identified by Massey et al. and Royer et al. From the present spectroscopic survey, the WC/WN ratio for IC 10 remains unusually high, given its low metallicity, although none of the WC9 stars suspected from narrow-band imaging are confirmed. Our spectroscopy confirms 9 newly discovered Wolf-Rayet candidates from Royer et al., whilst spectral types of 14 Wolf-Rayet stars previously observed by Massey & Armandroff are refined here. In total, there are 26 spectroscopically confirmed Wolf-Rayet stars in IC 10. All but one of the fourteen WC stars are WC4-6 stars, the exception being # 10 from Massey et al., a broad-lined, apparently single WC7 star. There are a total of eleven WN stars, which are predominantly early WN3-4 stars, but include a rare WN10 star, # 8 from Royer et al. # 5 from Massey et al. is newly identified as a transition WN/C star. Consequently, the WC/WN ratio for IC10 is 14/11similar to1.3, unusually high for a metal-poor galaxy. Re-evaluating recent photometric data of Massey & Holmes, we suggest that the true WC/WN ratio may not be as low as similar to0.3. Finally, we present ground-based finding charts for all confirmed WR stars, plus HST/WFPC2 charts for twelve cases.

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Nous savons que la grande majorité des étoiles WC9 produit de la poussière à base de carbone. Cette dernière doit se former dans des zones de très haute densité afin de survivre à l’environnement hostile qu’est celui du vent d’une étoile WR. Les étoiles WC appartenant à un système binaire WR + O produisent de la poussière quand les vents des deux étoiles entrent en collision et forment une zone de choc pouvant augmenter la densité du gaz d’un facteur 1000. Par contre, plusieurs étoiles WC9 n’ont, à ce jour, montré aucun signe de la présence d’un compagnon. Le but du projet est de tenter d’identifier un mécanisme alternatif responsable de la formation de poussière dans les étoiles WC9 n’appartenant pas à un système binaire. Nous présentons les résultats d’une campagne d’observation visant à caractériser la variabilité spectroscopique d’un échantillon de huit étoiles WC9 et une étoile WC8d. Nos résultats indiquent que la majorité des étoiles montrent des variations à grande échelle dans la raie d’émission C III 5696, soit à un niveau d’au moins 5% du flux de la raie et que les structures dans le vent ont une dispersion de vitesses de l’ordre de 150-300 km/s. De manière générale, les variations de vitesse radiales sont anti-corrélées avec le coefficient d’asymétrie de la raie, ce qui semble infirmer la présence d’un compagnon. Des observations en photométrie de l’étoile WR103 montrent une période de 9.1 ± 0.6 jours qui s’accorde avec les variations spectroscopiques et qui ne semble pas, de manière évidente, d’origine binaire.

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Cette thèse de doctorat présente les résultats d'un relevé spectropolarimétrique visant la détection directe de champs magnétiques dans le vent d'étoiles Wolf-Rayet (WR). Les observations furent entièrement obtenues à partir du spectropolarimètre ESPaDOnS, installé sur le télescope de l'observatoire Canada-France-Hawaii. Ce projet débuta par l'observation d'un étoile très variable de type WN4 appelée EZ CMa = WR6 = HD 50896 et se poursuivit par l'observation de 11 autres étoiles WR de notre galaxie. La méthode analytique utilisée dans cette étude vise à examiner les spectres de polarisation circulaire (Stokes V) et à identifier, au travers des raies d'émission, les signatures spectrales engendrées par la présence de champs magnétiques de type split monopole dans les vents des étoiles observées. Afin de pallier à la présence de polarisation linéaire dans les données de polarisation circulaire, le cross-talk entre les spectres Stokes Q et U et le spectre Stokes V fut modélisé et éliminé avant de procéder à l'analyse magnétique. En somme, aucun champ magnétique n'est détecté de manière significative dans les 12 étoiles observées. Toutefois, une détection marginale est signalée pour les étoiles WR134, WR137 et WR138 puisque quelques-unes de leur raies spectrales semblent indiquer la présence d'une signature magnétique. Pour chacune de ces trois étoiles, la valeur la plus probable du champ magnétique présent dans le vent stellaire est respectivement de B ~ 200, 130 et 80 G. En ce qui concerne les autres étoiles pour lesquelles aucune détection magnétique ne fut obtenue, la limite supérieure moyenne de l'intensité du champ qui pourrait être présent dans les données, sans toutefois être détecté, est évaluée à 500 G. Finalement, les résultats de cette étude ne peuvent confirmer l'origine magnétique des régions d'interaction en co-rotation (CIR) observées chez plusieurs étoiles WR. En effet, aucun champ magnétique n'est détecté de façon convaincante chez les quatre étoiles pour lesquelles la présence de CIR est soupçonnée.

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The Wolf-Rayet (WR) stars are hot luminous objects which are suffering an extreme mass loss via a continuous stellar wind. The high values of mass loss rates and high terminal velocities of the WR stellar winds constitute a challenge to the theories of radiation driven winds. Several authors incorporated magnetic forces to the line driven mechanism in order to explain these characteristics of the wind. Observations indicate that the WR stellar winds may reach, at the photosphere, velocities of the order of the terminal values, which means that an important part of the wind acceleration occurs at the optically thick region. The aim of this study is to analyze a model in which the wind in a WR star begins to be accelerated in the optically thick part of the wind. We used as initial conditions stellar parameters taken from the literature and solved the energy, mass and momentum equations. We demonstrate that the acceleration only by radiative forces is prevented by the general behavior of the opacities. Combining radiative forces plus a flux of Alfven waves, we found in the simulations a fast drop in the wind density profile which strongly reduces the extension of the optically thick region and the wind becomes optically thin too close its base. The understanding how the WR wind initiate is still an open issue. (C) 2010 COSPAR. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Over the last 15 years, the supernova community has endeavoured to directly identify progenitor stars for core-collapse supernovae discovered in nearby galaxies. These precursors are often visible as resolved stars in high-resolution images from space-and ground-based telescopes. The discovery rate of progenitor stars is limited by the local supernova rate and the availability and depth of archive images of galaxies, with 18 detections of precursor objects and 27 upper limits. This review compiles these results (from 1999 to 2013) in a distance-limited sample and discusses the implications of the findings. The vast majority of the detections of progenitor stars are of type II-P, II-L, or IIb with one type Ib progenitor system detected and many more upper limits for progenitors of Ibc supernovae (14 in all). The data for these 45 supernovae progenitors illustrate a remarkable deficit of high-luminosity stars above an apparent limit of log L/L-circle dot similar or equal to 5.1 dex. For a typical Salpeter initial mass function, one would expect to have found 13 high-luminosity and high-mass progenitors by now. There is, possibly, only one object in this time-and volume-limited sample that is unambiguously high-mass (the progenitor of SN2009ip) although the nature of that supernovae is still debated. The possible biases due to the influence of circumstellar dust, the luminosity analysis, and sample selection methods are reviewed. It does not appear likely that these can explain the missing high-mass progenitor stars. This review concludes that the community's work to date shows that the observed populations of supernovae in the local Universe are not, on the whole, produced by high-mass (M greater than or similar to 18 M-circle dot) stars. Theoretical explosions of model stars also predict that black hole formation and failed supernovae tend to occur above an initial mass of M similar or equal to 18 M-circle dot. The models also suggest there is no simple single mass division for neutron star or black-hole formation and that there are islands of explodability for stars in the 8-120 M-circle dot range. The observational constraints are quite consistent with the bulk of stars above M similar or equal to 18 M-circle dot collapsing to form black holes with no visible supernovae.

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The progenitors of many Type II core-collapse supernovae (SNe) have now been identified directly on pre-discovery imaging. Here, we present an extensive search for the progenitors of Type Ibc SNe in all available pre-discovery imaging since 1998. There are 12 Type Ibc SNe with no detections of progenitors in either deep ground-based or Hubble Space Telescope archival imaging. The deepest absolute BVR magnitude limits are between -4 and - 5 mag. We compare these limits with the observed Wolf-Rayet population in the Large Magellanic Cloud and estimate a 16 per cent probability that we have failed to detect such a progenitor by chance. Alternatively, the progenitors evolve significantly before core-collapse or we have underestimated the extinction towards the progenitors. Reviewing the relative rates and ejecta mass estimates from light-curve modelling of Ibc SNe, we find both incompatible with Wolf-Rayet stars with initial masses >25 M⊙ being the only progenitors. We present binary evolution models that fit these observational constraints. Stars in binaries with initial masses ≲ 20 M⊙ lose their hydrogen envelopes in binary interactions to become low-mass helium stars. They retain a low-mass hydrogen envelope until ≈104 yr before core-collapse; hence, it is not surprising that Galactic analogues have been difficult to identify.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Ce mémoire s’intéresse au système binaire massif CV Serpentis, composé d’une Wolf- Rayet riche en carbone et d’une étoile de la séquence principale, de type spectral O (WC8d + O8-9IV). D’abord, certains phénomènes affectant les étoiles massives sont mentionnés, de leur passage sur la séquence principale à leur mort (supernova). Au cours du premier cha- pitre, un rappel est fait concernant certaines bases de l’astrophysique stellaire observa- tionnelle (diagramme Hertzsprung-Russell, phases évolutives, etc...). Au chapitre suivant, un des aspects les plus importants de la vie des étoiles massives est abordé : la perte de masse sous forme de vents stellaires. Un historique de la découverte des vents ouvre le chapitre, suivi des fondements théoriques permettant d’expliquer ce phénomène. Ensuite, différents aspects propres aux vents stellaires sont présentés. Au troisième chapitre, un historique détaillé de CV Ser est présenté en guise d’introduc- tion à cet objet singulier. Ses principales caractéristiques connues y sont mentionnées. Finalement, le cœur de ce mémoire se retrouve au chapitre 4. Des courbes de lumière ultra précises du satellite MOST (2009 et 2010) montrent une variation apparente du taux de perte de masse de la WR de l’ordre de 62% sur une période orbitale de 29.701 jours. L’analyse des résidus permet de trouver une signature suggérant la présence de régions d’interaction en corotation (en anglais corotating interaction regions, ou CIR) dans le vent WR. Une nouvelle solution orbitale est présentée ainsi que les paramètres de la région de collision des vents et les types spectraux sont confirmés.

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Diverses méthodes ont été utilisées pour étudier les étoiles Wolf-Rayet (WR) dans le but de comprendre les phénomènes physiques variés qui prennent place dans leur vent dense. Pour étudier la variabilité qui n'est pas strictement périodique et ayant des caractéristiques différentes d'une époque à l'autre, il faut observer pendant des périodes de temps suffisamment longues en adopter un échantillonnage temporel élevé pour être en mesure d'identifier les phénomènes physiques sous-jacents. À l'été 2013, des astronomes professionnels et amateurs du monde entier ont contribué à une campagne d'observation de 4 mois, principalement en spectroscopie, mais aussi en photométrie, polarimétrie et en interférométrie, pour observer les 3 premières étoiles Wolf-Rayet découvertes: WR 134 (WN6b), WR 135 (WC8) et WR 137 (WC7pd + O9). Chacune de ces étoiles est intéressante à sa manière, chacune présentant une variété différente de structures dans son vent. Les données spectroscopiques de cette campagne ont été réduites et analysées pour l'étoile présumée simple WR 134 pour mieux comprendre le comportement de sa variabilité périodique à long terme dans le cadre d'une étude des régions d'interactions en corotation (CIRs) qui se retrouvent dans son vent. Les résultats de cette étude sont présentés dans ce mémoire.

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The study of Wolf-Rayet stars plays an important role in evolutionary theories of massive stars. Among these objects, similar to 20 per cent are known to be in binary systems and can therefore be used for the mass determination of these stars. Most of these systems are not spatially resolved and spectral lines can be used to constrain the orbital parameters. However, part of the emission may originate in the interaction zone between the stellar winds, modifying the line profiles and thus challenging us to use different models to interpret them. In this work, we analysed the He II lambda 4686 angstrom + C IV lambda 4658 angstrom blended lines of WR 30a (WO4+O5) assuming that part of the emission originate in the wind-wind interaction zone. In fact, this line presents a quiescent base profile, attributed to the WO wind, and a superposed excess, which varies with the orbital phase along the 4.6-d period. Under these assumptions, we were able to fit the excess spectral line profile and central velocity for all phases, except for the longest wavelengths, where a spectral line with constant velocity seems to be present. The fit parameters provide the eccentricity and inclination of the binary orbit, from which it is possible to constrain the stellar masses.

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We present high quality spectroscopic data for two massive stars in the OB 10 association of M31, OB 10-64 (B0 la) and OB 10-WRI (WC6). Medium resolution spectra of both stars were obtained using the ISIS spectrograph on the William Herschel Telescope. This is supplemented with Hubble Space Telescope STIS UV spectroscopy and Keck I HIRES data for OB 10-64. A non- local thermodynamic equilibrium (LTE) model atmosphere and abundance analysis for OB 10-64 is presented, indicating that this star has similar photospheric CNO, Mg and Si abundances to solar neighbourhood massive stars. A wind analysis of this early B-type supergiant reveals a mass-loss rate of (M)over dot = 1.6 x 10(-6) M-circle dot yr(-1), and v(infinity) = 1650 km s(-1). The corresponding wind momentum is in good agreement with the wind momentum-luminosity relationship found for Galactic early-B supergiants. Observations of OB 10-WRI are analysed using a non-LTE, line-blanketed code, to reveal approximate stellar parameters of log L/L-circle dot similar to 5.7, T-* - 75 kK, v(infinity) similar to 3000 km s(-1), (M)over dot/(M-circle dot yr(-1)) similar to 10(-4.3) adopting a clumped wind with a filling factor of 10 per cent. Quantitative comparisons are made with the Galactic WC6 star HD 92809 (WR23) revealing that OB 10-WR1 is 0.4 dex more luminous, though it has a much lower C/He ratio (similar to0.1 versus 0.3 for HD 92809). Our study represents the first detailed, chemical model atmosphere analysis for either a B-type supergiant or a Wolf- Rayet (WR) star in Andromeda, and shows the potential of how such studies can provide new information on the chemical evolution of galaxies and the evolution of massive stars in the local Universe.