69 resultados para Deglutition
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Swallowing is used as a clinical method in prosthodontics to determine and record jaw relationships. The aim of this study was to perform a quantitative evaluation, in naturally dentate subjects and complete denture wearers, of three measurements associated with the mandibular position during the act of swallowing water: 1. intermaxillary distance on vertical axis; 2. anteroposterior deviation; and 3. lateral deviation. Two groups were selected: Group I (GI) included 40 subjects with complete dentition (mean age 45.27 yrs) and Group II (GII) included 40 bimaxillary edentate subjects, complete denture wearers (mean age 63.92 yrs). A kinesiographic instrument was used for analysis. Three records were taken for each measurement and a mean value obtained. It was concluded that: 1. intermaxillary distance on vertical axis and horizontal deviation were similar for both groups; 2. there was a significant intermaxillary distance on the vertical axis; and 3. for anteroposterior and lateral axis, results showed moderate deviation in relation to maximal intercuspation (MI).
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Statement of problem. The accuracy of assessing maxillomandibular relationships for trial bases and dentures using phonetic and swallowing methods has not been compared to that observed with definitive prostheses. Thus, there is no evidence to prove whether measurements obtained through such methods remain the same after adaptation to dentures.Purpose. This study investigated changes in the closest speaking space, interocclusal rest space, and interocclusal distance during deglutition in edentulous patients during and after complete denture treatment.Material and methods. Eighteen edentulous subjects participated in this study and measurements were performed after 7 Intervals of time: (1) with occlusion rims and record bases following creation of the maxillomandibular relationship record, (2) with trial dentures, (3) at Insertion of definitive complete dentures, (4) 1 week, (5) 2 weeks, (6) 1 month, and (7) 3 months after insertion. Recordings of interocclusal distances were made with a mandibular kinesiograph. Closest speaking space was measured during the pronunciation of the word 'seis'. The distance between postural rest position and centric occlusion, or interocclusal rest space, was measured using a kinesiograph. Interocclusal distance during deglutition was tested by recording the closest mandibular position recorded during swallowing of 20 mL of water. Data were analyzed using repeated-measure ANOVA, followed by the Student-Newman-Keuls test (alpha=.05).Results. A significant (P <.01)reduction in the mean closest speaking space was found when it was evaluated using occlusion rims and record bases (4.6 mm) compared with other stages (3.0 to 3.4 mm). No significant differences were found in mean interocclusal rest space and interocclusal distance during deglutition among the time periods evaluated.Conclusions. The presence of occlusion rims can influence mandibular position during pronunciation of the /s/ sound. The arrangement of artificial teeth changes the closest speaking space. However, rest position and deglutition were not affected, either during denture fabrication or short-term use.
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Contexte & Objectifs : La manométrie perfusée conventionnelle et la manométrie haute résolution (HRM) ont permis le développement d’une variété de paramètres pour mieux comprendre la motilité de l'œsophage et quantifier les caractéristiques de la jonction œsophago-gastrique (JOG). Cependant, l'anatomie de la JOG est complexe et les enregistrements de manométrie détectent à la fois la pression des structures intrinsèques et des structures extrinsèques à l'œsophage. Ces différents composants ont des rôles distincts au niveau de la JOG. Les pressions dominantes ainsi détectées au niveau de la JOG sont attribuables au sphincter œsophagien inférieur (SOI) et aux piliers du diaphragme (CD), mais aucune des technologies manométriques actuelles n’est capable de distinguer ces différents composants de la JOG. Lorsqu’on analyse les caractéristiques de la JOG au repos, celle ci se comporte avant tout comme une barrière antireflux. Les paramètres manométriques les plus couramment utilisés dans ce but sont la longueur de la JOG et le point d’inversion respiratoire (RIP), défini comme le lieu où le pic de la courbe de pression inspiratoire change de positif (dans l’abdomen) à négatif (dans le thorax), lors de la classique manœuvre de « pull-through ». Cependant, l'importance de ces mesures reste marginale comme en témoigne une récente prise de position de l’American Gastroenterology Association Institute (AGAI) (1) qui concluait que « le rôle actuel de la manométrie dans le reflux gastro-œsophagien (RGO) est d'exclure les troubles moteurs comme cause des symptômes présentés par la patient ». Lors de la déglutition, la mesure objective de la relaxation de la JOG est la pression de relaxation intégrée (IRP), qui permet de faire la distinction entre une relaxation normale et une relaxation anormale de la JOG. Toutefois, puisque la HRM utilise des pressions moyennes à chaque niveau de capteurs, certaines études de manométrie laissent suggérer qu’il existe une zone de haute pression persistante au niveau de la JOG même si un transit est mis en évidence en vidéofluoroscopie. Récemment, la manométrie haute résolution « 3D » (3D-HRM) a été développée (Given Imaging, Duluth, GA) avec le potentiel de simplifier l'évaluation de la morphologie et de la physiologie de la JOG. Le segment « 3D » de ce cathéter de HRM permet l'enregistrement de la pression à la fois de façon axiale et radiale tout en maintenant une position fixe de la sonde, et évitant ainsi la manœuvre de « pull-through ». Par conséquent, la 3D-HRM devrait permettre la mesure de paramètres importants de la JOG tels que sa longueur et le RIP. Les données extraites de l'enregistrement fait par 3D-HRM permettraient également de différencier les signaux de pression attribuables au SOI des éléments qui l’entourent. De plus, l’enregistrement des pressions de façon radiaire permettrait d’enregistrer la pression minimale de chaque niveau de capteurs et devrait corriger cette zone de haute pression parfois persistante lors la déglutition. Ainsi, les objectifs de ce travail étaient: 1) de décrire la morphologie de la JOG au repos en tant que barrière antireflux, en comparant les mesures effectuées avec la 3D-HRM en temps réel, par rapport à celle simulées lors d’une manœuvre de « pull-through » et de déterminer quelles sont les signatures des pressions attribuables au SOI et au diaphragme; 2) d’évaluer la relaxation de la JOG pendant la déglutition en testant l'hypothèse selon laquelle la 3D-HRM permet le développement d’un nouveau paradigme (appelé « 3D eSleeve ») pour le calcul de l’IRP, fondé sur l’utilisation de la pression radiale minimale à chaque niveau de capteur de pression le long de la JOG. Ce nouveau paradigme sera comparé à une étude de transit en vidéofluoroscopie pour évaluer le gradient de pression à travers la JOG. Méthodes : Nous avons utilisé un cathéter 3D-HRM, qui incorpore un segment dit « 3D » de 9 cm au sein d’un cathéter HRM par ailleurs standard. Le segment 3D est composé de 12 niveaux (espacés de 7.5mm) de 8 capteurs de pression disposés radialement, soit un total de 96 capteurs. Neuf volontaires ont été étudiés au repos, où des enregistrements ont été effectués en temps réel et pendant une manœuvre de « pull-through » du segment 3D (mobilisation successive du cathéter de 5 mm, pour que le segment 3D se déplace le long de la JOG). Les mesures de la longueur du SOI et la détermination du RIP ont été réalisées. La longueur de la JOG a été mesurée lors du « pull-through » en utilisant 4 capteurs du segment 3D dispersés radialement et les marges de la JOG ont été définies par une augmentation de la pression de 2 mmHg par rapport à la pression gastrique ou de l’œsophage. Pour le calcul en temps réel, les limites distale et proximale de la JOG ont été définies par une augmentation de pression circonférentielle de 2 mmHg par rapport à la pression de l'estomac. Le RIP a été déterminée, A) dans le mode de tracé conventionnel avec la méthode du « pull-through » [le RIP est la valeur moyenne de 4 mesures] et B) en position fixe, dans le mode de représentation topographique de la pression de l’œsophage, en utilisant l’outil logiciel pour déterminer le point d'inversion de la pression (PIP). Pour l'étude de la relaxation de la JOG lors de la déglutition, 25 volontaires ont été étudiés et ont subi 3 études de manométrie (10 déglutitions de 5ml d’eau) en position couchée avec un cathéter HRM standard et un cathéter 3D-HRM. Avec la 3D-HRM, l’analyse a été effectuée une fois avec le segment 3D et une fois avec une partie non 3D du cathéter (capteurs standard de HRM). Ainsi, pour chaque individu, l'IRP a été calculée de quatre façons: 1) avec la méthode conventionnelle en utilisant le cathéter HRM standard, 2) avec la méthode conventionnelle en utilisant le segment standard du cathéter 3D-HRM, 3) avec la méthode conventionnelle en utilisant le segment « 3D » du cathéter 3D-HRM, et 4) avec le nouveau paradigme (3D eSleeve) qui recueille la pression minimale de chaque niveau de capteurs (segment 3D). Quatorze autres sujets ont subi une vidéofluoroscopie simultanée à l’étude de manométrie avec le cathéter 3D-HRM. Les données de pression ont été exportés vers MATLAB ™ et quatre pressions ont été mesurées simultanément : 1) la pression du corps de l’œsophage, 2cm au-dessus de la JOG, 2) la pression intragastrique, 3) la pression radiale moyenne de la JOG (pression du eSleeve) et 4) la pression de la JOG en utilisant la pression minimale de chaque niveau de capteurs (pression du 3D eSleeve). Ces données ont permis de déterminer le temps permissif d'écoulement du bolus (FPT), caractérisé par la période au cours de laquelle un gradient de pression existe à travers la JOG (pression œsophagienne > pression de relaxation de la JOG > pression gastrique). La présence ou l'absence du bolus en vidéofluoroscopie et le FPT ont été codés avec des valeurs dichotomiques pour chaque période de 0,1 s. Nous avons alors calculé la sensibilité et la spécificité correspondant à la valeur du FPT pour la pression du eSleeve et pour la pression du 3D eSleeve, avec la vidéofluoroscopie pour référence. Résultats : Les enregistrements avec la 3D-HRM laissent suggérer que la longueur du sphincter évaluée avec la méthode du « pull-through » était grandement exagéré en incorporant dans la mesure du SOI les signaux de pression extrinsèques à l’œsophage, asymétriques et attribuables aux piliers du diaphragme et aux structures vasculaires. L’enregistrement en temps réel a permis de constater que les principaux constituants de la pression de la JOG au repos étaient attribuables au diaphragme. L’IRP calculé avec le nouveau paradigme 3D eSleeve était significativement inférieur à tous les autres calculs d'IRP avec une limite supérieure de la normale de 12 mmHg contre 17 mmHg pour l’IRP calculé avec la HRM standard. La sensibilité (0,78) et la spécificité (0,88) du 3D eSleeve étaient meilleurs que le eSleeve standard (0,55 et 0,85 respectivement) pour prédire le FPT par rapport à la vidéofluoroscopie. Discussion et conclusion : Nos observations suggèrent que la 3D-HRM permet l'enregistrement en temps réel des attributs de la JOG, facilitant l'analyse des constituants responsables de sa fonction au repos en tant que barrière antireflux. La résolution spatiale axiale et radiale du segment « 3D » pourrait permettre de poursuivre cette étude pour quantifier les signaux de pression de la JOG attribuable au SOI et aux structures extrinsèques (diaphragme et artéfacts vasculaires). Ces attributs du cathéter 3D-HRM suggèrent qu'il s'agit d'un nouvel outil prometteur pour l'étude de la physiopathologie du RGO. Au cours de la déglutition, nous avons évalué la faisabilité d’améliorer la mesure de l’IRP en utilisant ce nouveau cathéter de manométrie 3D avec un nouveau paradigme (3D eSleeve) basé sur l’utilisation de la pression radiale minimale à chaque niveau de capteurs de pression. Nos résultats suggèrent que cette approche est plus précise que celle de la manométrie haute résolution standard. La 3D-HRM devrait certainement améliorer la précision des mesures de relaxation de la JOG et cela devrait avoir un impact sur la recherche pour modéliser la JOG au cours de la déglutition et dans le RGO.
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This paper reports a case in which a previous traumatic injury at the age of 2 and pulp necrosis to a primary incisor resulted in a rare injury to the permanent successor tooth. The radiographic examination at the age of 9 showed the arrest of root formation of the permanent maxillary right central incisor, which did not erupt. Tooth 11 was extracted and a functional removable space maintainer was prepared. At the age of 17, the patient received an anterior fixed prosthesis for re-establishment of the esthetics, phonetics and deglutition.
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OBJETIVO: investigar as diferenças entre os achados eletromiográficos dos músculos supra-hióideos direito e esquerdo durante a deglutição de um líquido e um pastoso fino, em sujeitos idosos com doença de Parkinson e idosos sem doença neurológica. MÉTODOS: 30 sujeitos de ambos os sexos participaram deste estudo, 15 idosos sem doença neurológica e os demais com doença de Parkinson. Todos foram submetidos a um protocolo de avaliação clínica e avaliação eletromiográfica de superfície. RESULTADOS: foram constatadas diferenças significantes nos valores entre os sujeitos (f=14.4 e p= 0.000) e entre os lados (f=4.4 e p=0.0037). em relação ao tempo de duração da contração muscular durante a deglutição as diferenças foram significantes apenas entre as consistências (f=8.2 e p=0.005). CONCLUSÃO: a amplitude eletromiográfica foi menor nos sujeitos com doença de Parkinson e maior nos músculos supra-hiódeos do lado direito em ambos os grupos. A duração da contração muscular não diferiu significativamente entre os sujeitos com doença de Parkinson e idosos sem doença neurológica e foi menor para a consistência líquida.
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OBJETIVO: Analisar a concordância entre distintas escalas para grau de comprometimento em disfagia orofaríngea neurogênica. MÉTODOS: Foi realizado estudo clínico transversal. Participaram 200 indivíduos com disfagia orofaríngea neurogênica, 108 do gênero masculino e 92 do gênero feminino, com idades de 3 meses a 91 anos. Foram aplicadas quatro escalas para classificar o grau de comprometimento da disfagia orofaríngea, sendo duas escalas clínicas e duas videofluoroscópicas. Análises estatísticas foram realizadas para verificar a concordância entre as escalas clínicas e objetivas. RESULTADOS: Os resultados mostraram concordância muito boa entre as escalas clínicas estudadas (Kappa=0,92) e concordância moderada entre as escalas objetivas (Kappa=0,52). CONCLUSÃO: Embora a concordância entre as escalas clínicas tenha sido muito boa e entre as escalas objetivas tenha sido moderada, ainda é necessária ampla discussão e possível revisão dos parâmetros que definem o grau de comprometimento da disfagia orofaríngea em pacientes neurológicos.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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OBJETIVO: apresentar uma proposta para o controle de eficácia terapêutica em disfagia orofaríngea neurogênica. MÉTODOS: o protocolo foi proposto em concordância com a literatura atual e aplicado em um indivíduo pós-acidente vascular encefálico (AVE) isquêmico à direita, comprovado por tomografia computadorizada, com disfagia orofaríngea grave crônica, gênero masculino, 66 anos, apresentando aspiração laringotraqueal e em uso de sonda nasoentérica exclusiva pré-fonoterapia. Para controle da eficácia terapêutica do programa de reabilitação fonoaudiológica foi aplicado, pré e pós-fonoterapia, a classificação do grau de comprometimento da disfagia orofaríngea, Functional Oral Intake Scale (FOIS), a avaliação videofluoroscópica da deglutição com medida do tempo de trânsito faríngeo (TTF) da deglutição por meio de software e da percepção do indivíduo. RESULTADOS: na pré-fonoterapia verificou-se disfagia orofaríngea grave, FOIS nível 1, presença de aspiração laringotraqueal para mais de uma consistência e tempo de trânsito faríngeo de 13 segundos. Após fonoterapia verificou-se disfagia orofaríngea moderada, FOIS nível 5, ausência de aspiração laringotraqueal e TTF de 4 segundos. CONCLUSÃO: o protocolo proposto foi capaz de avaliar a eficácia da reabilitação na disfagia orofaríngea neurogênica neste indivíduo pós-acidente vascular encefálico, tanto para mensurar as mudanças ocorridas na fisiopatologia da deglutição quanto na ingestão oral e na percepção do indivíduo. Outros estudos com populações distintas são necessários, sendo que novas propostas devem ainda refletir a inclusão da condição nutricional e pulmonar do indivíduo no controle de eficácia em disfagia orofaríngea.
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The phenotype of partial trisomy 9p includes global developmental delay, microcephaly, bulbous nose, downturned oral commissures, malformed ears, hypotonia, and severe cognitive and language disorders. We present a case report and a comparative review of clinical findings on this condition, focusing on speech-language development, cognitive abilities and swallowing evaluation. We suggest that oropharyngeal dysphagia should be further investigated, considering that pulmonary and nutritional disorders affect the survival and quality of life of the patient. As far as we know, this is the first study of a patient with partial trisomy 9p described with oropharyngeal dysphagia.
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Drogas neurolépticas são utilizadas em diversas doenças mentais e suspeita-se que causem disfagia orofaríngea, principalmente em usuários idosos. OBJETIVO: Observar o efeito dos neurolépticos sobre a deglutição de idosos institucionalizados. Forma de Estudo: Descritivo transversal de série de casos. MATERIAL E MÉTODOS: A deglutição de 47 idosos moradores de casa de repouso, usuários e não usuários de drogas neurolépticas foi avaliada por meio do teste clínico funcional da deglutição usando quatro consistências de alimentos. RESULTADOS: Não houve diferença significativa entre os dois grupos. Os usuários de neurolépticos mostraram porcentagem maior de deglutições múltiplas, enquanto os não usuários apresentaram porcentagem maior de escape oral. CONCLUSÃO: Medicações neurolépticas, isoladamente, não afetam o mecanismo da deglutição do idoso. Entretanto, novos estudos, com número maior de indivíduos e que usem avaliação específica da deglutição, são necessários
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TEMA: reabilitação em disfagia orofaríngea neurogênica OBJETIVO: apresentar revisão de literatura sobre os controles neurofisiológicos da deglutição orofaríngea e a influência do sabor azedo e da temperatura fria no mecanismo da deglutição. CONCLUSÃO: quanto à questão do controle central da deglutição, ainda existem controvérsias em relação ao sabor azedo e a temperatura fria. Esses dois parâmetros provocam mudanças na dinâmica da deglutição, podendo trazer benefícios aos indivíduos acometidos por disfagia orofaríngea neurogênica. Porém, tais achados sugerem a necessidade de investigações futuras com populações randomizadas.
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Eagle syndrome is symptomatic elongation of the styloid process, or calcification of the stylomandibular ligament. Difficulty with deglutition. phonation. cervical movement. and the sensation of a foreign body in the oropharynx are all symptoms of this syndrome. Its treatment consists of partial removal of the styloid process. leaving it within the range of normality. We describe the technique, report it case, and point Out Sortie of the advantages. such as the simplicity of the procedure, reduced operating time, and lack risks of operative complications. (C) 2008 The British Association of Oral and Maxillofacial Surgeons. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Moebius syndrome is a congenital, nonprogressive disorder clinically characterized by loss of facial expression, impaired stomatognathic system functions, incapacity to close the eyelids, and several oral impairments. The purpose of this paper was to present the clinical manifestations and the dental treatment in a 5-year, 2-month-old male Moebius syndrome patient. The child presented with facial asymmetry, difficulty performing facial mimic movements and pronouncing some letters, and compromised suction, mastication, breathing, and deglutition. An intraoral examination revealed hypofunction of the perioral muscles, cheeks and tongue, ankyloglossia, anterior open bite, and absence of carious lesions and dental anomalies. The dental treatment consisted of frenectomy and further placement of a removable orthodontic appliance with a palatal crib for correction of the anterior open bite. After 12 months of follow-up, anterior open bite decreased and speech, deglutition, and mastication improved. (Pediatr Dent 2009;31:289-93) Received March 8, 2008 vertical bar Lost Revision July 22, 2008 vertical bar Revision Accepted July 28, 2008