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Resumo:
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’obésité provient d’un déséquilibre de l’homéostasie énergétique, c’est-à-dire une augmentation des apports caloriques et/ou une diminution des dépenses énergétiques. Plusieurs données, autant anatomiques que physiologiques, démontrent que l’hypothalamus est un régulateur critique de l’appétit et des dépenses énergétiques. En particulier, le noyau paraventriculaire (noyau PV) de l’hypothalamus intègre plusieurs signaux provenant du système nerveux central (SNC) et/ou de la périphérie, afin de contrôler l’homéostasie énergétique via des projections axonales sur les neurones pré-ganglionnaires du système autonome situé dans le troc cérébral et la moelle épinière. Plusieurs facteurs de transcription, impliqués dans le développement du noyau PV, ont été identifiés. Le facteur de transcription SIM1, qui est produit par virtuellement tous les neurones du noyau PV, est requis pour le développement du noyau PV. En effet, lors d’une étude antérieure, nous avons montré que le noyau PV ne se développe pas chez les souris homozygotes pour un allèle nul de Sim1. Ces souris meurent à la naissance, probablement à cause des anomalies du noyau PV. Par contre, les souris hétérozygotes survivent, mais développent une obésité précoce. De façon intéressante, le noyau PV des souris Sim1+/- est hypodéveloppé, contenant 24% moins de cellules. Ces données suggèrent fortement que ces anomalies du développement pourraient perturber le fonctionnement du noyau PV et contribuer au développement du phénotype d’obésité. Dans ce contexte, nous avons entrepris des travaux expérimentaux ayant pour but d’étudier l’impact de l’haploinsuffisance de Sim1 sur : 1) le développement du noyau PV et de ses projections neuronales efférentes; 2) l’homéostasie énergétique; et 3) les voies neuronales physiologiques contrôlant l’homéostasie énergétique chez les souris Sim1+/-. A cette fin, nous avons utilisé : 1) des injections stéréotaxiques combinées à des techniques d’immunohistochimie afin de déterminer l’impact de l’haploinsuffisance de Sim1 sur le développement du noyau PV et de ses projections neuronales efférentes; 2) le paradigme des apports caloriques pairés, afin de déterminer l’impact de l’haploinsuffisance de Sim1 sur l’homéostasie énergétique; et 3) une approche pharmacologique, c’est-à-dire l’administration intra- cérébroventriculaire (i.c.v.) et/ou intra-péritonéale (i.p.) de peptides anorexigènes, la mélanotane II (MTII), la leptine et la cholécystokinine (CCK), afin de déterminer l’impact de l’haploinsuffisance de Sim1 sur les voies neuronales contrôlant l’homéostasie énergétique. Dans un premier temps, nous avons constaté une diminution de 61% et de 65% de l’expression de l’ARN messager (ARNm) de l’ocytocine (Ot) et de l’arginine-vasopressine (Vp), respectivement, chez les embryons Sim1+/- de 18.5 jours (E18.5). De plus, le nombre de cellules produisant l’OT et la VP est apparu diminué de 84% et 41%, respectivement, chez les souris Sim1+/- adultes. L’analyse du marquage axonal rétrograde des efférences du noyau PV vers le tronc cérébral, en particulier ses projections sur le noyau tractus solitaire (NTS) aussi que le noyau dorsal moteur du nerf vague (X) (DMV), a permis de démontrer une diminution de 74% de ces efférences. Cependant, la composition moléculaire de ces projections neuronales reste inconnue. Nos résultats indiquent que l’haploinsuffisance de Sim1 : i) perturbe spécifiquement le développement des cellules produisant l’OT et la VP; et ii) abolit le développement d’une portion importante des projections du noyau PV sur le tronc cérébral, et notamment ses projections sur le NTS et le DMV. Ces observations soulèvent donc la possibilité que ces anomalies du développement du noyau PV contribuent au phénotype d’hyperphagie des souris Sim1+/-. En second lieu, nous avons observé que la croissance pondérale des souris Sim1+/- et des souris Sim1+/+ n’était pas significativement différente lorsque la quantité de calories présentée aux souris Sim1+/- était la même que celle consommée par les souris Sim1+/+. De plus, l’analyse qualitative et quantitative des tissus adipeux blancs et des tissus adipeux bruns n’a démontré aucune différence significative en ce qui a trait à la taille et à la masse de ces tissus chez les deux groupes. Finalement, au terme de ces expériences, les souris Sim1+/--pairées n’étaient pas différentes des souris Sim1+/+ en ce qui a trait à leur insulinémie et leur contenu en triglycérides du foie et des masses adipeuses, alors que tous ces paramètres étaient augmentés chez les souris Sim1+/- nourries ad libitum. Ces résultats laissent croire que l’hyperphagie, et non une diminution des dépenses énergétiques, est la cause principale de l’obésité des souris Sim1+/-. Par conséquent, ces résultats suggèrent que : i) l’haploinsuffisance de Sim1 est associée à une augmentation de l’apport calorique sans toutefois moduler les dépenses énergétiques; ii) l’existence d’au moins deux voies neuronales issues du noyau PV : l’une qui régule la prise alimentaire et l’autre la thermogénèse; et iii) l’haploinsuffisance de Sim1 affecte spécifiquement la voie neuronale qui régule la prise alimentaire. En dernier lieu, nous avons montré que l’injection de MTII, de leptine ainsi que de CCK induit une diminution significative de la consommation calorique des souris des deux génotypes, Sim1+/+ et Sim1+/-. De fait, la consommation calorique cumulative des souris Sim1+/- et Sim1+/+ est diminuée de 37% et de 51%, respectivement, durant les 4 heures suivant l’administration i.p. de MTII comparativement à l’administration d’une solution saline. Lors de l’administration i.c.v. de la leptine, la consommation calorique cumulative des souris Sim1+/- et Sim1+/+ est diminuée de 47% et de 32%, respectivement. Finalement, l’injection i.p. de CCK diminue la consommation calorique des souris Sim1+/- et Sim1+/+ de 52% et de 36%, respectivement. L’ensemble des résultats suggère ici que l’haploinsuffisance de Sim1 diminue l’activité de certaines voies neuronales régulant l’homéostasie énergétique, et particulièrement de celles qui contrôlent la prise alimentaire. En résumé, ces travaux ont montré que l’haploinsuffisance de Sim1 affecte plusieurs processus du développement au sein du noyau PV. Ces anomalies du développement peuvent conduire à des dysfonctions de certains processus physiologiques distincts régulés par le noyau PV, et notamment de la prise alimentaire, et contribuer ainsi au phénotype d’obésité. Les souris hétérozygotes pour le gène Sim1 représentent donc un modèle animal unique, où l’hyperphagie, et non les dépenses énergétiques, est la principale cause de l’obésité. En conséquence, ces souris pourraient représenter un modèle expérimental intéressant pour l’étude des mécanismes cellulaires et moléculaires en contrôle de la prise alimentaire.
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Le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) est à l’origine d’une infection chronique, elle-même responsable du développement du syndrome d'immunodéficience acquise (SIDA), un état de grande vulnérabilité où le corps humain est à la merci d’infections opportunistes pouvant s’avérer fatales. Aujourd’hui, 30 ans après la découverte du virus, même si aucun vaccin n’a réussi à contrôler la pandémie, la situation s’est grandement améliorée. Conséquemment à l’arrivée de traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART) à la fin des années 1990, la mortalité associée au VIH/SIDA a diminué et un plus grand nombre de personnes vivent maintenant avec l'infection. La présente thèse avait pour objectif d’aborder trois situations problématiques, en dépit de l’efficacité reconnue des HAART, plus particulièrement la faible charge virale persistante (LLV) et sa relation avec l’échec virologique, ainsi que les effets de certains antirétroviraux (ARV) sur les fonctions rénale et hépatique. Les objectifs précis étaient donc les suivants : 1) étudier le risque d’échec virologique à long terme chez les patients sous HAART dont la charge virale est indétectable comparativement aux patients affichant une LLV persistante; 2) évaluer sur le long terme la perte de fonction rénale associée à la prise de ténofovir (TDF) 3) étudier sur le long terme l'hyperbilirubinémie associée à la prise d’atazanavir (ATV) et ses autres déterminants possibles. Afin d’atteindre les trois objectifs susmentionnés, une cohorte de 2 416 patients atteints du VIH/SIDA, suivis depuis juillet 1977 et résidant à Montréal, a été utilisée. Pour le premier objectif, les résultats obtenus ont montré un risque accru d’échec virologique établi à >1000 copies/ml d’ARN VIH chez tous les patients qui présentaient une LLV persistante de différentes catégories durant aussi peu que 6 mois. En effet, on a observé qu’une LLV de 50-199 copies/ml persistant pendant six mois doublait le risque d’échec virologique (Hazard ratio (HR)=2,22, Intervalle de confiance (CI) 95 %:1,60–3,09). Ces résultats pourraient modifier la façon dont on aborde actuellement la gestion des patients affichant une LLV, et plus particulièrement une LLV de 50-199 copies/ml, pour laquelle aucune recommandation clinique n’a encore été formulée en raison du manque de données. Pour le deuxième objectif, on a observé une augmentation du risque de perte de fonction rénale de l’ordre de 63 % (HR=1,63; 95% CI:1,26–2,10) chez les patients sous TDF comparativement aux patients traités avec d’autres ARV. La perte de fonction rénale directement attribuable à la prise de TDF, indique que cette perte est survenue au cours des premières années de l’exposition du patient au médicament. D’une perspective à long terme, cette perte est considérée comme modérée. Enfin, pour ce qui est du troisième objectif, on a constaté que l’incidence cumulative d’hyperbilirubinémie était très élevée chez les patients sous ATV, mais que cette dernière pouvait régresser lorsque l’on mettait fin au traitement. L’hyperbilirubinémie à long terme observée avec la prise d’ATV n’a été associée à aucun effet néfaste pour la santé. Dans l’ensemble, la présente thèse a permis de mieux comprendre les trois situations problématiques susmentionnées, qui font actuellement l’objet de débats au sein de la communauté scientifique, et d’éclairer sous un jour nouveau la gestion des patients séropositifs sous traitement médicamenteux.
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To characterize cumulative joint damage (CJD) patterns in rheumatoid arthritis (RA) and determine their associations with demographic/clinical features and HLA-DRB1 gene polymorphism. Hand and foot radiographs were obtained from 404 patients with RA. CJD patterns were determined by 3 derivations from Sharp/van der Heijde scores, obtained by the mathematical division of scores for hands/feet (Sharp-h/f score), fingers/wrists (Sharp-f/w score), and erosion/space narrowing (Sharp-e/sn score), respectively. DNA and serum were obtained for determination of HLA-DRB1 polymorphism, rheumatoid factor (RF), and anticitrullinated protein antibodies (ACPA). Patients with wrist-dominant CJD pattern were more likely to have severe RA than those with finger-dominant pattern (68.4% vs 46.0%; p = 0.036) as were those with foot-dominant vs hand-dominant CJD pattern (76.5% vs 56.4%; p = 0.044). HLA-DRB1 shared epitope (SE) alleles were associated with erosion-dominant CJD pattern (p = 0.021). Patients with erosion-dominant CJD pattern had higher levels of RF and ACPA than those with space-narrowing-dominant CJD pattern (median RF 71.35 U/ml vs 22.05 U/ml, respectively; p = 0.003; median ACPA 187.9 U/ml vs 143.2 U/ml, respectively; p < 0.001). The majority of triple-positive patients (SE+, RF+, ACPA+) had erosion-dominant CJD pattern (62.3%) while the majority of triple-negative patients (SE-, FR-, ACPA-) had space narrowing-dominant CJD pattern (75%; p = 0.017). ACPA was associated with HLA-DRB1 SE alleles (p < 0.05). Patients with foot-dominant CJD pattern were taller than those with hand-dominant CJD pattern (p = 0.002); those with erosion-dominant CJD pattern had higher weight and body mass index than those with space narrowing-dominant CJD pattern (p = 0.014, p = 0.001). CJD patterns were associated with disease severity, HLA-DRB1 SE status, presence and titer of ACPA and RF, and morphometric features.
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OBJECTIVE: Evaluate the efficacy of cumulative doses (CDs) of 131I-iodide therapy (RIT) in differentiated thyroid cancer (DTC). SUBJECTS AND METHODS: The probability of progressive disease according to CDs was evaluated in patients < 45 years old and > 45 years old and correlated to tumor-node-metastasis (TNM), thyroglobulin values, histological types and variants, age, and zduration of the disease. RESULTS: At the end of a follow-up period of 69 ± 56 months, 85 out of 150 DTC patients submitted to fixed doses RIT had no evidence of disease, 47 had stable disease and 18 had progressive disease. Higher CDs were used in the more aggressive variants (p < 0.0001), higher TNM stages (p < 0.0001), and follicular carcinomas (p = 0.0034). Probability of disease progression was higher with CDs > 600 mCi in patients > 45 years old and with CDs > 800 mCi in patients < 45 years. CONCLUSION: Although some patients may still respond to high CDs, the impact of further RIT should be carefully evaluated and other treatment strategies may be warranted.
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Objective: To review the epidemiological evidence for the association between passive smoking and lung cancer. Method: Primary studies and meta-analyses examining the relationship between passive smoking and lung cancer were identified through a computerised literature search of Medline and Embase, secondary references, and experts in the field of passive smoking. Primary studies meeting the inclusion criteria were meta-analysed. Results From 1981 to the end of 1999 there have been 76 primary epidemiological studies of passive smoking and lung cancer, and 20 meta-analyses. There were 43 primary studies that met the inclusion criteria for this meta-analysis; more studies than previous assessments. The pooled relative risk (RR) for never-smoking women exposed to environmental tobacco smoke (ETS) from spouses, compared with unexposed never-smoking women was 1.29 (95% CI 1.17-1.43). Sequential cumulative meta-analysed results for each year from 1981 were calculated: since 1992 the RR has been greater than 1.25. For Western industrialised countries the RR for never-smoking women exposed to ETS compared with unexposed never-smoking women, was 1.21 (95% CI 1.10-1.33). Previously published international spousal meta-analyses have all produced statistically significant RRs greater than 1.17. Conclusions The abundance of evidence in this paper, and the consistency of findings across domestic and workplace primary studies, dosimetric extrapolations and meta-analyses, clearly indicates that non-smokers exposed to ETS are at increased risk of lung cancer. Implications: The recommended public health policy is for a total ban on smoking in enclosed public places and work sites.
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A new method to measure Escherichia coil cell debris size after homogenization is presented. It is based on cumulative sedimentation analysis under centrifugal force, coupled with Sodium Dodecyl Sulfate-Polyacrylamide Gel Electrophoresis (SDS-PAGE) analysis of sedimented proteins. The effects that fermentation and homogenization conditions have on the resulting debris distributions were investigated using this method. Median debris size decreased significantly from approximately 0.5 mu m to 0.3 mu m as the number of homogenization passes increased from 2 to 10. Under identical homogenization conditions, uninduced host cells in stationary phase had a larger debris size than exponential cells after 5 homogenizer passes. This difference was not evident after 2 or in passes, possibly because of confounding intact cells and the existence of a minimum debris size for the conditions investigated. Recombinant cells containing protein inclusion bodies had the smallest debris size following homogenization. The method was also used to measure the size distribution of inclusion bodies. This result compared extremely well with an independent determination using centrifugal disc photosedimentation (CDS), thus validating the method. This is the first method that provides accurate size distributions of E. coli debris without the need for sample pretreatment, theoretical approximations (e.g. extinction coefficients), or the separation of debris and inclusion bodies prior to analysis. (C) 1997 John Wiley & Sons, Inc.
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Polymorphisms of chemokines and chemokine-receptors genes have been shown to influence the rate of progression to AIDS; however, their influence on response to HAART remains unclear. We investigated the frequency of the SDF-1-3`A, CCR2-64I, CCR5-D32 and CCR5-Promoter-59029-A/G polymorphisms in Brazilian HIV-1-infected and uninfected individuals and their influence on CD4+ T-cell evolution HIV-1 infected individuals before and during HAART. Polymorphism detection was done in a transversal study of 200 HIV-1-infected and 82 uninfected individuals. The rate of CD4+ T cell increase or decrease was studied in a cohort of 155 HIV-1 infected individuals on pre and post-HAART. Polymorphisms were determined by PCR associated with RFLP. The rate of CD4+ T-cell decline or increase was also determined. HIV-1 infected and uninfected subjects showed, respectively, frequencies of 0.193 and 0.220 for SDF-1-3`A, of 0.140 and 0.110 for CCR2-V64I, of 0.038 and 0.055 for CCR5-D32, and of 0.442 and 0.390 for CCR5-P-59029-A/G. HIV-1-infected subjects carrying one, two or three of these four polymorphisms showed better CD4+ T-cell recovery than HIV-1-infected subjects carrying the four wild-type alleles (+2.7, +1.6, +3.5, and -0.9 lymphocytes/mu l/month, respectively). Regression logistic analysis showed that the CCR5-D32/CCR2-V64I association was predictor of positive CD4+ T cell slope after HAART. The distribution of polymorphisms did not differ between HIV-1-infected and uninfected individuals, but differed from more homogenous ethnic groups probably reflecting the miscegenation of the Brazilian population. We add further evidence of the role of these polymorphisms by showing that the CD4 gain was influenced by carriage of one or more of the polymorphisms studied here. These results highlight the possibility that these genetic traits can be useful to identify patients at risk for faster progression to AIDS or therapeutic failure.
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Objective: The study examined symptom-specific muscle hyperreactivity in patients with chronic pain with upper limb cumulative trauma disorder (CTD). Design: Four tasks were presented in counterbalanced order and included neutral, general stressor, personal stressor, and pain stressor tasks. Ratings of stressfulness and recordings of skin conductance level confirmed the effectiveness of the experimental manipulations in inducing stress experiences for all subject groups. Setting: The study was conducted in a university research center. Patients: Thirty patients with CTD were matched as closely as possible for age and gender to control groups of chronic low back pain, arthritis, and pain-Free subjects Outcome Measures: Surface electromyograph recordings were taken from the frontalis, forearm flexors, trapezius, and lower back during baseline and tasks. Results: The study found no evidence of greater muscle tension increases or extended duration of return to baseline for the CTD or low back pain patients at any of the muscle sites for any of the tasks in comparison to control groups. Conclusions: The results indicate that symptom-specific psychophysiological responses may be limited to certain subgroups rather than being characteristic of chronic musculoskeletal pain patients in general.
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The 41 years of armed conflict (1961 to 2002) resulted in a poor development of the health care and education infrastructures, and forced the relocation of people to safer places, namely major urban cities like Luanda. This phase was characterized by typical demographic, nutritional and epidemiological profiles. With the end of this period Angola has been repeatedly ranked as one of the three fastest growing economies in the world, and along with the social stabilization and globalization, the country is facing the introduction of new medical technologies, improvement of health sys-tems and services, better access to them, and overall better quality of life. These changes could also be translating into socio-cultural, demographic and nutritional changes which in turn may leading to changes in the epidemiological profile of the country. Thus, the emergence of non-communicable diseases are likely to become an increasingly im-portant public health problem in Angola. Also, considering that several infectious diseases persist, our weakened health system will have to face a double burden. Thus, disease surveillance data on non-communicable diseases to determine their prevalence and impact, along with the major behavioural risk factors like consumption of tobacco, alcohol, diets and physical inactivity are urgently needed.
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OBJECTIVE To evaluate the larvicidal activity of Azadirachta indica, Melaleuca alternifolia, carapa guianensis essential oils and fermented extract of Carica papaya against Aedes aegypti (Linnaeus, 1762) (Diptera: Culicidae). METHODS The larvicide test was performed in triplicate with 300 larvae for each experimental group using the third larval stage, which were exposed for 24h. The groups were: positive control with industrial larvicide (BTI) in concentrations of 0.37 ppm (PC1) and 0.06 ppm (PC2); treated with compounds of essential oils and fermented extract, 50.0% concentration (G1); treated with compounds of essential oils and fermented extract, 25.0% concentration (G2); treated with compounds of essential oils and fermented extract, 12.5% concentration (G3); and negative control group using water (NC1) and using dimethyl (NC2). The larvae were monitored every 60 min using direct visualization. RESULTS No mortality occurred in experimental groups NC1 and NC2 in the 24h exposure period, whereas there was 100% mortality in the PC1 and PC2 groups compared to NC1 and NC2. Mortality rates of 65.0%, 50.0% and 78.0% were observed in the groups G1, G2 and G3 respectively, compared with NC1 and NC2. CONCLUSIONS The association between three essential oils from Azadirachta indica, Melaleuca alternifolia, Carapa guianensis and fermented extract of Carica papaya was efficient at all concentrations. Therefore, it can be used in Aedes aegypti Liverpool third larvae stage control programs.
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RESUMO - A exposição contínua a substâncias químicas tem consequências para a saúde humana, algumas das quais não estão ainda totalmente estabelecidas. A toxicologia ocupacional é uma área interdisciplinar que envolve conhecimentos de higiene e de medicina ocupacional, de epidemiologia e de toxicologia e que tem por principal objectivo prevenir a ocorrência de efeitos adversos decorrentes do ambiente ocupacional sendo um dos seus principais papéis fornecer o máximo de dados que possam contribuir para o conhecimento dos potenciais efeitos na saúde. O chumbo é um tóxico de características cumulativas que provoca na saúde efeitos principalmente sistémicos, ou seja, o efeito tóxico manifesta-se em locais afastados do contacto inicial que resultam essencialmente de exposições crónicas, resultantes de períodos de exposição mais ou menos longos ao metal (entre meses e anos). Pode interagir com diferentes órgãos e tecidos, ligando-se a moléculas e constituintes celulares. Uma vez que não possui qualquer função fisiológica, a presença do chumbo no organismo humano resulta numa série de efeitos prejudiciais que afectam diversos órgãos e sistemas. A toxicidade do chumbo manifesta-se em diversos órgãos e tecidos, nomeadamente no sistema hematopoiético, no sistema nervoso, no rim, no aparelho reprodutor, no sistema cardiovascular, no sistema endócrino e no sistema imunitário. Da interferência do chumbo com o funcionamento de alguns sistemas biológicos resultam um conjunto de alterações fundamentais ao nível dos processos de transporte através das membranas, da integridade estrutural e funcional das enzimas e de várias vias metabólicas, em especial da fosforilação oxidativa e da síntese do heme sendo os primeiros efeitos bioquímicos do chumbo detectados a partir de valores de plumbémia inferiores a 10 μg/dL. As medidas de higiene e segurança actualmente em vigor nos países desenvolvidos asseguram que os casos de intoxicação grave são cada vez menos frequentes. No entanto, o risco de exposição a nível ocupacional existe em todas as actividades que envolvem materiais que o contenham como as explorações mineiras, as fundições primária e secundária, a produção de baterias de chumbo ácido, a produção de vidro com pigmentos de chumbo, as soldaduras de reparação automóvel e a instrução de tiro. Desde 2006 o chumbo é considerado pela International Agency for Research on Cancer (IARC) uma substância carcinogénica do grupo 2A (provável carcinogénio para o ser humano). Considera-se, assim, que o chumbo tem, inequivocamente, capacidade de induzir cancro em animais experimentais mas que, embora haja fortes indícios de que os mecanismos que medeiam a carcinogénese desses compostos ocorrem no ser humano, os dados disponíveis ainda não podem assegurar essa relação. Com este estudo pretendeu-se contribuir para o conhecimento da toxicidade do chumbo através do estudo da exposição ao chumbo e da influência da susceptibilidade individual (em industrias sem co-exposição significativa a outros agentes conhecidos ou suspeitos de serem carcinogénicos). Pretendeu-se estudar o caso através de uma abordagem múltipla que permitisse relacionar diferentes tipos de marcadores biológicos uma vez que a monitorização biológica integra todas as possíveis vias de entrada no organismo (para além da via respiratória), eventuais exposições fora do contexto estritamente profissional assim como uma série de factores intrínsecos individuais (relacionados com modos de via, de natureza fisiológica e comportamentais). Sendo a co-exposição a outros compostos com propriedades genotóxicas e carcinogénicas uma questão difícil de tornear quando se quer avaliar o potencial genotóxico do chumbo em populações expostas, ocupacional ou ambientalmente este estudo tem a vantagem de ter sido efectuado em populações sem co-exposição conhecida a outras substâncias deste tipo, permitindo concluir sobre os efeitos resultantes apenas da exposição a chumbo na população humana, contribuindo para explicar algumas das aparentes inconsistências e contradições entre diferentes estudos sobre este tema. Os indicadores de exposição usados foram: indicadores de dose interna (doseamento de chumbo e de PPZ no sangue), indicadores de efeitos adversos no heme e genotóxicos (actividade da ALAD, teste do cometa e mutação em TCR) e indicadores de susceptibilidade (polimorfismos genéticos de ALAD e VDR) através de uma abordagem estatística de comparação directa de sub-grupos previamente definidos na população e da aplicação de um modelo de regressão múltipla. Este estudo revelou que os níveis de plumbémia na população portuguesa baixaram significativamente nos últimos 10 anos, tanto na população ocupacionalmente exposta como na população em geral e que a presença do genótipo B-B (do gene VDR) é preditiva das variações de plumbémia, quando comparada com o genótipo mais frequente na população, B-b; ao contrário, o genótipo b-b não aparenta ter influência em nenhum dos marcadores estudados. No que diz respeito a efeitos genotóxicos concluiu-se que estes não se manifestaram na população estudada, levando a concluir que nos níveis de exposição estudados, o chumbo não tem capacidade de induzir este tipo de efeitos per si levando ao reforço da hipótese, já levantada por outros autores, de que o mecanismo de genotoxicidade do chumbo seja essencialmente de promoção de processos de genotoxicidade desencadeados por outros agentes. A realização de estudos de efeitos genotóxicos e de stress oxidativo desenhados de forma a comparar grupos de trabalhadores expostos apenas a chumbo com grupos de trabalhadores com o mesmo nível de exposição a chumbo, mas com co-exposição a outros agentes reconhecidamente carcinogénicos poderá ajudar a aumentar o conhecimento deste efeito do chumbo na saúde humana.
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"Published online before print November 20, 2015"