822 resultados para Memory in motion pictures
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In the movie industry, the extraordinarily successful theatrical performance of certain films is largely attributed to buzz. Despite longstanding commentary about the role of buzz in successful movie marketing and the belief that it accelerates new product diffusion, limited scholarly evidence exists to support these assertions. This is primarily due to the lack of conceptual distinction of buzz from word-of-mouth, which is often used as the main basis for conceptualising buzz. However, word-of-mouth does not fully explain the buzz surrounding films such as 'Gone With The Wind', 'The Dark Knight' and 'Avatar'. Informed by valuable insights from key experts who have launched some of the most successful movies in box office history, as well as a range of moviegoers, this thesis developed a deeper understanding of what buzz is and how it is created. This thesis concludes that buzz is not the same as word-of-mouth.
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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Pós-graduação em Ciências Sociais - FFC
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This article examines Len Lye’s film-making in the 1930s within a broader visual arts context, seeking to clarify the nature and extent of his involvement in British documentary film culture at this time. In particular, it demonstrates how Lye's method of fusing 'live action', found footage, and animation techniques created the possibility of a radical documentary practice that could reconcile promotional advertising and commercial art with avant-garde abstraction and kinaesthetic experimentation. In particular, the article focusses on Lye's N. or N.W. (1937, 35mm, b&w, 10 mns), arguing that his work from this period should be regarded as central - and not marginal - to any serious reassessment of Britain's “Documentary Movement” of the inter-war era, and its relations to any history of the cinema and visual culture.
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Bostwick, A.L. Censorship of motion picture films. Report to the City Council; p. 5-17.
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Cover title.
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This thesis explores the representation of Swinging London in three examples of 1960s British cinema: Blowup (Michelangelo Antonioni, 1966), Smashing Time (Desmond Davis, 1967) and Performance (Donald Cammell and Nicolas Roeg, 1970). It suggests that the films chronologically signify the evolution, commodification and dissolution of the Swinging London era. The thesis explores how the concept of Swinging London is both critiqued and perpetuated in each film through the use of visual tropes: the reconstruction of London as a cinematic space; the Pop photographer; the dolly; representations of music performance and fashion; the appropriation of signs and symbols associated with the visual culture of Swinging London. Using fashion, music performance, consumerism and cultural symbolism as visual narratives, each film also explores the construction of youth identity through the representation of manufactured and mediated images. Ultimately, these films reinforce Swinging London as a visual economy that circulates media images as commodities within a system of exchange. With this in view, the signs and symbols that comprise the visual culture of Swinging London are as central and significant to the cultural era as their material reality. While they attempt to destabilize prevailing representations of the era through the reproduction and exchange of such symbols, Blowup, Smashing Time, and Performance nevertheless contribute to the nostalgia for Swinging London in larger cultural memory.
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La schizophrénie est une psychopathologie largement hétérogène caractérisée entre autres par d’importantes défaillances dans le fonctionnement cognitif et émotionnel. En effet, par rapport à la population générale, forte proportion de ces individus présentent une mémoire déficitaire pour les événements émotionnels. À ce jour, le peu d’études qui se sont penchées sur la mémoire émotionnelle épisodique dans la schizophrénie, ont uniquement mis l’emphase sur l'effet de la valence des stimuli (c’est-à-dire le caractère agréable ou désagréable du stimulus). Toutefois, aucune n’a investigué spécifiquement l’intensité de la réaction aux stimuli (c’est-à-dire une faible par rapport à une forte réaction) malgré quantité de preuves faisant montre, dans la population générale, de différents processus de mémoire émotionnelle pour des stimuli suscitant une forte réaction par rapport à ceux évoquant une faible réponse. Ce manque est d’autant plus flagrant étant donné le nombre d’études ayant rapporté un traitement et un encodage atypiques des émotions spécifiquement au niveau de l’intensité de la réponse subjective chez des patients atteints de schizophrénie. Autre fait important, il est étonnant de constater l’absence de recherches sur les différences de sexe dans la mémoire émotionnelle étant donné l’ensemble des divergences entre hommes et femmes atteints de schizophrénie au niveau de la prévalence, de l’âge de diagnostic, de la manifestation clinique, de l’évolution de la maladie, de la réponse au traitement et des structures cérébrales. Pour pallier à ces lacunes, ce mémoire a évalué : (1) l’effet de la valence des stimuli et de l'intensité de la réaction émotionnelle au niveau des fonctions cérébrales correspondant à la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie comparativement à des participants sains; et (2) les possibles différences de sexe dans les processus cérébraux impliqués dans la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie par rapport à des volontaires sains. Ainsi, la première étude a comparé les activations cérébrales de patients atteints de schizophrénie par rapport à des participants sains au cours d’une tâche de mémoire émotionnelle dont les stimuli variaient à la fois au niveau de la valence et de l'intensité de la réaction subjective. 37 patients atteints de schizophrénie ainsi que 37 participants en bonne santé ont effectué cette tâche de mémoire émotionnelle lors d’une session d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Pour toutes les conditions étudiées (images négatives, positives, de faible et de forte intensité), le groupe atteint de schizophrénie a performé significativement moins bien que les volontaires sains. Comparativement aux sujets sains, ils ont montré moins d’activations cérébrales dans les régions limbiques et préfrontales lors de la reconnaissance des images négatives, mais ont présenté un patron d'activations similaire à celui des participants sains lors de la reconnaissance des images chargées positivement (activations observées dans le cervelet, le cortex temporal et préfrontal). Enfin, indépendamment de la valence des stimuli, les deux groupes ont démontré une augmentation des activations cérébrales pour les images de forte intensité par rapport à celles de plus faible intensité. La seconde étude a quant à elle exploré les différences de sexe potentielles au niveau des activations cérébrales associées à la mémoire émotionnelle dans la schizophrénie et dans la population en général. Nous avons comparé 41 patients atteints de schizophrénie (20 femmes) à 41 participants en bonne santé (19 femmes) alors qu’ils effectuaient la même tâche de mémoire émotionnelle mentionnée plus haut. Or, pour cette étude, nous nous sommes concentrés sur les conditions suivantes : la reconnaissance d’images positives, négatives et neutres. Nous n'avons pas observé de différences entre les hommes et les femmes au niveau des performances à la tâche de mémoire pour aucune des conditions. En ce qui a trait aux données de neuroimagerie, comparativement aux femmes en bonne santé, celles atteintes de schizophrénie ont montré une diminution des activations cérébrales dans les régions corticales du système limbique (p. ex. cortex cingulaire moyen) et dans les régions sous-corticales (p. ex. amygdale) lors de la reconnaissance d'images négatives. Pour ce qui est de la condition positive, elles ont présenté, comparativement au groupe de femmes saines, des diminutions d’activations spécifiquement dans le cervelet ainsi que dans le gyrus frontal inférieur et moyen. Les hommes atteints de schizophrénie, eux, ont montré une augmentation d’activations par rapport aux hommes sains dans le gyrus préfrontal médian lors de la reconnaissance des stimuli négatifs ; ainsi que dans les régions pariétales, temporales et limbiques lors de la reconnaissance des stimuli positifs. Dans un autre ordre d’idées, notre analyse corrélationnelle a mis en évidence, chez les femmes, un lien significatif entre l’activité cérébrale et les symptômes au cours de la mémoire des stimuli positifs, alors que chez les hommes atteints schizophrénie, ce lien a été observé au cours de la mémoire des stimuli négatifs. Bref, l’ensemble de nos résultats suggère, chez les patients atteints de schizophrénie, un fonctionnement cérébral atypique spécifiquement lors de la reconnaissance d’images négatives, mais un fonctionnement intact lors de la reconnaissance de stimuli positifs. De plus, nous avons mis en évidence la présence de différences de sexe dans les activations cérébrales associées à la mémoire épisodique émotionnelle soulignant ainsi l'importance d’étudier séparément les hommes et les femmes atteints de schizophrénie dans le cadre de recherches sur les plans cognitif et émotionnel.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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