The Greek debt trap: an escape plan. Bruegel Policy Contribution 2012/19, 7 November 2012

Without corrective measures, Greek public debt will exceed 190 percent of GDP, instead of peaking at the anyway too-high target ratio of 167 percent of GDP of the March 2012 financial assistance programme. The rise is largely due to a negative feedback loop between high public debt and the collapse in GDP, and endangers Greek membership of the euro area. But a Greek exit would have devastating impacts both inside and outside Greece. A small reduction in the interest rate on bilateral loans, the exchange of European Central Bank holdings, buy-back of privately-held debt, and frontloading of some privatisation receipts are unlikely to be sufficient. A credible resolution should involve the reduction of the official lending rate to zero until 2020, an extension of the maturity of all official lending, and indexing the notional amount of all official loans to Greek GDP. Thereby, the debt ratio would fall below 100 percent of GDP by 2020, and if the economy deteriorates further, there will not be a need for new arrangements. But if growth is better than expected, official creditors will also benefit. In exchange for such help, the fiscal sovereignty of Greece should be curtailed further. An extended privatisation plan and future budget surpluses may be used to pay back the debt relief. The Greek fiscal tragedy highlights the need for a formal debt restructuring mechanism

Eurodéputé: «Seconde chance» ou «Tremplin» – Comparaisons des trajectoires politiques de candidats PSE et PPE aux élections européennes de 2014 en France et en Suède. = MEP: "Second Chance" or "Jump" - comparisons of PSE candidates and political trajectories EPP in European elections 2014 in France and Sweden. Bruges Political Research Paper No. 40, February 2015

Le mandat d’eurodéputé est conçu différemment dans chaque état membre. Cet article teste la validité des cultures politiques inclusive et exclusive, créées pour l’analyse des sélections des candidats français et suédois et leur conception du mandat européen. Leur sélection demeure un monopole partisan national où l’adhésion à un parti et la professionnalisation politique priment. La distinction apparait dans le degré d’ouverture de la sélection et la conception de la fonction d’eurodéputé et du Parlement européen. Les conclusions valident l’approche créée, montrant un déplacement du curseur le long des continuums formés par les cultures inclusive et exclusive. La France, «exclusive», reste centrée sur Paris et des élections ayant des conséquences sur le pouvoir exécutif. La Suède est plus inclusive tant dans les profils des candidats que dans les processus qui les intègrent aux listes et dans la façon de concevoir le rôle des MEP et du Parlement européen. Cet article se fonde sur un mémoire de Master: E. Cazenave, Eurodéputé: «Seconde chance» ou «Tremplin»? Comparaison des trajectoires politiques de candidats PPE et PSE aux élections européennes de 2014 en France et en Suède, Bruges, Collège d’Europe, 2014