998 resultados para Construction de la paix


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Trois mois de conflit armé en Côte d’Ivoire pendant l’année 2002 finirent par provoquer la division du pays en deux régions, séparées par une ligne d’interposition contrôlée par les Forces Licorne françaises. Le processus de paix se prolongea dans le temps, caractérisé par un manque de confiance mutuelle et une immobilité politique. Ces faits ont débouché sur une situation d’impasse et la permanence de Laurent Gbagbo à la présidence du pays. De plus, les différents accords politiques n’aidèrent pas le processus de construction de la paix, puisqu’ils n’abordaient pas certains problèmes principaux du pays, comme par exemple la propriété des terres et les sujets concernant l’identité. Ce document de travail aspire, tout d’abord, à analyser les faits principaux et les causes qui provoquèrent le conflit à partir du coup d’état de 2002. En deuxième lieu, le document analyse le processus de paix et signale les éléments clé de l’Accord de Paix d’Ouagadougou (2007): la création d’une nouvelle et unique structure des forces armées, ainsi que l’identification de la population et la réalisation d’un processus électoral. L’objectif principal est de fournir un outil de travail à l’Institut Catalan International pour la Paix (ICIP) afin d’envoyer une mission d’observation électorale dans ce pays africain.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Facile de discourir sur la paix ; complexe, par contre, d’évaluer si paroles et gestes y contribuent vraiment. De manière critique, ce mémoire cherche à contextualiser l’émergence de la nation israélienne de 1881 à 1948, de même qu’un certain nombre de forces pacifistes juives, religieuses comme séculières, sionistes comme anti-sionistes, que cette société a engendrées ou provoquées de la fin du XIXe siècle à aujourd’hui. Dans un premier temps, quatre stratégies utilisées pour construire l’État juif sont explorées : la voie pratique (l’établissement de mochavot, kibboutzim et mochavim), la voie diplomatique (le lobbying de Herzl et Weizmann), la voie sociopolitique (la formation de syndicats, de l’Agence juive et du Va’ad Leoumi) et enfin la voie militaire (la mise sur pied d’organisations paramilitaires telles la Hagana, l’Irgoun, le Lehi et le Palmah). Cette exploration permet de mieux camper le problème de la légalité et de la légitimité des nations palestinienne et israélienne. Dans un deuxième temps, une approche conceptuelle et une approche empirique sont combinées pour mieux comprendre ce qu’est un camp de la paix. L’exploration conceptuelle remet en question les critères qu’utilisent certains chercheurs afin d’identifier si une organisation contribue, ou non, à la construction de la paix. L’exploration empirique trace les contours de deux camps de la paix israéliens : les militants de la gauche séculière achkenazi (un pacifisme qui a émergé dans les années 1970) et les religieux haredim (un pacifisme opposé à l’idéologie sioniste dès ses débuts). Ce survol permet de saisir que tout système de croyances peut provoquer la guerre autant que la paix. La conclusion discute des défis du dialogue intercivilisationnel, des défis tant intranationaux (l’harmonie sociale israélienne entre les juifs achkenazim, mizrahim, russes, éthiopiens, etc.) qu’internationaux (la paix entre les Palestiniens et les Israéliens).

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Au terme de la Grande Guerre (1914-1918), rares sont ceux et celles qui ne rêvent pas d’un monde nouveau. Après quatre années de souffrance et d’angoisse, la paix s’impose comme une pulsion de vie qui touche toutes les populations impliquées dans le conflit, en premier lieu celles qui ont connu les combats sur leur propre territoire. Un nombre record de mouvements pour la paix émerge des cendres de la guerre, dont plusieurs sont spécifiquement féminins. Pour ces femmes, privées du droit de vote et donc exclues de la vie politique au sens traditionnel, ces mouvements apparaissent comme autant de nouveaux espaces d’actions politiques. À travers leur lutte pacifiste, elles investissent le champ politique et social, avec des débats qui n’ignorent aucune des grandes questions de l’entre-deux-guerres. C’est donc dans cette perspective que les femmes prennent parole : même si elles n’ont pas connu comme les hommes les champs de bataille, elles ont aussi souffert pendant le conflit et revendiquent le droit de « refaire le monde ». Ces quelques femmes sont toutefois longtemps restées dans l’ombre : doublement ignorées en raison de leur pacifisme et de leur sexe. L’historiographie de l’entre-deux-guerres en France a en effet longtemps négligé leur travail dans l’établissement de la paix et dans les relations internationales. Cette thèse cherche donc à combler un vide laissé par une historiographie trop longtemps axée seulement sur les hommes politiques et liant de façon trop stricte l’action politique et le droit de vote. À partir de l’analyse de cinq associations pacifistes féminines – la Section française de la Ligue internationale des femmes pour la paix et la liberté (SFLIFPL), la Ligue des femmes contre la Guerre (LFCG), l’Union féminine pour la Société des Nations (UFSDN), l’Union fraternelle des femmes contre la guerre (UFFCG) et la Ligue internationale des mères et des éducatrices pour la paix (LIMEP) – notre recherche propose une nouvelle analyse des affaires internationales en abordant les questions de la paix, de la réconciliation franco-allemande et du désarmement au féminin. Elle met également en lumière les discours sur le rôle et la place des femmes dans la société de l’entre-deux-guerres et cherche à comprendre comment les pacifistes contournent leur exclusion des affaires politiques et légitiment leurs démarches dans la construction de la société d’après-guerre.

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Comunicação apresentada no Congresso Internacional do IIAS, realizado em Lausanne, Suiça, de 4 a 8 de Julho de 2011.

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Aquesta relatoria correspon al seminari internacional “Conditions pour la consolidation de la Paix en Côte d’Ivoire” coorganitzat per l’Institut Català Internacional per la Pau, el Centre de Recherche et Action pour la Paix (CERAP), l’Université de Bouaké, i la missió del PNUD a Costa d’Ivori, que es va realitzar a Abidjan entre el 27 i el 29 de setembre de 2010. La situació al país en el moment de la realització del seminari era difícil davant la celebració d’eleccions presidencials pocs mesos després. A la relatoria es recullen diferents aspectes sociopolítics que indicaven les greus fractures a les que s’enfrontava el país, així s’analitzen les qüestions relatives a la propietat de la terra, els problemes relacionats amb la nacionalitat i ciutadania ivoriana, les possibilitats de reorganització de l’estat i la situació del jovent, majoritari a la població ivoriana. Malauradament, les dificultats prèvies a les eleccions és van agreujar amb un resultat ajustat i la proclamació dels dos candidats com a guanyadors. Aquest desafortunat escenari ha fet encara més valuosa la present relatoria.