1000 resultados para Autoanticorps anti-LC1


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O diagnóstico de doença hepática autoimune em doentes com patologia hepática implica a exclusão de outras causas de lesão hepática como vírica, alcoólica, tóxica, devido a alterações genéticas ou metabólicas, esteatose hepática não alcoólica e uma criteriosa avaliação de dados clínicos, bioquímicos, histológicos e colangiográficos especificas destas patologias (Invernizzi et al 2007) O diagnóstico e tratamento precoces destas patologias são fundamentais para a prevenção da alta morbilidade e mortalidade associada a estes doentes. O despiste de patologia hepática autoimune assenta na utilização de testes serológicos para a deteção de autoanticorpos associados a estas patologias. O conhecimento destes testes e a interpretação dos resultados obtidos revelam-se fundamentais para o diagnóstico ou exclusão destas doenças (Beuers 2005). Deste modo, foi objetivo deste trabalho a pesquisa e identificação de autoanticorpos em uso clínico: ANA, AMA, AML, ANCA, Anti-SLA/LP, anti-LKM, anti-LC1 e anti-actina F, em doentes com suspeita de HAI e CBP em que foi excluída causa vírica, alcoólica e tóxica. O trabalho incidiu particularmente na comparação dos resultados do perfil de autoanticorpos de pedidos feitos ao exterior com os resultados obtidos recorrendo à utilização de um novo kit de imunoblot, e assim determinar a relevância da introdução da pesquisa dos novos autoanticorpos e avaliar a relação custo/benefício da implementação do kit BlueDot liver da D-tek® na rotina laboratorial do serviço de Patologia Clínica do Hospital Pedro Hispano. Os resultados encontrados foram de 100% de concordância entre os métodos de imunofluorescência indireta e imunoblot, e Elisa e Imunoblot. Deste modo seria uma boa estratégia a implementação desta última técnica na rotina laboratorial uma vez que proporciona uma rápida disponibilização dos resultados para o clínico, antecipando desta forma o diagnóstico e o início rápido do tratamento em benefício do doente. Por outro lado, quando analisámos a relação custo/beneficio, seria vantajosa a implementação desta técnica uma vez que o laboratório dispõe de capacidade técnica, e o custo de aquisição do kit não excede o valor praticado atualmente correspondendo a uma poupança de 51%.

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L’hépatite autoimmune (HAI) résulte d’une perte de tolérance du système immunitaire envers des antigènes de l’hépatocyte. Elle peut se présenter sous forme d’hépatite aiguë, parfois fulminante, ou comme une maladie chronique menant progressivement à une cirrhose hépatique. En absence de traitement, cette maladie est fatale. La pathogenèse de l’HAI et les mécanismes responsables de sa progression restent inconnus à ce jour. L’objectif global de ce projet est d’examiner les facteurs prédisposants et les mécanismes immunologiques responsables de l’apparition et de la progression de l’HAI. Pour permettre l’étude de la pathogenèse de l’HAI, nous avons développé un modèle murin expérimental d’hépatite autoimmune de type 2. Celui-ci est basé sur la xénoimmunisation de souris C57BL/6 avec les deux antigènes ciblés dans l’HAI de type 2 chez l’homme (CYP2D6 et FTCD). Par mimétisme moléculaire, le système immunitaire de ces souris réagit contre les protéines murines homologues et une HAI s’ensuit. Ce modèle expérimental présente la plupart des caractéristiques histologiques, biochimiques et sérologiques d’une HAI de type 2. Les souris développent une inflammation autoimmune chronique avec présence d’hépatite d’interface et d’infiltrations intralobulaires, un infiltrat composé majoritairement de lymphocytes T CD4+ mais aussi de lymphocytes T CD8+ et B, d’une élévation des ALT sériques, des niveaux d’immunoglobulines G circulantes augmentés ainsi que d’autoanticorps anti-LKM1 et anti-LC1. L’étude de l’influence du bagage génétique a permis de définir l’importance relative des gènes du CMH et des gènes non-CMH sur le développement d’une HAI. Les gènes du locus CMH sont essentiels mais insuffisants pour mener au développement d’une HAI et donc, la susceptibilité génétique à l’HAI est comme chez l’homme, multigénique. Les patients atteints d’HAI de type 2 sont généralement des jeunes filles. L’étude des influences de l’âge et du sexe dans ce modèle a permis de montrer que les souris femelles avant et au début de leur maturité sexuelle sont plus susceptibles au développement d’une HAI de type 2. De plus, les femelles ont un nombre réduit de lymphocytes T régulateurs, ce qui leur confère une susceptibilité accrue comparé aux mâles. L’ensemble de ces travaux nous a conduits à proposer un mécanisme où le développement d’une HAI chez les femelles d’un âge particulier résulterait de l’activation de cellules T CD4+ autoréactives ayant échappé aux mécanismes de tolérance centrale, via un mécanisme de mimétisme moléculaire avec un antigène exogène. En présence d’une tolérance périphérique réduite due à un faible nombre de cellules T régulatrices, les cellules T autoréactives proliféreraient et activeraient des cellules B autoréactives entraînant la sécrétion d’autoanticorps. L’activation subséquente de cellules T CD8+ cytotoxiques spécifiques amènerait la lyse des hépatocytes et la relâche d’autoantigènes permettant la perpétuation de l’autoimmunité.

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La sclérose systémique (ScS) est une maladie auto-immune dévastatrice d'étiologie inconnue. Le dysfonctionnement immunitaire, la fibrose et la vasculopathie sont les trois principales caractéristiques de cette maladie. Une récente étude a révélé un nouveau lien entre l'auto-immunité et la fibrose, par la présence d'auto-anticorps stimulant le récepteur du facteur de croissance dérivé des plaquettes (PDGFR) des fibroblastes. Ces auto-anticorps sont capables de stimuler les espèces réactives de l'oxygène et d’activer la kinase régulée par un signal extracellulaire (ERK1/2). L’hypothèse que nous formulons est que les cellules musculaires lisses vasculaires (VSMCs) exprimant conjointement les PDGFR, répondront elles aussi aux autoanticorps anti-PDGF-R. Le travail présenté ici vise à valider la présence d'auto-anticorps PDGFR dans les sérums de patients ScS, et à caractériser ensuite la réponse de VSMCs exposées à de l'immunoglobuline G (IgG) de ces sérums, en mesurant l’activation des cascades de signalisation spécifiques, ainsi que l'induction des gènes impliqués dans la réponse fibrotique. Nos résultats démontrent la présence d'une fraction IgG stimulant une réponse phénotypique dans les cultures de VSMCs. Notamment, d’importantes régulations positive et négative des gènes pro-fibrotiques tgfb1 et tgfb2 respectivement, ont été observées dans les VSMCs exposées à des fractions de ScS-IgG. Les fractions de IgG positives pour l'activation de ERK étaient présentes dans la plupart, mais pas dans tous les échantillons de SSc (68%, 19/28), et moins présentes dans les contrôles 27% (11/3). Bien que, les fractions de SSc-IgG ont pu considérablement immunoprécipiter le PDGFR, l'utilisation d'un inhibiteur spécifique des récepteurs au PDGF (AG1296), n'a pas inhibé l'activation de ERK médiée par les fractions de SSc-IgG. Globalement, nos résultats indiquent la présence d'autoanticorps stimulants avec activité pro-fibrotique dans les sérums des patients ScS. Des travaux sont en cours pour identifier l'entité moléculaire responsable de la réponse d’IgG observée dans les cultures de VSMCs.

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Reactivity and titers of autoantibodies vary during the course of autoimmune hepatitis (AIH), and some autoantibodies have been associated with disease activity and adverse outcomes after treatment. The aim of this study was to assess the autoantibody behavior in AIH and its significance as predictors of biochemical and histological remission. A total of 117 patients with AIH (mean age 18.6 [4-69] years) were evaluated and tested for auto- antibodies at disease onset and successively (mean 3.2 [2-6] times) after a mean follow-up evaluation of 70 [20-185] months. Antismooth muscle (ASMA), antiliver kidney micro- some type 1 (anti-LKM1), antiliver cytosol type 1 (anti-LC1), antimitochondrial, antinu- clear (ANA), and antiactin antibodies (AAA) were determined at disease onset and 379 other times during the follow-up evaluation through indirect immunofluorescence in rodent tissues, HEp-2 cells, and human fibroblasts. Anti-SLA/LP were assessed 45 times in the follow-up evaluation of 19 patients using enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA). Upon admission, AIH types 1 and 2 were observed in 95 and 17 patients, respectively. Five subjects had AIH with anti-SLA/LP as the sole markers. Patients initially negative for AAA did not develop these antibodies thereafter. ANA were detected de novo in six and three subjects with AIH types 1 and 2, respectively. After treatment, only ASMA ( > 1:80) and AAA ( > 1:40) were significantly associated with biochemical (76.9% and 79.8%) and histological features (100% and 100%) of disease activity ( P < 0.001). Conclusion: With the exception of ANA, the autoantibody profile does not markedly vary in the course of AIH. The persistence of high titers of ASMA and/or AAA in patients with AIH is associated with disease activity.

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Administration of Escherichia coli lipopolysaccharide (LPS; 10 mg/kg i.v.) to male Wistar rats caused within 240 min (i) a sustained fall (approximately 30 mmHg) in mean arterial blood pressure, (ii) a reduction (> 75%) in the pressor responses to norepinephrine (1 microgram/kg i.v.), and (iii) an induction of nitric oxide synthase (iNOS) as measured in the lung. Dexamethasone (1 mg/kg i.p. at 2 h prior to LPS) attenuated the hypotension and the vascular hyporeactivity to norepinephrine and reduced (by approximately 77%) the expression of iNOS in the lung. These effects of dexamethasone were prevented by pretreatment of LPS-treated rats with a neutralizing antiserum to lipocortin 1 (anti-LC1; 60 mg/kg s.c. at 24 h prior to LPS) but not by a control nonimmune sheep serum. Stimulation of J774.2 macrophages with LPS (1 microgram/ml for 24 h) caused the expression of iNOS and cyclooxygenase 2 (COX-2) protein and significantly increased nitrite generation; this was prevented by dexamethasone (0.1 microM at 1 h prior to LPS), which also increased cell surface lipocortin 1. Pretreatment of J774.2 cells with anti-LC1 (1:60 dilution at 4 h prior to LPS) also abolished the inhibitory effect of dexamethasone on iNOS expression and nitrite accumulation but not that on COX-2 expression. A lipocortin 1 fragment (residues 1-188 of human lipocortin 1; 20 micrograms/ml at 1 h prior to LPS) also blocked iNOS in J774.2 macrophages activated by LPS (approximately 78% inhibition), and this too was prevented by anti-LC1. We conclude that the extracellular release of endogenous lipocortin 1 (i) mediates the inhibition by dexamethasone of the expression of iNOS, but not of COX-2, and (ii) contributes substantially to the beneficial actions of dexamethasone in rats with endotoxic shock.

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Résumé Valeur prédictive des anticorps dirigés contre le cytoplasme des neutrophiles (ANCA) dans les vasculites des vaisseaux de petit calibre But du travail : Les vasculites sont des pathologies le plus souvent sévères et parfois létales ; elles nécessitent une reconnaissance et un traitement précoces. Il est donc utile de pouvoir disposer de marqueurs diagnostiques, et éventuellement de marqueurs qui puissent prédire l'activité de la maladie. Les « antineutrophil cytoplasm antibodies » (ANCA) constituent une famille d'autoanticorps dirigés contre des antigènes du cytoplasme des neutrophiles, cellules clés du processus inflammatoire au cours des vasculites. De nombreuses études ont tenté de préciser l'utilité des ANCA dans le diagnostic et le suivi des vasculites avec des résultats contradictoires. Le but de ce travail a été de passer en revue l'évolution clinique des patients suivis dans notre service pour une vasculite à ANCA et évaluer la valeur prédictive des ANCA comme marqueur de récidive. Méthode: Les dossiers médicaux de 36 patients, suivis à notre consultation ambulatoire d'immunologie et allergie du CHUV pour une vasculite à ANCA entre janvier 1990 et décembre 2001, ont été analysés de manière rétrospective afin d'établir une base de données. Les données démographiques, le type de vasculite (granulomatose de Wegener ou polyangéite microscopique) et ses caractéristiques (organes touchés), les traitements reçus, les dosages des ANCA (par immunofluorescence et par ELISA avec détermination des anti-PR3 et/ou anti-MPO), et l'évolution clinique (récidive/rémission) ont été considérés. La valeur pronostique des ANCA dans notre population a été calculée utilisant les valeurs prédictives positive et négative, la likelihood et les odds ratios. La valeur statistique a été examinée par les tests Chi-square test ou Fisher's exact test (valeur significative définie comme p <0.05) à l'aide du programme GraphPad Instat software version 3, San Diego, CA. Résultats : Vingt-trois patients atteints d'une maladie de Wegener et treize d'une polyangéite microscopique ont été suivis pour une durée médiane de cinq ans (entre 1 mois et 16 ans). La plupart des patients ont été traités avec des corticostéroïdes associés à du cyclophosphamide. Une rémission a été obtenue chez 21 patients (91 %) atteints d'une maladie de Wegener, mais 74% ont présenté par la suite une récidive. Tous les patients atteints d'une polyangéite microscopique sont entrés en rémission et 33% ont par la suite récidivé. Une élévation persistante (définie comme supérieure à 6 mois) des ANCA ne s'est pas révélée associée à un risque statistiquement significatif de récidive (p=0.14). En revanche, une élévation soudaine du taux des ANCA s'est démontrée prédictive d'une récidive (table 3). Conclusion : Durant le suivi de certaines vasculites, comme la granulomatose de Wegener et la polyangéite microscopique une élévation des ANCA doit faire redouter une exacerbation de la maladie et, par conséquent, justifie une surveillance accrue.

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Autoantibodies are frequently determined in unclear clinical situations and in the context of an inflammatory syndrome. The aim of this article is not to review all autoantibodies in details, but to discuss those used in clinical practice by describing their methods of detection and interpretation. Thus we will focus on antinuclear antibodies (ANA), which are typically associated with connective tissue diseases, as well as anti-neutrophil cytoplasmic antibodies (ANCA), which are useful in the diagnosis of ANCA-associated vasculitides. Due to its high sensitivity indirect immunofluorescence is used as a screening test; when positive, ELISA is performed to search for antibodies more specifically associated with certain auto-immune diseases.

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Ethanol consumption damages the prostate, and testosterone is known by anti-inflammatory role. The cytokines were investigated in the plasma and ventral prostate of UChB rats submitted or not to testosterone therapy by ELISA and Western blot, respectively. Additionally, inflammatory foci and mast cells were identified in the ventral prostate slides stained by hematoxylin and eosin and toluidine blue, respectively. Inflammatory foci were found in the ethanol-treated animals and absent after testosterone therapy. Plasma levels of IL-6 and IL-10 were not changed while TNFα and TFG-β1 were increased in the animals submitted testosterone therapy. Regarding to ventral prostate, IL-6 did not alter, while IL-10, TNFα, and TFG-β1 were increased after testosterone therapy. Ethanol increases NFR2 in addition to high number of intact and degranulated mast cell which were reduced after testosterone therapy. So, ethanol and testosterone differentially modulates the cytokines in the plasma and prostate.

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Basic phospholipases A2 (PLA2) are toxic and induce a wide spectrum of pharmacological effects, although the acidic enzyme types are not lethal or cause low lethality. Therefore, it is challenging to elucidate the mechanism of action of acidic phospholipases. This study used the acidic non-toxic Ba SpII RP4 PLA2 from Bothrops alternatus as an antigen to develop anti-PLA2 IgG antibodies in rabbits and used in vivo assays to examine the changes in crude venom when pre-incubated with these antibodies. Using Ouchterlony and western blot analyses on B. alternatus venom, we examined the specificity and sensitivity of phospholipase A2 recognition by the specific antibodies (anti-PLA2 IgG). Neutralisation assays using a non-toxic PLA2 antigen revealed unexpected results. The (indirect) haemolytic activity of whole venom was completely inhibited, and all catalytically active phospholipases A2 were blocked. Myotoxicity and lethality were reduced when the crude venom was pre-incubated with anti-PLA2 immunoglobulins. CK levels in the skeletal muscle were significantly reduced at 6 h, and the muscular damage was more significant at this time-point compared to 3 and 12 h. When four times the LD50 was used (224 μg), half the animals treated with the venom-anti PLA2 IgG mixture survived after 48 h. All assays performed with the specific antibodies revealed that Ba SpII RP4 PLA2 had a synergistic effect on whole-venom toxicity. IgG antibodies against the venom of the Argentinean species B. alternatus represent a valuable tool for elucidation of the roles of acidic PLA2 that appear to have purely digestive roles and for further studies on immunotherapy and snake envenoming in affected areas in Argentina and Brazil.