491 resultados para Hegel, F.
Resumo:
Realizamos uma análise da atividade da Consciência Infeliz (unglücklichesBewusstsein), tal como foi exposta por G.W.F. Hegel em sua obraFenomenologia do EspÃrito(PhänomenologiedesGeistes), de 1807.A Consciência Infeliz é uma denominação hegeliana referente a uma consciência religiosa que se cinde em duas; um destes seus lados, ela aliena de si e tem por sua essência que reside no além, o Imutável; ao outro lado, ela mesma, assevera como o Mutável, inessente, residente no aquém. Toda a sua atividade resume-se a unir isto que ela põe como o infinitamente desunido, a saber, ela e sua essência, pois a consciência ainda não é ciente de que esta essência absoluta que ela opôs a si mesma nada mais é do que ela mesma. Isto resulta num tender singular para seu objeto Universal absoluto e ao mesmo tempo não querer maculá-lo com esta sua singularidade; numa atividade que deve absolutamente ser e não-ser, busca de algo que não pode nem deve ser buscado. Enquanto herdeira do pensamento estóico e cético, a Consciência Infeliz aparece como consciência contraditória, curvada sobre si mesma e sempre dolorida, que além de efetivar um movimento de negação para com o mundo do aquém e tudo o que lhe diz respeito, busca se libertar da dor que é ser portadora desta contraditoriedade que surge justamente daquela sua atitude negativa. A fim de que possamos fundamentar esta atitude Infeliz, realizamos em nosso primeiro capÃtulo uma investigação acerca de suas caracterÃsticas peculiares nas esferas anteriores ao seu aparecimento, a saber, a esfera do Entendimento (Verstand), a dialética do Senhor e do Escravo e do Estoicismo e Ceticismo. No segundo capÃtulo, discorremos acerca do conceito e da atividade da Consciência Infeliz, bem como procuramos investigar a necessidade de sua superação a partir de uma análise de sua suprassunção no momento da Razão (Vernunft). Por fim, em nosso terceiro e último capÃtulo, procuramos refletir sobre em que medida se poderia afirmar que as consciências contemporâneas continuam agindo de maneira infeliz, e para tanto, nos apoiamos em breves leituras de S. Freud, pensador do ―mal-estar‖ moderno e Z.Bauman, pensador do ―mal-estar‖ contemporâneo.
Resumo:
O presente trabalho apresenta um debate de cunho ontoteológico que envolve os autores G.W.F Hegel e Baruch Spinoza. Hegel é autor de um capÃtulo em uma de suas obras mais extensas, as Lições sobre a História da Filosofia, de uma crÃtica veemente à Spinoza, seu predecessor a quem, por outro lado, deve uma declarada estima. Por essa razão, buscou-se balizar as posições de ambos os autores no tocante à relação do indivÃduo com o absoluto, em vias de uma redenção do sistema de Spinoza, por meio do encontro do conceito de individualidade em sua efetividade, à s vistas de Hegel. Nosso trabalho dedicouse majoritariamente à uma análise metodológica crÃtica que levou cada um dos autores ao nosso objeto de estudo, o indivÃduo.
Resumo:
This paper discusses the development of Marx’s thought over a period of something like fifteen months, between the spring of 1843 and the autumn of 1844. The focus of the paper is Marx’s first encounter with classical political economy as he found it in the Wealth of Nations. The outcome of this encounter was presented by Marx in his Economic and Philosophical Manuscripts of 1844. It is argued here that in the classical theory, with which he had hitherto been largely unfamiliar, Marx found all the elements he needed to synthesise the philosophical standpoint he had developed in the preceding months with political economy. The Manuscripts represent the first crucial stage in the development of this synthesis. This first encounter of Marx with classical political economy, and his first steps in the development of his synthesis, have received hardly any attention in the literature. The present paper seeks to fill this gap.
Resumo:
This paper discusses the development of Marx’s thought over a period of something like fifteen months, between the spring of 1843 and the autumn of 1844. The focus of the paper is Marx’s first encounter with classical political economy as he found it in the Wealth of Nations. The outcome of this encounter was presented by Marx in his Economic and Philosophical Manuscripts of 1844. It is argued here that in the classical theory, with which he had hitherto been largely unfamiliar, Marx found all the elements he needed to synthesise the philosophical standpoint he had developed in the preceding months with political economy. The Manuscripts represent the first crucial stage in the development of this synthesis. This first encounter of Marx with classical political economy, and his first steps in the development of his synthesis, have received hardly any attention in the literature. The present paper seeks to fill this gap.
Resumo:
Cette thèse de doctorat porte sur l'endurant travail d'interprétation auquel Martin Heidegger (1889-1976) s'est livré à propos de la pensée de Hegel (1770-1831), l'un des représentants de ce que l'on appelle « l'idéalisme allemand ». Ce travail d'interprétation résulte et prend place dans ce que Heidegger entend par le mot allemand Aus-einander-setzung : non pas la recherche de points communs entre deux pensées, par-delà des différences particulières qu'il s'agirait dès lors dépasser, mais au contraire la mise en évidence de leurs différends au sein même d'une appartenance commune à la pensée européo-occidentale. Notre présent travail s'est donné trois tâches : reconstruire l'explication de Heidegger avec Hegel qui se déroule sur près de quarante ans et qui se trouve éparpillée dans une multitude de textes d'époques et de statuts fort divers ; réfléchir et exposer le sens et les enjeux d'une telle explication ; indiquer et mettre à l'épreuve, par une étude immanente de plusieurs textes du corpus hégélien, l'apport de la phénoménologie herméneutique heideggerienne à l'intelligibilité actuelle de la pensée hégélienne. La pensée occidentale, qui a pour nom la philosophie, s'interroge toujours d'une manière ou d'une autre à propos de l'être. Et cela, à partir de Platon, dans un mouvement métaphysique qui va de ce qui est ou de l'étant à son être, ce dernier étant lui-même compris comme le genre commun de l'étant, soit comme « étantité (ousÃa, Seiendheit) ». Chez Hegel, cette manière bimillénaire de s'enquérir ainsi de l'être de l'étant parvient à son aboutissement, dans une compréhension dialectico-spéculative de l'être en tant que ce processus d'autocompréhension et d'autoproduction que Hegel nomme « l'esprit absolu ». À partir de cet aboutissement, de l'être, il n'en sera plus rien pour la pensée occidentale - « dernière fumée d'une réalité s'évaporant » dira Nietzsche. C'est ce phénomène, nommé par Heidegger « l'oubli de l'être (die Seinsvergessenheit) », qui constituera pour lui la motivation centrale de sa tentative de commencer autrement à penser l'être : dans un mouvement qui ne va plus de l'étant à l'être en tant qu'étantité, mais de l'être (Sein ou Seyn) à l'étant : où cela, qui d'ores et déjà se refuse (sich verweigert) à être un étant, ouvre par là même la possibilité à l'étant d'être ce qu'il est en propre. L'être est alors pensé en tant qu'Ereignis, cela qui advient en appropriant, c'est-à -dire en conduisant l'homme et l'étant à leur propre. Notre travail distingue, dans la lecture heideggerienne de Hegel, deux grandes périodes. Cellesci sont solidaires des deux manières non-métaphysiques d'élaborer la question de l'être qui rythment le chemin de pensée de Heidegger (la première ayant abouti à une impasse) : 1°) l'élaboration horizontaletranscendantale de la question de l'être, centrée sur le premier Hauptwerk de Heidegger de 1927, Être et temps, où la question de l'être est considérée primordialement à partir de ce phénomène qu'est l'entente qu'a l'homme de son être et de son destin qui est celui d'être l'espace ouvert, le là pour l'être en général (Dasein) ; 2°) l'élaboration destinale (seynsgeschichtliche) de la question de l'être, centrée sur le deuxième Hauptwerk de Heidegger que sont les Apports à la philosophie (Beiträge zur Philosophie) (1936- 1938), où la question de l'être est considérée cette fois à partir de l'être lui-même en tant qu'Ereignis. Dans l'interprétation horizontale-transcendantale de Hegel, Heidegger oppose à l'être hégélien en tant qu'esprit absolu, éternel et infini, la transcendance finie du rapport temporel de l'homme à l'être. L'explication se concentre ainsi sur les notions de finitude (chapitre II de notre thèse), de transcendance (chapitre III) et de temporalité (chapitre IV), dans laquelle Heidegger fait jouer son interprétation de Kant contre Hegel. Dans l'interprétation destinale de Hegel, qui est l'interprétation décisive, Hegel est compris, dans la perspective de l'histoire-destinée de l'estre (die Geschichte des Seyns), comme celui qui accomplit ce qui se trouve au coeur même de cette histoire-destinée, dès Héraclite et Parménide : le refus qu'a l'homme occidental de prendre en garde la nihilité (Nichthaftigkeit) de l'être. Hegel serait ainsi celui qui accomplit l'occidental refus du refus (Verweigerung) de l'être. Heidegger repère le site de cet accomplissement hégélien dans la conception dialectico-spéculative de la négativité, laquelle en tant que « négativité absolue (absolute Negativität) » constitue le coeur et l'âme de l'être qu'est le processus de l'esprit absolu (chapitre V). L'enjeu de l'interprétation heideggerienne de Hegel devient dès lors de montrer qu'une négativité plus originaire que la négativité absolue se trouve à l'oeuvre en l'être, une négativité non dialectique que nous avons nommé la « négativité abyssale » (chapitre VII). C'est de la compréhension et l'élaboration de cette dernière que dépend la possibilité pour la pensée occidentale de surmonter une bonne fois le nihilisme - gisant au coeur de la métaphysique - tel qu'il se déchaîne actuellement dans la civilisation technique devenue aujourd'hui planétaire (chapitre VI). Tels sont selon nous le sens et l'enjeu derniers de l'explication de Heidegger avec Hegel.
Resumo:
Este artigo analisa e compara a reflexão de Hegel e de W. Benjamin sobre a crise da arte na época moderna, a partir de semelhanças e diferenças entre a tese do fim da arte, defendida pelo primeiro, e a concepção da perda da aura na arte, afirmada pelo segundo. Ao contrário de W Benjamin, que se detém na mudança do conceito de arte promovida pelos meios técnicos, Hegel pensa a transformação da arte a partir de um ponto de vista histórico amplo, que envolve toda a história da arte, desde os tempos antigos até a época moderna.
Resumo:
A Fenomenologia do EspÃrito de Hegel não é ainda o lugar especÃfico da posição de sua filosofia da arte propriamente dita. Entretanto, é possÃvel compreender a relação sistemática entre alguns conceitos fundamentais desta obra de 1807 e a concepção hegeliana de arte da maturidade. A partir desta relação, destacaremos em nossa interpretação três diferentes e complementares teses: 1. Da obra de arte como produto ideal do trabalho do espÃrito (Geist); 2. Do simbolismo da religião natural como produto do trabalho do artesão à beleza da religião da arte; 3. Da necessidade do oráculo à subjetividade concreta do ator de teatro.
Resumo:
O trabalho discute alguns elementos comuns nas argumentações de Hegel e Wittgenstein contra a idéia de que objetividade deriva de uma pura receptividade. Discuto o impacto das observações de Wittgenstein sobre o que torna uma maneira de seguir regras correta para a maneira como pensamos em correção, contato com o mundo e verdade. Considero essas observações à luz do modo como Hegel faz uso de algumas idéias de Kant e como este uso ilumina o modo como podemos pensar no contato do nosso pensamento com o mundo. Entram na discussão algumas posições recomendadas contemporaneamente por filósofos como McDowell, Hornsby e Brandom. Termino sugerindo uma maneira de pensar na verdade que não invoca a imagem da adequatio intellectus ad rem e na objetividade que procura levar em conta os argumentos de Hegel e Wittgenstein contra a possibilidade de acesso ao mundo sem a interferência de práticas conceituais.
Resumo:
Constroem-se, atualmente, os novos cenários para a comunicação tendo, de um lado, as grandes corporações de mÃdia televisiva, radiofônica, impressa e on-line e, de outro, o papel da imprensa independente/ alternativa, entendida como não vinculada a uma empresa privada, pública ou estatal, ou algum grupo econômico. Configura-se, aos poucos, a constituição da oposição entre a mÃdia tradicional e a imprensa independente/alternativa, tendo como suporte material as novas tecnologias da informação. Como a nova tecnologia da informação associada aos novos cenários da liberdade da imprensa e do fenômeno da contradição da opinião pública na era da internet pode realizar a mediação da opinião numa sociedade globalizada? Ou ainda, partindo do pressuposto da liberdade de imprensa, como garantir que a sociedade resolva a contradição da opinião pública? O fenômeno da opinião pública é contraditório, porque contém em si, ao mesmo tempo, a universalidade dos princÃpios constitucionais, do Direito e da Ética, junto com a particularidade dos direitos e interesses dos cidadãos. Ora, esta contradição encontra a sua solução através da mediação da liberdade da própria imprensa dentro de um quadro de legalidade democrática. Esta é a força da contradição: efetivar a mediação da tensão dialética entre os polos opostos do universal e do singular na liberdade de imprensa, garantindo o direito de todo cidadão expressar publicamente a sua opinião. Esta é teoria da opinião pública hegeliana: a liberdade de imprensa e o parlamento, enquanto espaço polÃtico, são esferas privilegiadas da mediação do fenômeno contraditório da opinião pública.
Resumo:
In this paper I provide a concise plan about Hegel's Lectures on the Philosophy of Religion critical editions, laying stress on the method followed by editors in order to build a coherent text with the sources at their disposal. The Marheineke's edition (1832) is analysed with special attention since it was the edition that caused the division between a Right and a Left, opening the discussion on speculative theism as a consequence of the difficulty to distinguish the systematic part from the historical one in the reasoning carried out by Hegel.