28 resultados para Cavell
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Resum: Se trata de una aproximación a la obra del filósofo norteamericano Stanley Cavell, desde dos puntos de vista diferentes:el de la filosofía de cotidiana y el de la teoría estética, para sugerir su obra como germen de una posible teoría de la argumentación política y una aportación al proyecto de reconstrucción de una racionalidad crítica ampliada. Resum: Es tracta d'una aproximació inicial a l'obra del filòsof nord-americà Stanley Cavell, des de dos punts de vista diferents: la filosofia del llenguatge quotidià i la teoria estètica, per a suggerir la seva obra com à germen d'una possible teoria de l'argumentació política i una aportació al projecte de reconstrucció d'una racionalitat crítica ampliada
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Référence bibliographique : Rol, 56988
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Référence bibliographique : Rol, 58552
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Référence bibliographique : Rol, 59635
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Référence bibliographique : Rol, 59638
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Référence bibliographique : Rol, 59639
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Ce mémoire vise à explorer le lien étroit unissant le scepticisme philosophique, le dispositif cinématographique et la tétralogie de Gus Van Sant : Gerry, Elephant, Last days et Paranoid Park. À partir de la philosophie de Stanley Cavell, il sera d’abord question de développer le scepticisme comme condition d’existence et non plus comme doctrine philosophique. Stanley Cavell fait bifurquer le problème sceptique de la cognition vers l’éthique et nous verrons comment Gus Van Sant, en proposant un cinéma du désoeuvrement et de la mélancolie où l’individu est en rupture avec le monde, rejoint cette dimension éthique du scepticisme par le cinéma. Ensuite, il s’agira de voir comment le dispositif cinématographique est l’expression même du scepticisme cavellien et comment il permet de tendre vers le perfectionnisme moral en imposant la reconnaissance de son existence à travers la décision morale. Enfin, nous verrons comment Gus Van Sant, en réinventant le plan-séquence et le ralenti, répond singulièrement au problème posé par le scepticisme en réintégrant l’individu dans le monde à force de manipulations formelles qui sont autant de réponses au désoeuvrement contemporain comme condition existentielle. Ces réponses trouvées par Gus Van Sant ne sont pas des solutions, mais une exploration des dimensions d’un problème qu’il renouvèle : le scepticisme.
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A lengthy defense of Cavell on film and politics in response to an article by Joshua Dienstag
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Education is often understood as a process whereby children come to conform to the norms teachers believe should govern our practices. This picture problematically presumes that educators know in advance what it means for children to go on the way that is expected of them. In this essay Viktor Johansson suggests a revision of education, through the philosophy of Stanley Cavell, that can account for both the attunement in our practices and the possible dissonance that follows when the teacher and child do not go on together. There is an anxiety generated by the threat of disharmony in our educational undertakings that may drive teachers toward philosophy in educational contexts. Here Johansson offers a philosophical treatment of this intellectual anxiety that teachers may experience when they, upon meeting dissonant children, search for epistemic justifications of their practices—a treatment whereby dissonant children can support teachers in dissolving their intellectual frustrations.
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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.
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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.
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Na sequência de Que coisa é o filme, também publicado nesta colecção, abordamos aqui as relações entre filosofia e cinema, uma área de estudos que, sobretudo a partir de Cinéma 1 e Cinéma 2 de Gilles Deleuze e da vasta reflexão de Stanley Cavell, se autonomizou no âmbito dos Film Studies e das Teorias do Cinema. O presente texto constitui uma introdução às questões e problemas suscitados por uma filmosofia ou por uma cine-filosofia, esboçando primeiras hipóteses de trabalho sobre o que possa ser um “filme que filosofa”.
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Kirjallisuusarvostelu