321 resultados para Hindu temples
Resumo:
A cidade de Kanchipuram, no Estado de Tamilnadu, sul da Índia, é sinónimo de templos hindus, mas também do sari em seda. A migração de comunidades de tecelão para esta cidade começou durante o reinado da Dinastia Chola nos Séculos 8-13 d. C. Anteriormente, o pano de seda foi considerado como tecido dos Deuses e os tecelões satisfizeram as necessidades religiosas do templo da cidade. Paulatinamente, um tecido de seda torna-se, tanto um tecido dos "mortais", como dos Deuses, e houve um aumento da procura dos têxteis em seda, especialmente, do sari em seda. A particularidade dos tecelões de Kanchipuram reside na sua técnica complicada de tecelagem e nos ricos motivos que são uma expressão da paixão do tecelão. Nosso trabalho de investigação centra-se nas técnicas de tecelagem e no seu produto final - o sari - para destacar a sua singularidade. Neste contexto, quero propor um projecto de documentação dos motivos do sari, para ilustrar um dos principais meios de valorização desta tradição de tecelagem que remonta a vários séculos. RÉSUMÉ: La ville de Kanchipuram, située dans l'état du Tamilnadu, dans le sud de l'Inde, fait souvent écho aux temples hindous mais également au sari en soie. Les tisserands ont migré à l'époque Chola (850- 1279 ap.J.C.) pour répondre aux besoins religieux de la ville car au départ, la soie était un tissu destiné à I 'usage des dieux. Au fur et à mesure, la soie est devenue aussi bien un tissu destiné aux 'mortels' qu'aux dieux. Ces tisserands ont connu par la suite, une forte demande, plus particulierement, pour les saris en soie. La particularité des tisserands de la ville de Kanchipuram réside dans sa technique laborieuse de tissage et dans les motifs élaborés parle billet desquels s'exprime la passion du tisserand dans sa tâche. Le présent mémoire s'attache à la technique de tissage et à son produit final - le sari - pour mettre en valeur son unicité. Dans ce cadre, je propose un projet de documentation des motifs des saris pour illustrer un des vecteurs clés de valorisation de cette tradition de tissage qui remonte à plusieurs siecles. ABSTRACT: The city of Kanchipuram, located in the State of Tamilnadu in southern India, is synonymous with Hindu temples and silk saris. The migration of weaver communities to the city started during the Chola reign (81 131 centuries A.D). Early on, silk was considered the cloth of the gods and these weavers met the needs of the temple city by producing silk textiles for religious use. Gradually, silk became a cloth as much for the 'mortais' as for the gods and demand increased for silk textiles, especially saris. The importance of Kanchipuram weaving lies in its complex techniques and rich motifs as expressions of the. weaver’s passion. This text examines the weaving techniques popularly known as the korvai technique, as well as the saris produced using this technique. ln addition, it attempts to catalogue certain motifs woven into the saris as a first step in promoting and valorizing the cultural richness of an art dating back several centuries.
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This paper considers the religious practices of Tamil Hindus who have settled in the West Midlands and South West of England in order to explore how devotees of a specific ethno-regional Hindu tradition with a well-established UK infrastructure in the site of its adherents’ population density adapt their religious practices in settlement areas which lack this infrastructure. Unlike the majority of the UK Tamil population who live in the London area, the participants in this study did not have ready access to an ethno-religious infrastructure of Tamil-orientated temples and public rituals. The paper examines two means by which this absence was addressed as well as the intersections and negotiations of religion and ethnicity these entailed: firstly, Tamil Hindus’ attendance of temples in their local area which are orientated towards a broadly imagined Hindu constituency or which cater to a non-Tamil ethno-linguistic or sectarian community; and, secondly, through the ‘DIY’ performance of ethnicised Hindu ritual in non-institutional settings.
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no.14(1924)
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The essays in this volume, contributions to an international symposium at the University of Lausanne in June 1998, represent the perception of the elements as a framework for the history of religions (Maya Burger), exemplified by the Hindu traditions. Each element is treated by a specialist in a different academic field in order to bring out a variety of approaches important to the discipline of the history of religion. Ether (akasa) was assigned to philosophy (Wilhelm Halbfass), wind to the history of religion (Bettina Bäumer), fire to classical philology (Peter Schreiner), water to a specialist on Indian medicine (Arion Rosu) and earth to anthropology (Gabriella Eichinger Ferro-Luzzi, specializing on Tamil literature). Les articles du présent volume, issus d'un symposium international ayant eu lieu à l'Université de Lausanne en juin 1998, présentent la perception des éléments comme base de recherche de l'étude des religions (Maya Burger), exemplifiée à l'aide des traditions hindoues. Chaque élément est traité par un spécialiste d'une discipline académique particulière dans le but de souligner la variété des approches nécessaire à la discipline d'histoire des religions. L'éther (akasa) a été considéré sous l'angle de la philosophie (Wilhelm Halbfass), le vent sous celui de l'histoire des religions (Bettina Bäumer), le feu sous celui de la philologie classique (Peter Schreiner), l'eau par un spécialiste de la médecine indienne (Arion Rosu) et la terre sous l'angle de l'anthropologie (Gabriella Eichinger Ferro-Luzzi, se concentrant sur la littérature tamoule).
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(Résumé de l'ouvrage) This volume addresses research topics within the field of Bhakti literature, the devotional poetry and other compositions of devotional character in the earlier literature of the modern South Asian languages. Its papers range from the roots of the Bhakti tradition in the early history of Krsna to its modern adaptations in nineteenth- and twentieth-century culture. Geographically, they span Bengal to Sind, Panjab to Maharashtra. Contemporary study of the modern Indian languages has broadened the scope of scholarship to consider today's Hindu attitudes, and those of a mixed society, against the background of ancient culture. Here, materials in six modern Asian languages are discussed: Bengali, Gujarati, Hindi in its main literary forms, Marathi, Panjabi and Sindhi; with assessment also of material in Sanskrit, Arabic and Chinese. In addition to studies of literary (and orally transmitted) works in the Krsna or Rama traditions, and of Sufi compositions and their interpretation, there are papers on the early history of sacred sites, the emergence of the religion of Rama, later religious formulations throughout the subcontinent, and the interaction of the Islamic and the Hindu.
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The essays in this volume, contributions to an international symposium at the University of Lausanne in June 1998, represent the perception of the elements as a framework for the history of religions (Maya Burger), exemplified by the Hindu traditions. Each element is treated by a specialist in a different academic field in order to bring out a variety of approaches important to the discipline of the history of religion. Ether (akasa) was assigned to philosophy (Wilhelm Halbfass), wind to the history of religion (Bettina Bäumer), fire to classical philology (Peter Schreiner), water to a specialist on Indian medicine (Arion Rosu) and earth to anthropology (Gabriella Eichinger Ferro-Luzzi, specializing on Tamil literature). Les articles du présent volume, issus d'un symposium international ayant eu lieu à l'Université de Lausanne en juin 1998, présentent la perception des éléments comme base de recherche de l'étude des religions (Maya Burger), exemplifiée à l'aide des traditions hindoues. Chaque élément est traité par un spécialiste d'une discipline académique particulière dans le but de souligner la variété des approches nécessaire à la discipline d'histoire des religions. L'éther (akasa) a été considéré sous l'angle de la philosophie (Wilhelm Halbfass), le vent sous celui de l'histoire des religions (Bettina Bäumer), le feu sous celui de la philologie classique (Peter Schreiner), l'eau par un spécialiste de la médecine indienne (Arion Rosu) et la terre sous l'angle de l'anthropologie (Gabriella Eichinger Ferro-Luzzi, se concentrant sur la littérature tamoule).
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Référence bibliographique : Weigert, 182
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Référence bibliographique : Weigert, 326
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Si les hellénistes ont écrit un certain nombre d'ouvrages traitant de la figure de la reine lagide de façon globale, cette dernière est restée relativement peu étudiée pour ce qui concerne la documentation égyptienne. Or, parmi les sources indigènes, les reliefs des temples ptolémaïques fournissent quantité d'informations, de nature religieuse mais aussi historiques, qu'il était intéressant d'analyser afin d'éclairer le rôle dévolu par les théologiens à ces femmes, qui, dans la réalité, ont peu à peu pris l'ascendant sur les rois en exercice afin de dominer la scène politique de l'époque. En suivant les principes de la « grammaire » du temple, les thématiques mythologiques et les motivations plus politiques semblant favoriser l'apparition de la reine dans le temple ont tout d'abord été mises en évidence ; cela en fonction de la nature des structures architecturales sur lesquelles les reliefs ont été gravés, mais également selon les différents règnes constitutifs de la dynastie lagide. L'iconographie propre de la souveraine - sa position dans les scènes rituelles, sa tenue, ses couronnes, ses attributs ainsi que les offrandes qu'elle consacre - a ensuite été étudiée et replacée de façon systématique dans le contexte historique, afin d'en dégager la symbolique mythologique ainsi que l'évolution chronologique. Enfin, des comparaisons avec les périodes antérieures ont été établies afin de souligner la part d'héritage et celle d'innovation dans la représentation de la reine lagide par rapport à son ancêtre dynastique. Ces analyses spatiale et iconographique ont ainsi permis de dessiner les contours du rôle religieux de la souveraine ptolémaïque tout en l'inscrivant dans l'héritage d'époque dynastique. Ces études ont également permis de démontrer l'influence indéniable du contexte historique et du statut politique réel d'une reine dans la façon de la représenter, et donc de la considérer, au sein du sanctuaire. Les temples égyptiens tardifs s'affirment donc comme des témoins privilégiés de l'évolution du statut politique de ces femmes, et au-delà, sont bien les reflets fidèles de l'histoire politique de toute une dynastie.