974 resultados para Funerary Monuments


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As final markers of identity and memory, the tombs of Roman women carried ritual, ideological, and emotional significance. By surveying the funerary monuments of four distinct Roman women, it is possible to reconstruct, at least in part, the exhibited identities of Eumachia, Naevoleia Tyche, Faustina the Elder, Claudia, Amymone, and Postumia Matronilla. Drawing in the viewer to participate in the creation of identity through narrative and contextual relationships, each of the sepulchers solidifies the memories of the deceased women, thereby granting them an immortality of sorts. Engaging with issues of gender, status, the politics of self, propaganda, and regional variation, this paper seeks to explore the nuances of life, death, and identity in the Roman world, with an emphasis on understanding the monuments in their original contexts.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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[ES] Se estudia la introducción de la escritura humanística en las inscripciones de la España del Renacimiento y su evolución a través de diversos programas epigráficos durante los siglos xv y xvi. La irrupción de las litterae antiquae en la epigrafía hispánica se realizó en las inscripciones de los primeros monumentos funerarios realizados conforme al nuevo estilo renacentista,pero muy pronto pasó a ser utilizada también en contextos públicos, como elemento de propaganda y autorrepresentación de la dinastía de los Austrias, así como por algunos miembros de la Nobleza, que vieron en la recuperación de los modelos de la tradición clásica un elemento más al servicio de la representación del poder, a través de la imagen y lo escrito.

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Cette étude porte sur l’analyse de l’identité, en termes de fonction, des monuments érigés sous tumulus dans le territoire actuel de la Bulgarie. Ces monuments sont généralement datés du Ve au IIIe siècle avant notre ère et ont été associés aux peuples thraces qui ont évolué sur ce territoire durant cette époque. Les monuments thraces sous tumulus, aux structures en blocs de pierre ou en moellons, ou d’un mélange de matériaux et de techniques différentes, ont été invariablement recouverts de monticules de terre dès l’Antiquité. Les tumuli ainsi obtenus ont été utilisés à différentes fins par les peuples locaux jusqu’à l’époque moderne. Les études plus ou moins détaillées des monuments thraces sous tumulus, qui ont débuté dès la fin du XIXe siècle de notre ère, ainsi que l’accumulation rapide de nouveaux exemplaires durant les deux dernières décennies, ont permis de constater une grande variabilité de formes architecturales en ce qui a trait aux différentes composantes de ces constructions. Cette variabilité a poussé certains chercheurs à proposer des typologies des monuments afin de permettre une meilleure maîtrise des données, mais aussi dans le but d’appuyer des hypothèses portant sur les origines des différents types de constructions sous tumulus, ou sur les origines des différentes formes architectoniques identifiées dans leurs structures. Des hypothèses portant sur la fonction de ces monuments, à savoir, sur l’usage qu’en ont fait les peuples thraces antiques, ont également été émises : certains chercheurs ont argumenté pour un usage funéraire, d’autres pour une fonction cultuelle. Un débat de plus en plus vif s’est développé durant les deux dernières décennies entre chercheurs de l’un et de l’autre camp intellectuel. Il a été constamment alimenté par de nouvelles découvertes sur le terrain, ainsi que par la multiplication des publications portant sur les monuments thraces sous tumulus. Il est, de ce fait, étonnant de constater que ni les hypothèses portant sur les origines possibles de ces constructions, ni celles ayant trait à leurs fonctions, n’ont été basées sur des données tangibles – situation qui a eu pour résultat la désignation des monuments thraces par « tombes-temples-mausolées », étiquette chargée sinon d’un sens précis, du moins d’une certaine connotation, à laquelle le terme « hérôon » a été ajouté relativement récemment. Notre étude propose de dresser un tableau actuel des recherches portant sur les monuments thraces sous tumulus, ainsi que d’analyser les détails de ce tableau, non pas dans le but de trancher en faveur de l’une ou de l’autre des hypothèses mentionnées, mais afin d’expliquer les origines et la nature des problèmes que les recherches portant sur ces monuments ont non seulement identifiés, mais ont également créés. Soulignant un fait déjà noté par plusieurs chercheurs-thracologues, celui du manque frappant de données archéologiques exactes et précises dans la grande majorité des publications des monuments thraces, nous avons décidé d’éviter la tendance optimiste qui persiste dans les études de ces derniers et qui consiste à baser toute analyse sur le plus grand nombre de trouvailles possible dans l’espoir de dresser un portrait « complet » du contexte archéologique immédiat des monuments ; portrait qui permettrait au chercheur de puiser les réponses qui en émergeraient automatiquement, puisqu’il fournirait les éléments nécessaires pour placer l’objet de l’analyse – les monuments – dans un contexte historique précis, reconstitué séparément. Ce manque de données précises nous a porté à concentrer notre analyse sur les publications portant sur les monuments, ainsi qu’à proposer une approche théoriquement informée de l’étude de ces derniers, en nous fondant sur les discussions actuelles portant sur les méthodes et techniques des domaines de l’archéologie, de l’anthropologie et de l’histoire – approche étayée dans la première partie de cette thèse. Les éléments archéologiques (avant tout architecturaux) qui ont servi de base aux différentes hypothèses portant sur les constructions monumentales thraces sont décrits et analysés dans le deuxième volet de notre étude. Sur la base de cette analyse, et en employant la méthodologie décrite et argumentée dans le premier volet de notre thèse, nous remettons en question les différentes hypothèses ayant trait à l’identité des monuments. L’approche de l’étude des monuments thraces sous tumulus que nous avons adoptée tient compte tant de l’aspect méthodologique des recherches portant sur ceux-ci, que des données sur lesquelles les hypothèses présentées dans ces recherches ont été basées. Nous avons porté une attention particulière à deux aspects différents de ces recherches : celui du vocabulaire technique et théorique implicitement ou explicitement employé par les spécialistes et celui de la façon dont la perception de l’identité des monuments thraces a été affectée par l’emploi de ce vocabulaire. Ces analyses nous ont permis de reconstituer, dans le dernier volet de la présente étude, l’identité des monuments thraces telle qu’implicitement ou explicitement perçue par les thracologues et de comparer cette restitution à celle que nous proposons sur la base de nos propres études et observations. À son tour, cette comparaison des restitutions des différentes fonctions des monuments permet de conclure que celle optant pour une fonction funéraire, telle que nous la reconstituons dans cette thèse, est plus économe en inférences et mieux argumentée que celle identifiant les monuments thraces de lieux de culte. Cependant, l’impossibilité de réfuter complètement l’hypothèse des « tombes-temples » (notamment en raison du manque de données), ainsi que certains indices que nous avons repérés dans le contexte architectural et archéologique des monuments et qui pourraient supporter des interprétations allant dans le sens d’une telle identification de ces derniers, imposent, d’après nous, la réévaluation de la fonction des constructions thraces sous tumulus sur la base d’une restitution complète des pratiques cultuelles thraces d’après les données archéologiques plutôt que sur la base d’extrapolations à partir des textes grecs anciens. À notre connaissance, une telle restitution n’a pas encore été faite. De plus, le résultat de notre analyse des données archéologiques ayant trait aux monuments thraces sous tumulus, ainsi que des hypothèses et, plus généralement, des publications portant sur les origines et les fonctions de ces monuments, nous ont permis de constater que : 1) aucune des hypothèses en question ne peut être validée en raison de leur recours démesuré à des extrapolations non argumentées (que nous appelons des « sauts d’inférence ») ; 2) le manque flagrant de données ou, plus généralement, de contextes archéologiques précis et complets ne permet ni l’élaboration de ces hypothèses trop complexes, ni leur validation, justifiant notre approche théorique et méthodologique tant des monuments en question, que des études publiées de ceux-ci ; 3) le niveau actuel des connaissances et l’application rigoureuse d’une méthodologie d’analyse permettent d’argumenter en faveur de la réconciliation des hypothèses « funéraires » et « cultuelles » – fait qui ne justifie pas l’emploi d’étiquettes composites comme « templestombes », ni les conclusions sur lesquelles ces étiquettes sont basées ; 4) il y a besoin urgent dans le domaine de l’étude des monuments thraces d’une redéfinition des approches méthodologiques, tant dans les analyses théoriques des données que dans le travail sur le terrain – à défaut de procéder à une telle redéfinition, l’identité des monuments thraces sous tumulus demeurera une question d’opinion et risque de se transformer rapidement en une question de dogmatisme.

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Atmospheric pollution by motor vehicles is considered a relevant source of damage to architectural heritage. Thus the aim of this work was to assess the atmospheric depositions and patterns of polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs) in façades of historical monuments. Eighteen PAHs (16 PAHs considered by US EPA as priority pollutants, dibenzo[a,l]pyrene and benzo[j]fluoranthene) were determined in thin black layers collected from façades of two historical monuments: Hospital Santo António and Lapa Church (Oporto, Portugal). Scanning electron microscopy (SEM) was used for morphological and elemental characterisation of thin black layers; PAHs were quantified by microwave-assisted extraction combined with liquid chromatography (MAE-LC). The thickness of thin black layers were 80–110 μm and they contained significant levels of iron, sulfur, calcium and phosphorus. Total concentrations of 18 PAHs ranged from 7.74 to 147.92 ng/g (mean of 45.52 ng/g) in thin black layers of Hospital Santo António, giving a range three times lower than at Lapa Church (5.44– 429.26 ng/g; mean of 110.25 ng/g); four to six rings compounds accounted at both monuments approximately for 80–85% of ΣPAHs. The diagnostic ratios showed that traffic emissions were significant source of PAHs in thin black layers. Composition profiles of PAHs in thin black layers of both monuments were similar to those of ambient air, thus showing that air pollution has a significant impact on the conditions and stone decay of historical building façades. The obtained results confirm that historical monuments in urban areas act as passive repositories for air pollutants present in the surrounding atmosphere.

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International Biodeterioration & Biodegradation,xxx (2009) 1–8

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Microbiology (2009), 155, 3476–3490

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Relatório de estágio de mestrado em Arqueologia

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The present paper aims to analyse archaeological evidence associated with the Roman necropolis of Via XVII, in Braga, with a particular emphasis towards its late antiquity occupation and related with data emerging from the excavations conducted across two main different areas. We intend to reflect over the specific features of the fourth-seventh century’s funerary space of one of the most important necropolis of Bracara Augusta.