991 resultados para Externalizing problems
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Background: Some contend that attachment insecurity increases risk for the development of externalizing behavior problems in children. Method: Latent-growth curve analyses were applied to data on 1,364 children from the NICHD Study of Early Child Care to evaluate the association between early attachment and teacher-rated externalizing problems across the primary-school years. Results: Findings indicate that (a) both avoidant and disorganized attachment predict higher levels of externalizing problems but (b) that effects of disorganized attachment are moderated by family cumulative contextual risk, child gender and child age, with disorganized boys from risky social contexts manifesting increases in behavior problems over time. Conclusions: These findings highlight the potentially conditional role of early attachment in children’s externalizing behavior problems and the need for further research evaluating causation and mediating mechanisms.
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This study addresses the extent to which insecure and disorganized attachments increase risk for externalizing problems using meta-analysis. From 69 samples (N = 5,947), the association between insecurity and externalizing problems was significant, d = 0.31 (95% CI: 0.23, 0.40). Larger effects were found for boys (d = 0.35), clinical samples (d = 0.49), and from observation-based outcome assessments (d = 0.58). Larger effects were found for attachment assessments other than the Strange Situation. Overall, disorganized children appeared at elevated risk (d = 0.34, 95% CI: 0.18, 0.50), with weaker effects for avoidance (d = 0.12, 95% CI: 0.03, 0.21) and resistance (d = 0.11, 95% CI: −0.04, 0.26). The results are discussed in terms of the potential significance of attachment for mental health.
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The present study assesses the effects of a semi-structured intervention held exclusively with mothers and its effects on internalizing problems, social skills of children, and positive and negative parenting practices. The single subject experimental design with three participants was adopted. The three mothers had, in baseline, children diagnosed with internalizing and externalizing problems. The instruments used were CBCL, RE-HSE-P, QRSH-Pais and PHQ-9, they were performed in baseline, pre-test, post-test, and follow-up assessments. The intervention held is characterized as semi-structured for it promotes the development of parental practices that are considered positive by the literature on behavior problems, however, contingently to the difficulties and demands of each case. The number of sessions performed for each case was 14, 15 and 17, which lasted about two hours each. The data were analyzed according to the instruments' norms and under the perspective of each singular case. The results found include remission of internalizing problems, increase in frequency of the children's social skills, increase in frequency of positive parental practices, and decrease in variability of negative parental practices. All the improvements were maintained on the six months follow-up, with the exception of variability on the negative parental practices of one client. Results are discussed in a context of mental health promotion and indicate the need for strategies to prevent internalizing problems in children.
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Early interventions are a preferred method for addressing behavioral problems in high-risk children, but often have only modest effects. Identifying sources of variation in intervention effects can suggest means to improve efficiency. One potential source of such variation is the genome. We conducted a genetic analysis of the Fast Track randomized control trial, a 10-year-long intervention to prevent high-risk kindergarteners from developing adult externalizing problems including substance abuse and antisocial behavior. We tested whether variants of the glucocorticoid receptor gene NR3C1 were associated with differences in response to the Fast Track intervention. We found that in European-American children, a variant of NR3C1 identified by the single-nucleotide polymorphism rs10482672 was associated with increased risk for externalizing psychopathology in control group children and decreased risk for externalizing psychopathology in intervention group children. Variation in NR3C1 measured in this study was not associated with differential intervention response in African-American children. We discuss implications for efforts to prevent externalizing problems in high-risk children and for public policy in the genomic era.
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Cette thèse avait pour objectif d’examiner les liens longitudinaux entre le timing pubertaire et les problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence, soit les problèmes de conduite et les symptômes dépressifs. Guidé par la perspective théorique biosociale et le modèle de vulnérabilité-stress, le rôle modérateur de l’environnement social et des vulnérabilités personnelles préexistantes était également évalué. Les hypothèses initiales étaient qu’un timing pubertaire précoce ou déviant de la norme (précoce et tardif) serait associé à des niveaux plus élevés de problèmes de conduite et de symptômes dépressifs, mais que ce lien serait accentué dans des contextes sociaux et interpersonnels plus à risque et en présence de vulnérabilités individuelles chez les adolescents. Pour vérifier ces hypothèses, des données provenant de l’Enquête Longitudinale Nationale sur les Enfants et les Jeunes (ELNEJ) ont été analysées. Gérée par Statistique Canada, l’ELNEJ est une enquête prospective biennale comportant différents échantillons représentatifs d’enfants et d’adolescents canadiens. Les mesures utilisées dans cette thèse ont été collectées à différents cycles de l’enquête, soit à 10–11 ans, 12–13 ans, 14–15 ans et 16–17 ans, directement auprès des adolescents et de leurs parents par le biais de questionnaires et d’entrevues. Le premier article de la thèse a vérifié si l’interaction entre le timing pubertaire et des caractéristiques du contexte social des pairs (c.-à-d. l’affiliation avec des pairs déviants et l’implication amoureuse en début d’adolescence) prédisait la présentation de problèmes de conduite avec et sans agressivité physique à l’adolescence. Les résultats ont montré que le contexte social des pairs modérait l’association entre le timing pubertaire et les problèmes de conduite. Une interaction significative entre le timing pubertaire et l’affiliation à des pairs déviants a indiqué qu’une puberté plus précoce était associée à des fréquences plus élevées de problèmes de conduite agressive seulement chez les filles et les garçons qui fréquentaient des pairs déviants. Autrement dit, parmi les adolescents s’affiliant à des pairs déviants en début d’adolescence, les adolescents pubères précoces tendaient à présenter plus de problèmes de conduite agressive deux ans plus tard, en comparaison à leurs pairs pubères dans les temps moyens ou tardifs. Une seconde interaction significative obtenue chez les filles a montré que la puberté plus précoce était prédictrice des problèmes de conduite non-agressive seulement en présence d’un engagement amoureux en début d’adolescence. En effet, dans un contexte d’implication amoureuse, les filles pubères précoces présentaient plus de problèmes de conduite non-agressive que leurs pairs. Le deuxième article de la thèse avait pour objectif d’évaluer le rôle modérateur des vulnérabilités individuelles à la dépression (présence de symptômes intériorisés à la fin de l’enfance), du contexte social des pairs (affiliation à des pairs déviants, expérience amoureuse précoce et perception de popularité auprès des pairs) et des relations parent-adolescent (perception de rejet de la part des parents) dans l’association longitudinale entre le timing pubertaire et les symptômes dépressifs en fin d’adolescence. Chez les filles, une interaction triple a révélé que la puberté plus précoce était liée à davantage de symptômes dépressifs, mais seulement chez celles qui présentaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance et une implication amoureuse précoce. Chez les garçons, un effet curvilinéaire du timing pubertaire a été observé alors que la puberté précoce et tardive était associée à plus de symptômes dépressifs, mais seulement chez les garçons qui manifestaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance. La puberté plus précoce était aussi liée à des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs en présence d’affiliation à des pairs déviants (garçons) et de perceptions plus importantes de rejet parental (filles et garçons). En somme, la mise en évidence d’interactions significatives entre le timing pubertaire, les caractéristiques de l’environnement social et les vulnérabilités individuelles suscite différentes réflexions au plan théorique et pratique. Tout d’abord, les résultats suggèrent que le timing pubertaire en lui-même ne paraît pas représenter un facteur de risque généralisé des problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence. Plus particulièrement, ces résultats soulignent l’importance de considérer l’environnement social et les facteurs de risque individuels préexistants afin de mieux comprendre l’effet de la transition pubertaire sur l’adaptation psychosociale des adolescents.
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Étant donné que le sommeil ainsi que les problèmes intériorisés et extériorisés durant l’enfance sont associés à plusieurs aspects du développement social, affectif et cognitif de l’enfant, il apparait essentiel d’étudier ces deux indicateurs de l’autorégulation chez les enfants ainsi que de comprendre les facteurs qui contribuent à leur émergence. L’objectif général de la thèse était donc de mieux comprendre les facteurs associés au développement de l’autorégulation psychophysiologique, telle que mesurée par la qualité du sommeil de l’enfant, ainsi que l’autorégulation émotionnelle et comportementale, telle qu’indiquée par la présence de symptômes intériorisés et extériorisés chez l’enfant. La thèse est composée de deux articles de nature empirique. L’objectif du premier article de la thèse était d’examiner les liens qui existent entre quatre comportements parentaux (i.e., la sensibilité maternelle, le soutien à l’autonomie maternel, l'orientation mentale de la mère et la qualité des interactions père-enfant) et le sommeil de l’enfant, de façon longitudinale et prospective. Les trois comportements maternels ont été mesurés avec 70 dyades mère-enfant, tandis que la qualité des interactions père-enfant a été évaluée chez 41 de ces familles. À 12 mois, l’orientation mentale maternelle et la sensibilité maternelle ont été évaluées. Le soutien à l'autonomie maternel a été mesuré à 15 mois, tandis que la qualité des interactions père-enfant a été évaluée à 18 mois. Le sommeil des enfants a été mesuré à 3 et 4 ans en utilisant un agenda de sommeil rempli par la mère. Les résultats indiquaient qu’en contrôlant pour le statut socioéconomique familial et le fait d’aller en garderie ou non, la qualité des interactions mère-enfant et père-enfant est liée à la proportion de sommeil ayant lieu la nuit chez les enfants d’âge préscolaire. Le deuxième article visait à étudier les effets d’interaction entre le sommeil de l’enfant et la sensibilité maternelle en ce qui a trait au développement des problèmes intériorisés et extériorisés. À 1 et 4 ans, 55 dyades mère-enfant ont participé à deux visites à domicile. À 1 an, la sensibilité maternelle a été évaluée et les mères ont complété l’agenda du sommeil de l’enfant. À 4 ans, les mères ont rempli le Child Behavior Checklist pour évaluer les symptômes intériorisés et extériorisés chez leur enfant. Les résultats ont montré que la sensibilité maternelle interagit avec la durée du sommeil de l’enfant. Ainsi, les résultats ont indiqué une relation négative entre la sensibilité maternelle et les problèmes intériorisés et extériorisés, mais seulement chez les enfants qui dorment plus la nuit. Les résultats présentés dans les deux articles ont été discutés, ainsi que leurs implications théoriques et cliniques.
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Tout autant que la mère, le père est une figure d’attachement importante pour l’enfant. Toutefois le lien d’attachement père-enfant se formerait différemment du lien d’attachement mère-enfant. Les pères sont souvent plus engagés que les mères dans des activités ludiques, moins dans des activités de soins. Les jeux faits avec le père sont souvent plus physiques aussi, plus stimulants. En incitant son enfant au jeu de façon sensible, le père devient un tremplin pour l’exploration de son enfant et le développement de sa confiance en soi et en l’autre. C’est en tant que figure d’ouverture sur le monde que le père aurait une plus grande influence sur le développement de son enfant. C’est ce que nous apprennent les études sur l’engagement paternel. Jusqu’à maintenant peu d’auteurs ont étudié l’engagement des pères en même temps que l’attachement père-enfant, mais plusieurs proposent déjà que cette fonction d’ouverture sur le monde expliquerait la formation du lien père-enfant. La relation d’attachement père-enfant serait basée sur une relation d’activation. L’objectif de la présente thèse est précisément de mieux comprendre la nature du lien d’attachement père-enfant. Deux articles composent cette thèse. Le premier article est théorique et fait une recension de la littérature sur l’attachement père-enfant et l’engagement paternel. Le deuxième article est empirique et propose justement de vérifier l’influence de l’engagement paternel sur la formation du lien d’attachement au père. En tout 53 dyades pères-enfants ont participé à cette étude. L’engagement des pères au niveau du réconfort, de la stimulation et de la discipline a été évalué lorsque les enfants avaient entre 12 et 18 mois. À cet âge, la qualité d’attachement et de la relation d’activation ont aussi été évaluées, respectivement avec la Situation étrangère et la Situation risquée. Les deux mises en situation ont ensuite été comparées pour voir laquelle prédit mieux le développement des enfants à l’âge préscolaire, au niveau des compétences sociales, des problèmes intériorisés et des problèmes extériorisés. Les résultats obtenus indiquent que la Situation risquée prédit mieux le développement socio-affectif des enfants (compétences sociales et problèmes intériorisés). Aucun lien n’a été trouvé avec la Situation étrangère, même en tenant compte de l’engagement du père au niveau du réconfort. Ces résultats valident la théorie de la relation d’activation et l’importance de la fonction paternelle d’ouverture sur le monde. Les limites de la présente étude, ainsi que ses implications théoriques et méthodologiques, seront abordées dans la discussion du deuxième article et en conclusion de la présente thèse.
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Cette thèse a pour but de mieux comprendre le recours aux médicaments psychotropes chez les enfants hébergés en Centre jeunesse, une population qui compte parmi les plus médicalisées. Afin d’y parvenir, les caractéristiques sociodémographiques, anamnestiques et psychopathologiques des enfants placés qui reçoivent des psychopharmacoprescriptions ont été analysées. L’échantillon se compose de 101 enfants de 6 à 12 ans placés en foyer de groupe ou centre de réadaptation, dont 71 recevant des médicaments psychotropes. Les données ont été obtenues par le biais de questionnaires remplis par les éducateurs, par une entrevue semi-structurée réalisée auprès des enfants et une analyse du dossier. Sur le plan de la structure, cet ouvrage comprend une introduction, quatre articles et une conclusion. Le premier article comporte une recension des écrits sur l’usage de la psychopharmacothérapie chez les jeunes placés dans les services de la protection de la jeunesse. Il a été constaté que les taux de prescriptions peuvent varier entre 13% et 77%, selon le type de placement et les régions à l’étude. La symptomatologie des enfants placés qui reçoivent des médicaments psychotropes est caractérisée par des problèmes extériorisés et des troubles psychotiques. Les corrélats du recours à la prescription concernent à la fois la sévérité du tableau clinique, mais aussi le type et l’instabilité du placement, l’âge et le sexe de l’enfant ainsi que la formation des intervenants. Enfin, les écrits recensés font état de l’influence des neurosciences dans les milieux médicaux sur les décisions de prescrire. Le deuxième article présente la prévalence des psychopharmacoprescriptions chez les enfants de 6 à 12 ans placés hors d’un milieu familial. Les résultats indiquent que 70,3% des jeunes reçoivent au moins une prescription, le plus souvent signées par des médecins spécialistes. La plupart se composent de psychostimulants et d’antipsychotiques atypiques, prescrits pour des troubles de l’attention avec hyperactivité. Le troisième article cherche à préciser les caractéristiques sociodémographiques et anamnestiques des enfants placés qui prennent des médicaments psychotropes. Les résultats indiquent que les sujets médicamentés et non médicamentés ont vécu des stresseurs psychosociaux similaires. Par contre, les enfants placés qui reçoivent une psychopharmacothérapie ont été retirés de leur milieu familial à un plus jeune âge. Le quatrième article consiste à cibler leur portrait psychopathologique et à connaître leur niveau de fonctionnement global. Il s’intéresse également aux connaissances et aux perceptions des éducateurs sur la psychopharmacothérapie. Les résultats révèlent que les enfants médicamentés ont plus souvent un diagnostic de trouble mental inscrit à leur dossier. Selon les éducateurs, ils présentent davantage de problèmes extériorisés et intériorisés. À partir de données autorévélées, aucune distinction ne peut être établie entre les sujets, puisque les uns et les autres rapportent un niveau comparable de symptômes et de signes diagnostiques. Enfin, les symptômes de stress post-traumatique et l’opinion favorable des éducateurs sur la psychopharmacothérapie constituent des prédicteurs significatifs de la probabilité de recourir à un traitement médicamenteux. En conclusion, l’apport des résultats de cette recherche est analysé à la lumière des études antérieures. Les retombées cliniques sont discutées et des pistes de recherche futures sont suggérées. .
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Au cours des 30 dernières années, l’embonpoint et l’obésité infantile sont devenus de véritables défis pour la santé publique. Bien que l’obésité soit, à la base, un problème physiologique (i.e. balance calorique positive) une série de facteurs psychosociaux sont reliés à son développement. Dans cette thèse, nous avons étudié le rôle des facteurs périnataux et de la petite enfance dans le développement du surpoids, ainsi que la relation entre le surpoids et les troubles internalisés au cours de l’enfance et au début de l’adolescence. Nous avions trois objectifs généraux: 1) Modéliser le développement de l’indice de masse corporelle (IMC) ou du statut pondéral (le fait d’être en surpoids ou non) durant l’enfance, ainsi qu’estimer l’hétérogénéité dans la population au cours du temps (i.e. identification de trajectoires développementales de l’IMC). 2) Identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance pouvant accroitre le risque qu’un enfant suive une trajectoire menant au surpoids adolescente. 3) Tester la possibilité que le surpoids durant l’enfance soit associé avec des problèmes de santé mentale internalisés à l’adolescence, et vérifier la possibilité qu’une telle association soit médiatisée par l’expérience de victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle. Ce travail est mené dans une perspective de développement au cours de la vie (life span perspective), considérant l’accumulation des facteurs de risques au cours du temps ainsi que les facteurs qui se manifestent durant certaines périodes critiques de développement.1,2 Nous avons utilisé les données provenant de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ), une cohorte de naissances de la province de Québec, Canada. L’échantillon initial était composé de 2120 familles avec un bébé de 5 mois nés au Québec en 1997. Ces familles ont été suivies annuellement ou à tous les deux ans jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 13 ans. En ce qui concerne le premier objectif de recherche, nous avons utilisé la méthode des trajectoires développementales fondée sur des groupes pour modéliser l’IMC en continu et en catégories (surpoids vs poids normal). Pour notre deuxième objectif, nous avons effectué des modèles de régression multinomiale afin d’identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance associés aux différents groupes développementaux du statut pondéral. Les facteurs de risques putatifs ont été choisis parmi les facteurs identifiés dans la littérature et représentent l’environnement périnatal, les caractéristiques de l’enfant, ainsi que l’environnement familial. Ces facteurs ont été analysés longitudinalement dans la mesure du possible, et les facteurs pouvant servir de levier potentiel d’intervention, tels que l’usage de tabac chez la mère durant la grossesse, le sommeil de l’enfant ou le temps d’écoute de télévision, ont été sélectionnés pour l’analyse. Pour notre troisième objectif, nous avons examiné les associations longitudinales (de 6 à 12 ans) entre les scores-z d’IMC (selon la référence CDC 2000) et les problèmes internalisés avec les modèles d’équations structurales de type « cross-lagged ». Nous avons ensuite examiné comment la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle durant l’enfance peuvent médiatiser un lien potentiel entre le surpoids et les troubles internalisés au début de l’adolescence. Les contributions scientifiques de la présente thèse incluent l’identification de trajectoires distinctes du statut pondérale durant l’enfance (précoce, tardive, jamais en surpoids), ainsi que les facteurs de risques précoces et les profils de santé mentale pouvant différer selon la trajectoire d’un enfant. De plus, nous avons identifié des mécanismes importants qui expliquent une partie de l’association entre les trajectoires de surpoids et les troubles internalisés: la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle.
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BACKGROUND: Few studies have addressed the course and severity of maternal depression and its effects on child psychiatric disorders from a longitudinal perspective. This study aimed to identify longitudinal patterns of maternal depression and to evaluate whether distinct depression trajectories predict particular psychiatric disorders in offspring. METHODS: Cohort of 4231 births followed-up in the city of Pelotas, Brazil. Maternal depressive symptoms were assessed with the Edinburgh Postnatal Depression Scale (EPDS) at 3, 12, 24 and 48 months and 6 years after delivery. Psychiatric disorders in 6-year-old children were evaluated through the development and well-being assessment (DAWBA) instrument. Trajectories of maternal depression were calculated using a group-based modelling approach. RESULTS: We identified five trajectories of maternal depressive symptoms: a "low" trajectory (34.8%), a "moderate low" (40.9%), a "increasing" (9.0%), a "decreasing" (9.9%), and a "high-chronic" trajectory (5.4%). The probability of children having any psychiatric disorder, as well as both internalizing and externalizing problems, increased as we moved from the "low" to the "high-chronic" trajectory. These differences were not explained by maternal and child characteristics examined in multivariate analyses. LIMITATIONS: Data on maternal depression at 3-months was available on only a sub-sample. In addition, we had to rely on maternal report of child's behavior alone. CONCLUSIONS: The study revealed an additive effect on child outcome of maternal depression over time. We identified a group of mothers with chronic and severe symptoms of depression throughout the first six years of the child life and for this group child psychiatric outcome was particularly compromised.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Famílias que estimulam comportamentos socialmente habilidosos parecem favorecer o desenvolvimento social de seus filhos. Assim, intervir no relacionamento dos pais parece ser uma saída para minimizar indicativos de problemas de comportamento. Para uma efetiva intervenção é recomendado especificar as demandas das pessoas que procuram por atendimento, seja através da caracterização do repertório de pais e cuidadores, seja da caracterização das dificuldades e/ou habilidades das crianças e/ou adolescentes. O objetivo da pesquisa foi o de caracterizar, através de uma Entrevista Clínica Semiestruturada, queixas e dificuldades de 59 pais/cuidadores que buscaram atendimento psicológico em um Centro de Psicologia Aplicada. Os resultados principais são: a) queixas de problemas externalizantes, tais como agressividade, desobediência e birras; b) dificuldades dos pais/cuidadores quanto às habilidades envolvidas no estabelecer limites (bater e não ter consistência) e na comunicação. Discute-se a interdependência entre os comportamentos dos adultos e crianças/adolescentes e repercussões para futuras intervenções.
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Negative parental practices may influence the onset and maintenance of externalizing behavior problems, and positive parenting seem to improve children's social skills and reduce behavior problems. The objective of the present study was to describe the effects of an intervention designed to foster parents' social skills related to upbringing practices in order to reduce externalizing problems in children aged 4 to 6 years. Thirteen mothers and two care taker grandmothers took part in the study with an average of four participants per group. To assess intervention effects, we used a repeated measure design with control, pre, and post intervention assessments. Instruments used were: (a) An interview schedule that evaluates the social interactions between parents and children functionally, considering each pair of child's and parent's behaviors as context for one another; (b) A Social Skills Inventory; (c) Child Behavior Checklist - CBCL. Intervention was effective in improving parent general social skills, decreasing negative parental practices and decreasing child behavior problems.
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The aim of the dissertation was to test the feasibility of a new psychotherapeutic protocol for treating children and adolescents with mood and anxiety disorders: Child-Well-Being Therapy (CWBT). It originates from adult Well-Being Therapy protocol (WBT) and represents a conceptual innovation for treating affective disorders. WBT is based on the multidimensional model of well-being postulated by Ryff (eudaimonic perspective), in sequential combination with cognitive-behavioral therapy (CBT). Results showed that eudaimonic well-being was impaired in children with affective disorders in comparison with matched healthy students. A first open investigation aimed at exploring the feasibility of a 8-session CWBT protocol in a group of children with emotional and behavioural disorders has been implemented. Data showed how CWBT resulted associated to symptoms reduction, together with the decrease of externalizing problems, maintained at 1-year follow-up. CWBT triggered also an improvement in psychological well-being as well as an increasing flourishing trajectory over time. Subsequently, a modified and extended version of CWBT (12-sessions) has been developed and then tested in a controlled study with 34 patients (8 to 16 years) affected by mood and anxiety disorders. They were consecutively randomized into 3 different groups: CWBT, CBT, 6-month waiting list (WL). Both treatments resulted effective in decreasing distress and in improving well-being. Moreover, CWBT was associated with higher improvement in anxiety and showed a greater recovery rate (83%) than CBT (54%). Both groups maintained beneficial effects and CWBT group displayed a lower level of distress as well as a higher positive trend in well-being scores over time. Findings need to be interpret with caution, because of study limitations, however important clinical implications emerged. Further investigations should determine whether the sequential integration of well-being and symptom-oriented strategies could play an important role in children and adolescents’ psychotherapeutic options, fostering a successful adaptation to adversities during the growth process.
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This study of the Behavior Assessment System for Children, Second Edition (BASC-2), had two objectives. First, was to compare the Strengths and Difficulties Questionnaire (SDQ) and the BASC-2. Participants were students from SBISD, identified as having difficulties, assessed with the BASC-2 and completed the SDQ. Based on the small sample (N=8), scores from the SDQ and the BASC-2 were found to correlate highly with one another on most conceptually similar scales. With both Parent and Teacher raters, diagnostic concordance was high for nearly all behavior and emotional problem scales. While the diagnostic concordance of the SDQ and BASC-2 looks promising, results need to be replicated with a larger sample. ^ The second objective was to assess the BASC-2 inter-informant concordance (parent, teacher and child). Participants were 145 students, 3-17 years, 78.6% male, 28% Hispanic, 37% White, 34% Black, and 64% were economically disadvantaged. Of the four dyads, teacher-teacher pairs had the highest correlations and agreement levels, especially on externalizing scale items, regardless of the subjects' age group, gender or ethnicity. ^ Overall, parent-teacher pairs had low to moderate concordance for most scale items, with slightly higher agreement for externalizing problems, with better concordance for preschool children, very low correlations with girls' ratings, but moderate correlations with boy ratings. Correlational results were generally moderate for teachers and parents of White children and low for teachers and parents of Hispanic and Black children. ^ Parent-child self-reports had low concordance for nearly all scale items evaluated, particularly with girl self-raters, but moderate with the boys. Conversely, Teacher-Girl pairs had larger correlations than with Boy. Parents reported substantially higher frequency of disorder endorsement than reported by the children, regardless of the child's ethnicity or gender. While generally low, Teachers and Black students had higher concordance on internalizing measures than Hispanic or White students. Parents of Black students had higher frequency of disorder endorsements than other ethnicities. ^ The difference in format and lack of externalizing measures on the self-report version (SRP) hinders inter-rater comparisons. Future studies using the revised, BASC-2 with children in a school-based setting are needed to assess further its rater reliability. ^