967 resultados para Postural instability


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Background. A study of postural stability was undertaken to identify the relationship between vision and support surface across age decades. Understanding when reliance on vision for postural stability emerges and the support conditions contributing to this instability may provide the evidence required to introduce falls-prevention strategies in younger age decades. Methods. We measured postural stability in 453 women aged 20 to 80 years using the Balance Master force-plate system while the women performed the modified Clinical Test for the Sensory Interaction and Balance (firm and foam surfaces, eyes open and closed) and the Single-Limb Stance Test (eyes open and closed). Results. Women in their 60s and 70s were more unstable than younger women in bilateral stance on a firm surface with the eyes closed. This instability was evident from the 50s when a foam surface was introduced and from the 40s when single-limb stance was tested with eyes closed. A further decline in stability was demonstrated for each subsequent decade when the eyes were closed in single-limb stance. Conclusions. Age, visual condition, and support surface were significant variables influencing postural stability in women. Reliance on vision for postural stability was evident for women from the 40s when single-limb stance was tested, from the 50s when bilateral stance on foam was tested, and from the 60s when a firm surface was used. The cause(s) of this decline in stability requires further investigation, and screening for postural instability between the ages of 40 and 60 is advocated.

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Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) a des effets complexes sur plusieurs fonctions cérébrales, dont l’évaluation et le suivi peuvent être difficiles. Les problèmes visuels et les troubles de l’équilibre font partie des plaintes fréquemment rencontrées après un TCCL. En outre, ces problèmes peuvent continuer à affecter les personnes ayant eu un TCCL longtemps après la phase aiguë du traumatisme. Cependant, les évaluations cliniques conventionnelles de la vision et de l’équilibre ne permettent pas, la plupart du temps, d’objectiver ces symptômes, surtout lorsqu’ils s’installent durablement. De plus, il n’existe pas, à notre connaissance, d’étude longitudinale ayant étudié les déficits visuels perceptifs, en tant que tels, ni les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL, chez l’adulte. L’objectif de ce projet était donc de déterminer la nature et la durée des effets d’un tel traumatisme sur la perception visuelle et sur la stabilité posturale, en évaluant des adultes TCCL et contrôles sur une période d’un an. Les mêmes sujets, exactement, ont participé aux deux expériences, qui ont été menées les mêmes jours pour chacun des sujets. L’impact du TCCL sur la perception visuelle de réseaux sinusoïdaux définis par des attributs de premier et de second ordre a d’abord été étudié. Quinze adultes diagnostiqués TCCL ont été évalués 15 jours, 3 mois et 12 mois après leur traumatisme. Quinze adultes contrôles appariés ont été évalués à des périodes identiques. Des temps de réaction (TR) de détection de clignotement et de discrimination de direction de mouvement ont été mesurés. Les niveaux de contraste des stimuli de premier et de second ordre ont été ajustés pour qu’ils aient une visibilité comparable, et les moyennes, médianes, écarts-types (ET) et écarts interquartiles (EIQ) des TR correspondant aux bonnes réponses ont été calculés. Le niveau de symptômes a également été évalué pour le comparer aux données de TR. De façon générale, les TR des TCCL étaient plus longs et plus variables (plus grands ET et EIQ) que ceux des contrôles. De plus, les TR des TCCL étaient plus courts pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, et plus variables pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, dans la condition de discrimination de mouvement. Ces observations se sont répétées au cours des trois sessions. Le niveau de symptômes des TCCL était supérieur à celui des participants contrôles, et malgré une amélioration, cet écart est resté significatif sur la période d’un an qui a suivi le traumatisme. La seconde expérience, elle, était destinée à évaluer l’impact du TCCL sur le contrôle postural. Pour cela, nous avons mesuré l’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur et l’instabilité posturale (au moyen de la vitesse quadratique moyenne (VQM) des oscillations posturales) en position debout, les pieds joints, sur une surface ferme, dans cinq conditions différentes : les yeux fermés, et dans un tunnel virtuel tridimensionnel soit statique, soit oscillant de façon sinusoïdale dans la direction antéropostérieure à trois vitesses différentes. Des mesures d’équilibre dérivées de tests cliniques, le Bruininks-Oseretsky Test of Motor Proficiency 2nd edition (BOT-2) et le Balance Error Scoring System (BESS) ont également été utilisées. Les participants diagnostiqués TCCL présentaient une plus grande instabilité posturale (une plus grande VQM des oscillations posturales) que les participants contrôles 2 semaines et 3 mois après le traumatisme, toutes conditions confondues. Ces troubles de l’équilibre secondaires au TCCL n’étaient plus présents un an après le traumatisme. Ces résultats suggèrent également que les déficits affectant les processus d’intégration visuelle mis en évidence dans la première expérience ont pu contribuer aux troubles de l’équilibre secondaires au TCCL. L’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur de même que les mesures dérivées des tests cliniques d’évaluation de l’équilibre (BOT-2 et BESS) ne se sont pas révélées être des mesures sensibles pour quantifier le déficit postural chez les sujets TCCL. L’association des mesures de TR à la perception des propriétés spécifiques des stimuli s’est révélée être à la fois une méthode de mesure particulièrement sensible aux anomalies visuomotrices secondaires à un TCCL, et un outil précis d’investigation des mécanismes sous-jacents à ces anomalies qui surviennent lorsque le cerveau est exposé à un traumatisme léger. De la même façon, les mesures d’instabilité posturale se sont révélées suffisamment sensibles pour permettre de mesurer les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL. Ainsi, le développement de tests de dépistage basés sur ces résultats et destinés à l’évaluation du TCCL dès ses premières étapes apparaît particulièrement intéressant. Il semble également primordial d’examiner les relations entre de tels déficits et la réalisation d’activités de la vie quotidienne, telles que les activités scolaires, professionnelles ou sportives, pour déterminer les impacts fonctionnels que peuvent avoir ces troubles des fonctions visuomotrice et du contrôle de l’équilibre.

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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Volleyball is a sport in which the laterality dominant limb shows superior strength and coordination because of its preferential use. Asymmetrical tendencies during the landing after the jump when striking or blocking actions are predominant for most part of game (ARRUDA; EDUARDO, 2008). Adaptations include imbalance of forces in static and dynamic motions at the knee joint, which increases risk for injury. Also, asymmetries in balance control during jumping and landing associate with a general postural instability that can be observed during static balance tasks. The purpose of this study was to investigate relationship between unequal lower limb strength (muscle imbalance) and postural stability levels in volleyball athletes and non-athletes. Nine female volleyball athletes and 10 active non-athletes participated in this study. Four encouters with participants were scheduled: three encounters in the bodybuilding gymnasium to collect anthropometric measures (weight, height for BMI, thigh circumference, which provided an initial diagnosis about asymmetry), and to perform the isometric strength test (i.e., leg press using a load cell and a force transducer to calculate uni an bilateral strength). The last encounter was in the laboratory where a balance test on a force platform was administered under five test conditions, with three repetitions each: baseline (natural standing position), one-leg standing, right side, with full vision (D_CV), and blindfolded (D_SV), one-leg standing, left side, with full vision (E_CV), and blindfolded (E_SV). The stability levels were evaluated using the path length parameters which was based on the total displacement of the center of pressure (DTCP). . Both groups shows asymmetric strength levels between legs, with better performance for the right leg. An ANOVA three way using the DTCP for the CV condition, legs (D x E), trials (3) with repeated measures for the first two factors and with a between (three)...

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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

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There is strong scientific evidence from research trials that aging is associated with loss of muscle mass and decline of neuromuscular abilities. Postural stability is an important neuromuscular ability for the maintenance of upright posture as well as maintaining equilibrium or balance while performing movements and everyday activities. Postural stability is also an important factor in elderly people where postural instability is a major contributor to falls. In our study young and elderly subjects stood quietly in upright posture with parallel positions of their feet and opened eyes on a force platform and performed 3 trials with each trial lasting 30 s. The effects of healthy aging on postural sway parameters were studied. We found that age-related changes in postural sway mostly affect the velocity of the center of pressure movement and the mean amplitude center of pressure movement during static postural sway test.

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Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) a des effets complexes sur plusieurs fonctions cérébrales, dont l’évaluation et le suivi peuvent être difficiles. Les problèmes visuels et les troubles de l’équilibre font partie des plaintes fréquemment rencontrées après un TCCL. En outre, ces problèmes peuvent continuer à affecter les personnes ayant eu un TCCL longtemps après la phase aiguë du traumatisme. Cependant, les évaluations cliniques conventionnelles de la vision et de l’équilibre ne permettent pas, la plupart du temps, d’objectiver ces symptômes, surtout lorsqu’ils s’installent durablement. De plus, il n’existe pas, à notre connaissance, d’étude longitudinale ayant étudié les déficits visuels perceptifs, en tant que tels, ni les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL, chez l’adulte. L’objectif de ce projet était donc de déterminer la nature et la durée des effets d’un tel traumatisme sur la perception visuelle et sur la stabilité posturale, en évaluant des adultes TCCL et contrôles sur une période d’un an. Les mêmes sujets, exactement, ont participé aux deux expériences, qui ont été menées les mêmes jours pour chacun des sujets. L’impact du TCCL sur la perception visuelle de réseaux sinusoïdaux définis par des attributs de premier et de second ordre a d’abord été étudié. Quinze adultes diagnostiqués TCCL ont été évalués 15 jours, 3 mois et 12 mois après leur traumatisme. Quinze adultes contrôles appariés ont été évalués à des périodes identiques. Des temps de réaction (TR) de détection de clignotement et de discrimination de direction de mouvement ont été mesurés. Les niveaux de contraste des stimuli de premier et de second ordre ont été ajustés pour qu’ils aient une visibilité comparable, et les moyennes, médianes, écarts-types (ET) et écarts interquartiles (EIQ) des TR correspondant aux bonnes réponses ont été calculés. Le niveau de symptômes a également été évalué pour le comparer aux données de TR. De façon générale, les TR des TCCL étaient plus longs et plus variables (plus grands ET et EIQ) que ceux des contrôles. De plus, les TR des TCCL étaient plus courts pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, et plus variables pour les stimuli de premier ordre que pour ceux de second ordre, dans la condition de discrimination de mouvement. Ces observations se sont répétées au cours des trois sessions. Le niveau de symptômes des TCCL était supérieur à celui des participants contrôles, et malgré une amélioration, cet écart est resté significatif sur la période d’un an qui a suivi le traumatisme. La seconde expérience, elle, était destinée à évaluer l’impact du TCCL sur le contrôle postural. Pour cela, nous avons mesuré l’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur et l’instabilité posturale (au moyen de la vitesse quadratique moyenne (VQM) des oscillations posturales) en position debout, les pieds joints, sur une surface ferme, dans cinq conditions différentes : les yeux fermés, et dans un tunnel virtuel tridimensionnel soit statique, soit oscillant de façon sinusoïdale dans la direction antéropostérieure à trois vitesses différentes. Des mesures d’équilibre dérivées de tests cliniques, le Bruininks-Oseretsky Test of Motor Proficiency 2nd edition (BOT-2) et le Balance Error Scoring System (BESS) ont également été utilisées. Les participants diagnostiqués TCCL présentaient une plus grande instabilité posturale (une plus grande VQM des oscillations posturales) que les participants contrôles 2 semaines et 3 mois après le traumatisme, toutes conditions confondues. Ces troubles de l’équilibre secondaires au TCCL n’étaient plus présents un an après le traumatisme. Ces résultats suggèrent également que les déficits affectant les processus d’intégration visuelle mis en évidence dans la première expérience ont pu contribuer aux troubles de l’équilibre secondaires au TCCL. L’amplitude d’oscillation posturale dans l’axe antéropostérieur de même que les mesures dérivées des tests cliniques d’évaluation de l’équilibre (BOT-2 et BESS) ne se sont pas révélées être des mesures sensibles pour quantifier le déficit postural chez les sujets TCCL. L’association des mesures de TR à la perception des propriétés spécifiques des stimuli s’est révélée être à la fois une méthode de mesure particulièrement sensible aux anomalies visuomotrices secondaires à un TCCL, et un outil précis d’investigation des mécanismes sous-jacents à ces anomalies qui surviennent lorsque le cerveau est exposé à un traumatisme léger. De la même façon, les mesures d’instabilité posturale se sont révélées suffisamment sensibles pour permettre de mesurer les troubles de l’équilibre secondaires à un TCCL. Ainsi, le développement de tests de dépistage basés sur ces résultats et destinés à l’évaluation du TCCL dès ses premières étapes apparaît particulièrement intéressant. Il semble également primordial d’examiner les relations entre de tels déficits et la réalisation d’activités de la vie quotidienne, telles que les activités scolaires, professionnelles ou sportives, pour déterminer les impacts fonctionnels que peuvent avoir ces troubles des fonctions visuomotrice et du contrôle de l’équilibre.

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DDevelopmental dyslexia is a reading disorder associated with impaired postural control. However, such deficits are also found in attention deficit hyperactivity disorder (ADHD), which is present in a substantial subset of dyslexia diagnoses. Very few studies of balance in dyslexia have assessed ADHD symptoms, thereby motivating the hypothesis that such measures can account for the group differences observed. In this study, we assessed adults with dyslexia and similarly aged controls on a battery of cognitive, literacy and attention measures, alongside tasks of postural stability. Displacements of centre of mass to perturbations of posture were measured in four experimental conditions using digital optical motion capture. The largest group differences were obtained in conditions where cues to the support surface were reduced. Between-group differences in postural sway and in sway variability were largely accounted for by co-varying hyperactivity and inattention ratings, however. These results therefore suggest that postural instability in dyslexia is more strongly associated with symptoms of ADHD than to those specific to reading impairment.

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Projeto de Graduação apresentado à Universidade Fernando Pessoa como parte dos requisitos para obtenção do grau de Licenciado em Fisioterapia

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This paper describes the kinematics and muscle activity associated with the standard sit-up, as a first step in the investigation of complex motor coordination. Eight normal human subjects lay on a force table and performed at least 15 sit-ups, with the arms across the chest and the legs straight and unconstrained. Several subjects also performed sit-ups with an additional weight added to the head. Support surface forces were recorded to calculate the location of the center of pressure and center of gravity; conventional motion analysis was used to measure segmental positions; and surface EMG was recorded from eight muscles. While the sit-up consists of two serial components, 'trunk curling' and 'footward pelvic rotation', it can be further subdivided into five phases, based on the kinematics. Phases I and II comprise trunk curling. Phase I consists of neck and upper trunk flexion, and phase II consists of lumbar trunk lifting. Phase II corresponds to the point of peak muscle contraction and maximum postural instability, the 'critical point' of the sit-up. Phases III-V comprise footward pelvic rotation. Phase III begins with pelvic rotation towards the feet. phase W with leg lowering, and phase V with contact between the legs and the support surface. The overall pattern of muscle activity was complex with times of EMG onset, peak activity, offset, and duration differing for different muscles. This complex pattern changed qualitatively from one phase to the next, suggesting that the roles of different muscles and, as a consequence, the overall form of coordination, change during the sit-up. (C) 2003 Elsevier Science Ltd. All rights reserved.

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This study aimed at answering the question: do people with high bone loss have greater postural instability? Groups were separated into group 1: women with normal bone mineral density, group 2: women with osteopenia, and group 3: women with osteoporosis. The balance was evaluated in four upright postural situations. Osteoporosis group had greater oscillation in the anteroposterior displacement in all situations compared to control group and the greatest mediolateral displacement in all situations compared to other groups. It is not known whether the presence of osteoporosis can be considered a factor aggravating the postural control. This study aimed at answering the question: do people with high bone loss have greater postural instability? This study was divided into three groups: group 1 (n = 20) consisting of women with normal bone mineral density, group 2 (n = 20) women with osteopenia, and group 3 (n = 20) women with osteoporosis. All the participants were submitted to evaluation of the balance using the Polhemus system in four upright postural situations. Osteoporosis group had greater oscillation in the anteroposterior displacement in all situations compared to control group. The osteoporosis group also showed the greatest mediolateral displacement in all situations compared to other groups. The results suggest that osteoporotic women had the worst balance, possibly due to the more pronounced body changes compared to non-osteoporotic women.

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Parkinson's disease, a major neurodegenerative disorder in humans whose etiology is unknown, may be associated with some environmental factors. Nocardia otitidiscaviarum (GAM-5) isolated from a patient with an actinomycetoma produced signs similar to Parkinson's disease following iv injection into NMRI mice. NMRI mice were infected intravenously with a non-lethal dose of 5 x 10(6) colony forming units of N. otitidiscaviarum (GAM-5). Fourteen days after bacterial infection, most of the 60 mice injected exhibited parkinsonian features characterized by vertical head tremor, akinesia/bradykinesia, flexed posture and postural instability. There was a peak of nocardial growth in the brain during the first 24 h followed by a decrease, so that by 14 days nocardiae could no longer be cultured. At 24 h after infection, Gram staining showed nocardiae in neurons in the substantia nigra and occasionally in the brain parenchyma in the frontal and parietal cortex. At 21 days post-infection, tyrosine hydroxylase immunolabeling showed a 58% reduction of tyrosine hydroxylase in the substantia nigra, and a 35% reduction of tyrosine hydroxylase in the ventral tegmental region. Dopamine levels were reduced from 110 ± 32.5 to 58 ± 16.5 ng/mg protein (47.2% reduction) in brain from infected mice exhibiting impaired movements, whereas serotonin levels were unchanged (191 ± 44 protein in control and 175 ± 39 ng/mg protein in injected mice). At later times, intraneuronal inclusion bodies were observed in the substantia nigra. Our observations emphasize the need for further studies of the potential association between Parkinson's disease or parkinsonism-like disease and exposure to various nocardial species.

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Parkinson’s disease (PD) is characterized by postural instability and gait impairment. Verbal instructions can reduce postural sway and improve gait performance in PD. For gait, this evidence is limited to unobstructed straight-path walking. As falls in PD often occur when turning, the purpose of this thesis was to determine if instructions can benefit turning performance in this population. Twelve individuals with PD performed two walking tasks (normal walking, walking with a 180 degree turn) under four instruction conditions (no instruction, take big steps, make larger trunk movements, focus on end and/or turn point). Task duration and trunk yaw and roll sway were calculated. In general, the results demonstrated that the instruction to take big steps improved performance for both tasks compared to providing no instruction or externally based instruction. These results suggest that instructions related to step amplitude may facilitate walking and turning performance in PD.

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Il est bien connu des professionnels de la vision que l’ajustement des verres progressifs sur un patient presbyte peut induire de l’inconfort et des difficultés posturales (Timmis, Johnson, Elliott, & Buckley, 2010). Ces plaintes sont directement associées à l’information visuelle perçue à travers les verres progressifs. Le principal objectif de cette thèse est d’identifier quels sont les paramètres d’un stimulus visuel (p.ex. fréquence temporelle ou vélocité) à l’origine de la perturbation posturale et de l’inconfort. Les distorsions dynamiques perçues à travers des verres progressifs s’apparentent aux mouvements d’un bateau qui roule de droite à gauche ou qui tangue d’avant en arrière. Ce type de stimulation visuelle a été reproduit dans une voute d’immersion en réalité virtuelle avec un sol à texture de damier noir et blanc qui oscillait périodiquement de droite à gauche et d’avant en arrière à différentes fréquences et amplitudes. Les études qui portent sur ce sujet montrent que la réponse posturale induite visuellement augmente avec la vélocité de stimulation et diminue lorsque la fréquence augmente. Cette information peut paraitre contradictoire, car ces deux variables sont liées entre elles par l’amplitude et covarient dans le même sens. Le premier objectif de cette thèse était de déterminer les causes possibles de cette contradiction. En faisant varier la fréquence temporelle de stimulation visuelle, on retrouve deux domaines de réponse posturale. Le premier domaine correspond aux fréquences inférieures à 0,12 Hz. Dans ce domaine, la réponse posturale est visuodépendante et augmente avec la vélocité du stimulus. Le second domaine postural correspond aux fréquences supérieures à 0,25 Hz. Dans ce domaine, la réponse posturale sature et diminue avec l’augmentation de la fréquence. Cette saturation de la réponse posturale semble causée par des limitations biomécaniques et fréquentielles du système postural. D’autres études ont envisagé d’étudier l’inconfort subjectif induit par des stimuli visuels périodiques. Au sein de la communauté scientifique, deux théories principales se confrontent. La théorie sensorielle repose sur les conflits sensoriels induit par le stimulus visuel tandis que la théorie posturale suggère que l’inconfort est la conséquence de l’instabilité posturale. Nos résultats révèlent que l’inconfort subjectif induit par une stimulation visuelle dynamique dépend de la vélocité du stimulus plutôt que de sa fréquence. L’inconfort peut être prédit par l’instabilité naturelle des individus en l’absence de stimulus visuel comme le suggère la théorie posturale. Par contre, l’instabilité posturale induite par un stimulus visuel dynamique ne semble pas être une condition nécessaire et suffisante pour entrainer de l’inconfort. Ni la théorie sensorielle ni la théorie posturale ne permettent à elles seules d’expliquer tous les mécanismes à l’origine de l’inconfort subjectif. Ces deux théories sont complémentaires, l’une expliquant que l’instabilité intrinsèque est un élément prédictif de l’inconfort et l’autre que l’inconfort induit par un stimulus visuel dynamique résulte d’un conflit entre les entrées sensorielles et les représentations acquises par l’individu.

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La maladie de Parkinson (MP) est la deuxième maladie neurodégénérative la plus commune. Les symptômes principalement observés chez les patients atteints de la MP sont la rigidité, les tremblements, la bradykinésie et une instabilité posturale. Leur sévérité est souvent asymétrique. La cause principale de ces symptômes moteurs est la dégénérescence du circuit dopaminergique nigro-striatal qui mène à un débalancement d’activité du circuit cortico-striatal. Ce débalancement de circuits est le point essentiel de cette thèse. Dans les protocoles de recherche décrits ici, des patients atteints de la MP (avant et après une dose de levodopa) et des participants contrôles sains ont effectué des mouvements auto-initiés ou en réponse à des stimulis externes pendant que l’on mesurait leur activité cérébrale en imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Dans cette thèse, nous abordons et mettons en évidence quatre (4) points principaux. En première partie (chapitre 2), nous présentons un recensement de la littérature sur les cicruits cortico-striataux et cortico-cérébelleux dans la MP. En utilisant des méthodes de neuroimagerie, des changements d’activité cérébrale et cérébelleuse ont été observés chez les patients atteints de la MP comparés aux participants sains. Même si les augmentations d’activité du cervelet ont souvent été attribuées à des mécanismes compensatoires, nos résultats suggèrent qu’elles sont plus probablement liées aux changements pathophysiologiques de la MP et à la perturbation du circuit cortico-cérébelleux. En général, nous suggérons (1) que le circuit cortico-cérébelleux est perturbé chez les patients atteints de la MP, et que les changements d’activité du cervelet sont liés à la pathophysiologie de la MP plutôt qu’à des mécanismes compensatoires. En deuxième partie (chapitre 3), nous discutons des effets de la levodopa sur les hausses et baisses d’activité observés chez les patients atteints de la MP, ainsi que sur l’activité du putamen pendant les mouvements d’origine interne et externe. De nombreuses études en neuroimagerie ont montré une baisse d’activité (hypo-activité) préfrontale liée à la déplétion de dopamine. En revanche, l’utilisation de tâches cognitives a montré des augmentations d’activité (hyper-activité) corticale chez les patients atteints de la MP comparés aux participants sains. Nous avons suggéré précédemment que ces hypo- et hyper-activités des régions préfrontales dépendent de l’implication du striatum. Dans cette thèse nous suggérons de plus (2) que la levodopa ne rétablit pas ces hyper-activations, mais plutôt qu’elles sont liées à la perturbation du circuit méso-cortical, et aussi possiblement associées à l’administration de médication dopaminergique à long terme. Nous montrons aussi (3) que la levodopa a un effet non-spécifique à la tâche sur l’activité du circuit cortico-striatal moteur, et qu’elle n’a pas d’effet sur l’activité du circuit cortico-striatal cognitif. Nous montrons enfin (chapitre 4) que la levodopa a un effet asymétrique sur les mouvements de la main droite et gauche. À peu près 50% des patients atteints de la MP démontrent une asymétrie des symptômes moteurs, et ceci persiste à travers la durée de la maladie. Nos résultats suggèrent (4) que la levodopa pourrait avoir un plus grand effet sur les patrons d’activations des mouvements de la main la plus affectée.