937 resultados para Hate motivated crimes


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In this paper I use the case study of Darren, derived from two interviews in a research study of racism in the city of Stoke, UK (Gadd, Dixon and Jefferson 2005; Gadd and Dixon 2011), to explore how best to approach the topic of hate-motivated violence. This entails discussing the relationships among racism (the original object of study), hate-motivated violence (the more general term) and prejudices of various sorts. Because that discussion, I argue, justifies a psychoanalytic starting point, and since violence has become, almost quintessentially, masculine, this leads on to an exploration of what can be learnt from psychoanalysis about the relations among sexuality, masculinity, hatred and violence. This involves brief discussions of some key psychoanalytic terms, but only what is needed to enable sense to be made of my chosen case, which I shall then interrogate using these psychoanalytic ideas, focused on understanding the origins and nature of Darren’s hatred.

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The paper’s concern is the current difficulty, in journalism, the academy and politics, of discussing questions to do with race, ethnicity, difference and immigration because of the fear of being called a racist. It starts with an analysis of biographical interview data drawn from fifteen people who had variously acquired the label racist and who were part of a small-scale study into racism in the Midlands city of Stoke-on-Trent, UK conducted between 2003 and 2005. The interviews used the free association narrative interview method. This analysis revealed that most people do not consider themselves racist and that having a conviction for a racially aggravated offence or being a member of a far right organisation was not able to differentiate racists from non-racists. It also revealed a spectrum of attitudes towards immigrants or particular ethnic groups: strong expressions of hatred at one end of the spectrum; strong prejudicial feelings in the middle; and a feeling that ‘outsider’ groups should not benefit at the expense of ‘insiders’ (called ‘othering’) at the other end. The turn to theory for assistance revealed that, although hatred, prejudice and ‘othering’ are not the same thing, and do not have the same origins, they have become elided. This is primarily because cognitive psychology’s hostility to psychoanalysis marginalised hatred whilst its exclusive preoccupation with prejudice came effectively to define racism at the individual level. Progress in thinking about racism might consist of abolishing the term and returning to thinking about hatred, prejudice and ‘othering’ separately.

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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.

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Considérant la « nouveauté » du phénomène de dénonciation auprès des policiers et l’utilisation croissante du concept social de « crime motivé par la haine », peu d’études ont été réalisées au Canada sur l’incidence de ces crimes pour les personnes comme pour la société. Cette recherche exploratoire a comme objectif de comprendre la façon dont ce type de crime se distingue des autres manifestations de conflits ou d’incidents et de comprendre les impacts de ce type de victimisation pour les homosexuels en particulier. Plus spécifiquement, ce mémoire vise à approfondir la compréhension du stigmate homosexuel et son impact sur la reportabilité des événements de victimisation criminelle aux autorités judiciaires. Pour ce faire, cinq intervenants communautaires, deux policiers, un avocat et quatre victimes considérant avoir vécu des événements de violence homophobe ont été interviewés. Cet échantillon diversifié a permis de mieux comprendre le phénomène de sous-déclaration des incidents de violences homophobes de la part des victimes et d’obtenir une vue d’ensemble des perceptions des acteurs clés qui peuvent être confrontés au phénomène. L’analyse des entretiens suggère d’importantes lacunes sur le plan de la formation des divers intervenants qui entrainent des difficultés à reconnaître une violence homophobe. Les intervenants confient ne pas se sentir pas suffisamment outillés pour intervenir auprès d’une victime de violence homophobe, n’estiment pas tous posséder les compétences et une compréhension suffisante des réalités des minorités sexuelles, de l'homophobie et de l'hétérosexisme, en somme, l’ensemble des savoirs ultimement nécessaires à une assistance et un accompagnement efficaces pour la déclaration aux autorités d’une telle violence vécue par les victimes. Du côté des victimes de violence(s) homophobe(s), il ressort que la discrimination basée sur l’orientation sexuelle est encore prégnante dans leurs interactions quotidiennes. De leur point de vue, la banalisation et l’impunité de certains comportements homophobes par les instances judiciaires viennent renforcer l’idée chez les victimes et la société d’une forme d’infériorité de l’orientation homosexuelle. L’apposition d’une étiquette homosexuelle paraît ainsi avoir de multiples conséquences psychologiques et sociales sur les victimes, notamment sur leur développement identitaire et sexuel. L’intégration des stigmates homosexuels et l’autostigmatisation, qui les poussent à se déprécier, voire à déprécier l’ensemble de la communauté homosexuelle, surgissent de leur perception de la présence de forts stéréotypes homosexuels, d’une société majoritairement hétérosexiste et de l’opérationnalisation sociale d’une distanciation entre le « nous » hétérosexuel et le « eux » homosexuel. Par leur marginalisation, leur mise en infériorité historique, l’ambiguïté du concept de « crimes motivés par la haine », la noncompréhension de la violence et des répercussions qu’ont les intervenants communautaires et judiciaires de la situation et partant, dans bien des cas, de la prise en charge inadéquate qui en découle pour les victimes des violences homophobes, il est possible de comprendre les appréhensions mentales que les victimes entretiennent ainsi que leur réticence à solliciter de l’aide et encore plus à rapporter la victimisation vécue aux autorités judiciaires.

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The issue of bias-motivated crimes has attracted consderable attention in recent years. In this paper, we develop an economic framework to analyze penalty enhancements for bias-motivated crimes. We extend the standard model by introducing two different groups of potential victims of crime, and assume that a potential offender's benefits from a crime depend on the group to which the victim belongs. We begin with the assumption that the harm to an individual victim from a bias-motivated crime is identical to that from an equivalent non-hate crime. Nonetheless, we derive the result that a pattern of crimes disproportionately targeting an identifiable group leads to greater social harm. This conclusion follows both from a model where disparities in groups' victimization probabilities lead to social losses due to fairness concerns, as well as a model where potential victims have the opportunity to undertake socially costly victimization avoidance activities. In particular, penalty enhancements can reduce the incentives for avoidance activity, and thereby protect the networks of profitable interactions that link members of different groups. We also argue that those groups that are covered by hate crime statutes tend to be those whose characteristics make it especially likely that penalty enhancement is socially optimal. Finally, we consider a number of other issues related to hate crimes, including teh choice of sanctions from behind a Rawlsian 'veil of ignorance' concerning group identity.

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Includes bibliography

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With more than five hundred entries, Encyclopedia of Interpersonal Violence defines key terms and provides information about legislation, public policy, theoretical perspectives, and programs dedicated to assisting victims and raising awareness of these devastating social problems. Encyclopedia of Interpersonal Violence features nine pages of material with entries that cover anti-gay gender motivated, racially motivated, and religiously motivated crimes as well as information about the criminal justice response and legislation.

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Mode of access: Internet.

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Il existe des associations entre les bars de danse érotique et les activités illicites, dans les écrits journalistiques et scientifiques. Nous avons vérifié ces associations en menant une description des crimes et déviances associés aux bars de danse érotique. Puis, nous avons tenté d’expliquer l’organisation et la structure de ces crimes, en nous appuyant sur l’approche du crime organisant et la théorie de l’écosystème du crime, de Felson (2006). Des entretiens semi-dirigés ont été conduits avec dix femmes danseuses, une femme shooter girl, un propriétaire, un portier et deux clients. Une analyse thématique à deux niveaux a montré que les délits se rapportent aux stupéfiants, à la prostitution, au proxénétisme, aux déviances, et à divers actes de violence. Des distinctions importantes, quant au contrôle selon les établissements sont notées. La structure et l’organisation des crimes peuvent s’expliquer par une logique propre aux relations symbiotiques et interdépendantes, tel que le suggère la théorie de l’écosystème du crime de Felson. Ainsi, la structure des délits peut prendre une forme mutualiste ou parasitaire. L’interrelation propre au neutralisme explique l’organisation générale de ces délits. Le milieu criminogène de la danse érotique offre de multiples opportunités, qui seront saisies par les acteurs motivés, en vue de réaliser un bénéfice personnel. Deux constats étonnants : les données suggèrent que l’implication des organisations criminelles est relativement limitée; et les conséquences occasionnées par les activités du milieu présentent un caractère inquiétant, particulièrement pour les femmes. Des efforts en matière de prévention situationnelle seraient appropriés pour réduire les opportunités.

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Verbal-textual hostility (VTH) plays a significant role in victims’ subjective perceptions of hatred and police officers’ assessment of a prejudice-related violence. Yet, to date, the role of VTH in ‘hate’ crime has been under-researched. The aim of this research has been to assess and evaluate the forensic possibilities contained in a closer reading of the words used in these crimes. Through a content analysis of incident characteristics and officers’ narratives of incidents, this report maps out how key speech-text indicators may assist to better evaluate the force and effects of prejudice-related violence. It is expected that this type of contextual analysis will lead to the development of more sophisticated risk assessment tools for use in frontline policing, and more targeted service enhancements for victims.

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Grounded in group conflict theory and the defended neighborhoods thesis, this nationwide empirical study of cities and their residential segregation levels, examines the occurrence of hate crime using data on for all U.S. cities with populations over 95,000, and data compiled from the Uniform Crime Report for hate crime, in conjunction with 2000 census data. Hate crime is any illegal act motivated by pre-formed bias against, in this case, a person’s real or perceived race. This research asks: Do hate crime levels predict white/black segregation levels? How does hate crime predict different measures of white/black segregation? I use the dissimilarity index measure of segregation operationalized as a continuous, binary and ordinal variable, to explore whether hate crime predicts segregation of blacks from whites. In cities with higher rates of hate crime there was higher dissimilarity between whites and blacks, controlling for other factors. The segregation level was more likely to be “high” in a city where hate crime occurred. Blacks are continually multiply disadvantaged and distinctly affected by hate crime and residential segregation. Prior studies of residential segregation have focused almost exclusively on individual choice, residents’ lack of finances, or discriminatory actions that prevent racial minorities from moving, to explore the correlates of segregation. Notably absent from these studies are measures reflecting the level of hate crime occurring in cities. This study demonstrates the importance of considering hate crime and neighborhood conflict when contemplating the causes of residential segregation.