1000 resultados para Littérature post-coloniale
Resumo:
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
Resumo:
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
Resumo:
Les six romans du cycle de Caoba retracent sur un mode fictif le déroulement de la Révolution mexicaine et montrent les conséquences de la colonisation de même que les injustices sociales et économiques dont souffre tout particulièrement la population indigène. Dans ce contexte de conflit culturel entre colonisés et colonisateurs, le personnage de l’indigène est perçu de façon variée dans les différents romans. L’analyse de la représentation de la population indigène est donc le sujet principal de ce travail qui combine une étude narratologique et une approche postcoloniale. L’examen détaillé d’extraits de texte permettra de vérifier dans quelle mesure l’auteur germanophone B. Traven, dans sa représentation de l'étranger, se détache d’un discours colonial, et s’il peut être considéré comme un auteur postcolonial avant la lettre. Dans ces analyses, les questions suivantes serviront de fil conducteur : dans quelle mesure la représentation du personnage de l’indigène correspond-elle à celle du «bon sauvage» ? Comment les différents groupes sociaux du Mexique sont-ils représentés – par des individus, des descriptions stéréotypées, des allégories? Quels moyens l’auteur utilise-t-il pour familiariser son lectorat européen/occidental avec cette culture étrangère? Ainsi, le travail se penche sur les procédés narratifs employés par l’auteur pour dépeindre la société à partir de perspectives diverses. Dans le but de dénoncer des conditions d’oppression et d’exploitation, Traven écrit à partir du regard du colonisé. Mais lorsqu'il cherche à comprendre le système dictatorial, il écrit dans la perspective du colonisateur. Cette méthode correspond à celle des regards croisés que le théoricien Edward E. Said décrit dans son ouvrage Orientalisme. L’emploi de cette méthode contrapunctique - permet-il d’exercer une critique (post)coloniale? Dans quelle mesure ce texte révèle-t-il l’importance de l’hybridité de la culture telle qu'elle a été théorisée par K. Bhabha? Dans quelle mesure l'accent est-il mis sur les rapports transculturels, sur la façon dont les cultures s'influencent les unes les autres?
Resumo:
Cette thèse montre comment fonctionnent et se déploient, au sein des œuvres littéraires, filmiques et webfilmiques, des scénographies mémorielles et des figurations médiatiques de la guerre d’Algérie. Empruntant sa méthodologie à la sociocritique des textes et aux études intermédiales, l’étude porte sur la manière dont le souvenir de l’évènement se confond avec celle de le relater. Elle examine le rôle du médium qui donne une forme, une matérialité, un dispositif, un type de reconnaissance institutionnelle aux représentations de la guerre et de la mémoire, contribuant aussi à former, modeler le souvenir en le rendant perceptible et intelligible. Comment les groupes de mémoire de la guerre d’Algérie, (harkis, immigration algérienne, pieds-noirs) vivent-ils – toutes proportions et différences gardées – leur rapport au passé à partir du présent ? Leurs mémoires, médiées par les vecteurs culturels (cinéma, littérature, etc.), se disent à partir de sites d’énonciations plurielles dont les espaces (topographies) et les temps (chronographies) sont communs. Elles s’approprient le souvenir de façon similaire, par les scènes narratives du procès, de la rencontre ou du retour construites par le texte littéraire ou filmique. La première partie interroge les rapports entre histoire et mémoire ; en France, leurs conceptions et pratiques, se heurtent à une nouvelle économie mémorielle dans laquelle des groupes de mémoire de la guerre d’Algérie réclament que leur histoire soit reconnue et enseignée. Appuyée par une périodisation de la production gigantesque des cinquante dernières années et par une revue critique de la recherche internationale menée à ce sujet, cette réflexion prend acte de la dispute post-coloniale française et considère l’auteur porteur de mémoire de la guerre d’Algérie pour son exemplarité en tant que témoin post-colonial. Les deuxième, troisième et quatrième parties de cette thèse déplient quant à elles, la scénographie mémorielle spécifique à trois auteurs, tout en la mettant en relation avec d’autres œuvres de genre et médium très différents. Le premier corpus est composé de : Moze de Zahia Rahmani, du tryptique de Mehdi Charef (À-bras-le-cœur, 1962. Le dernier voyage, Cartouches gauloises) et d’Exils de Tony Gatlif. À ces titres s’ajoutent des œuvres qui marquent une série, ensemble aux contours flous auxquels ils se rattachent et qui permettent de mettre à la fois en perspective le commun entretenu entre la série et l’œuvre de l’un des trois auteurs, et la manière dont l’auteur, Rahmani, Charef ou Gatlif s’en distingue de façon significative. Enfin, un troisième type d’œuvres intervient dans l’analyse comme contrepoint souvent paradoxal de cette série.
Resumo:
Pour minoré et ignoré qu’il fût, le roman policier est désormais légitimé par l’institution littéraire. À parcourir les livres publiés dans la Caraïbe francophone, le genre demeure dans la marge de cette production [issue de la Caraïbe francophone (Haïti, Guadeloupe, Guyane française, Martinique)]. Quoiqu’il en soit, on notera que les années 1990 ont inauguré une véritable éclosion de publications de polars. Tout cela augure d’une acclimatation de ce genre qui ne s’accompagne pas moins de questionnements sur les spécificités éventuelles du polar caribéen francophone. Se situe-t-il dans la convention? Tente-il au contraire d’établir une distanciation avec la norme? C’est pour répondre à ces interrogations que cette thèse se propose d’explorer les enjeux de l’appropriation du polar provenant de cette aire géographique. À l’aune de la poétique des genres, de la sociocritique et de l’intermédialité, un corpus composé de quatorze romans fait l’objet d’une étude approfondie. Dans le premier chapitre, un bref récapitulatif permet de situer les œuvres à l’étude dans l’histoire littéraire du genre tout en soulignant l’adaptation du polar dans la Caraïbe de langue française. Il en ressort qu’un nombre significatif d’écrivains, attentifs à la latence du magico-religieux dans leur société, mettent en scène le surnaturel alors que le roman policier conventionnel plébiscite la méthode logico-déductive. C’est la raison pour laquelle le second chapitre s’intéresse à l’usage de l’inexplicable et son rapport avec le cartésianisme. Quant au troisième chapitre, il se penche sur un topos du genre : la violence telle qu’elle surgit dans ses dimensions commémoratives et répétitives de l’histoire tumultueuse de la Caraïbe. Notre corpus tend à relier la notion du crime, fut-il d’emprise originelle, à l’histoire post-coloniale. Dans la mesure où les personnages constituent un élément clé du genre, ils sont sondés, dans un quatrième chapitre, en regard de la critique sociale qu’ils incarnent et véhiculent. Le dernier chapitre cherche à circonscrire l’intermédialité qui structure et qualifie l’œuvre au sein du roman policier depuis sa genèse. Somme toute, ces divers axes contribuent à mieux comprendre le phénomène de transposition du polar dans cette région du monde.
Resumo:
Pour minoré et ignoré qu’il fût, le roman policier est désormais légitimé par l’institution littéraire. À parcourir les livres publiés dans la Caraïbe francophone, le genre demeure dans la marge de cette production [issue de la Caraïbe francophone (Haïti, Guadeloupe, Guyane française, Martinique)]. Quoiqu’il en soit, on notera que les années 1990 ont inauguré une véritable éclosion de publications de polars. Tout cela augure d’une acclimatation de ce genre qui ne s’accompagne pas moins de questionnements sur les spécificités éventuelles du polar caribéen francophone. Se situe-t-il dans la convention? Tente-il au contraire d’établir une distanciation avec la norme? C’est pour répondre à ces interrogations que cette thèse se propose d’explorer les enjeux de l’appropriation du polar provenant de cette aire géographique. À l’aune de la poétique des genres, de la sociocritique et de l’intermédialité, un corpus composé de quatorze romans fait l’objet d’une étude approfondie. Dans le premier chapitre, un bref récapitulatif permet de situer les œuvres à l’étude dans l’histoire littéraire du genre tout en soulignant l’adaptation du polar dans la Caraïbe de langue française. Il en ressort qu’un nombre significatif d’écrivains, attentifs à la latence du magico-religieux dans leur société, mettent en scène le surnaturel alors que le roman policier conventionnel plébiscite la méthode logico-déductive. C’est la raison pour laquelle le second chapitre s’intéresse à l’usage de l’inexplicable et son rapport avec le cartésianisme. Quant au troisième chapitre, il se penche sur un topos du genre : la violence telle qu’elle surgit dans ses dimensions commémoratives et répétitives de l’histoire tumultueuse de la Caraïbe. Notre corpus tend à relier la notion du crime, fut-il d’emprise originelle, à l’histoire post-coloniale. Dans la mesure où les personnages constituent un élément clé du genre, ils sont sondés, dans un quatrième chapitre, en regard de la critique sociale qu’ils incarnent et véhiculent. Le dernier chapitre cherche à circonscrire l’intermédialité qui structure et qualifie l’œuvre au sein du roman policier depuis sa genèse. Somme toute, ces divers axes contribuent à mieux comprendre le phénomène de transposition du polar dans cette région du monde.
Resumo:
Cette recherche a été entreprise au milieu d'une polémique qui a affecté beaucoup de pays occidentaux, mais était particulièrement prédominante dans la province de Québec. Cette polémique, ancrée dans le processus de globalisation, est née des accommodements reliés aux différences culturelles et était principalement due à une crise d'identité sociale. Pendant cela, les médias ont été pris d’une frénésie qui a fait en sorte qu’une culture (culte) a été ciblée plus que d’autres : l'Islam. Une discussion sur le rôle et l’identité des femmes dans l'Islam (particulièrement les femmes en hijab) a suivi. Le but de cette étude est de voir comment les féministes occidentales et musulmanes pourraient créer une solidarité en dépit de ce qu'elles voient parfois comme des différences idéologiques insurmontables. Les méthodologies utilisées pendant la recherche étaient la théorie (post)coloniale et l’approche féministe, et le corpus de connaissances était interdisciplinaire pour ensuite construire une perspective complète de la problématique. La conclusion montre que la création de cette solidarité est essentielle pour assurer les droits et les libertés des femmes (la liberté de conscience y comprise). Un élément nécessaire à cette solidarité était le dialogue interreligieux et les conditions de base qui créent un dialogue réussi sont, entre autres, l’écoute active, « l’inclusivité » et l’ouverture d’esprit. Les dialogues interreligieux sont un outil important dans une société religieusement diverse, et connaitre l'autre est fondamental pour surmonter les obstacles et favoriser la compréhension.
Resumo:
Né à Constantine en 1905 É.C., décédé à Alger en 1973 É.C., Malek Bennabi ce penseur algérien et réformateur musulman peu connu, s’est attaché durant sa vie, à étudier et analyser les problèmes liés à la civilisation du Monde arabo-musulman. Ingénieur sorti de l’Ecole Polytechnique de Paris, Malek Bennabi a jumelé deux cultures différentes : la culture islamique et la culture occidentale.C'est pour cette raison que ses analyses sont ornées d'expertise et d'expérience, d'innovation et d'émancipation. Sa réflexion est pleine d'animation, il a plus d'une vingtaine d'ouvrages, traitant des thèmes variés : la civilisation, le dialogue civilisationnel, la culture, l'idéologie, les problèmes de société, l’orientalisme, la démocratie, le système colonial ainsi que de sujets relatifs au phénomène coranique. À travers ses écrits, il s’attache à étudier et à analyser les raisons de la stagnation de la Société arabo-musulmane et les conditions d’une nouvelle renaissance. Malek Bennabi, s’attèle à tenter d’éveiller les consciences pour une renaissance de cette société. Ayant vécu l’expérience coloniale et post – coloniale dans son pays, Malek Bennabi demeurera tourmenté par les obstacles de développement. Pour lui l’accession à l’indépendance et la construction d’un État moderne n’auront pas suffi à arracher la société au sous-développement économique, social et culturel. En effectuant une relecture du patrimoine islamique, tout comme l’ont fait deux penseurs décédés récemment : Al Djâbiri et Mohamed Arkoun. Malek Bennabi cherchait à offrir une énergie sociale capable à arracher les sociétés arabo-musulmanes de leur sous-développement et décadence. C’est sous cet angle, que nous allons, dans ce mémoire, mener notre réflexion en l’articulant autour de la problématique centrale qui traverse la pensée de Malek Bennabi, à savoir celle du renouveau de la société islamique marquée par une grande diversité. Nous allons tenter de répondre à plusieurs questions, dont la principale est la suivante : est-ce que Malek Bennabi a présenté, à travers ses idées, de la nouveauté pour changer la réalité arabo-musulmane?
Resumo:
Questa tesi propone un indagine sulla memoria del retorno a partire da una prospettiva critica che assume il “sud globale di lingua portoghese” come spazio storico e concettuale di riferimento. Si riflette sull'idea di specificità attribuita alla colonizzazione promossa dal Portogallo in Africa tenendo conto delle contraddizioni associate al movimento migratorio innescato dal processo violento di decolonizzazione dell’Africa portoghese. Le memorie trauamatiche sul retorno espongono la violenza come componente costitutiva della realtà coloniale ma ripropongono anche dinamiche che permettono l’occultamento del razzismo. L'esplorazione della “soffitta”, assunta come metafora della memoria familiare custodita nello spazio domestico, accompagna quella dell’archivio pubblico. L’analisi dell’archivio ufficiale e della memoria familiare riflette il tentativo di stabilire un dialogo tra storia e memoria superando la logica di antitesi che tradizionalmente le contrappone. Utilizzando il concetto criticamente problematico di “postmemoria” si riflette sulla riconfigurazione del rapporto con il passato in funzione di un’idea di “eredità come compito” assunto nel presente). La possibilità di “salvare” il passato dalla progressiva scomparsa dei testimoni comporta un pericolo di abuso ideologico connaturato al processo di trasmissione. La traduzione delle memorie coloniali sul retorno dallo spazio intimo allo spazio del dibattito pubblico mostra la relazione tra la costruzione della mitologia familiare e l’adozione del discorso lusotropicale. Il tentativo di definire la natura indecifrabile del retornado comporta la possibilità di sanzionare la violenza coloniale negando una responsabilità collettiva riferita al colonialismo. Si presenta il tentativo di configurare i termini di una questione post-coloniale portoghese dai contorni opachi. Questa tesi approda ad una conclusione aperta, articolata sul rischio sempre presente di appropriazione delle categorie critiche post-coloniali da parte dell’ideologia egemonica. Attraverso le (post)memorie (post)coloniali la denuncia del razzismo in quanto eredità permanente e la riconfigurazione dell’archivio coloniale costituiscono operazioni possibili, necessarie, ma non per questo scontate o prive di rischi.
Resumo:
La tesi adotta una prospettiva etnostorica rafforzata da una metodologia etnografica per analizzare lo sviluppo dei processi di politicizzazione nel territorio boliviano dal periodo coloniale ad oggi, collocandoli all’interno di un più ampio sistema di relazioni economiche, politiche e sociali dettate dall’eterogeneo sviluppo del capitalismo globale; la tesi mostra sia il modo specifico in cui, nelle varie contingenze storiche, queste relazioni hanno riorganizzato l’«abigarrada» società boliviana e inciso sui processi di politicizzazione, sia il modo in cui i soggetti hanno contestato e messo in tensione tale riorganizzazione. Per l’analisi si partirà dalla posizione di quei soggetti che sono stati definiti alternativamente come indios, indigeni, campesinos nel territorio boliviano, guardando alle connessioni politiche che questi hanno messo in campo con diversi soggetti – donne, lavoratori, attivisti urbani. Questa posizione offre una «prospettiva epistemologica privilegiata» per indagare il modo in cui i movimenti sociali impattano nell’articolazione tra Stato, società civile e capitale, non perché tali soggetti sono portatori di un’autenticità alternativa al capitalismo, ma perché il modo in cui riattivano quell’insieme di miti, credenze e residui precapitalistici – i «resabios» – che concorrono alla «memoria larga» delle lotte, innestandoli su elementi introdotti dal capitalismo, mostra la loro capacità di sovvertire la posizione subalterna che la riproduzione del capitale nel territorio boliviano ha imposto loro. Si mostreranno anche le tensioni e i conflitti dati dalle diverse posizioni che donne e uomini, giovani e anziani, figure d’autorità e ‘base’ assumono all’interno della loro identificazione come indigeni. La ricerca permette di affermare che l’identità indigena è il prodotto della risposta istituzionale che di volta in volta è stata data per neutralizzare l’emergenza politica di soggetti la cui eterogeneità non ha impedito, ma al contrario ha reso possibile, un’accumulazione di forza tale da mettere in crisi gli assetti politici, economici e istituzionali dello Stato post-coloniale.
Resumo:
La tesi analizza e approfondisce la fine del dominio coloniale dell’Italia nel Corno d’Africa, verificatosi a partire dalla durissima sconfitta causata dalle forze Alleate durante la Seconda Guerra Mondiale. L’Italia repubblicana, al termine del conflitto, cercò di riottenere la restituzione degli ex possedimenti coloniali e, grazie al mandato dell’ONU, ritornò in Somalia con il complesso ed impegnativo compito di predisporre l’indipendenza del paese africano; il bilancio dell’AFIS fu incerto sia per gli italiani sia per i somali, anche se l’Italia tentò di ripresentarsi nella ex colonia in modo diverso rispetto al periodo coloniale. Viene affrontato il caso degli italiani d'Etiopia al ritorno l’imperatore Hailé Selassié che restaurò, dopo la breve occupazione dell’Italia, la sovranità etiopica con la conseguente indipendenza. Si ripercorrono gli avvenimenti accaduti dal 1941 al 1952 in Eritrea, che incisero profondamente sulla vita della comunità italiana sia italiana che eritrea, inclusa a caccia agli italiani condotta dagli shiftà dal 1949 al 1951. Viene trattato anche il concetto di “Italiani, brava gente”, utilizzato dopo la Seconda Guerra Mondiale per autoassolversi dalle proprie colpe e responsabilità per i crimini di guerra commessi. Infine si cerca di tracciare di tracciare un bilancio non facile della decolonizzazione italiana che concluse un'epoca, quella coloniale, lasciando il Corno d’Africa, per la sua particolare posizione geografica tra Africa e Medio Oriente, al centro di importanti interessi globali che fanno riferimento purtroppo anche alla lotta al terrorismo, al contrasto della pirateria marittima ed è inoltre stato caratterizzato nella storia postcoloniale da numerosi conflitti.
Resumo:
De nombreuses recherches ont montré que la dépression post-partum maternelle a un impact négatif sur le développement de l'enfant. Les difficultés affectives de la mère peuvent entraver sa capacité à interagir avec son enfant de manière ajustée, perturbant précocement la relation mère/enfant. Cependant, d'autres études ont souligné l'importance d'autres facteurs susceptibles de modérer cet impact, dans un sens positif ou négatif. Parmi ces facteurs, les recherches s'intéressant au rôle du père ont souligné que celui-ci pourrait compenser cet effet négatif, soit en offrant à l'enfant l'expérience d'interactions ajustées, soit en soutenant la mère dans ses difficultés. Mais il pourrait au contraire l'aggraver, dans le cas d'une relation conjugale conflictuelle par exemple. L'objectif de cette revue de littérature est de porter l'attention du lecteur sur l'intérêt que représente une approche familiale de ces questions, tant au point de vue de la recherche que du travail clinique.
Resumo:
L'affermarsi della teoria della « imaginative geography » di Edward Saïd (Orientalism, 1978), nell'arco degli ultimi trent'anni, ha imposto un orientamento prettamente sociopolitico, gramsciano e foucaultiano alla critica del testo, proponendo un'unica soluzione interpretativa per un corpus eterogeneo di testi (scientifici e artistici, antichi e moderni) accomunati dal fatto di « rappresentare l'Oriente ». La costruzione europea dello spazio orientale, dice Saïd, non rappresenta solo un misconoscimento dell'Altro, ma una sua rappresentazione tendenziosa e finalizzata a sostenere la macchina dell'imperialismo occidentale. In particolare, la rappresentazione « femminilizzata » della geografia orientale (come luogo dell'exploit del maschio bianco) preparebbe e accompagnerebbe l'impresa di assoggettamento politico e di sfruttamento economico dei paesi ad Est dell'Europa. Se Orientalism ha conosciuto fortune alterne dall'anno della sua apparizione, negli ultimi anni una vera e propria corrente anti-saidiana ha preso forza, soprattutto in ambito francese. Attraverso l'analisi di circa trenta opere francesi, belga, inglesi e italiane del Novecento, questa tesi cerca di visualizzare i limiti teorici della prospettiva saidiana rivolgendosi a un esame della rappresentazione dello spazio urbano indiano nella letteratura europea contemporanea. Nello specifico, uno studio delle nuove strutture e dei nuovi modelli della femminilizzazione dello spazio orientale indiano cercherà di completare – superandolo in direzione di un « post-orientalismo » – il riduzionismo della prospettiva saidiana.