Can a Lucas model with habit generate realistic conditional volatility in exchange rate returns?

In this paper, we attempt to give a theoretical underpinning to the well established empirical stylized fact that asset returns in general and the spot FOREX returns in particular display predictable volatility characteristics. Adopting Moore and Roche s habit persistence version of Lucas model we nd that both the innovation in the spot FOREX return and the FOREX return itself follow "ARCH" style processes. Using the impulse response functions (IRFs) we show that the baseline simulated FOREX series has "ARCH" properties in the quarterly frequency that match well the "ARCH" properties of the empirical monthly estimations in that when we scale the x-axis to synchronize the monthly and quarterly responses we find similar impulse responses to one unit shock in variance. The IRFs for the ARCH processes we estimate "look the same" with an approximately monotonic decreasing fashion. The Lucas two-country monetary model with habit can generate realistic conditional volatility in spot FOREX return.

Essays on monetary and banking theory

Esta tese de Doutorado é dedicada ao estudo de instabilidade financeira e dinâmica em Teoria Monet ária. E demonstrado que corridas banc árias são eliminadas sem custos no modelo padrão de teoria banc ária quando a popula ção não é pequena. É proposta uma extensão em que incerteza agregada é mais severa e o custo da estabilidade financeira é relevante. Finalmente, estabelece-se otimalidade de transições na distribui ção de moeda em economias em que oportunidades de trocas são escassas e heterogêneas. Em particular, otimalidade da inflação depende dos incentivos dinâmicos proporcionados por tais transi ções. O capí tulo 1 estabelece o resultado de estabilidade sem custos para economias grandes ao estudar os efeitos do tamanho populacional na an álise de corridas banc árias de Peck & Shell. No capí tulo 2, otimalidade de dinâmica é estudada no modelo de monet ário de Kiyotaki & Wright quando a sociedade é capaz de implementar uma polí tica inflacion ária. Apesar de adotar a abordagem de desenho de mecanismos, este capí tulo faz um paralelo com a an álise de Sargent & Wallace (1981) ao destacar efeitos de incentivos dinâmicos sobre a interação entre as polí ticas monet ária e fiscal. O cap ítulo 3 retoma o tema de estabilidade fi nanceira ao quanti car os custos envolvidos no desenho ótimo de um setor bancário à prova de corridas e ao propor uma estrutura informacional alternativa que possibilita bancos insolventes. A primeira an álise mostra que o esquema de estabilidade ótima exibe altas taxas de juros de longo prazo e a segunda que monitoramento imperfeito pode levar a corridas bancárias com insolvência.

The monetary crisis, dollarization and the exchange rate

Includes bibliography

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

Essays on optimal fiscal and monetary policies

Cette thèse se compose de trois articles sur les politiques budgétaires et monétaires optimales. Dans le premier article, J'étudie la détermination conjointe de la politique budgétaire et monétaire optimale dans un cadre néo-keynésien avec les marchés du travail frictionnels, de la monnaie et avec distortion des taux d'imposition du revenu du travail. Dans le premier article, je trouve que lorsque le pouvoir de négociation des travailleurs est faible, la politique Ramsey-optimale appelle à un taux optimal d'inflation annuel significativement plus élevé, au-delà de 9.5%, qui est aussi très volatile, au-delà de 7.4%. Le gouvernement Ramsey utilise l'inflation pour induire des fluctuations efficaces dans les marchés du travail, malgré le fait que l'évolution des prix est coûteuse et malgré la présence de la fiscalité du travail variant dans le temps. Les résultats quantitatifs montrent clairement que le planificateur s'appuie plus fortement sur l'inflation, pas sur l'impôts, pour lisser les distorsions dans l'économie au cours du cycle économique. En effet, il ya un compromis tout à fait clair entre le taux optimal de l'inflation et sa volatilité et le taux d'impôt sur le revenu optimal et sa variabilité. Le plus faible est le degré de rigidité des prix, le plus élevé sont le taux d'inflation optimal et la volatilité de l'inflation et le plus faible sont le taux d'impôt optimal sur le revenu et la volatilité de l'impôt sur le revenu. Pour dix fois plus petit degré de rigidité des prix, le taux d'inflation optimal et sa volatilité augmentent remarquablement, plus de 58% et 10%, respectivement, et le taux d'impôt optimal sur le revenu et sa volatilité déclinent de façon spectaculaire. Ces résultats sont d'une grande importance étant donné que dans les modèles frictionnels du marché du travail sans politique budgétaire et monnaie, ou dans les Nouveaux cadres keynésien même avec un riche éventail de rigidités réelles et nominales et un minuscule degré de rigidité des prix, la stabilité des prix semble être l'objectif central de la politique monétaire optimale. En l'absence de politique budgétaire et la demande de monnaie, le taux d'inflation optimal tombe très proche de zéro, avec une volatilité environ 97 pour cent moins, compatible avec la littérature. Dans le deuxième article, je montre comment les résultats quantitatifs impliquent que le pouvoir de négociation des travailleurs et les coûts de l'aide sociale de règles monétaires sont liées négativement. Autrement dit, le plus faible est le pouvoir de négociation des travailleurs, le plus grand sont les coûts sociaux des règles de politique monétaire. Toutefois, dans un contraste saisissant par rapport à la littérature, les règles qui régissent à la production et à l'étroitesse du marché du travail entraînent des coûts de bien-être considérablement plus faible que la règle de ciblage de l'inflation. C'est en particulier le cas pour la règle qui répond à l'étroitesse du marché du travail. Les coûts de l'aide sociale aussi baisse remarquablement en augmentant la taille du coefficient de production dans les règles monétaires. Mes résultats indiquent qu'en augmentant le pouvoir de négociation du travailleur au niveau Hosios ou plus, les coûts de l'aide sociale des trois règles monétaires diminuent significativement et la réponse à la production ou à la étroitesse du marché du travail n'entraîne plus une baisse des coûts de bien-être moindre que la règle de ciblage de l'inflation, qui est en ligne avec la littérature existante. Dans le troisième article, je montre d'abord que la règle Friedman dans un modèle monétaire avec une contrainte de type cash-in-advance pour les entreprises n’est pas optimale lorsque le gouvernement pour financer ses dépenses a accès à des taxes à distorsion sur la consommation. Je soutiens donc que, la règle Friedman en présence de ces taxes à distorsion est optimale si nous supposons un modèle avec travaie raw-efficace où seule le travaie raw est soumis à la contrainte de type cash-in-advance et la fonction d'utilité est homothétique dans deux types de main-d'oeuvre et séparable dans la consommation. Lorsque la fonction de production présente des rendements constants à l'échelle, contrairement au modèle des produits de trésorerie de crédit que les prix de ces deux produits sont les mêmes, la règle Friedman est optimal même lorsque les taux de salaire sont différents. Si la fonction de production des rendements d'échelle croissant ou decroissant, pour avoir l'optimalité de la règle Friedman, les taux de salaire doivent être égales.

Endogenous business cycles and stabilization policies

The paper reports results on the effects of stylized stabilization policies on endogenously created fluctuations. A simple monetary model with intertemporally optimizing agents is considered. Fluctuations in output may occur due to fluctuations in labor supply which are again caused by volatile expectations which are ``self fulfilling'', i.e. correct given the model. It turns out that stabilization policies that are sufficiently countercyclical in the sense that government spending (on transfers or demand) depends sufficiently strongly negatively on GNP-increases can stabilize the economy at a monetary steadystate for an arbitrarily low degree of distortion of that steady state. Such stabilization has unambiguously good welfare effects and can be achieved without features such as positive lump sum taxation or negative income taxation as part of the stabilization policy.

Stable sunspot equilibria in a cash-in-advance economy

We analyze a monetary model with flexible labor supply, cash-inadvance constraints and seigniorage-financed government deficits. If the intertemporal elasticity of substitution of labor is greater than one, there are two steady states, one determinate and the other indeterminate. If the elasticity is less than one, there is a unique steady state, which can be indeterminate. Only in the latter case do there exist sunspot equilibria that are stable under adaptive learning. A sufficient reduction in government purchases can in many cases eliminate the sunspot equilibria while raising consumption/labor taxes even enough to balance the budget may fail to achieve determinacy.

Recurrent hyperinflations and learning

This paper uses a model of boundedly rational learning to accountfor the observations of recurrent hyperinflations in the lastdecade. We study a standard monetary model where the fullyrational expectations assumption is replaced by a formaldefinition of quasi-rational learning. The model under learningis able to match remarkably well some crucial stylized factsobserved during the recurrent hyperinflations experienced byseveral countries in the 80's. We argue that, despite being asmall departure from rational expectations, quasi-rationallearning does not preclude falsifiability of the model and itdoes not violate reasonable rationality requirements.

Inflation and overbanking

This paper argues that monetary models can and usually present the phenomenon of over-banking; that is, the market solution of the model presents a size of the banking sector which is higher than the social optima. Applying a two sector monetary model of capital accumulation in presence of a banking sector, which supplies liquidity services, it is shown that the rise of a tax that disincentives the acquisition of the banking service presents the following impacts on welfare. If the technology is the same among the sectors, the tax increases welfare; otherwise, steady-state utility increase if the banking sector is labor-intensive compared to the real sector. Additionally, it is proved that the elevation of inflation has the following impact on the economy's equilibrium: the share on the product of the banking sector increases; the product and the stock of capital increases or reduces whether the banking sector is capital-intensive or laborintensive; and, the steady-state utility reduces. The results were derived under a quite general set up - standard hypothesis regarding concavity of preference, convexity of technology, and normality of goods - were required.

How to Explain CouchSurfing's Success?

In this paper we describe the social network of CouchSurfing as an innovative, non-monetary model for the traditional international hospitality and travel market. This paper is written to describe our understanding of how it can operate and expand in spite of potential risks and uncertainties. We present the results of an exploratory qualitative research project that was conducted in Hungary in 2012/13. The findings indicate that: (1) a high level of trust as a personality trait characterizes members; (2) trust can be interpreted as a strong cultural rule; (3) members perceive a low level of risk and have limited practical knowledge about the safety features of the system; and (4) trust towards a given member is not based on rational calculation but on emotions.

Essays on exchange rate economics

Exchange rate economics has achieved substantial development in the past few decades. Despite extensive research, a large number of unresolved problems remain in the exchange rate debate. This dissertation studied three puzzling issues aiming to improve our understanding of exchange rate behavior. Chapter Two used advanced econometric techniques to model and forecast exchange rate dynamics. Chapter Three and Chapter Four studied issues related to exchange rates using the theory of New Open Economy Macroeconomics. ^ Chapter Two empirically examined the short-run forecastability of nominal exchange rates. It analyzed important empirical regularities in daily exchange rates. Through a series of hypothesis tests, a best-fitting fractionally integrated GARCH model with skewed student-t error distribution was identified. The forecasting performance of the model was compared with that of a random walk model. Results supported the contention that nominal exchange rates seem to be unpredictable over the short run in the sense that the best-fitting model cannot beat the random walk model in forecasting exchange rate movements. ^ Chapter Three assessed the ability of dynamic general-equilibrium sticky-price monetary models to generate volatile foreign exchange risk premia. It developed a tractable two-country model where agents face a cash-in-advance constraint and set prices to the local market; the exogenous money supply process exhibits time-varying volatility. The model yielded approximate closed form solutions for risk premia and real exchange rates. Numerical results provided quantitative evidence that volatile risk premia can endogenously arise in a new open economy macroeconomic model. Thus, the model had potential to rationalize the Uncovered Interest Parity Puzzle. ^ Chapter Four sought to resolve the consumption-real exchange rate anomaly, which refers to the inability of most international macro models to generate negative cross-correlations between real exchange rates and relative consumption across two countries as observed in the data. While maintaining the assumption of complete asset markets, this chapter introduced endogenously segmented asset markets into a dynamic sticky-price monetary model. Simulation results showed that such a model could replicate the stylized fact that real exchange rates tend to move in an opposite direction with respect to relative consumption. ^

Essays on Exchange Rate Economics

Exchange rate economics has achieved substantial development in the past few decades. Despite extensive research, a large number of unresolved problems remain in the exchange rate debate. This dissertation studied three puzzling issues aiming to improve our understanding of exchange rate behavior. Chapter Two used advanced econometric techniques to model and forecast exchange rate dynamics. Chapter Three and Chapter Four studied issues related to exchange rates using the theory of New Open Economy Macroeconomics. Chapter Two empirically examined the short-run forecastability of nominal exchange rates. It analyzed important empirical regularities in daily exchange rates. Through a series of hypothesis tests, a best-fitting fractionally integrated GARCH model with skewed student-t error distribution was identified. The forecasting performance of the model was compared with that of a random walk model. Results supported the contention that nominal exchange rates seem to be unpredictable over the short run in the sense that the best-fitting model cannot beat the random walk model in forecasting exchange rate movements. Chapter Three assessed the ability of dynamic general-equilibrium sticky-price monetary models to generate volatile foreign exchange risk premia. It developed a tractable two-country model where agents face a cash-in-advance constraint and set prices to the local market; the exogenous money supply process exhibits time-varying volatility. The model yielded approximate closed form solutions for risk premia and real exchange rates. Numerical results provided quantitative evidence that volatile risk premia can endogenously arise in a new open economy macroeconomic model. Thus, the model had potential to rationalize the Uncovered Interest Parity Puzzle. Chapter Four sought to resolve the consumption-real exchange rate anomaly, which refers to the inability of most international macro models to generate negative cross-correlations between real exchange rates and relative consumption across two countries as observed in the data. While maintaining the assumption of complete asset markets, this chapter introduced endogenously segmented asset markets into a dynamic sticky-price monetary model. Simulation results showed that such a model could replicate the stylized fact that real exchange rates tend to move in an opposite direction with respect to relative consumption.

Essays on Information Frictions, Prices and Unemployment

I investigate the effects of information frictions in price setting decisions. I show that firms' output prices and wages are less sensitive to aggregate economic conditions when firms and workers cannot perfectly understand (or know) the aggregate state of the economy. Prices and wages respond with a lag to aggregate innovations because agents learn slowly about those changes, and this delayed adjustment in prices makes output and unemployment more sensitive to aggregate shocks. In the first chapter of this dissertation, I show that workers' noisy information about the state of the economy help us to explain why real wages are sluggish. In the context of a search and matching model, wages do not immediately respond to a positive aggregate shock because workers do not (yet) have enough information to demand higher wages. This increases firms' incentives to post more vacancies, and it makes unemployment volatile and sensitive to aggregate shocks. This mechanism is robust to two major criticisms of existing theories of sluggish wages and volatile unemployment: the flexibility of wages for new hires and the cyclicality of the opportunity cost of employment. Calibrated to U.S. data, the model explains 60% of the overall unemployment volatility. Consistent with empirical evidence, the response of unemployment to TFP shocks predicted by my model is large, hump-shaped, and peaks one year after the TFP shock, while the response of the aggregate wage is weak and delayed, peaking after two years. In the second chapter of this dissertation, I study the role of information frictions and inventories in firms' price setting decisions in the context of a monetary model. In this model, intermediate goods firms accumulate output inventories, observe aggregate variables with one period lag, and observe their nominal input prices and demand at all times. Firms face idiosyncratic shocks and cannot perfectly infer the state of nature. After a contractionary nominal shock, nominal input prices go down, and firms accumulate inventories because they perceive some positive probability that the nominal price decline is due to a good productivity shock. This prevents firms' prices from decreasing and makes current profits, households' income, and aggregate demand go down. According to my model simulations, a 1% decrease in the money growth rate causes output to decline 0.17% in the first quarter and 0.38% in the second followed by a slow recovery to the steady state. Contractionary nominal shocks also have significant effects on total investment, which remains 1% below the steady state for the first 6 quarters.

Interaction Between Fiscal And Monetary Policy In A Dynamic Nonlinear Model.

The objective of this study is to verify the dynamics between fiscal policy, measured by public debt, and monetary policy, measured by a reaction function of a central bank. Changes in monetary policies due to deviations from their targets always generate fiscal impacts. We examine two policy reaction functions: the first related to inflation targets and the second related to economic growth targets. We find that the condition for stable equilibrium is more restrictive in the first case than in the second. We then apply our simulation model to Brazil and United Kingdom and find that the equilibrium is unstable in the Brazilian case but stable in the UK case.

Optimal Monetary Policy in a New Keynesian Model with Habits in Consumption

While consumption habits have been utilised as a means of generating a humpshaped output response to monetary policy shocks in sticky-price New Keynesian economies, there is relatively little analysis of the impact of habits (particularly,external habits) on optimal policy. In this paper we consider the implications of external habits for optimal monetary policy, when those habits either exist at the level of the aggregate basket of consumption goods (‘superficial’ habits) or at the level of individual goods (‘deep’ habits: see Ravn, Schmitt-Grohe, and Uribe (2006)). External habits generate an additional distortion in the economy, which implies that the flex-price equilibrium will no longer be efficient and that policy faces interesting new trade-offs and potential stabilisation biases. Furthermore, the endogenous mark-up behaviour, which emerges when habits are deep, can also significantly affect the optimal policy response to shocks, as well as dramatically affecting the stabilising properties of standard simple rules.