Grotesque gestures or sensuous signs? Rethinking notions of apprenticeship in early childhood education

Education might be conceptualized as a swarm of signs. Deleuze, in Proust and Signs (1964/2000) suggests that “Everything that teaches us something emits signs” (p. 4). Such conceptualizations regard education as fluid, multiple and temporal; a young child can display great skill in decoding some signs but not others. Regarding education as temporal and complex operates at some distance to the sociocultural concepts suggested by Vygotsky (1978) which focus on linear sequences of gaining managed, culturally-loaded knowledge from more experienced others. Despite differing theorizations around apprenticeship, during early years education a child becomes sensitive to signs that collectively prioritize conventionalized knowledge acquisition and communication practices. Drawing for learning and communicating exemplifies apprenticeship as a creative process rather than as sequential or culturally driven, and serves to exemplify Deleuzian concepts around the relationships between time and learning, rather than age or development stage and learning.

Body and Grotesque as Self-Disruption in Kerstin Hensel’s Gothic East(ern) German Novel Lärchenau (2008)

[EN] By analysing the novel Lärchenau and its -to a certain point- gothic features, this article interprets the elaboration of body in this novel as a site of the expression of power, but also as an alternative language. The grotesque dimension and the representation of the bodily numbness and pain as projections of historical awareness are key elements for the interpretation of Lärchenau in the context of Post-Unification Germany.

Louis-Napoleon Bonaparte: ?hero' or ?grotesque mediocrity'?

Price, Roger. 'Louis-Napoleon Bonaparte: ?hero' or ?grotesque mediocrity'?', In: Marx's Eighteenth Brumaire: (post) modern interpretations (London: Pluto Press, 2002), pp.145-162 RAE2008

L'Orphée grotesque, avec le bal rustique. En vers burlesques. Premiere partie.

[Mazarinade. 1649]

Le Corps grotesque dans «Les Cent Contes drolatiques» d'Honoré de Balzac

Honoré de Balzac est aujourd’hui connu pour être le père du roman moderne et l’écrivain de La Comédie humaine. Mais nous oublions souvent qu’entre 1830 et 1832, au début de sa carrière, l’auteur a écrit, comme plusieurs écrivains de son temps, des contes. De multiples facteurs peuvent expliquer cet intérêt : les Contes fantastiques d’Hoffmann sont traduits de l’allemand en français et leur succès est immédiat. De plus, les nouveaux modes de publication littéraire, dans les revues et les journaux, favorisent la prolifération du genre. Un corpus retiendra notre attention : Les Cent Contes drolatiques, un projet, impopulaire en son temps, avec lequel Balzac souhaite « restaurer l’école du rire » en France. Au milieu du dix-neuvième siècle, l’auteur recrée des contes comme ceux que Rabelais, Verville et la reine de Navarre écrivaient en leur temps, trois ou quatre siècles auparavant. Pour ce faire, Balzac invente un langage qui simule le vieux français et crée des personnages grotesques. Qu’est-ce, dans l’écriture balzacienne, que l’esthétique du rire, et comment l’auteur exprime-t-il ce concept dans ses Cent Contes drolatiques? Pour répondre à ces questions, nous étudierons les manifestations du grotesque dans l’ensemble de l’œuvre de l’auteur. Aussi, selon Mikhaïl Bakhtine, dans L’Œuvre de François Rabelais et la culture populaire au Moyen Âge et sous la Renaissance , le grotesque, uni au rire, est relié au corps : « Le trait marquant du réalisme grotesque est le rabaissement, c’est-à-dire le transfert de tout ce qui est élevé, spirituel, idéal et abstrait sur le plan matériel et corporel. » Par conséquent, ce sont les représentations du corps que nous examinerons dans ce travail. Finalement, l’étude du corps grotesque dans Les Cent Contes drolatiques montrera une autre facette de l’écriture balzacienne, souvent ignorée par les chercheurs : l’importance du rire et la vision du monde que celui-ci communique à travers la littérature.

Grotesque in Dickens

Dickens's use of the grotesque in his novels undergoes a variety of changes. For convenience sake, and to better illustrate the developments of the grotesque, I divide the novels into three separate groups. The first group, the period of experiment, included the novels from Pickwick Papers through Barnaby Rudge; the second group, the period of transition, includes the novels from Martin Chuzzlewit through David Copperfield; and the third, the period of a new vision. included the novels from Bleak House through Edwin Drood. Basically, I see the development of the grotesque involving a change in Dickens's conceptions of society, as well as responding to complex changes in society itself; Dickens's vision loses much of its humor in the end, yet it also reflects a definite maturity.

Five grotesque heads, and three heads of men in profile

Leonardo da Vinci; 8 37/64 in.x 6 1/32 in.; pen and ink, over red chalk on paper

A history of caricature & grotesque in literature and art /

Includes bibliographical references.

The happy hangman, a grotesque in one act.

Mode of access: Internet.

Histoire de la caricature et du grotesque dans la littérature et dans l'art,

Mode of access: Internet.