989 resultados para Social Epistemology
Resumo:
Purpose
– Information science has been conceptualized as a partly unreflexive response to developments in information and computer technology, and, most powerfully, as part of the gestalt of the computer. The computer was viewed as an historical accident in the original formulation of the gestalt. An alternative, and timely, approach to understanding, and then dissolving, the gestalt would be to address the motivating technology directly, fully recognizing it as a radical human construction. This paper aims to address the issues.
Design/methodology/approach
– The paper adopts a social epistemological perspective and is concerned with collective, rather than primarily individual, ways of knowing.
Findings
– Information technology tends to be received as objectively given, autonomously developing, and causing but not itself caused, by the language of discussions in information science. It has also been characterized as artificial, in the sense of unnatural, and sometimes as threatening. Attitudes to technology are implied, rather than explicit, and can appear weak when articulated, corresponding to collective repression.
Research limitations/implications
– Receiving technology as objectively given has an analogy with the Platonist view of mathematical propositions as discovered, in its exclusion of human activity, opening up the possibility of a comparable critique which insists on human agency.
Originality/value
– Apprehensions of information technology have been raised to consciousness, exposing their limitations.
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Provides a forum for philosophical and social scientific enquiry that incorporates the work of scholars from a variety of disciplines who share a concern with the production, assessment and validation of knowledge.
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This special issue presents an excellent opportunity to study applied epistemology in public policy. This is an important task because the arena of public policy is the social domain in which macro conditions for ‘knowledge work’ and ‘knowledge industries’ are defined and created. We argue that knowledge-related public policy has become overly concerned with creating the politico-economic parameters for the commodification of knowledge. Our policy scope is broader than that of Fuller (1988), who emphasizes the need for a social epistemology of science policy. We extend our focus to a range of policy documents that include communications, science, education and innovation policy (collectively called knowledge-related public policy in acknowledgement of the fact that there is no defined policy silo called ‘knowledge policy’), all of which are central to policy concerned with the ‘knowledge economy’ (Rooney and Mandeville, 1998). However, what we will show here is that, as Fuller (1995) argues, ‘knowledge societies’ are not industrial societies permeated by knowledge, but that knowledge societies are permeated by industrial values. Our analysis is informed by an autopoietic perspective. Methodologically, we approach it from a sociolinguistic position that acknowledges the centrality of language to human societies (Graham, 2000). Here, what we call ‘knowledge’ is posited as a social and cognitive relationship between persons operating on and within multiple social and non-social (or, crudely, ‘physical’) environments. Moreover, knowing, we argue, is a sociolinguistically constituted process. Further, we emphasize that the evaluative dimension of language is most salient for analysing contemporary policy discourses about the commercialization of epistemology (Graham, in press). Finally, we provide a discourse analysis of a sample of exemplary texts drawn from a 1.3 million-word corpus of knowledge-related public policy documents that we compiled from local, state, national and supranational legislatures throughout the industrialized world. Our analysis exemplifies a propensity in policy for resorting to technocratic, instrumentalist and anti-intellectual views of knowledge in policy. We argue that what underpins these patterns is a commodity-based conceptualization of knowledge, which is underpinned by an axiology of narrowly economic imperatives at odds with the very nature of knowledge. The commodity view of knowledge, therefore, is flawed in its ignorance of the social systemic properties of knowing’.
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Cette thèse est une réflexion d’épistémologie sociale sur la construction des savoirs professionnels et expérientiels portant sur les problèmes de santé mentale ainsi qu’une exploration de leurs rapports à partir d’un projet de recherche montréalais. Ce projet fédéral de recherche et de démonstration visait à évaluer l’impact de l’approche Logement d’abord auprès de personnes avec des problèmes de santé mentale en situation d’itinérance. À Montréal, des pairs, avec une expérience vécue des réalités de la santé mentale et de l’itinérance, ont été impliqués dans le projet de recherche aux côtés d’intervenants, de gestionnaires et de chercheurs. Au fil des mois, leur présence a eu des effets contrastés, contribuant parfois à renforcer les barrières entre les savoirs et les hiérarchies professionnelles en présence dans le projet, et, à d’autres occasions, à les surmonter et entrer dans un processus de co-production de nouveaux savoirs et pratiques. L’analyse des rapports entre les savoirs en présence dans le projet souligne leur caractère complémentaire dans l’intervention publique dans le domaine des services sociaux et de la santé et les forces de l’approche expérimentale mise en oeuvre. La thèse offre également une contribution à la littérature sur la participation citoyenne en proposant une réflexion sur la capacité des citoyens à transformer les institutions publiques. Les données analysées sont issues d’un terrain de deux ans mêlant observations de la participation des pairs et une cinquantaine d’entretiens individuels et collectifs réalisés auprès de pairs aidants, intervenants, chefs d’équipe, psychiatres, gestionnaires et chercheurs.
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Aunque el concepto de sabiduría ha sido ampliamente estudiado por expertos de áreas como la filosofía, la religión y la psicología, aún enfrenta limitaciones en cuanto a su definición y evaluación. Por esto, el presente trabajo tiene como objetivo, formular una definición del concepto de sabiduría que permita realizar una propuesta de evaluación del concepto como competencia en los gerentes. Para esto, se realizó un análisis documental de tipo cualitativo. De esta manera, se analizaron diversos textos sobre la historia, las definiciones y las metodologías para evaluar tanto la sabiduría como las competencias; diferenciando la sabiduría de otros constructos y analizando la diferencia entre las competencias generales y las gerenciales para posteriormente, definir la sabiduría como una competencia gerencial. Como resultado de este análisis se generó un prototipo de prueba denominado SAPIENS-O, a través del cuál se busca evaluar la sabiduría como competencia gerencial. Como alcances del instrumento se pueden identificar la posibilidad de medir la sabiduría como competencia en los gerentes, la posibilidad de dar un nuevo panorama a las dificultades teóricas y empíricas sobre la sabiduría y la posibilidad de facilitar el estudio de la sabiduría en ambientes reales, más específicamente en ambientes organizacionales.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Pós-graduação em Ciências Sociais - FFC
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Les institutions de mémoire et de savoir (par exemple, les bibliothèques, les archives, les musées) font face à des défis importants dans leurs responsabilités d’assurer la pérennité du patrimoine documentaire à l’ère numérique. Citons la surabondance de l’information numérique, la possibilité de production, théoriquement illimitée, offerte aux individus comme aux groupes sociaux, les limites dans les capacités de stockage et de diffusion de l’information numérique qui sont à la disposition des institutions mandataires du patrimoine documentaire. De plus, il est apparu que les approches et les méthodes utilisées pour identifier, gérer, préserver et diffuser le patrimoine documentaire de la société canadienne dans un environnement analogique n’étaient transférables à un environnement numérique. Nous suggérons que la théorie sociale de la connaissance peut servir de base à une réflexion portant sur le développement d’une politique publique qui viserait à encadrer l’identification, la sélection, la gestion et la préservation du patrimoine documentaire d’une société à l'ère numérique. Nous définissons la problématique puis proposons des réponses à travers trois articles scientifiques. Les résultats indiquent que les connaissances et les pratiques professionnelles utilisées demeurent persistantes et limitent la formulation et l'application de nouveaux cadres théoriques, de politiques administratives et de techniques associés à l'identification et la sélection du patrimoine documentaire. Cette recherche propose un cadre conceptuel qui permet de développer des politiques publiques sur le patrimoine documentaire du Canada.
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Les institutions de mémoire et de savoir (par exemple, les bibliothèques, les archives, les musées) font face à des défis importants dans leurs responsabilités d’assurer la pérennité du patrimoine documentaire à l’ère numérique. Citons la surabondance de l’information numérique, la possibilité de production, théoriquement illimitée, offerte aux individus comme aux groupes sociaux, les limites dans les capacités de stockage et de diffusion de l’information numérique qui sont à la disposition des institutions mandataires du patrimoine documentaire. De plus, il est apparu que les approches et les méthodes utilisées pour identifier, gérer, préserver et diffuser le patrimoine documentaire de la société canadienne dans un environnement analogique n’étaient transférables à un environnement numérique. Nous suggérons que la théorie sociale de la connaissance peut servir de base à une réflexion portant sur le développement d’une politique publique qui viserait à encadrer l’identification, la sélection, la gestion et la préservation du patrimoine documentaire d’une société à l'ère numérique. Nous définissons la problématique puis proposons des réponses à travers trois articles scientifiques. Les résultats indiquent que les connaissances et les pratiques professionnelles utilisées demeurent persistantes et limitent la formulation et l'application de nouveaux cadres théoriques, de politiques administratives et de techniques associés à l'identification et la sélection du patrimoine documentaire. Cette recherche propose un cadre conceptuel qui permet de développer des politiques publiques sur le patrimoine documentaire du Canada.
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Assertion is a speech act that stands at the intersection of the philosophy of language and social epistemology. It is a phenomenon that bears on such wide-ranging topics as testimony, truth, meaning, knowledge and trust. It is thus no surprise that analytic philosophers have devoted innumerable pages to assertion, trying to give the norms that govern it, its role in the transmission of knowledge, and most importantly, what assertion is, or how assertion is to be defined. In this thesis I attempt to show that all previous answers to the question “What is assertion?” are flawed. There are four major traditions in the literature: constitutive norm theories of assertion, accounts that treat assertion as the expression of speaker attitudes, accounts that treat assertion as a proposal to add some proposition to the common ground, and accounts that treat assertion as the taking of responsibility for some claim. Each tradition is explored here, the leading theories within the tradition developed, and then placed under scrutiny to demonstrate flaws within the positions surveyed. I follow the work of G.E. Moore and William P. Alston, whilst drawing on the work of Robert Brandom in order to give a new bipartite theory of assertion. I argue that assertion consists in the explicit presentation of a proposition, along with a taking of responsibility for that proposition. Taking Alston's explicit presentation condition and repairing it in order to deal with problems it faces, whilst combining it with Brandom's responsibility condition, provides, I believe, the best account of assertion.
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Nursing publications frequently reference groups (e.g. the group nurses). The nature and capabilities of group agents or collective subjects, and the relationship between nursing as a group and nurses as individuals is, however, rarely made explicit in these publications. Following Alvin Goldman, questions pertaining to groups can be classified as metaphysical or epistemic. Metaphysical questions take two forms. First, we might ask about the ontological status of group agents. For example, to what extent, if at all, do group agents exist and act independently of their constituent members? Second, we can ask whether group agents have psychological states or properties that can, for example, be formulated as propositional attitudes and, if they can, in what ways are group attitudes correlated with or tied to those of individual group members? In this presentation, having recognised the potential reality of group ontological and psychological being, I examine an under researched element of social epistemology. Specifically, the potential of non-individualist reliabilism (social process reliabilism) to justify doxastic group beliefs (i.e. statements such as “nurses believe that”) are considered. It is suggested that this issue has concrete implications for how we think about nursing.